/ Calendrier des réunions
 / Journal du Débat Public
 / Comptes rendus des réunions
 / Réponses aux questions
 / Avis exprimés par le public
 / Interventions des participants
 / Questions de la CPDP
 / Dire d'experts
 / Compléments et réponses MO
 / Autres études



 / Avis exprimés par le public

Voici les avis exprimés par le public par mail, par courrier ou lors des réunions publiques.

Commune précédente

Commune sélectionnée : LE MESNIL SAINT DENIS

Avis n°1681 de : LEPOULTIER Joëlle - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 29/06/2006
« Il faut faire quelque chose »
Dans une famille, cette annonce seule suffit en général à provoquer immédiatement agitation stérile, course dans tous les sens, aux cris de « vite, vite » et « attention, attention », chutes, bousculades, bris d’objets, bref, de manière générale perte de tout bon sens et de toute cohérence…
Mon impression à la fin de la CPDP hier soir, est qu’au niveau collectif, ce pourrait bien être bien pire.
Il faut faire quelque chose, vite !
Mais à partir de quelles propositions ? Celles d’un dossier jugé par tout le monde – c’est bien le seul point d’accord - nsuffisant, imprécis, chiffré sans réalisme? Je ne vois qu’une solution, en attendre un meilleur, et comme le propose M. O’Connor, recommencer ! et renoncer à la rapidité…
Car les populations concernées attendent quelque chose dans les deux ou quatre ans à venir.
Or, les échéances ne prévoient pas avant 2020 la réalisation complète de l’opération, qui, nous répètent les représentants de ces populations, pourra seule les soulager. Assez bizarrement, ce delta n’a été évoqué, avec une honnêteté certaine, que par le maître d’ouvrage hier soir – qui a de plus reconnu que le tracé dont on devine qu’il pourrait avoir la faveur des décideurs est affecté d’un sérieux problème juridique, qui peut rendre l’opération impossible, ou la retarder de dix ans = 2030. A se demander si soutenir ce tracé n’équivaut pas à ne rien vouloir faire !
Certains, notamment les représentants du monde économique s’acharnent à nier ce delta et ne nous parlent que d’aujourd’hui, et d’évolutions à très court terme, bien antérieur à la réalisation possible de l’ouvrage.
Mais, dans quinze, voire vingt-cinq ans, où en sera-t-on ?
Les experts sollicités par la CPDP n’ont pas toujours péché par excès de modestie – c’est assez rare chez les experts – et pourtant aucun d’entre eux, sur les trafics, les carburants, l’évolution du coût du transport n’a présenté de schema auquel il semble vraiment croire.
Sur l’évolution du travail, de l’emploi, de la vie économique, il n’y a pas eu le moindre début de réflexion.
Sur le rôle actuel de la route dans nos sociétés, le débat aurait pu permettre un début de réflexion, par exemple, comment corriger certaines évolutions néfastes en Ile-de-France, j’en donnerai deux : la désertification des centres villes, suite au développement des grandes zones commerciales et l’installation de nombreuses familles en très grande couronne, pour des raisons économiques au départ.
Sur ces deux points, il est seulement proposé d’accompagner les phénomènes par une autoroute, avec une totale indifférence à l’aggravation de ces effets pernicieux. Je lis déjà d’ici les publicités des promoteurs immobiliers de la région de Chartres si l’autoroute est décidée. Comment encourager quelqu’un à faire plus de 120km de voiture par jour pour aller travailler, et rentrer chez lui, que ce soit sur une route et une autoroute ? et à quels risques, surtout l’hiver, la nuit, avec la fatigue accumulée ?
Le transport en commun a ses insuffisances, mais sauf catastrophe ferroviaire, il vous transporte en sécurité !
Même absence de volontarisme sur l’intermodalité, et notamment le ferroutage, le discours dominant étant : la SNCF ne veut pas de ferroutage, donc il faut l’autoroute. La SNCF n’ pas à s’en faire et peut continuer à refuse le ferroutage en toute tranquillité. Ne serait-il pas plus cohérent de demander au ministre de tutelle de la SNCF qui sera aussi le décideur de l’autoroute son intervention sur ce dossier ?
Sur l’effet de serre, la pollution, deux constantes tout au long du débat :
une cristallisation sur la pollution aux abords immédiats de la N10, alors que toutes les études - par exemple sur la progression de l’asthme, des bronchiolites (maladie nouvelle, qui n’existait pas quand mes enfants qui ont plus de vingt ans étaient petits), des allergies, montrent que c’est la pollution au niveau global d’une région qui doit être accusée et, deuxième constante,une affirmation des partisans de la construction d’une autoroute nouvelle : bientôt les voitures ne pollueront plus (il y a 30 ans, les zélateurs du nucléaire disaient : le problème des déchets sera résolu dans moins de 20 ans, on a vu…)
Sur la biodiversité, d’abord une affaire d’homme ( et un mot obscène pour beaucoup, qui n’ont pourtant cessé de se référer à l’homme) : au cours du même débat on nous annonce une proposition de classement Natura2000, et une proposition de passage d’
autoroute pour le même site…
Sur l’avenir du patrimoine et du paysage, comment croire aux autoroutes bien insérées dans le paysages qu’elles valoriseraient…pour qui ? Pour l’automobiliste qui les traverse à 130km (au maximum, espérons-le) et jette un coup d’œil en s’écriant « Que c’est joli » ? Une autoroute est toujours un coup de sabre dans un paysage… si le sabre est beau (le viaduc de Millau), ce n’est pas pour autant qu’il fait moins mal ! surtout à l’agriculture et à la ressource en eau, merci à Mme Pelekhine de les avoir évoquées
Le constat de la situation des riverains de la N10 ? on ne peut qu’être d’accord, mais là encore que d’incohérences ! A chaque réunion, un malheureux riverain de la RN12 s’est exprimé, décrivant une situation encore pire – 80 000 v/j d’après les chiffres de la DDE – dans l’indifférence générale. Je ne suis pas politiquement correcte, mais je pose la question, pourquoi reconnaître aux riverains de la RN10 le droit d’exiger de la communauté nationale le privilège exorbitant d’une autoroute nouvelle, avec son coût financier pharaonique, ses atteintes irréparables à l’environnement, et ses transferts de nuisances sur d’autres populations ?
Les populations riveraines ont droit à la disparition des nuisances par un aménagement concerté, et la communauté nationale le devoir de les y aider, en finançant les investissements nécessaires –sans que, au nom d’une conception de la solidarité bien peu favorable à la paix civile ou même à la démocratie « apaisée », les nuisances soient mise à la charge des populations voisines. Car quel précédent alors ? Combien de millions de personnes en France sont-elles dans le même cas ?
Je pourrais continuer longtemps à dénoncer les incohérences révélées par ce débat, par ailleurs passionnant : doutes sur le financement, contradictions de la DDE sur l’enjeu du projet (local, national, international), vous avez compris ma position : le constat est, peut-être, « il faut faire quelque chose », mais que faire qui ne soit pas pire ? et si rien ne s’était fait depuis 40 ans tout simplement parce que les projets étaient mauvais ? et si cette révélation était le fruit du travail d’intelligence collective de la CPDP ?
Il resterait à se tourner vers un nouveau projet, étudier certains des tracés proposés au cours du débat qui montrent qu’un contournement non autoroutier de Trappes est possible. Par contre je suis opposée à tout tracé qui comporterait un échangeur dans le bois de Trappes, ou à proximité de ce bois et de l’étang des Noës.
Je suis aussi choquée par le tracé de contournement de l’agglomération nouvelle par le Nord, l’opposante résolue que je suis au principe même d’autoroute nouvelle, ne peut que récuser un tracé qui génèrerait ailleurs qu’au vallon du Pommeret les mêmes atteintes à l’environnement, à la biodiversité (pardon !) , à l’eau ,à l’agriculture, au paysage naturel, et ouvre le même boulevard à l’urbanisation incontrôlée.
Malgré un petit regret sur le traitement très favorable accordé aux élus, dont il me semble que les élus du Parc ont profité avec une discrétion dont ils n’ont pas toujours été récompensés, merci aux membres de la CPDP, toujours abordables et très disponibles.

Avis n°1677 de : DESROSIERS Alain - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 23/06/2006
Le prolongement de l'autoroute A12 a, nous a-t-on dit, pour principal objectif d'améliorer la desserte locale et notamment entre les villes de Trappes et Coignières.
Hbitant depuis plus de 25 ans dans la région, j'ai assisté progressivement à la dégradation de la circulation dans quie les élus locaux ou les pouvoirs publics n'interviennent pour améliorer la situation.
à l'époque, il était déjà parfaitement abbérant de constater que la route N10 n'était pas aménagée à cfhaque grand carrefour , en dénivelé, afin d'améliorer la sécurité de la circulation.
La quasi totalité des autres nationales, à l'apporche de Paris, bénéficiaient depuis déjà longtemps de ce genre d'aménagement.
Cela donnait l'impression que l'ensemble des décideurs, politiques et administratif, étaient figéds sur le serpent de mer qu'était depuis les années soixante le prolongement de l'A12.
Chacun mesure alors la responsabilité de cette attitude qui depuis des décénnie génère dans ce secteur accidents graves et nuisances.
est-il bien raisonnable d'envisager un prolongement auroutier à grand frais générant, quelque soit le tracé, d'énorme nuisances alors qu'une étude sérieuse de la fluidité de circulation dans ce secteur serait certainement satisfaisant.
tous les projets autoroutiers envisagés, sur la N10 ou au sud de celle-ci, sont tous plus nuisants les uns que les autres et notamment celui par le Vallon du pommeret qui, contrairement à ce qui est parfois annoncé, n'est pas l'idéal.
C'est un peu vite oublier les nuisancesque le tronçon commun génère en amont du Vallon sur les communes de trappes et de Voisins.
Oublier également les dégâts importants sur l'environnementet notamment dans le domaine hydraulique. ce qui ne manquera aps de perturber l'ensemble du Vallon avec les conséquences que l'on peut deviner sur les eaux de ruissellement et les nappes hréatiques.
Enfin, ce n'est pas sans tenir compte d'une aprt des énormes nuisances sonores et visuelles de tous les riverains du vallon qui subiraient à cet endroit là, l'autoroute en viaduc à hauteur des résidences et d'autre part, l'irrémédiable préjudice pour la commune du Mesnil Saint Denis qui se verrait isolé du PNR de la Haute Vallée de Chevreuse dont elle fait partie.
Ne croyez-vous aps que reconsidérer la circulatino sur les RN10 et 12 en effectuant les aménagements adéquats en dénivelé à chaque carrefour, tout en protégeant l'environnement et l'habitat, serait plus réaliste moins couteux et plus huamin.
Le problème pratique de la réalisation des travaux qu'il faut évidemment prendre en compte, si l'on veut être conséquent, pourrait être envisager des aménagements alternés sur l'une et l'autre des voies de circulation afin d'assurer la pérennité de la circulation pednant la durée des travaux.

