/ Calendrier des réunions
 / Journal du Débat Public
 / Comptes rendus des réunions
 / Réponses aux questions
 / Avis exprimés par le public
 / Interventions des participants
 / Questions de la CPDP
 / Dire d'experts
 / Compléments et réponses MO
 / Autres études



 / Avis exprimés par le public

Voici les avis exprimés par le public par mail, par courrier ou lors des réunions publiques.

Commune précédente

Commune sélectionnée : ELANCOURT

Avis n°1682 de : BLANCHET André - ELANCOURT 78990 - le 30/06/2006
Nous votons pour le moins polluant, le moins coûteux, le plus efficace, le plus rapide à réaliser, le tracé par le Vallon du Pommeret pour l'A12.

Avis n°1650 de : BERTUCAT Jean-François - ELANCOURT 78990 - le 23/06/2006
2 Tracés sont seuls discutables (famille 1 et 3) les deux autres cumulent tous les inconvénients, inutiles d'en parler...perte de temps

Avis n°1614 de : Coupris hervé - ELANCOURT 78990 - le 16/06/2006
Le prolongement de l’A12 : un dossier pendant depuis 40 ans, et qui remonte à la surface régulièrement depuis 20 ans, et qui pourtant reste un monstre du loch Ness, tant on semble avoir jeté des hypothèses sur le papier sans que l’ensemble des tenants et aboutissants aient été examinés.
Faut il prolonger l’A12 puisqu’actuellement A 12 se prolonge sur la RN 10 :
Il suffit pour s’en convaincre d’apprécier le flux de circulation le matin et le soir, les veilles de ponts et de vacances et les retours de week end et de vacances. Il suffit également de voir le trafic parasite qui contourne la RN 10 en traversant les villes comme Elancourt, Maurepas ou Coignières, générant embouteillages et dangers multiples.
Par ailleurs la population du Secteur continue de croitre, les habitants s’éloignent vers le 28-27 mais continuent de venir travailler sur le secteur et les logements qu’ils quittent ici sont de nouveau occupés.
La RN 10 génère bruit, bourdonnement permanent, pollution, acidité de l’air et des pluies, le tout se conjuguant pour les riverains avec la voie ferrée parallèle. A noter que les murs anti bruits actuels ne protègent rien…
Quel tracé choisir :
Au sud un tracé par le Vallon du Pommeret et un tracé intermédiaire (la verrière/Le mesnil)
Au nord l’aménagement de la RN 10, aérien ou souterrain…
L’objectif est bien d’évacuer de la RN 10 le trafic de transit pour ne plus y garder que le trafic de desserte. Il convient de décongestionner la RN 10 pour les villes traversées et leurs populations et notamment les riverains directs
Pour le reste, l’aménagement de la RN 10 n’est pas crédible quel qu’il soit, générant à court terme des travaux qui vont asphyxier les communes riveraines de la RN 10 faute d’autres échappatoires, générant nombre de dangers et nuisances pour les habitants des villes riveraines.
Les coûts financiers, économiques et surtout humains induits par un quelconque tracé sur ou sous la RN 10 ne sont donc pas crédibles.
Reste donc un tracé sud.
En tout état de cause, le début du tronçon sud de l’A 12 passant par Montigny le Bretonneux doit faire l’objet d’une couverture intégrale pour préserver les riverains.
Pour le reste, que ce soit en viaduc, en tranchée ou en tranchée couverte, seule le tracé par le vallon du Pommeret, permettant une spécialisation des voiries permettra d’offrir à l’A 12 un vrai prolongement.

Avis n°1543 de : MORVAN Monique - ELANCOURT 78990 - le 14/06/2006
Madame, Monsieur,
Depuis plus de 3o ans j'habite en ville nouvelle et déjà le prolongement de l'A12 était en question.Pourquoi ne pas construire l'infrastructure routière avant la construction d'une ville de cette ampleur ? Nous en voyons le résultat, pollution , nuisances pour les riverains de la N10 et nous n'aurions pas un choix drastique à effectuer. Mon choix se portera sur le passage de l'A12 par le Vallon du Pommeret , solution 3C qui évitera un minimum de nuisances aux riverains. Monique MORVAN

Avis n°1522 de : gadea serge - ELANCOURT 78990 - le 13/06/2006
1- Tracés
Je suis favorable aux tracés ruraux ( moins coûteux, moins d'habitants concernés ).
Pourquoi un tracé N12 / D191 n'a pas été proposé ( densité de population concernée à priori plus faible ).

