Réunions

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Les avis reçus par la CPDP seront consultables sur le site de la Commission et figureront dans les archives du débat

Thème séléctionné : Les variantes de tracé

Avis n°1 de : ROUSSEL Claude-  76430 LA CERLANGUE - le 01/10/2009

Mesdames, Messieurs, Pour information, le tracé direct 8 400 m a mes faveurs pour rejoindre Tancarville. Il est plus sécurisant d'avoir deux tracés en cas d'incident sur l'un des deux et il faut également prendre en compte la sécurité et la fluidité du trafic fluvial avec ses différents gabarits et par la suite il sera toujours possible de continuer l'urbanisation au sud du Hode. Respectueuses salutations. CR

Avis n°8 de : RAOULT SERGE-  76620 Le Havre - le 02/11/2009

"Deux canaux deux écluses" est la solution pour un grand projet du Port du Havre

Avis n°12 de : DUVAL Michel-  76600 Le Havre - le 18/11/2009


« La Directive Territoriale d'Aménagement de l'Estuaire de la Seine, approuvée par décret en 2006, n'autorise l'utilisation des terrains à l'Est de la route de l'ancien pont du Hode qu'une fois le prolongement du Grand Canal du Havre réalisée. »


Partant de cet extrait de réponse concernant une question posée par un autre intervenant le 11 octobre dernier et d’autres déclarations exprimées depuis l’ouverture du débat, je considère que les termes de présentation de ce débat font nécessairement converger vers le choix de l’une des quatre variantes du prolongement du grand canal proposées par le GPMH car ce serait le seul moyen pour lui de pouvoir bénéficier d’une extension foncière.


Or, afin de préserver la réserve naturelle située à l’est de la zone industrielle portuaire, il serait judicieux de choisir l’optimisation du canal de Tancarville tout en autorisant le GPMH à étendre son domaine sur tout ou partie des terrains à l’est de la route de l’ancien pont du Hode.


Il faudrait donc dans un premier temps, voir au plus tôt pour pouvoir exploiter sans délai des solutions alternatives, négocier une dérogation à la DTA de l’estuaire de la Seine afin d’être en position de négocier avec les défenseurs de la réserve naturelle une extension du domaine portuaire comprise entre la surface que procurerait le tracé court, soit 166 hectares aménageables, et celle que procurerait le tracé longeant la réserve naturelle, soit 578 hectares aménageables. Cette solution permettrait en outre d’éviter le déplacement des nappes de pipelines rendu nécessaire en cas de choix du tracé court et du tracé longeant la réserve naturelle, les deux variantes paraissant les plus acceptables par les défenseurs de la réserve naturelle à cause de leur emprise moins invasive.


Avis n°13 de : CUSIN PANIT GERARD-  76610 Le Havre - le 20/11/2009

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Avis n°17 de : DUVAL Michel-  76600 Le Havre - le 02/12/2009

Je suis intervenu lors de la réunion généraliste organisée à Tancarville aujourd’hui. Afin de préciser le contenu de mon intervention exprimée au pied levé, je souhaite le reformuler par écrit ci-dessous :


 


Au cours de la réunion, trois intervenants à la tribune ont fait allusion au raccordement parfois évoqué entre la boucle ferroviaire de l’arrière-port du Havre et le réseau ferroviaire existant entre ND de Gravenchon – Port-Jérôme et Bréauté-Beuzeville sur la ligne Le Havre – Rouen - Paris.


Mme Turqueville, Maire de Tancarville, s’est inquiétée de l’implantation d’une voie ferrée au travers de sa commune, surtout si celle-ci devait déboucher d’un ancien tunnel éventuellement remis en service pour permettre le passage de cette infrastructure ;


Monsieur Girod, représentant le Parc Naturel Régional, s’est inquiété d’un nouveau risque de morcellement de la réserve naturelle sur la base d’une esquisse de tracé figurant dans les documents d’aménagement récents ;


Enfin, Monsieur Franck, représentant l’Agence d’Urbanisme de la Région du Havre et de l’Estuaire de la Seine a évoqué lui-aussi l’esquisse de tracé figurant dans les documents d’aménagement récents.


Aussi suis-je intervenu pour rappeler que le raccordement dont il est question est une idée que j’ai soumise en 1997 à divers interlocuteurs publics et privés (directeurs d’industries, etc …), relayée imparfaitement par certain(s) contributeur(s) à l’élaboration de la DTA et du SCOT couvrant l’estuaire de la Seine. Cette proposition secondaire venait à l’appui de celle, majeure, concernant le franchissement de l’estuaire par un tunnel composé de caissons immergés au fond de la Seine, raccordé au réseau ferroviaire de la zone industrielle de l’arrière-port du Havre.


Contrairement au tracé longeant le canal de Tancarville figurant dans les documents d’aménagement officiels, celui que j’avais proposé progresserait parallèlement à l’autoroute entre Le Hode et Tancarville et franchirait le goulot d’étranglement situé sous le pont de Tancarville par une tranchée couverte prenant place sous la route empruntant ce passage, avant de s’écarter vers la voie ferrée desservant l’appontement de Radicatel. Si ce tracé devait se révéler applicable, les inconvénients mentionnés en seraient significativement atténués.


 


Concernant la contrainte de pente de la voie ferrée empruntant la vallée du Commerce, opposée à plusieurs reprises par Monsieur Guellec, chef de projet du GPMH, depuis le début du débat, j’ai suggéré qu’elle ne soit empruntée par les convois lourds qu’en direction du port et que les convois partant du port empruntent la voie ferrée passant par la Bréque, d’où une division et du trafic (plus de fluidité) et des nuisances s’y rapportant.

Avis n°18 de : LACOSTE JEAN PHILIPPE-  14000 CAEN - le 17/12/2009

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Avis n°40 de : BOISGARD Bernard-  14600 ABLON - le 04/02/2010

Bonjour, Suite à la lecture de tous les documents présentés sur ce site et à ma participation à la réunion de Honfleur, je pense que le projet "tracé parallèle" est celui qui causera le moins de dommages à l'environnement tout en permettant une extension du port acceptable. Cependant, je maintiens ma réserve en ce qui concerne la partie de terrains située au sud de la partie du tracé qui part du bassin pour rejoindre le canal actuel. Il faut que cette partie (en blanc sur votre plan) soit classée zône naturelle protégée et devienne intouchable. Dans le cas contraire, on court le risque de voir s'installer sur ces terrains des industries peu soucieuses de l'environnement, puis d'assister à un 'grignottage' progressif de la réserve. Je ne pourrai pas assister à la réunion de clôture des débats car j'ai déjà des engagements pour ce soir, mais j'espère que le compte-rendu sera publié sur ce site. Je vous remercie de votre écoute. Sincères salutations. B. Boisgard