Avis n°1673 de : LE FLOHIC Gérard - LE MESNIL SAINT DENIS - le 23/06/2006
merci d'avoir pu obtenir une réponse sur un point essentiel.

Elle met en avant un contradiction, celle d'évoquer des difficultés techniques quant à la réalisation de tunnel au niveau de la N 10, tout en recommandant ces mêmes tunnels car les solutions de tranchées couvertes sont délicates en secteur urbain (pourtant réalisées à Fresnes, à Rueil, Nanterre etc.......)

En fait les solutions techniques existent et demeurent les seules bonnes solutions pour préserver la destruction de zones préservées.
Je profite de ce courriel pour de nouveau m'opposer en tant que chef d'entreprise au point de vue du Président de l'ARDIES qui ose parler de "développement durable" en militant pour un tracé dans la vallée du Pommeret.

Le développement durable n'est pas un effet de mode dialectique mais un projet de vie pour les générations futures.

Avis n°1671 de : DUBALEN Albert - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 23/06/2006
Je vous adresse ce message, en espérant que l'autorité politique perçoit bien les origines variees des problèmes de banlieues et prend ses decisions en consequence.
La prolongation de l'A12 ne se justifie pas; elle est condamnee par la seule raison qu elle doit passer en zone urbanisee. Les banlieues saturent et deviennnent volcaniques,en raison de tout ce a quoi elles sont confrontees. Leur opposition se manifeste differemment de celle des professionnels ( transports agriculteurs, commercants...). Sournoise dans un premier temps, car non organisee, elle explose ensuite.
Quelle solution proposer pour le transport routier de la region parisienne, notamment pour les axes Nord-Sud et Est-Ouest. La DDE nous affirme que les poids lourds representent environ 16 p.cent du total.
En comptage, peut-être, certainement pas en importance. Un camion vaut plusieurs voitures a tous points de vues. Donc consultons http://www.faq-logistique.com/Ferroutage.htm rubrique ferroutage > on peut lire en page 1:"la route realise 90pcent du tonnage transporte en France", et en page 3: "le transport est tres largement domine par la route (70pcent du tonnage -kilometrique)..." et ce pourcentage ne fera que croître.
Comptons la proportion camions/voitures.
La saturation a laquelle arrive le transport routier na sera pas resolue par des mesures telles que prolongation de l'A12, qui ne font que transformer nos sols en bitume. A la rigueur, conservons une partie du transport routier,en raison de la souplsse qu'il permet: ne faisons pour cela qu adapter nos routes existantes en evitant d en allonger la surface.
Mais surtout préoccupons nous de relayer le transport routier par le transport rail-route. Je n'expose pas les techniques. Mais que le pouvoir politique, qui dans ses decisions est mandataire de la societe, sache bien faire la vraie part des consequences dans les zones urbaines et des oppositions des divers professionnels.
Ou alors que la production de richesses n'ait plus sa source presque exclusive dans l'industrialisation qui est a la remorque du transport surtout routier.

Avis n°1669 de : ANER Catherine - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 23/06/2006
Le Mesnil Saint Denis ne peut que s'opposer à l'A12 sur la commune car il fait partie du PNRHVC.
En effet, Le Mesnil souhaite rester au sein du Parc et une autoroute l'exclurait de facto en le rejetant dans la Ville Nouvelle avec les communes riveraines de la RN10, comme cela a été rappelé très justement hier au soir dans la conclusion de la séance.Par ailleurs, le PNRHVC a besoin que son intégrité soit défendue car il s'agit du plus petit parc naturel de France et de l'Ile de France, ainsi que l'a rappelé Mme Valérie Pécresse hier au soir. Or, Le Mesnil compte parmi les communes les plus importantes.

Une autoroute porterait un coup fatal à l'agriculture locale, dont nous aurons certainement fort besoin pour compenser la rareté ou la cherté du pétrole, et constituerait une atteinte gravissime aux espaces naturels que nous nous devons de conserver et de laisser à nos enfants car ce patrimoine ne nous appartient nullement.

Avis n°1660 de : THOMAS Marc - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 21/06/2006
Le réaménagement de la RN10 nous parait la solution la meilleure, car c'est le trajet le plus direct. Elle évite le passage de l'A12 dans les villes, tout comme la destruction de la campagne. Préservons les espaces verts et la qualité de la vie dans notre région ! Par le Pommeret, l'A12 passerait au ras de Lévis St Nom et du quartier du Bois du Fay au Mesnil. Imaginez le Skit su St Esprit et ses visiteurs à coté de l'autoroute !

Avis n°1641 de : THE C. - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 16/06/2006
Habitante du Mesnil depuis 5 ans, je me sens très concernée par le projet A12.
Bien sur, je ne souhaite pas que mon lieu de vie et ses environs soient modifiés et subissent les nuisances d’une autoroute.
Mais je tiens à préciser aussi que je ne souhaite pas que cette autoroute passe chez les voisins et que je ne me reconnais pas dans la catégorie : « chez les autres mais pas chez nous ! »
Je déplore que ce projet oppose les habitants et les élus des communes de Trappes et du PNR au lieu de les rassembler afin de trouver les meilleures solutions dans l’intérêt de tous.

Le projet A12 a été présenté comme la solution aux problèmes de la N10.
Mais qu’a-t-on fait depuis toutes ces années pour améliorer la qualité de vie et la sécurité des habitants aux abords de la nationale ? Les autorités ne doivent plus attendre !

Lors des réunions, nous avons pu découvrir que le prolongement de l’A12 présente bien d’autres intérêts et enjeux !

Alors, si ce projet devait avoir lieu, j’espère vraiment que des études complémentaires seront effectuées et que des modifications seront apportées sur les tracés proposés.
L’échangeur prévu à la sortie du Mesnil me semble inacceptable, notamment pour les populations du Bois de l’Etang, de Rodon et alentour.
Un dernier mot sur le tracé dit « rural »…
Il faudrait couvrir un maximum le tracé à l’Est du Mesnil pour protéger les populations.
Quant au viaduc du Pommeret…je pense qu’il va engendrer de grosses nuisances pour les habitants de Levis St nom et de tous les quartiers du Bois du Fay.

Ne négligeons aucune population, qu’elle soit minime ou non, qu’elle soit urbaine ou rurale.

JE M’OPPOSE AUX TRACES DE l'A12 TELS QU’ILS SONT PROPOSES !

Avis n°1636 de : MARION Elisabeth - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 16/06/2006
1/ Le terme rural pour le tracé par le vallon du Pommeret n'est en rien rural. D'abord il traverse Montigny, rase la ville de Trappes qui serait prise en sandwich entre le N10 et l'A12 et enfin du Mesnil st denis qui se retrouveraient à quelques mètres d'un échangeur et pris ensuite pour l'ensemble de la commune en sandwich entre l'A12 et la N10. C'est à se demander ce que l'on entend par rural....
2 / Les 2 autres tracés commençant à Montigny et traversant ensuite Le Mesnil ou la Verrrière sont une aberration (pollution sonore et atmosphérique) des habitants qui vivent parfois à moins de 10 mètres des tracés de l'A12 !!! Même aujourd'hui sur le tracé de la N10 il n'y a aucune habitation aussi proche !!!........
3 / La N10 doit être complètement aménagée pour améliorer les conditions de vie des riverains. Et même si on ne comprend pas toujours pourquoi on a laissé se construire des habitations aussi proches de la nationale, ceux qui y vivent aujourd'hui ont droits a ces aménagements.

Reste une question. Pourquoi une autoroute A12 ?
Si c'est pour faire gagner 6 minutes aux voitures qui vont de Rambouillet à St Quentin, ceux qui prennent leur voiture peuvent y passer 6 minutes de plus ou adopter les transports en commun..... çà coûtera moins cher à la collectivité de rajouter quelques trains;
Si c'est pour améliorer le temps de route des voitures qui vont sur Versailles ou Paris, de toute façon il y a un bouchon avant Rocquencourt....... que vont-ils gagner sur leur parcours final ? 2 ou 3 minutes ?
Franchement, toujours la même question pourquoi une autoroute ?????

Avis n°1656 de : lamothe elisabeth - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 16/06/2006
Pourquoi n'étudie-t-on pas sérieusement le projet du Président de l'association des amis de la forêt de Trappes Port Royal ? Ce tracé est le seul acceptable par tous. Il n'apporterait pas de nuisances nouvelles, respecterait l'environnement et les riverains en s'éloignant des zones d'habitation.
Il n'est pas raisonnable de vouloir déplacer chez les autres les nuisances que l'on subit. Il faut tous oeuvrer pour moins de nuisances sur la RN 10 sans les déplacer et, en fin de compte, les augmenter en cumul RN10-A12.

Avis n°1635 de : Fontaine Luc - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 16/06/2006
Après avoir suivi les débats de presque toutes les réunions mon avis est que la prolongation de l'A12 n'est pas justifiée, voire nuisible; et qu'un aménagement de la RN10, notamment avec la mise en souterrain des carrefours ou mieux de la totalité de la route comme à Fresnes; est la meilleure solution

Avis n°1619 de : woodcock alan - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 16/06/2006
Je laisse aux technocrates la question "faut-il prolonger l'A12". Je suppose que cela se fera et ne parle que du choix de tracé.
Plusieurs contributeurs prétendent que le tracé par le vallon du Pommeret constitue une massacre de "la nature". C'est une vision catastrophiste. Il s'agit de traverser des terrains agricoles, et rien n'est moins naturel que l'agriculture, qui est en lutte constant avec "la nature". A mon avis, les arguments "pseudo-écologiste" sont sans valeur.
En fait, le problème est purement aesthetique. Tout nouvel ouvrage est jugé inaesthetique; une génération plus tard il est accepté, s'il a été réalisé avec goût.
Je pense que la tracé par le Vallon du Pommeret est valable, et moins nuisible que les autres tracés.

Avis n°1616 de : woodcock nicole - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 16/06/2006
L'environnement des personnes qui doivent impérativement être préservées des aggressions dues au bruit, à la pollution et aux risques d'accident, n'est-elle pâs une nécessité primordiale. Le tracé par le vallon du Pommeret me semble-t-il est le moins nuisible.. On devrait apporter le plus grand soin à cette réalisation pour ne pas nuire à la beauté de la nature. Les spécialistes connaissent la façon de faire, et on voit de magnifiques exemples.

Avis n°1606 de : aubert evelyne - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 16/06/2006
Tout le débat s'est focalisé sur les tracés des familles 1 et 4. Je tiens à rappeler que les tracés médians (famille 3) sont extrêmement pénalisants pour la commune du Mesnil Saint Denis : le 2 D traverse la zone dense de Champmesnil (environ 500 habitations dont une centaine directement sur le tracé, les jardins étant au bord de celui-ci). Ces constructions étant sans fondation, comment résisteront-elles aux travaux et aux mouvements de terrain inévitablement créés ?
Ce tracé 2 D passe devant un groupe scolaire, les installations sportives, les commerces, un collège et sa tranchée couverte ressort à la hauteur d'une zone d'activités et d'habitations appelée Ferme des Roses avant de traverser (comment ?) la route de Coignières et de tourner autour des habitations du Bois du Fay !
Autrement dit on propose de transférer au Mesnil Saint Denis ce qu'on a créé il y a 50 ans à Trappes ! Quel progrès !
Ce tracé est tellement ABERRANT qu'on ne peut croire qu'il puisse être retenu, c'est probablement pourquoi on en a peu parlé pendant les débats. Il est donc certainement utile de rappeler avant la cloture de ce débat public qu'il est ABSOLUMENT INACCEPTABLE !

