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Voici les avis exprimés par le public par mail, par courrier ou lors des réunions publiques.

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Commune sélectionnée : ROCHEFORT

Avis n°1295 de : MOUSSARD Louis - ROCHEFORT 78730 - le 01/06/2006
Concernant la question du prolongement de l'autoroute A12, je ne prétends pas détenir la clé du problème mais je constate comme tout le monde que la circulation dans le sud-ouest de la région parisienne est très difficile et qu'on a probablement besoin de voies modernes de circulation. S'agissant d'un site sensible, la Collectivité est très certainement disposée, et à juste titre, à faire de gros investissements pour que les nuisances de cette voie soient réduites au minimum.

Je trouve peu convaincante, pour ne pas dire plus, l'argumentation développée. Les vrais/faux, les faux/vrais et les non-dit ne sont visiblement pas l'apanage d'une seule des parties prenantes. Ecrire qu'on ne se préoccupe que de l'intérêt général uniquement, a un peu de mal à me convaincre.

Que des particuliers, écolos invétérés, se mobilisent contre un projet … pourquoi pas, c'est bien leur droit ! En revanche que le parc naturel, organisme officiel subventionné par la collectivité, mette son personnel et ses moyens, notamment à travers une revue (je devrais dire nos moyens, parce que je participe à la parution de cette revue en tant que contribuable), pour défendre un point de vue (celui des bons), dont la justification essentielle concerne largement le confort d'une minorité, alors qu'on peut parfaitement être honnête, sensé et soutenir un point de vue différent (celui des méchants), tout cela me semble relever quelque peu de la confusion des genres.

Ah qu'on est bien entre soi dans le parc, à consommer des produits du parc ou, à la limite, ceux du commerce équitable, enfin ceux que l'on ne produit pas encore (dans la parc), à se balader en famille et en baladobus, à se chauffer au bois (du parc) ! Ce bois, parlons - en : A moins de faire entretenir la forêt et exploiter le bois au noir par des bûcherons polonais sous payés, je crains que les habitants du parc n'exigent du contribuable de très grosses subventions, pour accepter de l'acheter à son prix de revient. C'est très poétique, mais d'une rationalité et d'une objectivité plutôt floues …

Un lâcher d'ours dans le parc, ça aurait de la gueule, non !