/ Calendrier des réunions
 / Journal du Débat Public
 / Comptes rendus des réunions
 / Réponses aux questions
 / Avis exprimés par le public
 / Interventions des participants
 / Questions de la CPDP
 / Dire d'experts
 / Compléments et réponses MO
 / Autres études



 / Avis exprimés par le public

Voici les avis exprimés par le public par mail, par courrier ou lors des réunions publiques.

Commune précédente

Commune sélectionnée : SENLISSE

Avis n°1604 de : Rutherford Agnès - SENLISSE - le 15/06/2006
Je sius contre tout promongement de l'A12, quel qu'en soit le tracé, pour notre santé, notre agriculture et surtout notre environnement.

Avis n°1603 de : Martins Stéphane - SENLISSE - le 15/06/2006
Je suis contre tout prolongement de l'A12, quel qu'en soit le tracé, pour notre environnement et notre santé.

Avis n°1602 de : Martins Manuel - SENLISSE - le 15/06/2006
Je sius contre tout prolongemen de l'A12 quel qu'en soit le tracé.

Avis n°1601 de : Martins Ermelinda - SENLISSE - le 15/06/2006
Je suis contre tout prolongement de l'A12, quel qu'en soit le tracé.

Avis n°1600 de : Rutherford william - SENLISSE 78720 - le 15/06/2006
je suis contre tout prolongement de l'A12, qui serait aussi bien un danger pour l'environnement que pour notre santé, notre activité agriculturelle, et nos paysages, qui seraient détruits par l'urbanisation, conséquence inévitable de ce projet.

Avis n°1599 de : Martins Stéphanie - SENLISSE - le 15/06/2006
Je suis contre tout prolongement de l'autoroute A12 car je trouve que nous avons déjà assez de circulation pres de chez nous, alors que nous vivons dans un parc naturel régional, et que nous n'avons pas besoin ni jamais demandé d'aménagement tels que celui-ci. Notre evironnement et notre santé devrait être la priorité, et non pas la création d'un véritable "aspirateur à camions, dangeureux pour nous et pour la nature.

Avis n°1598 de : Rutherford Claire - SENLISSE 78720 - le 15/06/2006
Je trouve que rien que l'idée de mettre en place une autoroute, a notre époque où l'on nous parle sans cesse de "développement durable" et d'écologie, est completement insensée. Le fait que cette autoroute devrait passer par un parc naturel régional est encore pire. On nous demande sans cesse de "respecter la nature", et voilà que l'on veut faire passer une AUTOROUTE à travers le "Poumon Vert" de Paris!!! C'est ce que l'on pourrait appeler de l'hypocrisie. Les habitants du Sud des Yveslines ont choisi d'y habiter à cause de sa tranquilité, de son rapport proche et rafraîchissant avec la nature, pour pouvoir échapper à la ville. Nous ne voulons donc pas d'une autoroute sur notre palier! C'est ainsi, pour notre environnement et pour notre santé que je me déclare contre tout prolongement de l'autoroute A12 dans le sud des Yveslines quel que soit le tracé.

Avis n°1582 de : LEACH Anna - SENLISSE 78720 - le 15/06/2006
Intervenant tardivement dans le débat public, de nombreuses opinions contre le prolongement de l'A12 dans le Parc Régional Naturel de la Haute Vallée de Chevreuse ont déjà été exprimées avec lesquelles je suis d'accord, tout en comprenant l'exaspération des communes limitrophes de la N10.
Au vu des arguments soulevés de part et d'autres, il me semble qu'il serait plus justifié de repenser la politique régionale de transports en commun, qui fait bien défaut aussi bien dans les zones dites "urbaines" que celles dites "rurales" au cours de ce débat.
Dans ce débat, l'équation a très souvent été faite "Habitants des communes rurales = familles aisées, Habitants des communes urbaines = familles plus modestes". Quelle erreur ! Nombre d'entre nous habitants du PNR y avons élu notre résidence, entre autres, pour des raisons économiques, l'immobilier – à l'époque- y étant moins cher.
Lorsque l'on compare la qualité de vie urbaine et rurale, sachez de quoi l'on parle. Lorsque nous habitions l'une des communes de la Ville Nouvelle de St-Quentin-en-Yvelines, nous utilisions très peu la voiture. Dans le Parc Naturel Régional, notre mode de vie est devenu totalement dépendant de la voiture: les enfants ne pouvaient plus se rendre à pied à l'école primaire, pourtant à moins de 500 m, parce que la circulation sur les deux départementales (justement, celles qui amènent le trafic vers la N10 et la A86) est trop rapide et soutenue et qu'il n'y a aucun bas côté aménagé; donc il faut prendre la voiture pour un trajet de 500 m. Pareil pour le collège, le passage des bus étant trop peu fréquent pour correspondre aux horaires des cours, et lorsque les horaires correspondent, les temps de trajet déjà longuets vu la distance, sont considérablement rallongés par une desserte en coudes d'usines des petites communes hors du trajet direct. Dans la Ville Nouvelle, les courses locales pouvaient se faire à pied ou en vélo; dans le Parc Naturel, il faut prendre la voiture à chaque occasion, souvent non pas à cause de la distance, mais du réel danger posé, sur nos petites départementales, par une circulation automobile dense et irrespectueuse des limitations de vitesse et autres règles élémentaires du code de la route.
Il me semble donc que plutôt que de développer de nouvelles autoroutes dont l'intérêt à une échéance de 30 ans n'est pas prouvé, il y a une urgence à repenser la politique régionale de transports en commun, ce qui contribuerait à améliorer le cadre de vie des habitants des villages et communes situées dans le Parc et ceux des villes situées le long de la N10, la plupart du trafic sur cet axe étant local.
Par ailleurs, il est peut-être utile de rappeler que notre Parc Naturel Régional est le plus petit parc et le plus proche de Paris. Donc le plus fragile et le moins capable de résister à la pression urbaine qui inévitablement suivra la construction d'un axe autoroutier traversant le territoire du Parc. Je trouve honteux de la part de nos gouvernements qu'ils ne respectent pas leurs engagements, explicités dans la Charte du PNR, quant à la sauvegarde et la préservation des quelques rares espaces verts encore existants autour de Paris. Ces espaces verts sont appréciés par les Yvelinois (habitants des communes limitrophes de la N10 compris) mais aussi par de nombreux habitants venant de toute la région parisienne. Le déclassement du PNR serait un très mauvais précédent pour tous les parcs naturels de France.