Avis n°1189 de : RAUX Christian - LE PERRAY 78610 - le 24/05/2006
Il me semble de la plus extreme urgence de prolonger l'A12 APRES trappes
- pour améliorer la circulation entre Paris et Rambouillet
-pour éviter les nuisances de toutes sortes aux populations riveraines
-pour ameliorer la desserte des centres commerciaux le long de la RN 10 redevenue vivable.
La solution consistant à transformer la RN 10 sur place est une ineptie qui coutera tres chere et resoudra que provisoirement le probleme, dans 20 ou 30 ans on se reposerait le probleme et la vraie déviation se fera tot ou tard, enfin comment realiser de tels travaux avec la circulation qui devra etre deviée durant plusieurs années par des itinéraires non prévus pour un tel usage, que de nuisances à attendre.
La seule solution acceptable est la déviation comportant le franchissement du vallon du Pommeret, éloigné des habitations et pouvant etre aménagé comme on sait le faire en d'autres lieux beaucoup plus sensible.
Mais il est urgent d'agir.
Christian Raux |
Avis n°1041 de : BRILLAND Thierry - LE PERRAY 78610 - le 15/05/2006
Pour moi, puisqu'il s'agit de délester sur l'ouest un flux Nord-Sud, il ne serait pas absurde de brancher la fin de l'A12 actuel sur la RN12 (qui est proche en calibre d'une autoroute et commence à bois d'arcy), jusqu'à DREUX, puis faire une jonction DREUX-CHARTRES. Pour les flux vers Orléans, on peut imaginer CHARTRES-ORLEANS...
Cela apporterait un avantage de poids pour la région de DREUX qui est sinistrée en emplois. Et il y a bcp de champs dans cette région, ce qui diminue nettement les inconvénients. |
Avis n°1018 de : Le Bihanic Gérard - LE PERRAY 78610 - le 12/05/2006
Nous avons organisé une soirée débat sur le thème "A12, non merci "à la mairie du Perray en Yvelines, jeudi 11 mai.
Cettte réunion avait pour but de sensibiliser la population aux véritables enjeux de ce projet d'autoroute en région parisienne et les conséquences sur la commune.
Nous sommes satisfaits du résultat, la salle était comble, le public est sorti avec une idée de l'avenir environnemental de notre commune.
Le débat avec la salle fut animé, les intervenants(des opposants au prolongement ) ont apporté des réponses argumentées. Des pro et des anti-autoroute se sont exprimés.
Bien que situé à l'extrémité sud du projet, notre commune n'a pas été consultée par la commission.
Des élus n'ont pu obtenir des documents en nombre limité qu'après d'importantes démarches.
Pourtant, les chiffres sont là: 80000 véhicules jour sur la RN 10 après l'ouverture de l'A12. Comme à Trappes, la RN10 est bordée par des habitations. Une école est située à proximité.
La commission aurait pris contact avec le conseil municipal de Rambouillet, qu'en est il pour le Perray?
Partisan du développement d'autres modes de transport, je suis contre tout nouveau tracé d'autoroute et pour l'aménagement de la RN10 pour le bien être et la sécurité des riverains, comme je l'ai exprimé lors du débat à Trappes, le 9 mai. Ces arguments n'ont pas été appréciés par les habitants de Trappes, à entendre leur réaction. Je crois ne pas avoir été compris.
Sur ces questions de construction d'infrastructures routières, il n'y a pas de solution miracle. Nous sommes tous à la fois usagers et victime de la pollution.
Notre ennemi commun, c'est la pollution, c'est le seul fléau à combattre, nous devons être solidaires et non pas se renvoyer le mal comme je l'ai resenti à Trappes.
La solution, ce sera notre changement de mode de transport. Seules, des décisions politiques permettont de changer le sens des évènements. Aujourd'hui, seuls, les Verts ont des propositions alternatives aux modes de transport. Ils étaient les seuls à dénoncer et anticiper les crises environnementales graves, dans les années 1970, peu considérés à l'époque par leur faible poids démocratique, l'avenir leur malheureusement donné raison, leurs arguments "utopiques" sont actuellement repris par l'ensemble des partis politiques. Aujourd'hui, ce sont les seuls à dénoncer un projet qui est hérité des modes de développement des années 1970, prenons les au sérieux. Face à la pollution, une seule solution: arrêter de la produire. |