Avis n°1591 de : AUVILLE GUY - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 15/06/2006
Il y a trente et un an nous avons fait le choix de quitter Paris pour aller vivre à la campagne, trouver la verdure et un certain art de vivre. Et voilà que, par une décision à prendre en haut lieu nous devrions renoncer à cet environnement grâce aux conceptions TOUT AUTOROUTE de l'Etat. Celui ci , quelqu'en soit le tracé, nous est inacceptable. En 2 mots pourquoi déplacer le problème au lieu de le résoudre et choisir l'urbanisation à outrance de la région en faisant de notre commune le laissez pour compte.
Merci à la CNDP d'avoir permis l'élargissement du débat ,non plus réduit à dresser les communes concernées les unes contre les autres ! mais qu'en restera t-il au final ?
Nous sommes contre l'A 12 quelqu'en soit le tracé, tous aussi mutilants quoique certains en disent (tracé rural ...) mais nous pensons vraiment que si l'aménagement de la RN 10 ,indispensable depuis de nombreuses années (proximité insoutenable pour les habitants nous ne le nions pas) et si longtemps et si volontairement repoussé avait été réalisé nous ne connaitrions pas aujourd'hui les bouchons du THP. Nous trouvons inadmissible la délivrance de nouveaux permis de construire le long de cette RN aux habitants desquels il a dû être promis .... des merveilles mensongères. Car un boulevard urbain au lieu et place de la RN nous n'y croyons pas.
Il est aussi inacceptable que l'Etat se réfugie derrière un problème local alors qu'un maillage (transeuropéen) se dessine.
Allez à Bois d'Arcy vous y trouverez la future urbanisation de notre commune en cas de réalisation de l'A 12!! avec amputation d'un parc naturel régional en plus !
A l'heure du développement durable , dont les mêmes décideurs nous rabâchent quotidiennement la nécessité, et à juste titre, nous espèrons en une lueur de bon sens du décideur final... sinon adieu le chant des oiseaux et bonjour le bruit, la pollution accentuée et la perte d'un joyau de verdure, en lisière de la ville nouvelle.

Avis n°1590 de : ANER Catherine - Le Mesnil Saint Denis 78320 - le 15/06/2006
Dans ses études sur le trafic de transit et d’échange en Ile de France du mois de novembre 2005, (*) la Direction régionale de l’Equipement de l’Ile de France (la DREIF) dévoile très clairement ses objectifs, à savoir doubler le trafic de transit et d’échange et augmenter le trafic global de 78%.
L’autoroute A12 a pour but de faire face à l’augmentation du trafic de transit prévue à l’horizon 2020 par le modèle de la Direction régionale de l’Equipement. Il est à noter qu’une partie de cette augmentation résulte d’un redéploiement du trafic qui serait sinon absorbé par l’autoroute A10 et surtout que les prévisions de trafic dépendent des hypothèses de travail retenues par les services de l’Etat qui utilisent un modèle éprouvé par le temps mais par essence conservateur puisqu’il s’appuie sur le passé. Or le monde change.
Les études précitées, et en admettant que ces prévisions de trafic soient exactes, et ce de façon improbable puisque les chiffres produits par la DDE elle-même prouvent que la circulation sur la RN10 est en baisse constante ces dernières années, nous donnent à connaître les éléments suivants :
- en 2005, total du trafic de la RN10 = 54 577 932 véh x Km, dont 19% d’échange et 3% de transit
- en 2020 (pages 41 et 42 du document joint de la DREIF),
en cas d’aménagement de la RN10, à l’heure de pointe du soir (HPS) total du trafic de la RN10 = 64 352 200 véh x Km, dont 25% d’échange et 8% de transit
en cas de prolongement de l’autoroute A12, à l’HPS, total du trafic de la RN10 = 22 781 702 véh x Km, dont 4% d’échange et 1% de transit, total du trafic sur le prolongement de l’A12 = 91 180 675 véh x Km, dont 37% d’échange et 14% de transit.
Les résultats sont éloquents/consternants puisqu’ils induisent à l’HPS 113 962 377 véhicules avec le prolongement de l’A12, contre 64 352 200 avec la RN10 aménagée in situ sans prolongement de l’A12, soit une augmentation de 78% du trafic total en cas de prolongement de l’autoroute.
De la même façon, le prolongement de l’autoroute augmenterait le trafic de transit dans le champs d’étude de la DREIF en 2020 puisque ce dernier serait de 15% à l’HPS, alors qu’il serait de 8% à cette même HPS en l’absence d’autoroute (contre 3% actuellement).
A l’identique, le trafic d’échange en 2020 à l’HPS (actuellement de 19%) serait de 41% avec le prolongement de l’A12 et de 25% en l’absence d’autoroute.
L’augmentation du trafic total permettrait donc logiquement une progression des trafics d’échange et de transit, indépendamment des besoins des habitants de la région sud/ouest de l’Ile de France, qui en revanche subiraient une cohorte d’inconvénients pour la santé publique, l’environnement, le développement durable, l’agriculture, le climat, la qualité de la vie…
La DREIF envisage une augmentation fulgurante de la circulation routière au détriment de notre objectif de division par quatre des émissions de gaz à effet de serre (objectif réaffirmé le 16/2/2005 par le Président de la République), et sans tenir compte de l’épuisement des ressources en pétrole et de l’impossibilité de remplacer massivement le pétrole comme source d’énergie pour les transports.
Tout ceci assorti d’un coût financier exorbitant pour les finances publiques qui, en l’occurrence, seraient mieux employées en matière de recherche fondamentale sur les énergies de substitution (hydrogène, par exemple).
Selon le maître d’ouvrage, dans son dossier complémentaire sur les estimations des coûts, la transformation de la RN10 en voie express avec une couverture urbaine de Trappes et la dénivellation des carrefours coûterait 425 M€, alors que le tracé dit par le vallon du Pommeret , le moins onéreux selon le maître d'ouvrage, reviendrait à un coût total de 501 M € en raison de la requalification de la RN10.
Aussi, la solution la moins coûteuse permettrait, de surcroît, de protéger la ville de Trappes grâce à une couverture urbaine de 1.800 mètres, au lieu des 280 mètres seulement prévus dans le GPV.
Si besoin était, il serait envisageable de dévier la circulation par la zone d’activité de Trappes ou par Elancourt par la RD12 et la RN12.
La question fondamentale est de savoir quelle est l’utilité du prolongement de l’autoroute A12 : augmenter le trafic ou désengorger la RN10 ? Le maître d’ouvrage a clairement choisi.
(*) Source : « Etudes de déplacements en préparation des débats publics A12 et A104
Trafic de transit et d’échange en Ile de France
Novembre 2005 »
De la Direction régionale de l’Equipement Ile de France.

Avis n°1583 de : virefleau christophe - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 15/06/2006
Les principaux problèmes à traiter liés à la N10 concerne les bouchons en heure de pointe au niveau de la N10 (+ l’insécurité due à la vitesse en dehors des heures de pointe). La fluidité du traffic en général.
J’imagine que les bouchons sont principalement dus au nombre de véhicules / heure (donnée connue de la DDE), aux changements de routes empruntées (par exemple une trois voies donnant sur une 1 voie, c’est sûr, ca coince) (données également connues par la DDE) mais aussi à des données encore + connues et qui sautent au yeux mais dont on ne parle jamais : vous savez c’est sur des gros panneaux ronds aux bords rouge que l’on trouve le long des routes avec des chiffres dedans, tels que 50, 70, 90, 110, 130. Et bien figurez vous que le bruit court qu’il s’agirait que cela fait référence à des vitesses.
Un flux de voiture à 130 km/h puis 110 km/h, qui arrive sur une route à 70 km/h au bout de laquelle il y a un feu rouge, ben oui, ca coince. Ca freine, ca fait des accidents, ca pollue à 130, ca pollue à l’arrêt, ca pollue et ca fait du bruit en redémarrant, ca énerve tout le monde et ca pousse à …. faire d’autres autoroutes.
Sans compter que l’effet accordéon des bouchons doit réduire la vitesse moyenne.
Pourquoi ne pas harmoniser les vitesses en approche de Paris pour être par exemple à 90 km/h de rambouillet à trappes, puis à 70 km/h de trappes aux périphériques, là, vous ferez la une des journaux avec cette idée simple et courageuse à instaurer, vous supprimerez considérablement les bouchons, vous réduirez la pollution et la consommation (à 70 la consommation est nettement inférieure qu’à 130 ou à 10 km/h), vous réduirez la dette publique (changer les panneaux et supprimer les feux rouges ne devrait pas trop atteindre le milliard), vous sauverez des vies et le tout en diminuant probablement les temps de parcours en supprimant l’effet accordéon des bouchons.
De plus de nombreuses suggestions prises une à une on été jugées dérisoires par la MOA par rapport à un tracé neuf. Mais une combinaison de l’ensemble des ces suggestions, et de + réalisables en parallèle, sera surement la bonne solution et + rapidement à mettre en œuvre que d’attendre 2020. (Harmonisation + intelligente des vitesses en amont des points de blocage, suppression des 7 feux successifs de la N10 (dénivellés ponctuels), couverture max de la N10 aux niveaux des zones d’habitation, délestage PARTIEL avec la R12, amélioration des transports en commun, et à ce sujet la NON SUPPRESSION d’1 parking sur 2 de la gare de la verriere envisagé par les communes qui se plaignent de l’encombrement de la N10, ferroutage, . J’en oublie surement…
Le tout mené en parallèle aura le mérite d’être + rapide à réaliser, + simple à gérer, et surtout ne fera pas que déplacer le problème là où « il reste encore de la place libre », n’encouragera pas le tout routier, rendra les transports collectifs + attractifs (car un tracé neuf dissuadera encore + de prendre le train) et permettra de ne pas commettre l’irréparable.