2- Gratuité des transports en commun
Le coût des controles ( personnel, distributeurs des billets, tourniquets, etc...) ne couvrirait-il pas un libre accès aux transports?
Une étude comparative des coûts est-elle existante ou prévue?
Bien sûr cette idée s'oppose à la tendance actuelle de marchandisation du monde à tout prix, pour le bénéfice de qui?
A ce sujet, pourquoi le prix des taxis en banlieue et à Saint-Quentin en particulier est-il plus élevé qu' à Paris intra muros?

3- Petites bouteilles d' eau
Lors de la réunion publique à Elancourt j'ai remarqué que les intervenants à la tribune disposaient de petites bouteilles d'eau.
3-1 Pourquoi des petites bouteilles au lieu de grandes bouteilles collectives ?
3-2 Pourquoi pas des carafes d'eau d'eau potable du robinet qui coûte environ 1 000 fois moins cher que l'eau en bouteille?
3-3 Quel est l'impact sur le trafic des camions qui on livré ces bouteilles?
3-4 Existe-t-il une étude comparative sur les impacts de production et de distribution entre eau en bouteille et eau potable du robinet?

Merci d'avance de vos réponses.

Serge Gadea

Avis n°1443 de : KOCHER Florence - ELANCOURT 78990 - le 09/06/2006
Je suis pour un tracé de l'A12 par le vallon du Pommeret.

Je ne vois que des inconvénients à transformer la RN10 en A12 ou à réaliser un tracé en ville. De tels tracés n'amélioreront aucunement le trafic et/ou créeront des nuisances supplémentaires (alors qu'elles sont déjà bien importantes) pour les habitants des villes traversées.

Avis n°1438 de : Fournier Alain - ELANCOURT 78990 - le 09/06/2006
Je pense que letracé de l'A12 doit passer dans les champs et non dans les villes, car cet itinéraire dans la ville occasionnerait des perturbations de circulation étant donné que lestravaux ne se feront pas en un an.

Avis n°1405 de : LEPAGE Sébastien - ELANCOURT 78990 - le 08/06/2006
Sans aucune hésitation-A12 par le POMMERET

Avis n°1340 de : ETIENNE Hervé - ELANCOURT 78990 - le 03/06/2006
Je préférerais que le tracé 3 C soit adopté. Et il serait bon que en attendant le tracé actuelle soit sécurisé et isolé phoniquement.
J'habite depuis ma naissace (j'ai 39 ans) le long de la nationale . D'abord à Trappes puis aujourd'hui à Elancourt. J'ai habité longtemps au quartier de la Boissière et j'ai certains amis d'enfance qui sont passé sous les roues des voiture dans les années 70/80. Aujourd'hui encore tous les week-end de nombreux jeunes traversent la route en sortant de la discotèque le Vinil. Je vous demande donc enfin de sécuriser cette route et de nous isoler du bruit des voitures sur toute sa partie urbaine. Comme pour la déviation je pense que cette demande ne sera pas honorée. Déja tout petit j'entendais mes parents en parler alors je n'y crois plus. A l('époque pour éviter la déviation le parc régional de Chevreuse avait été créer. Et pourtant je pense avoir suffisament vécu à côté de cette route pour espèrer un autre avenir pour moi et mes enfants sans déménager.
En espérant que ce message sera lu je souhaite aux décideurs de faire preuve de courage et de ne pas encore nous oublier.

Avis n°1320 de : BROUQUIER Emmanuel - ELANCOURT 78990 - le 02/06/2006
Nous ne pouvons pas accepter une modification ou amélioration de la N10 car cela augmenterait les nuisances environnantes à une époque de combat pour réduite le bruit et permettre la tranquillité des habitants.
Nos gouvernements se battent pour réduire le nombre d'accidents et de tués sur les routes donc il faut prendre la solution offrant le plus de sécurité. Le vallon du Pommeret est de plus, la solution la plus rapide à construire et la moins chère. D'après les informations communiquées, un tel projet ne bouleverserait pas la vie des communes pendant des années au contraire des autres projets.
La solution du vallon du Pommeret présente un avantage supplémentaire qui est de permettre une desserte locale, la N10 pour les habitants et une solution rapide et plus sûre pour les habitants/entreprises situés plus loin, l' A12.
Merci de noter notre position en faveur de la Famille 4

