Avis n° 112 / Rélexions en vrac pour conclure ...

Ajouté par Alain LEVEQUE (COLOMBES), le 16/02/2014 [Origine : Site Internet]

Associé à Accès et dessertes du stade; Aménagement du sud francilien et emploi; Cohérence des équipements sportifs et culturels; Débat public; Insertion urbaine et fonctions du nouveau quartier; La pratique du rugby

Bonjour,
- Merci à M Jacquin d’avoir titillé les représentants de la Maitrise d’ouvrage (réunion d’Evry) afin qu’ils apportent des réponses aux questions posées sans les laisser se complaire dans leurs habituelles généralités toujours redondantes.
- Dans les années 90, les entreprises ‘’parisiennes’’ avaient droit à des aides conséquentes pour se délocaliser. Ces délocalisations pouvaient concerner aussi bien celles qui auraient pu aller à Maubeuge, à Millau mais aussi en Seine St Denis. Oui, la Seine St Denis était considérée comme une lointaine province à désenclaver. D’où le boom sur St-Denis avec le coût moindre du foncier, la proximité de Paris et l’amélioration de la desserte liée au Stade de France (cf intervention et anecdote de M Frutos à Toulouse), la spontanéité des déménagements n’était que financière, les 20 000 emplois créés ont majoritairement été des emplois délocalisés mais sponsorisés par l’Etat.
- N’hésitez pas, mesdames et Messieurs de la CPDP à aller vous promener autour du Stade de France, un jour où il n’y a aucun évènement : c’est d’une tristesse !
- Les habitants de l’Essonne pensent que la proximité du stade leur permettrait ‘’d’y aller à pied, voire en vélo’’. Ils peuvent le penser en effet, mais de là à pouvoir y pénétrer, à obtenir un billet, c’est une autre affaire. Avez-vous essayé d’obtenir un billet au SdF pour France - Angleterre, c’est quasi impossible pour le citoyen lambda non pistonné. Pour Ris, ce sera pire car les places pour le public non affilié à un club seront moins nombreuses, cela dû notamment à l’inflation des places VIP et aux souscripteurs de debentures. Il est dommage que M Legros n’ait pas indiqué combien d’habitants de la proximité du SdF avaient eu la possibilité d’assister aux grands matchs de rugby.
- Concernant la notion de ‘’risque’’, M Camou s’est à plusieurs reprises prévalu d’être un ancien banquier et il est vrai que les banquiers n’hésitent que rarement à prendre des risques mais toujours avec l’argent ..... des autres !
- Enfin, concernant la rencontre de deux ambitions, les actuels dirigeants de la FFR souhaitent ‘’s’offrir une danseuse’’, les élus de Ris veulent ‘’quelque chose’’, leurs arguments auraient été identiques pour un élevage de kangourous ou une plantation de cocotiers . Ce n’est qu’une juxtaposition d’ambitions sans aucune osmose. Côté FFR, seul M Bouscatel semble faire preuve de bon sens.

Cordialement


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