Avis n°1581 de : Laborderie Jean - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 15/06/2006
Nous avons choisi, mon épouse et moi, de vivre au Mesnil Saint-Denis, pour donner à nos deux enfants la chance d'être élevés à la fois à la campagne mais avec les commodités d'une petite ville. Pour cela il était nécessaire de ranoncer à beaucoup de commodités : pas de crèche, des services de proximités réduits, un coût des activités plus élevé, faute de ressources éconnomiques dans le budget communal.
C'est le prix à payer pour une qualité de vie choisie et non subie.
Devons nous "payer" parce que nous nous sommes battus pour défendre des paysages que des siècles d'histoire ont façonnés.
La route N 10 est actuellement saturée entre Trappes et Les Essarts le Roi, et les services de l'Etat prévoient une augmentation de trafic de prés de 50% entre 2003 et 2015. cette prévision est évidemment discutable, il n'empêche que le trafic sera largement supérieur aux capacités de la RN 10, et qu'il faudra l'aménager d'une façon ou de l'autre.
Prolongement de l' A 12
Comme le dit un éminent professeur d'aménagement et d'urbanisme :
"Les effets d'une autoroute ne se limitent pas au trafic qu'elle achemine et à celui (dit induit ) qu'elle suscite en plus du trafic préexistant. Les échangeurs d'une autoroute transforment les zones voisines. D'une part, ils agissent comme diffuseurs de la circulation sur le réseau de voies banales ( routes nationales , départementales et locales ). D'autre part en rendant plus accessibles les secteurs qu'elle dessert à partir de ces échangeurs, une autoroute favorisent leur urbanisation. "
Dans le cas de l'autoroute A 12, les échangeurs entraîneraient de tels effets sur toute la région du Parc naturel régional de Chevreuse. Et dans le choix du tracé 3C, l'autoroute écornerait sérieusement un site Classé, le Vallon du Pommeret.
Réaménagement de la RN 10
Selon les mêmes sources que précédemment, la solution serait un réaménagement de la RN 10 répondant à trois conditions :
"- Ecouler un trafic au moins égal au trafic actuel, je ne dis pas atteignant le volume annoncé par la Direction Dépatementale de l'Equipement qui fait état d'une croissance qui, si elle n'est pas absurde, n'est nullemnet une certitude et en tout cas n' est pas souhaitable.
- Assurer un coût comparrable à celui que représenterait le prolongement de l'autoroute plus celui du réaménagement de la RN 10 qui serait de toute façon nécessaire.
- Créer des conditions urbaines acceptables, voir recoudre les deux rives de cette nationale 10 pour améliorer la vie quotidienne des habitants et retrouver l'unité du tissus urbain. "
Aménagement, en tranchée couverte, de la traversée des quelques zones habitées
Tranxersales N/S en dénivelés en remplacement des feux rouges actuels, facteurs des ralentissements, des bouchons, des pollutions et des accidents
Protections phoniques là où c'est nécessaire
La Francilienne qui sera bouclée dan les quelques années à venir doit permettre un débouché naturel et partique pour toutes les autoroutes convergentes vers Paris.

Avis n°1571 de : Brazzi dominique - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 14/06/2006
Je remercie la mairie de Montigny et le PNR pour leur dossier clair, pédagogique et convaincant.
J'ai suivi avec intérêt ce débat et je considère que je peux désormais prendre clairement position : le prolongement de l'A12 n'est pas nécessaire et ce projet est contraire à la direction que je souhaite que notre pays et notre région prennent pour leur développement et leur aménagement du territoire futurs.

Avis n°1570 de : Boursier Marie-Odile - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 14/06/2006
Les fermes de la vallée de Chevreuse ont ouvert leurs portes le week-end du 4 juin et ont attiré une foule de visiteurs. Ce n'est pas sans raison.
Ces endroits où les enfants peuvent caresser un lapin, voir des poussins et des vaches etc..., loin du bruit, au calme, font aussi partie de notre patrimoine et sont une vraie richesse aux portes de Paris. Pourquoi n'en tient-on jamais compte?
Les villes deviennent invivables et leurs habitants vont de plus en plus loin à la recherche de vraie nature. Regardons les bouchons dès le vendredi soir!
Ce cercle vicieux a assez duré. Amenager les routes existantes et garder nos espaces verts serait faire preuve de sagesse.
Pour nos enfants la nature est aussi précieuses qu'un château et leur apporte l'équilibre.

Avis n°1569 de : Boursier Hélène - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 14/06/2006
Bonjour,

L'agrandissement incessant de la zone commerciale Paris West autour d'Auchan nécessitera forcément un aménagement de la Nationale 10.
Ne mettons pas la charrue devant les boeufs. Commençons par aménager la Nationale 10 depuis Coignières jusqu'à Trappes et voyons par la suite si le prolongement de l'autoroute A12 est nécessaire !

Merci pour votre écoute !

Avis n°1565 de : OLIN Gérard - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 14/06/2006
Bonjour,
Je suis franchement hostile à ce projet de prolongement A12. Je pense aux générations futures. Que laisserons-nous: toujours moins de ressources (air,eau,terres cultivables). Dans cette grande agglomération (de Montigny aux Essart) il faut que l'axe RN10 redevienne une zone de vie locale. Et un aménagement de la RN10 en la faisant passer par les zones d'activités, en évitant ainsi les zones d'habitations et les espaces naturels, serait préférable
pour aujourd'hui et demain.

Avis n°1553 de : CHIBOIS Pierre - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 14/06/2006
1°/ La protection de la nature est importante mais ne doit pas se faire au détriment des hommes qui sont partie intégrante de cette nature
2°/ Le tracé par le Pommeret, dans la mesure où le petit viaduc est muni de murs anti-bruits pour Levis St Nom, ne constituera qu'une gêne mineure car il passe à travers champs, dont certains sont en jachère. Egalement il ne détruira qu'une très petite partie de la forêt : on ne peut parler, comme le dit le maire sur ses nombreuses pancartes, de destruction d'un site !
3°/ Le tracé par le Pommeret devra passer le plus loin possible de l'étang des Noés et de Rodon, bien entendu
4°/ Le tracé par le Pommeret est le moins cher. Il présente, par rapport aux autres options, d'être le plus loin de la majorité des habitations, de ne pas détruire des maisons et des entreprises, comme l'ont proposé sans vergogne ni état d'âme, le maire et Valerie Pecresse. Par ailleurs, l'aménagement de la N10 semble irréaliste par le prix, le délai et les nuisances qu'il apportera, en maintenant la cassure de la ville de Trappes.
LA SOLUTION A12 PAR LE POMMERET EST LA SOLUTION DU BON SENS !

Avis n°1542 de : LEOSTIC Alain - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 14/06/2006
Réaction à la réponse du maître d'ouvrage.
Oui j'évoquais entre autre le cas de la R12 restée inachevée, mais je pensais aussi à la recherche d'amélioration du réseau secondaire de la ville nouvelle. L'objectif n'étant pas d'en faire des axes de transit mais de soulager la RN10 d'une part du trafic local et de desserte.
On pourrait envisager l'aménagement de boulevards urbains ailleurs que sur la RN10, parallèles à celle-ci, utiliser au mieux les voies de part et d'autre de la voie ferrée, penser un véritable plan de déplacement urbain de la ville nouvelle, non pas axé sur la seule RN10.
Vous soulignez les conséquences que pourrait avoir le bouclage R12 et peut être y en aura-t-il d'autres pour toute autre modification.
Certes, mais c'est simplement ce que l'on attend,des services de l'Equipement, en priorité, une optimisation et adaptation du réseau existant avant tout projet de création d'un nouvel axe, source de déplacement des nuisances et de nouvelles destructions pour l'environnement.
Chaque proposition prise isolément semble dérisoire au maître d'ouvrage, comparée à son projet de grande ampleur, mais l'alternative douce à son projet c'est une combinaison de mesures, de solutions et d'évolutions probables de la société. Il ne faut pas rejeter toutes les propositions une à une, il faudra les considérer dans leur ensemble ( aménagement RN10, R12 et tracé itinéraire nord, amélioration des dessertes locales, amélioration des transports en commun, politique de ferroutage, développement du télétravail, crise de l'énergie ...)

Avis n°1537 de : CHAUVIN Guy - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 14/06/2006
Je me prononce pour le tracé par le vallon du Pommeret en incluant les aménagements suivants :
- couverture de l'autoroute à Montigny
- Eloignement de l'échangeur de Rodon
- Creusement du tracé à l'est du Mesnil
- Transformation en zone boisée des espaces délaissés
- Pose de protections phoniques sur le viaduc dans le Pommeret

Avis n°1532 de : milles jean-michel - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 13/06/2006
Je suis contre toutes les options de prolongement de l A12.
Je considere que d ici a ce que la solution choisie soit mise en oeuvre, d'autres options de transport de marchandises et de transport routier auront du etre etudiees pour faire face a la penurie de carburant et a la preservation de l environnement.
Elles rendront la solution choisie caduque et nous nous dirons que nous avons manqué de vision et que l on aurait pu faire avec la meme somme un investissement plus rentable pour la collectivité.
En consequence, je preconise de stopper ici le projet, et de reprendre une etude sur des solutions innovantes de transport alternatives - ferroutage pour contourner Paris, train+voiture, developper le reseau ferré.

Avis n°1525 de : BOULLE-MARAGET Françoise - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 13/06/2006
Aménager la nationale 10 en priorité. ne répétons pas les erreurs passées de détruire villes et villages pour faire passer des camions qui n'auront plus les moyens de rouler à l'horizon 2050. A moins que l'on nous cache de nouvelles énergies miraculeuses en préparation ou des réserves de pétrole puant insoupçonnées?

Avis n°1558 de : BOULLE-MARAGET Françoise - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 13/06/2006
Comment construire autant de routes, d'autoroutes, de tunnels, de viaducs, comment détruire peu à peu l'environnement autour de nos villes alors que les problèmes qui se poseront dans les prochaines décennies sont : comment faire rouler proprement ces véhicules qui empestent , comment se débarrasser de leurs carcasses, et comment acheminer ces millions de travailleurs que l'on a inconsidérément éloignés de leur lieu de travail?
Commencons par aménager ce qui existe en matière d'infrastructures routières et développons les autres moyens de communication. Ne renouvelez pas les erreurs passées!

Avis n°1519 de : Loiseau Valéry - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 13/06/2006
J’interviens dans le débat pour apporter à l’édifice des anti-A12. Ce qui me choque profondément, c’est l’argumentaire des pro-A12 qu’elle passe dans La Verrière ou dans le Mesnil Saint-Denis. L’intérêt général doit certes prévaloir mais je ne vois pas là un intérêt général de déplacer les bouchons aux feux tricolores vers d’autres endroits en amont ou en aval. Les encombrements existeront toujours même en voie express, il n’y a qu’à voir l’A12 aux heures de pointe. On ira plus vite aux heures creuses, on embêtera plus les personnes de Trappes, on ira juste nuire aux voisins ! Et comme d’habitude ceux qui ont préservé leurs espaces, les bons élèves seront choisit « parce qu’il y a de la place ». Bref, si vous ne voulez pas avoir de problèmes soyez mauvais et inciviques.
Par contre, le problème des poids lourds, des transits internationaux provoqués par le mode de production en Juste à Temps, les déplacements quotidiens des franciliens pour aller du domicile au travail, tout cela, on pense le résoudre en prolongeant l’A12 ? Qu’offrez-vous en contrepartie de la nuisance apportée ? Est-ce que chaque citoyen est d’accords de payer les travaux et l’entretien des routes dont un seul passage de 30t sur le revêtement équivaut à l’usure dû au passage de 30000 véhicules automobiles ? Pas de contrepartie pour les riverains, quels qu’ils soient…
D’autre part, j’habite au Mesnil, et personne ne me fera croire que les territoires placés entre l’emprise de l’autoroute et la N10 ne seront pas libérés pour la construction. Qu’est-il arrivé lors du lancement de la ville Nouvelle de Saint-Quentin en Yvelines ? La technique de « mitage » ou de « zadage » Il s’agit de façon tout à fait cynique, mais après tout pourquoi se gênerait-on, d’urbaniser des zones de cultures vierges de toute viabilisation en isolant du reste du village existant, et ce pour contraindre les élus à souhaiter l’urbanisation des zones agricoles restantes. Bref, alors on peut parler de la beauté du viaduc de Millau, ou d’autres choses intéressantes, mais là on parle de projet couteux et inutile. Oh, bien sûr, cela fera plaisir à certains qui ne voit de façon non avouée dans la destruction du Mesnil et de Levis Saint-Nom que la revanche des communes populaires sur les communes "dites" bourgeoise.