Avis n°1317 de : SANCHIS Jean-Claude - ELANCOURT 78990 - le 02/06/2006
Nous sommes riverains de la RN 10 depuis 1970. Nous avons pu apprécier la qualité de vie de la région alors qu'elle était peu peuplée. Nous habitions le quartier de la Malmedonne à Maurepas jusqu'en 1981, puis le quartier des Petits-Prés à Élancourt. L'autoroute A 12, dans son élan vers Bordeaux et Biarritz, s'arrêtait à Trappes. La RN10 assurait la suite du trajet.
En 1970 la D 13 traversait tranquillement la RN 10 et la voie ferrée par un passage à niveau. Le dimanche, nous pouvions pique-niquer à la campagne, dans un endroit paisible, aujourd'hui "Le Gandouget" à Élancourt. On y cueillait des mûres et on observait têtards et grenouilles. En 36 ans, nous avons parcouru les GR et PR de la région, et bien sûr le GR 11 qui, après la traversée de la propriété Dassault, passe par le vallon du Pommeret pour nous amener à Dampierre et Chevreuse. Nous avons arpenté les Rigoles Royales de l'étang des Noës jusqu'à Rambouillet, en se déroutant ici et là sur des rigoles secondaires.
Maurepas s'étendait et la circulation sur la RN 10 augmentait. Suite à de nombreux accidents, la D 13 s'est vu interdire la traversée de la RN 10, puis celle des voies ferrées jusqu'à ce qu'un petit tunnel la relibère. L'automobiliste venant de Montfort-l'Amaury par la D 13 a aujourd'hui bien du mal à trouver son chemin pour franchir la RN 10 vers le Mesnil-Saint-Denis. Il ne peut pas comprendre pourquoi il doit perdre son temps à travers Maurepas. Et Maurepas réagit pour entraver autant que possible la circulation de transit.
Ce petit exemple illustre le gâchis quotidien du temps des usagers et le gâchis en modifications permanentes des infrastructures dans toute la région. Nous ne comprenons pas pourquoi la ville nouvelle a été construite sans un réseau d'autoroutes pour la desservir. Nous ne comprenons pas pourquoi la première autoroute construite en France s'arrête toujours à Trappes. L'EPA de la ville nouvelle avait pourtant prévu une emprise foncière pour sa continuation sur son territoire. Nous le savions en 1981. C'est pourquoi, par exemple, nous n'avions pas voulu acheter une maison à Montigny, le terrain étant trop proche de cette emprise. Vingt-six ans après, elle est toujours inutilisée !
Pourquoi a-t-on laissé des centaines de milliers de personnes avec des conditions de circulation aussi pénalisantes ? Est-ce parce que l'argent des péages autoroutiers ne financent pas les infrastructures routières en France ? C'est un scandale d'entraver à ce point le développement économique de toute notre région.
Même aménagée, la RN 10 ne pourra pas écouler le trafic local, régional, national et international. Son élargissement deviendra vite nécessaire, mais à un prix exorbitant. Le tracé de l'A 12 par le vallon du Pommeret permet la réalisation la moins coûteuse dans l'immédiat et dans le futur. En détournant une bonne partie du trafic loin de la RN 10, il permet à cette voie de n'écouler que les trafics locaux et le trafic régional. De plus, il la soulage même pour écouler ces trafics locaux.
Ce soir à La Verrière, un tracé par le Nord a été suggéré, passant par Pontchartrain. Nous souhaitons faire remarquer que la RN 186 est fréquemment congestionnée après Bois-d'Arcy par le trafic vers Plaisir. Cette proposition pourrait être une solution à condition de désenclaver Plaisir, ses habitants et les usagers de ses centres commerciaux, par une route à plus haut débit. En l'état, nous sommes persuadés que la RN 186 est bien incapable de supporter des flux supplémentaires. De plus ce tracé excentré écoulerait beaucoup moins de trafics locaux de la RN 10.
Enfin, au sujet de l'indemnité d'expropriation, nous voudrions dire qu'une juste évaluation permettant un relogement dans la région dans des conditions similaires devrait être proposée spontanément par les Domaines, connaissant le prix réel de l'immobilier. Cela éviterait bien sûr le recours au TA et la perte de temps et d'énergie, mais surtout cela permettrait de ne pas sous-estimer ces indemnités au niveau des projets de tracés, et donc de ne pas fausser le choix définitif. Le coût d'indemnisation en zone urbanisée est beaucoup plus lourd qu'en zone rurale. À défaut d'une juste évaluation des projets, les riverains urbains seraient doublement perdants : en qualité de vie d'un très grand nombre de personnes et en préjudice non complètement indemnisé.