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AVIS
Il faut aller de l'avant
par Olivier BERTEL (MERS-LES-BAINS)
Tout le monde est pour des énergies renouvelables, mais personne ne veut faire l'effort. A entendre les différents commentaires, j'ai l'impression que toutes ces personnes n'ont pas l'intention de vouloir vivre plus longtemps que 2 à 3 ans, au-delà il y a rien.

Osons aller de l'avant avec ces éoliennes.

Il y a que des gens qui ont peur. Voyons le viaduc de Millau, tout le monde était contre par peur de perdre des gens de passage, défigurer le paysage, moins de rentes diverses.... Au bilan, les gens s'arrêtent, il y a plus de touristes, moins de polllution dans la ville, etc, etc, etc.

Il faut s'adapter et aller de l'avant. Je travaille dans le bâtiment et la réglementation thermique nous a fait faire un bond important en avant. Tout le monde disait que c'était très difficile de le mettre en application. En réalité avec un peu de réflexion et de volonté, on y arrive sans faire exploser les prix.

Donc OUI et allons de l'avant pour nos enfants.

VOS COMMENTAIRES


Et le pont ?

Bonjour,

En effet le viaduc de Millau a même généré un foisonnement d'activités nouvelles, qui ont rendu célèbre Millau dans le monde entier. Un documentaire traitant ce sujet est passé récemment à la télévision et montrait les changements d'avis de (presque) tous les opposants de la première heure.

Si on se rapproche de la baie de Somme / Seine, on pourrait aussi évoquer le pont de Normandie. Lui aussi très décrié lors de la présentation des plans / vues, il est aujourd'hui accepté par (presque) tout le monde et vous devriez voir le nombre de personnes qui s'arrêtent pour le prendre en photo.

Alors les éoliennes ?? Comme toute nouvelle installation de l'homme, on se pose des questions. C'est nouveau et ce qui est nouveau fait peur et inquiète. Le débat public était là pour apaiser les craintes, donner des informations, argumenter (dans les deux sens), améliorer la proposition, rediscuter, etc... Malheureusement, à chaque réunion, les toujours et mêmes opposants ont largement occupé l'espace et le temps (de parole). Cela est dommage, car aucun acteur "a priori interrogatif, neutre et ayant de RÉELLES questions à poser" n'a pu vraiment s'exprimer. Et quand bien même certains ont essayé, il faut reconnaitre que l'ambiance - trop passionnée - n'a pas permis l'émergence de discussions sérieuses.

Tant pis, l'occasion a été donnée, et gageons que la suite des discussions et du suivi par la CPDP permettront de continuer à discuter de ce projet, de le faire encore évoluer pour tenter de le rendre acceptable par le plus grand nombre.

A vous lire,

Cordialement

> RÉAGISSEZ Ajouté par Christophe LEBLANC (Marolles en Brie), le 07/09
 
Vive la picardie

Nous sommes tous pour l'écologie et contre la bêtise humaine. Le journal science et vie de septembre le développe.

La conclusion du journal va dans votre sens : il est préférable de travailler dans l'isolation de nos maisons et réduire notre consommation (éteindre les ordinateurs, couper le chauffage et surtout les climatisations des bureaux vide du mois d'août).

Il n'y aura pas d'éoliennes en mer visible de la cote le débat est clos. Pollution visuelle, fond marin pour aussi peu de rendement, cherchons et travaillons sur d'autres idées.

Nos enfants nous aident dans ce combat inégal entre le fric et le faible mais la laideur de 6 éoliennes sur terre nous permet de mieux anticiper la laideur de 140 éoliennes avec en plus la destruction d'emploi et le départ immédiat des touristes.

Merci de ne pas comparer un pont et 141 pylônes en mouvement. Un pont ne détruit pas d'emplois et on n'a jamais vu une station touristique au pied d'un pont se développer.

La compagnie du vent n'a jamais réussi à nous convaincre et la presse professionnel condamne ces projets. L'argent ne fait pas le bonheur mais la laideur.

> RÉAGISSEZ Ajouté par JEAN MARC FRANCHAISE (MERS LES BAINS), le 08/09
Emplois....

Bonjour,

A l'époque, la crainte de perte d'emplois a été la seconde cause de refus du pont (après l'aspect visuel) : emplois des commerces locaux perdus à cause de la baisse de fréquentation des routes (trafic dévié vers le pont), emplois industriels locaux à cause des zones d'exclusion autour entrées / sorties du pont, etc...

A vous lire,

Cordialement

> RÉAGISSEZ Ajouté par Christophe LEBLANC (Marolles en Brie) - le 10/09