Avis n°1506 de : GODON Sandrine - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 12/06/2006
Oui à l'A12 par le Pommeret
Pourquoi détruire une partie de la commune de La Verrière
Laissez notre verdure
Non à la pollution et au bruit
Veuillez respecter le bien-être des verriérois et verriéroises
Non à la commune béton
Laissez nos enfants vivre dans une commune proche de la nature

Avis n°1504 de : TERRASSON Michel - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 12/06/2006
Le 30 mai était organisé un « dire d’experts » au sujet des prévisions de trafics après qu’il soit indiqué que l’expertise ,décidée dès le 5 avril, n’ai pas pu avoir été réalisée.
Grande fut ma surprise de constater qu’un des experts (M BEUTHE) traitait , en séance ,d’un sujet , pour lequel il n’était pas interrogé à savoir les coûts d’investissement ;
J’ai été encore plus surpris lorsque j’ai noté que ses « commentaires » étaient reproduits intégralement ( mais fugacement) sur le site internet comme intervention d’expert. !!

Avis n°1503 de : launey pascal - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 12/06/2006
Après lecture des différents avis il apparait clairement que la nécessité de réaliser une autoroute n'est pas établi.
Les informations sur les transports alternatifs sont quasiment inexistantes que ce soit à longue distance (ferroutage, maritime) ou à courte distance (RER, réseau cyclable).

JE SUIS DONC OPPOSE A LA CONSTRUCTION DE L'A12. qui ne correspond pas à un projet moderne de développement durable des transports. Je demande que plus de discernement soit apporté dans l'usage des fonds publiques.

Avis n°1497 de : Virefléau Christophe - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 12/06/2006
Non à l’A12 tout court.
Non à l’encouragement du traffic de transit dans la région
Le tracé dit par « le pommeret » n’est pas rural.
A lire tous les avis il n’est demandé que par réaction de peur aux tracés urbains bien sûr inacceptables.
Ces tracés urbains ne sont demandés par personne, alors pourquoi ont-ils été proposés ? ? ? si ce n’est pour faire peur et inciter les populations à accepter le passage de l’A12 dans le coin.
Et cela semble marcher !
Cela fausse le débat et fait oublier qu’il s’agit aussi pour nous de se prononcer pour ou contre le prolongement de l’A12 par nos communes.
Belle manipulation où l’on donne à choisir entre la peste et le choléra.
Et certains choisissent…
Si un tracé neuf d’autoroute est retenu, les riverains devront attendre 2020 pour envisager de voir la N10 aménagée. Les nuisances des riverain de la N10 que personne ne conteste sont utilisés pour basculer le traffic A1/A10-A11 aux abords de TOUTES les communes concernées, voir les pages 18 à 26 de ce lien :
http://www.debatpublic-a12.org/docs/pdf/etudes/dreif_janv2006/tome3/trafic_de_transit_et_dechange_en_IdF.pdf

Avis n°1473 de : merle jean-claude - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 11/06/2006
je suis contre le prolongement de l'autoroute A12.
Je suis pour un aménagement raisonné de la Nationale 10 qui facilite le trafic traversant et non le trafic Nord Sud. Un boulevard Urbain qui n'attire pas de nouveaux utilisateurs sur notre région et qui améliore la vie des habitants de Trappes et de Coignières, sans dégrader la qualité de vie des communes avoisinantes.
En effet, le débat public sur les transports concerne le problème de la mobilité des marchandises. 60% aujourd'hui transportées par la route, une part qui devrait croître jusqu'à 80% d'ici 2020 compte tenu du développement du trafic international dans le transport en France qui doit dépasser 40 % des projections. Comment faire face à cette évolution sans construire de nouvelles infrastructures routières ? (Pour relier le Sud au Nord ou aux ports de l'ouest). Le débat public tel qu'il nous est présenté, veut nous faire croire que la prolongation de l'A12 est pensée dans l'intérêt des riverains, de Rambouillet à Saint Quentin en Yvelines ! Donc en attirant plus de camion vers l'ouest parisien, on va améliorer la qualité de vie des Yvelinois ? Plus de trafic de transit, plus de camions, plus de pollution, c'est mieux pour nous, c'est mieux pour notre santé ? On nous dit qu'on va gagner 10 minutes entre Rambouillet et l'actuelle entrée de L'A12 ! Combien de temps va-t-on perdre entre l'entrée de l'A12 et Roquencourt, et entre Roquencourt et le tunnel de saint Cloud ?
Pourquoi l'aménageur public continue-t-il à vouloir tout faire passer par l' IDF ?
A12 hors des villes qui transfère le trafic de Trappes vers Montigny ! est un slogan honnête ?
A12 par le tracé rural ? Actuellement rural mais dès qu'A12 sera passé par la il ne sera plus rural le tracé avec un échangeur et des espaces devenus disponibles pour les aménageurs de zones industrielles ou commerciales ! Est-ce un slogan qui prend en compte l'avenir ?
Quel est l'intérêt de l'autoroute A12 dans 20 ans ? N'est ce pas le délai qu'il faudra pour faire aboutir le projet compte tenu des recours que ne manquerons pas de déposer les associations, quel que soit le tracé ?
Le dossier de la DDE, support du débat public conclu a l'absolue nécessité du prolongement de l'A12 ! Le débat repose donc sur un postulat, il faut prolonger A12 ! Est-ce bien la bonne façon d'aborder un débat ?
Toutefois, je remercie les animateurs du débat qui me semble plus pondérés et ouverts pour étudier d'autres solutions. J'espère que les décideurs envisageront toutes les solutions possibles.

Avis n°1470 de : chaumeron claire - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 11/06/2006
Je suis pour le prolongement de l'A12 par le Vallon du Pommeret. Il me semble plus important de protéger les Hommes qui seraient sur les autres tracés plutôt que les oiseaux. (même si les oiseaux sont importants)

Avis n°1453 de : RUIZ Philippe - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 10/06/2006
Je suis habitant de cette région depuis 9 ans, à Lévis st Nom au départ et maintenant au Mesnil st Denis.
Ce qui m'a le plus frappé, c'est le caractère rural authentique du vallon du Pommeret des petites routes sans ligne blanche ou pointillés au milieu, des clôtures avec des piquets en bois, des champs agricoles bordés de haies, de buissons ou de bosquets où l'on y trouve faisans, perdrix, sangliers, chevreuil et autres animaux.
Je n’imaginais pas que si près de paris il pouvait y avoir un cadre rural préservé de la sorte.
Alors vous pensez bien que j'ai un avis tout à fait défavorable au projet de faire passer un viaduc par le Vallon du Pommeret.
Au delà de cet avis mélancolique, je souhaite m'exprimer sur le fond du débat qui est la situation de saturation de la RN10.
J'ai habité dans Paris durant 31 ans, au coin d'une rue passante, et je pense avoir une notion claire des nuisances sonores incessantes, des poussières noires et de l'atmosphère nauséabonde liées au trafic routier. Et pourtant dans Paris les dispositions qui sont prises aujourd’hui ne vont pas dans sens de fluidifier la circulation…
C'est pourquoi je comprends les riverains de la RN10 qui en souffrent.
Mais alors, pourquoi recréer ailleurs ces mêmes nuisances en appliquant un tracé autoroutier qui traverse ou qui borde d'autres communes. Ce ne serait pas solutionner complètement le problème des riverains de la RN10 qui conserveraient tout de même un trafic important et exporter à quelques centaines de mètres ces nuisances vers d'autres riverains.
L’ensemble des tracés des familles 2,3 et 4 traversent des communes en touchant de nombreux habitants, même celui du Vallon du Pommeret nommé par certains « tracé rural » qui n’a de rural que la partie traversant le Vallon du Pommeret par le viaduc et qui pour le coup ne le serait plus. Les différentes parties de ce tracé 3C, de la même façon que celles des autres familles de tracés, traversent ou bordent des zones habitées qui seront irrémédiablement affectées par le tracé lui-même mais aussi par toutes les voies, échangeurs, diffuseurs et autres méandres qui devront être implantés afin de pouvoir accéder à l’A12.
L’implantation du tracé autoroutier et des voiries secondaires occasionnera un démantèlement irréversible des communes concernées.
Je suis très préoccupé par les conséquences de ce projet sur notre cadre de vie ainsi que celui de nos enfants.
Il faut trouver un VRAI tracé rural ! Un tracé qui ne coupe pas de commune.
Le maître d’ouvrage peut-il envisager cette possibilité?
Ou bien y a t’il d’autres motivations qui l’interdisent ?
En l’état actuel du projet, je me prononce contre les tracés appartenant aux familles 2,3 et 4.

Avis n°1451 de : AUCHER Marie-Odile - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 09/06/2006
Non à A12 par La Verrière

Avis n°1437 de : REPOUX Philippe - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 09/06/2006
A la lecture du n°37 de L'echo du Parc, je constate que l'auteur de l'article s'emploie a défendre des centaines d'hectares d'exploitations agricoles qui seraient mises à mal par un passage de l'A12 dans le vallon du Pommeret.
Il n'est par contre fait mention du tracé S12 (cotoyant malheureusement plus d'une centaine de pavillons au milieu du Mesnil Saint Denis) qu'en fin d'article: cette voie prévue depuis 1965, pourrait éventuellement comme le dit l'auteur, être une voie de desserte si l'A12 passe à côté du Mesnil Saint Denis.
Mais personne ne s'inquiète du fait que cette voie S12 puisse devenir en réalité la VRAIE A12 (tranchée couverte sur 2 niveaux), notamment si toutes les autres hypothèses de passage sont refusées par les associations et les mairies.
Cette curieuse occultation du possible passage A12 par la voie S12 est à mon avis très grave, car une tranchée couverte nécessite d'être profondément creusée (pendant des mois/années ?) avant de recevoir une couverture adaptée. Sans compter les affaissements de terrain et divers dommages collatéraux.
A mon avis, et pour clore ce message, je pense que malheureusement le plus sûr moyen de se voir imposer une décision par l'Etat est de refuser toutes les autres alternatives possibles; il est donc bien clair que les habitants du Mesnil Saint Denis, et notamment ceux de la résidence Champmesnil, ont bien du souci à se faire pour les années à venir dans la mesure où apparemment personne ne semble les soutenir avec vigueur.

Avis n°1430 de : Monteil Edgar - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 09/06/2006
Il est inadmissible que soit envisagé le passage de la A12 à travers les villes de La Verrière, du Mesnil... alors que le passage par le Pommeret serait le plus profitablepourtout le monde.

Avis n°1427 de : REYMONDIER Jean-Louis - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 09/06/2006
Je suis contre le passage de l'A12 en milieu urbain du fait des conséquences disproportionnées sur l'habitat et l'environnement des villes traversées
Je suis pour le passage par le vallon du Pommeret dont l'impact sur le Parc Naturel peut être limité et maîtrisé

Avis n°1442 de : caudebec didier - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 08/06/2006
L'aménagement de la N10 en Boulevard urbain n'est qu'une vaste tromperie pour les habitants des zones concernées.
Les riverains, les habitants des communes voisines, ceux qui vont dans les différents centres commerciaux (Paris West ou la ZI de Coignières …continueront à emprunter cet axe de circulation qui sera de ce fait encore moins adapté aux nécessités locales.
L'aménagement de la N10 avec des passages en souterrain dans les zones sensibles (au niveau des grands carrefours) est un bon compromis qui aurait d'ailleurs été accepté par tous il y a 20 ans lorsque ce projet avait été évoqué et permettrait de rendre la circulation plus fluide sur cet axe.
Une question: Est-ce que l'A14 a régler le problème de saturation de l'A13? Je laisse à chacun le soin de se faire un avis.

Avis n°1399 de : jovy veronique - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 08/06/2006
bien qu'habitante du Mesnil et proche du Pommeret où je me promène, bien qu'écologue de formation et de profession, bien que de sensibilité "protection de la nature", je ne peux être favorable à des solutions lésant et bousculant nombre de mes concitoyens. C'est pourquoi
Je me prononce POUR un tracé par le vallon du POMMERET qui inclurait les aménagements suivants :
-couverture autoroute à Montigny
-eloignement de l'échangeur de Rodon
-creusement du tracé à l'est du Mesnil
-occupation et gestion naturelles durables des espaces "délaissés" (zones boisées...)
-protections phoniques sur le viaduc du Pommeret
et... viaduc aussi beau que celui de Millau

Avis n°1398 de : Poisson Franck - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 07/06/2006
COFIROUTE est fier d'annoncer que les 1,7 milliards d'euros qui vont permettre le bouclage de l'A86 sont entièrement financés par COFIROUTE.
Il n'est pas nécessaire d'être un expert en économie pour comprendre que l'amortissement d'un tel coût impose que l'A12 soit réalisé et qu'elle se transforme en axe trans-européen payant.
Une autoroute pour améliorer nos déplacements quotidiens ou liberer les habitants de trappes de l'emprise de la N10 ?
Assurement NON, ce n'est qu'une question de rentabilité et d'une entreprise privé. Pour information, le président du groupe Vinci a été poussé à la démission, il y a quelques jours, par son conseil d'administration car trop payé!
Ne soyons pas naif ! ouvrons les yeux.

Avis n°1397 de : Poisson Stéphanie - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 07/06/2006
Le tracé 3C : tracé rural ?!
Nombreux sont ceux qui oublient que ce tracé (tronc commun) passe tout d'abord par Montigny à proximité des habitations : tracé rural ?
Ensuite un échangeur juxtant les immeubles d'habitation de Bois de l'Etang. Doit on avoir moins de considération pour ces habitants ?
Pour continuer, le tracé frole les hameaux de Rodon et du Mousseau. D'autres doivent penser que ces hameaux sont desertés et inhabités.
Le tracé fini son contournement pour majestuesement déboucher sur un viaduc non loin des résidences du chateau du Mesnil.
En employant le terme rural on veut seulement se donner bonne conscience et faire croire que les populations ne sont pas impactées.
Ce n'est pas VRAI.

Avis n°1392 de : Virefléau christophe - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 07/06/2006
A lire les arguments du passage de l’A12 par le pommeret, on va bientôt en arriver à regretter que les communes du Mesnil et de Lévis n’aient pas succombées à urbanisation anarchique, à implanter sur le plateau agricole et dans le vallon du pommeret des bons gros hypermarchés avec méga stations services incorporées, une centaines d’enseignes similaires à ParisWest, avec pourquoi pas un parc Mickey land autour de la ferme de beaurain et une station de raffinage de pétrole dans le vallon juste en amont du site de stockage d’essence de Coignières.
Après tout, on en serait pas là. Plus aucuns arguments pour y faire passer une autoroute.
Moralité, les communes peuvent toujours céder à une urbanisation non maîtrisée : Une super rentrée de taxes d’entreprises, un nombre max d’habitants électeurs pour faire les magasins, quitte à accorder des permis de construire d’habitations et d’entreprises si près de la N10 (bien pratique pour cela). Le bonheur municipal quoi…
Il sera toujours possible de se plaindre ensuite que c’est la N10 qui c’est trop rapprochée des habitations, qu’il y a trop de traffic induit (80% de traffic d’échange) par ces concentrations de ZA, qu’il n’y a plus de place et donc de demander que l’autoroute passe chez le voisin qui aura eu le malheur de faire d’autres choix…

Avis n°1386 de : DERAIN Jean Pierre - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 07/06/2006
AUTOROUTE A12
Un Peu d’histoire
J’ai connu pendant mon adolescence, vers les années 60, les premier propos sur le besoin de faire ou non une autoroute afin d’amélioré la circulation de la national 10
J’ai entendu très souvent le maire de l’époque Raymond Berrurier, parler à la table de mes parents, des projets autoroutiers qui pouvait concerner le Mesnil, mais a ces moments là, le risque de voir traverser la commune était faible.
Un des tracer longeait la RN10 au nord passait à Trappes ou il n’existait à ce moment qu’un maison en meulières, seulement depuis Trappes à construit, et ce tracer n’est plus réalisable.
Un second passait au sud de la gare de triage de Trappes, sur les jardins des cheminots qui aujourd’hui sont occuper par un hôtel 1° Classe, le stockage grand froid Cryologistic ainsi que des immeubles du Bois de l’Etang, la suite traversait la Verrière, peut bâti à cette époque.
Le troisième, concernait le Mesnil saint Denis le tracer arrivait ou est la station d’épuration le Mesnil la Verrière, serpentait entre les hameaux et le bourg, la Ferme de Beaurain et le château.
Le quatrième, était situé beaucoup plus à l’est de notre commune plus proche de Saint Lambert des Bois, Passait derrière les Ambesis, traversait la route du Mesnil à Dampierre entre Levis St Nom et Maincourt.
Aujourd’hui, le tracer demandé par une partie des communes de la ville nouvelle de Saint Quentin, le tracer par le vallon du Pommeret, le plus mutilant pour la commune du Mesnil st Denis, une commune qui à voulu conservé sont environnement, par un politique volontarisme de toutes les municipalités depuis Maître R Berrurier, et par la volonté de ces habitants.
Il n’est pas équitable que les communes qui ont le plus bâti, celles qui ont créer les problèmes de circulation demande aux communes du parc de la haute vallée de Chevreuse de supporter leurs erreurs, qui en n’ayant pas prévu le moment voulu les dessertes nécessaires au besoin de la population, ils ont crée la surcharge de la RN10.
Pourquoi créer de nouvelles nuisances alors que certaines études montrent fort bien que la après la suppression des feux tricolores la RN10 transformée en voie rapide peut supporter la circulation à l’horizon 2020- 2025, nous savons fort bien que la RN 10 ne peut pas disparaître elle supporte beaucoup trop de circulation local, concernant le trafic interne ou d’échange environ 80% des déplacements.
L’aménagement de la RN10 pourrait apporter du bien être à certaines communes, notamment celle de :
La ville de Trappes, ou un passage souterrain au niveau du centre historique Trappes accéderait, à cette ville d’être rassemblée, et permettrait, un aménagement paysagé sur la RN10.
Du village de Coignieres, un souterrain serait judicieux du carrefour proche de Mac Donald au carrefour de la Halle D’Auchan, à cet endroit non seulement le village ne serait plus coupé en deux, mais aussi permettrait aussi d’éviter les bouchons au niveau de ses deux carrefours. Tout comme a Trappes l’emprise RN10 pourrait être aménagée.
Pour les habitants de ses deux communes la notion sud et nord serait moindre la RN10 ne serait plus une frontière.
La sécurité des personnes seraient assuré et de fait, éviterait le franchissement de la RN 10
Il est aussi important de prévoir sur la partie de la RN10 ne se trouvant pas en souterrain,
des passages piétons, ainsi que des barrières de protection pour éviter que des inconscients franchissent la voie rapide. (Une tel mesure aurait du déjà être prise, elle aurait évité de nombreux mort !)
J’invite les habitants de Trappes et Coignières, qui verraient dans le projet de rassemblement des deux parties de leur commune un atout majeur : D’écrire soit par l’intermédiaire Internet.
Sur WWW.debatpublic-a12.org ou Courriel : contact@debatpublic-a12.org ou www.a12non.org , mais aussi de passer dans une mairie qui est contre le prolongement de A12 afin de signer une pétition, et surtout ne pas oublier d’en faire part à leurs amis.
Nous pouvons aussi évoquer la pollution découlant des projets, le passage en souterrain de Trappes ou de Coignières permettrait à ces deux communes de supprimer une partie importante de leurs nuisances.
Dans le cas où serait retenu un tracé autoroutier, les villes de Trappes et de Coignières conserveraient les nuisances de la RN 10.
Dans tous les cas, la réalisation d’un tracé autoroutier quel qu’il soit, conduira à des pollutions liés au gaz d’échappements, aux bruits, concernant les riverains des communes de la Verrière, du Mesnil st Denis (Les nombreuses habitations du bois du Fay , des hameaux de Rodon,du Mousseau, des Ambésis). La pollution liée aux hydrocarbures touchera les nappes phréatiques, les cours d’eau, le Rodon affluant de l’Yvette.
L’agriculture menacé.
Dans le cas ou le tracé autoroutier retenu serait par le vallon du Pommeret ce serait la disparition de près de 200 ha de terres céréalières, qui constitue cet aspect de verdure lorsque l’ont pénètre dans le parc de la haute vallée de Chevreuse par le Mesnil st Denis, ou des chemins piétonniers débouchant sur le plateau du Mesnil st Denis.
Le plateau du Mesnil représente la plus grande surface céréalière du parc de la vallée de Chevreuse, déjà très touché économiquement par sont isolation, ou le manque de services se fait sentir, il n’existe plus de concessionnaires de machines agricole la dernière coopérative à Chevreuse va bientôt fermer, le passage de l’autoroute continuera a déstabilisé l’économie agricole de cette partie du Parc.
Il est tout aussi évident que la disparition des surfaces cultivées ne s’arrêtera pas au seul passage de l’autoroute.
Dans les plans de la DDE nous voyons les tracés de l’A12, un cercle pour un échangeur, mais il ont omis, peut être volontairement d’indiquer les voies de dessertes pour accéder à l’échangeur
Ce qui vas couper d’autres parcelles cultivées, celles-ci vont aussi disparaître des surfaces agricoles, et à terme, la partie située entre l’autoroute et la ville soit encore 200 ha changeront de destination.
Il ne faut pas omettre que le parc de la vallée de Chevreuse reste le poumon vert de la ville nouvelle de saint Quentin, que de nombreuses entreprises sont attirées par cet environnement. Vous souhaitez conserver notre environnement, pouvoir prendre un vtt ou votre bicyclette, vous promenez dans la foret ou la campagne sans des nuisances, sans bruit sauf celui des oiseaux, vous voulez continuer à voir des lièvres, des faisans, des biches, des chevreuils, conserver votre voisinage du parc de la vallée de Chevreuse dans sa totalité.
Alors faites vous entendre pendant qu’il est encore temps, vous pouvez aussi faire des pétitions contre l’autoroute et les envoyer à CPDP Prolongement de l’A12 41 boulevard
Vauban 78280 Guyancourt ou par Internet aux adresses IP page 2.
Le pétrole devient rare et de plus en plus cher, l’agriculture peut être pour la France une manne inespérée pour notre énergie, les voitures diesel peuvent fonctionner à l’huile de colza, de tournesol etc. Le Diester est aussi un carburant provenant du blé et d’autres céréales.
Le coût de ces carburants de substitutions revient moins cher aujourd’hui que celui du pétrole. L’avantage c’est une énergie beaucoup moins polluante !
D’autres études sont en cours, comme le chauffage ou l’énergie employée est le blé et cela fonctionne déjà chez des particuliers.
Seulement, la surface de la France suffirait à peine à produire cette énergie nécessaire à nos
besoins, ne continuons pas à supprimer sans vergogne nos terres agricoles comme nous sommes en train de le faire, nous allons en avoir besoin dans l’avenir.
En Ile de France près de 1500 hectares change de destination tout les ans et sont livrés au béton.
Transports
Nous savons actuellement suite aux études effectuées que la RN10 aménagée en voie rapide peut supporter une circulation locale de trafic interne ou d’échange, ainsi que le trafic de transit.
La création de l’autoroute quel que soit son tracé, apportera une circulation supplémentaire d’où une pollution plus élevée de toutes les communes concerné par la RN10 ou L’A12.
La diminution de la circulation de transit interne pourrait être réduite par la création de transports en communs beaucoup plus adaptés au besoin de la région, en effet de nombreuses lignes existes provinces paris, nord sud, mais trop peut de transversales.
Les transports en général sont trop onéreux, souvent trop longs, ce qui pousse les personnes à prendre leur véhicule.
Les transports en communs d’Ile de France auraient besoin d’une étude afin d’être plus pratiques et beaucoup plus efficaces ce qui dissuaderait les conducteurs à prendre leur voiture.
En fait moins de circulation et moins de pollution et moins besoin de route !
Combien coûte un kilomètre de chaussée ou un kilomètre de voie ferrée, sachant que l’un consomme pour le moment du pétrole et l’autre une énergie propre. (Pensons à nos enfants)
Les transports de fret devraient être complètement revus au propre comme au figuré, nous devons trouver une manière afin de faire diminuer le transport routier trop polluant, revenant à des prix élevés en infrastructures routières, gros consommateur de produits pétroliers.
Pour éviter des charges de structures pour la création ou l’entretien de chaussées, nous pourrions nous servir de l’existant c est à dire de nos voies ferrées, et même en créer d’autres si nécessaire, le fer routage a un coup élevé que nous pourrions réduire, pour inciter les entreprises à employer un tel mécanisme, il faudrait proposer un départ entreprise, livré au client rendu sur place, avec un engagement sur les délais copiés sur les transports routiers.
De développer le transport par containers plus ou moins grandes capacités correspondant au besoin des clients,
Créer des plateformes ferroviaires régionales ayant un rayon d’action d’environ 150 à 200 kilomètres, d’équiper ses plateformes d’engins de chargement ou de déchargement.
Le transport routier concernerait juste le chargement du fret de l’entreprise à la plateforme, ou la livraison de la plateforme à l’entreprise.
Ce dispositif pourrait être étendu à l’Europe pour les longs trajets, évitant la présence du conducteur de camion pendant les longs déplacements, aurait aussi cet avantage que nos routiers soient moins fatigués et plus disponible pour leurs familles.
Le coût d’équipement des camions seraient moins élevés, ils pourraient être équipés que de plateaux, nous pourrions peut être aussi dégager une économie, le pétrole est si cher et nous savons qu’il le restera.
Une erreur de nos pouvoirs publics, tous concentrer autour de paris, que ce soit les entreprises, comme les transports.
La création de voies autoroutières loin de Paris, des voies desservant la circulation nord sud de la France éviterait une partie des bouchons existant autour et dans la capitale.
Les coûts
La DDE qui à fait l’étude des différents tracés, n’à pas du être très objective dans ses étude de coût, il n’est pas logique qu’un kilomètre et demi de sous terrain (un kilomètre a Trappes un demi kilomètre à Coignières), quelques ponts ou sous terrain en transversal, peut avoir un coup plus élevé qu’un viaduc aussi long et une chaussé complète a créer.
De plus les anciens de la région savent fort bien que dans le vallon du Pommeret le sol est marécageux, le sous sol des sables de Fontainebleau fortement chargé en eau.
A quelle profondeur faudra-il descendre afin que les piliers du viaduc s’appuient sur un sol stable comme de la roche ?
Un surcoût non négligeable qui devrait être pris en compte.

Avis n°1371 de : bozec francois - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 06/06/2006
J'ai beaucoup apprécié l'intervention de MrBougeault, représentant les amis de la forêt de trappes-Rambouillet, lors de la réunion du 22 Mai à la Verrière.
Sa suggestion de déplacer la N10 est originale et astucieuse. En outre, elle est la moins destructrice, que ce soit sur le plan de l'environnement, ou sur celui de l'habitat.
En prime, elle est très positive pour les différentes zones d'activités.
Cette suggestion sera t'elle étudiée et approfondie par la DDE???
Cela me semble souhaitable.
Avec cette proposition, le débat prend vraiment une autre dimension...

Avis n°1345 de : BAUDOIN Jean-Louis - Le Mesnil Saint Denis 78320 - le 03/06/2006
Je suis contre le délestage A6-A10 dans la région
Et donc contre tout prolongement de l’Autoroute A12 ; prolongement de l’A12 ou devrais je dire contournement de Trappes
Trappes a en fait la possibilité de dévier une partie du trafic de la N10 ( véhicules particuliers et trafic poids lourds)) par la zone industrielle de Trappes voir d’empêcher le trafic poids lourds sur la N10 à certaines heures, après 22H par exemple.

Et bien non, il faudrait faire une autoroute pour le contournement de Trappes alors qu’une simple déviation pourrait améliorer la situation rapidement et pas dans dix ans.
Quand on milite pour l’A12 je pense qu’il faut également militer pour un aménagement complet de la N10 pour être crédible.
Je ne crois pas que les murs anti-bruits récemment installés vont satisfaire l’ensemble des riverains de la N10, pas plus d’ailleurs que les 280 mètres de couverture de la N10 devant la Mairie de Trappes.

J’ai peur que ces débats de la CPDP ne servent que de tribunes aux élus pour de futures élections et pendant ce temps on ne traite pas les vrais problèmes.
Alors vivement les prochaines élections que l’on puisse enfin s’exprimer !
A vos cartes d’électeur !

Avis n°1341 de : SIMON JOSIC - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 03/06/2006
Un nombre important de réunions et un nombre croissant d'interventions pour réclamer l'abandon définitif de ce projet dont l'opportunité n'est pas démontrée.
J'invite toutes les communes a dire non à A12, sutout ne pas rentrer dans un débat d'ingénieurs, si vous réclamez des protections phoniques, il est clair que vous acceptez l'opportunité du projet (15% de trafic de transit ne nécessite pas d'autoroute et encore moins des échangeurs...).

Avis n°1338 de : BAUDOIN JEAN LOUIS - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 02/06/2006
Suite à la réunion de La Verrière du 22 mai.
Pour répondre à Mr Deffayet , Directeur du centre d’études des tunnels, sur la dilution des polluants atmosphériques après leurs évacuations des bouches d’extraction des tranchées couvertes :
ce qui est important pour les riverains c’est la valeur de la teneur des polluants dans l’air par rapport à la pollution de fond ou plus simplement par rapport à la qualité de l’air du secteur concerné.
Dans l’étude de Airparif ci-dessous, les écarts par rapport à la pollution de fond des polluants sont
identifiable jusqu’à 400 mètres !
Je suggère donc que l’on réalise des mesures de la qualité de l’air sans attendre le passage de l’A12,
de manière à établir le niveau de qualité de l’air actuel, que nous respirons!

Article de AIRPARIF- Surveillance de la qualité de l’air en Ile de France : www.airparif.asso.fr
Dans son numéro de AIRPARIF Actualités - Surveillance de la qualité de l’air en Ile de France ; numéro 25 de avril 2005, on trouve une étude sur l’impact de l’échangeur de la porte de Bagnolet (périphérique parisien) sur la qualité de l’air.
« La décroissance des niveaux de pollution au fur et à mesure que l’on s’éloigne de l’échangeur permet d’évaluer l’étendue de l’impact de son trafic routier sur la qualité de l’air. Ainsi, les niveaux moyens obtenus le long de l’axe de mesure traversant l’échangeur et le centre commercial Bel-Est, montrent que l’impact du trafic de l’échangeur peut être encore identifiable sur les niveaux de dioxyde d’azote jusqu’à environ 400m du centre de cette infrastructure. »
« De façon générale, au milieu de l’échangeur, le niveau moyen de dioxyde d’azote mesuré dans les lieux fréquentés par les piétons est une fois et demi plus élevé que celui de la pollution générale du secteur. Ce surcroît de pollution près de la source d’émission est encore plus important pour le benzène, puisqu’il est directement émis par le trafic. En effet, le niveau moyen de benzène au cœur de l’échangeur est deux fois plus élevé que la pollution de fond et peut ponctuellement atteindre 2,7 fois ce niveau

Avis n°1337 de : GIRARD Philippe - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 02/06/2006
L'aménagement de la N10 est urgent ! Tout le monde le veut (les riverains en premiers)
De plus un aménagement partiel ( à Trappes) est prévu.
La décision d'abonder ce projet devrait s'imposer: Nn aménagement de qualité de la N10 prévu dans sa globalité depuis Trappes jusqu'aux Essarts Le Roi, est possible: fluidifiér le trafic, réduire les nuisances, améliorer les desertes et le franchissement de l'axe N10 est à envisager prioritairement.
Pour agir vite avec un projet sein, seul l'aménagement de la N10 est valide.
Il est préférable de faire un projet de qulité (aménagement de la N10) plutot que 2 projets (aménagement partiel de la N10 + nouvel axe autoroutier).
La réalisation dun nouvel axe A12 ne s'impose pas !

Avis n°1366 de : BAUDOIN JEAN-LOUIS - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 02/06/2006
Pour la déviation de Ponchartrain, j'ai cru comprendre que cette déviation a été construite sur une ancienne décharge, d'où une pollution de la nappe phréatique, d'où des odeurs relarguées

Avis n°1315 de : THOMAS Pierre - LE MESNIL SAINT DENIS - le 02/06/2006
Le debat public auquel j'ai assisté à plusieurs reprises approche de son terme. Mon opposition au projet de prolongement de l'A12 en ressort renforcée. Même habitant au Mesnil j'ai voulu être impartial dans l'écoute des arguments des autres. Il est vrai qu'à certaines périodes de la journée la circulation sur la nationale est dense. Ce n'est pas une raison pour déplacer les problèmes dans les autres communes environnantes.Mais ce qui m'a le plus choqué c'est d'entendre certains élus locaux dire que 10000personnes (les habitants du mesnil entre autres) ne vont pas s'opposer aux 150000 favorables au projet. L'intérêt général disent ils mais surtout chez les autres! Alors, dans ces conditions c'est NON. J'ajouterai aussi que le dossier présenté par la DDE ne semble pas objectif, les données avancées ne sont là que dans le seul but de servir de repoussoirs vers le solution miracle : le prolongement de l'A12! Enfin, je n'oublierai pas non plus le Maire de Coignieres dont le seul objectif est de développer encore la zone commerciale de sa commune. Détourner la circulation vers les autres communes des alentours lui permettrait d'augmenter encore l'encaisse de taxe professionelle. Sa commune est un aimant vers lequel affluent les fournisseurs et surtout les clients. Cette situation a largement contribué à aggraver depuis de nombreuses années la circulation sur la N10!!! Un peu d'autoanalyse serait la bienvenue. Bon courage à vous et surtout restez impartial

Avis n°1313 de : DUBALEN Albert - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 02/06/2006
Non au prolongement de l'A12, par quelque itinéraire que ce soit, pour les raisons suivantes: tous les itinéraires prévus passent par des zones urbaines; beaucoup de ces zones viennent de nous revelerles dangers d explosion qu'elles recelent depuis longtemps; le prolongement de l A12 ne fera qu agraver ces risques,ainsi qu il en est de ce type d itineraire dans les villes; le prolongement de l A12 est inclus dans un vaste projet de délestage de l'est parisien car la circulation des poids lourds s'aggravera sans cesse entre Espagne Portugal et Europe nord; l'evaluation de l importance des poids lourds dans la circulation doit tenir compte de leur volume, leur consommation, la deterioration des surfaces, les ralentissements qu ils entrainent de la circulation, donc l ensemble de leurs aspects negatifs.
La seule solution possible a la densification de la circulation routiere est le transport des poids lourds par ferroutage.
Les techniques existent et doivent imperativement etre developpees.
Nous souhaitons que les autorites politiques , mandataires des citoyens, aient le courage de parler energiquement aux divers representants des professions de poids lourds et que tout le systeme de transport des poids lourds soit reorganise intelligemment.
La paix des zones urbaines,qui vient d etre heureusement preservee a l occasion de debats recents, en depend tres certainement
Je souhaite que le present debat aboutise une solution qui permette a la vie sociale de s epanouir heureusement.

Avis n°1311 de : BAUDOIN JEAN-LOUIS - LE MESNIL SAINT DENIS 78 320 - le 02/06/2006
Le ministre GAYSSOT a décidé seul du prolongement de l'A12 ! Est ce de la démocratie ?

Avis n°1304 de : BAUDOIN JEAN-LOUIS - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 01/06/2006
Le coût du baril de pétrole et des carburants a déjà réduit la consommation énergétique de la France 4 à 6%

Avis n°1302 de : BAUDOIN JEAN-LOUIS - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 01/06/2006
A la création de A4 entre Marne la Vallée et Nogent sur Marne et à la création de la Francilienne entre Marne la Vallée et Evry celles-ci étaient vide !
On voit le résultat à ce jour !

Avis n°1297 de : virefleau christophe - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 01/06/2006
On nous demande maintenant de se prononcer sur des tracés dont les études détaillées seront réalisées + tard……bizarre comme façon de faire…
Toujours pas de positionnement précis des échangeurs publié par la DDE alors qu’ils suscitent au moins autant de controverses que l’autoroute elle même...
La majorité des tracés proposés sont urbains. A ce stade très avancé du débat, absolument personne ne les demande. c’est normal ils sont inacceptables, alors pourquoi les avoir proposer?
Leur seule raison d’être est d’opposer les populations entre elles. Effectivement, c’est efficace.
Et de faire peur au plus grand nombre, qui par opposition tente de faire tomber la foudre un peu plus loin, par le tracé 3C.
Légère manipulation de l’opinion publique de la part de la DDE qui embrouille les esprits en les echauffant, c'est un peu diviser pour mieux régner..
Il n’y a donc réellement comme choix la correction des erreurs du passé avec un véritable aménagement (enfouissement maximum) de la N10 ou la reconduction des erreurs du passé avec le passage par montigny, les hameaux du mesnil, levis st nom…
Le prix de la correction des erreurs étant exagéré et celui de la reconduction des erreurs étant bien sûr sous estimé.
Actuellement la RN13 avec un traffic nettement + important que la N10 et une densité de population nettement plus grande, est sur le point d’être enfouie sous Neuilly (tiens c’est bizarre, personne n’a suggéré de faire un détour d’autoroute dans le bois de Boulogne, toute cette place perdue aurait elle un minimum de valeur ?)
Allez, je vais être gentil et donner des idées à la DDE qui semblent en manquer :
Voilà a quoi ressemble un dossier CONSTRUCTIF avec :
« le recours à une technique de construction dite « en taupe » qui permet de circuler en surface pendant la période de chantier, alors même que les travaux souterrains se poursuivent. Les commerces et les immeubles en façade resteront ainsi accessibles »
et une réduction du bruit, diminution de la pollution, gestion durable des eaux pluviales…)
La synthese :
http://www.hauts-de-seine.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/RN131_cle2f41fa.pdf
Une présentation du projet
http://www.hauts-de-seine.equipement.gouv.fr/article.php3?id_article=337
Le dossier complet :
http://www.hauts-de-seine.equipement.gouv.fr/article.php3?id_article=336
Cette solution est la meilleure aujourd'hui et surtout le restera demain...

Avis n°1294 de : RATOUIS René - LE MESNIL SAINT DENIS 78320 - le 01/06/2006
Le choix entre l'aménagement de la RN10 et le prolongement de l'autoroute A12 pose des problèmes dont les implications ne sont pas sans analogie avec un cas que j'ai vécu et à la solution duquel j'ai participé. Il ne me semble pas que d'exposer ce précédent soit une perte de temps car on peut en tirer des enseignements valables aujourd'hui.
A Collioure (66), la RN114 reliant Perpignan à Port-Vendres et Banyuls longeait la mer et épousait les sinuosités de la Côte Rocheuse. Cette route étroite, difficilement praticable pour les camions modernes, se trouvait en saison touristique encombrée au point de bloquer toute circulation. Une déviation était indispensable et réclamée par tous.
La DDE66 présenta et préconisa un tracé à flanc de montagne, surplombant Collioure et qui défigurait le site. Néanmoins, les besoins étaient tels que les municipalités de Collioure, Port-Vendres et Banyuls acceptèrent le projet. L'opposition à ce tracé vint de Colliourencs d'adoption (retraités et autres) qui avaient choisi de s'établir à Collioure en raison de la beauté de l'endroit. Une Association pour la Protection du Site et des Environs de Collioure (l'APSEC) fut constituée, à laquelle j'ai d'ailleurs apporté mon concours et que, peu à peu et discrètement, rejoignirent des citoyens autochtones.
Après de nombreuses études, interventions et démarches - dont l'énumération serait sans intérêt pour la question qui nous préoccupe ici - l'APSEC a obtenu gain de cause et la déviation de la RN114 est passée plus loin, par la montagne, non visible de Collioure et de la côte et sans dommage pour personne.
Ceci exposé, j'arrive aux enseignements que l'on peut tirer de cette expérience.
1-Non respect des réglements
1.1-Dans son projet le DDE 66 enfreignait la loi du littoral qui interdit notamment, toute construction à proximité du rivage.
1.2-Le prolongement de l'A12 par le Pommeret détériorerait une partie du Parc Régional de la Haute Vallée de Chevreuse. Si une protection légale est accordée à un parc de cette nature, pourquoi la DDE 78 n'en n'aurait-elle pas cure? Serait-ce un coutume de la Direction de l'Equipement de ne pas respecter les dispositions légales?
2-Tracés multiples
2.1-Par suite de l'opposition de l'APSEC, la DDE 66 a présenté plusieurs projets dérivants qui modifiaient partiellement le tracé initial sans en atténuer les inconvénients.
2.2-La DDE 78 a multiplié les tracés. Est-ce pour éviter l'aménagement de le RN10 et imposer la prolongation de l'A12? Il est de fait que toutes ces variantes sont dérangeantes.
3-Coût des travaux
3.1-La DDE 66 affirmait avec force que son projet limiterait les dépenses alors que le projet élaboré par l'APSEC serait d'un coût plus élevé, près du double. La DDE 66 a maintenu la même assertion pour les projets dérivés. Or, une étude approfondie a démontré que les évaluations de la DDE 66 avaient été minorées de façon significative. On a jamais su si cela résultait d'un calcul trop hâtif ou si cela avait été voulu pour imposer le projet de la DDE 66 plus facilement.
3.2-On dit que la prolongation de l'A12 serait moins onéreuse que l'aménagement de la RN10. Est-on bien certain des chiffrages? La DDE 78 partisante de la prolongation de l'A12, n'aurait-elle pas minoré le coût de son projet - ne serait-ce qu'en pratiquant des évaluations trop rapidement - ? Il faut aussi rappeler que le choix final sera le suivant : ou aménager la RN10 ou prolonger l'A12 avec un aménagement partiel de la RN10 (voulu par la ville de Trappes). La comparaison à établir doit donc se faire sur cette base. S'en tenir à la seule prolongation de l'A12 en voulant ignorer les travaux qui se feront de toute façon sur la RN10 fausserait les données du problème.
4-Viaduc
4.1-A Collioure, on a construit un viaduc pour traverser une vallée. Cet ouvrage d'art figurait aussi bien sur les tracés de la DDE 66 que sur celui de l'APSEC qui a été retenu. Le viaduc était nécessaire.
4.2-Au Pommeret, on envisage d'élever un viaduc pour combler un niveau et dans le sens de la longueur du vallon. Cela amènerait la route à la hauteur des maisons du Mesnil Saint Denis, avec pour conséquences des nuisances sonores. Envisagerait-on aussi de construire un mur anti-bruit? Ce projet me semble, sur le point précis du viaduc du Pommeret une totale aberration.
Merci d'avoir suivi mon long exposé. J'espère seulement que l'évocation d'un cas vécu permettra de dégager mieux les incertitudes, voire les incohérences, des projets actuels.