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Voici les questions posées par le public par mail, par courrier ou lors des réunions publiques. Nous affichons les questions et les réponses.

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Thème séléctionné : Calendrier et réalisation

Question n°1197 de : benoit jean-christophe-  35700 rennes - le 08/12/2006
Le problème avec le débat public, c'est que le maitre d'ouvrage n'est pas forcé d'en tenir compte, et s'il ne tient pas compte des problèmes évoqués, ils réapparaissent lors des enquêtes publiques. N'y a-t-il pas moyen, pour que le débat public soit efficace qu'il serve à mieux cadrer les enquêtes publiques qui suivent? Ou au moins que les solutions évoquées lors du débat soit reprises et améliorées lors des enquêtes ?

Réponse  RFF 19/12/2006
Monsieur,

Le débat public a pour vocation d’éclairer le maître d’ouvrage sur la décision qu’il a à prendre. A la suite du débat, Réseau ferré de France peut être amené à poursuivre ou à modifier profondément son projet, comme cela a été le cas pour le projet CDG Express, pour lequel le débat public a permis de faire émerger une nouvelle solution que Réseau ferré de France a finalement retenue. Parfois, le maître d’ouvrage peut décider de ne pas poursuivre le projet.
Le débat public et l’enquête d’utilité publique sont donc 2 procédures aux objectifs distincts et largement décalées dans le temps, l’enquête intervenant en moyenne 6 ans après le débat.
Alors que le débat public porte sur l’opportunité du projet, à un stade où le maître d’ouvrage peut encore décider de ne pas poursuivre son projet, l’enquête d’utilité publique intervient à un stade beaucoup plus avancé et détaillé du projet, et permet éventuellement sur ce type de projet de définir les engagements de l’Etat en matière environnementale, engagement que le maître d’ouvrage est tenu de suivre.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°1122 de : BEL Philippe-  45 041 Orléans Cedex 01 - le 21/11/2006
Michel BOYON, président de RFF s'est exprimé dans notre journal local ' la république du Centre' du 27 octobre, à la question du journaliste "verra-t-on un jour des trains à grande vitesse entre Paris et Toulouse via Orléans et Limoges ?" Il fait la réponse suivante : "ce n'est pas la bonne solution. En 2016 nous achèverons la ligne Paris-Bordeaux. Les habitants et les élus du Limousin ont fait le choix de se raccorder à cette ligne par une liaison à grande vitesse Poitiers-Limoges..."

Cela veut donc dire que les jeux sont faits ? A quoi sert le débat public alors ?
Quand aux élus du Limousin qui auraient fait le "choix", cela concerne-t-il aussi les habitants de la Creuse qui, semble-t-il lors du débat public à Guéret le 18 septembre se sont montrés, qu'il s'agisse des élus et du public, totalement hostiles au projet ?

Réponse  RFF 09/01/2007
Je peux vous assurer que le débat public intervient alors qu'aucune décision n'est prise sur le projet. La Commission a prêté une attention particulière à ce que le débat qui arrive à son terme laisse ouvertes les possibilités suivantes :
• mettre en discussion l’opportunité du projet,
• examiner les variantes du projet,
• débattre du projet d’ensemble,
• ouvrir une aire de débat au-delà de la stricte aire d’emprise du projet.

Toutes les réunions publiques ont permis à la Commission d'entendre tous ceux qui souhaitaient s'exprimer pour ou contre le projet. La Commission a actuellement la lourde tâche de rédiger le compte-rendu, dont vous serez naturellement destinataire, qui sera "la photo" du débat public. Aucun argument présenté au cours du débat ne sera oublié.

Question n°1110 de : GAY Jackie-  36000 CHATEAUROUX - le 20/11/2006
Le TGV ce sera en quelle année, dans 10 ans ? Que fait-on sur la ligne en attendant, sera-t-elle améliorée ? (suppression des passages à niveau gain de temps )

Réponse  RFF 04/12/2006
Madame, Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée pour la réalisation de ces études.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Le projet de LGV Poitiers-Limoges ne s’oppose en rien à la modernisation de la ligne Paris-Châteauroux-Limoges-Toulouse et à la pérennité d’une desserte de qualité. Pour sa part, Réseau ferré de France a déjà investi 265 millions d’€ au cours des trois dernières années sur cette ligne. A titre de comparaison, le budget de Réseau ferré de France en 2006 pour le renouvellement des 33 000 km du réseau était de près de 1 milliard d’euros. L’ampleur du programme et le niveau d’investissement traduisent l’attachement de Réseau ferré de France au maintien des performances de cette ligne. De plus, Réseau ferré de France continuera de la moderniser dans le cadre du plan de renouvellement du réseau national arrêté par le ministre des Transports le 22 mai 2006.

Parallèlement à cette opération, la convention de financement pour la suppression de 5 passages à niveau dans l’Indre est à ce jour signée et va permettre de débuter prochainement ces travaux de sécurité.

Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, nos salutations.

Question n°1105 de : SIDROT Patrice-  36230 BUXIERES D'AILLAC - le 20/11/2006
Quel serait le temps de réalisation de la ligne TGV Beauvilliers-Châteauroux ? Et le temps pour Poitiers-Limoges ?

Réponse  RFF 20/12/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée pour la réalisation de ces études.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne (création de 90 à 115 km de ligne nouvelle, utilisation des gares existantes…), une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.

Concernant la LGV Paris-Châteauroux, celle-ci ne pourrait être mise en œuvre avant la LGV Poitiers Limoges du fait de la nécessité de réaliser un débat public et les études afférentes (soit environ 2 ans). Ainsi, un projet de LGV de 160 km, dont aucune étude n’existe à ce jour et dont l’insertion serait plus complexe que celle de la LGV Poitiers-Limoges, nécessiterait probablement une quinzaine d’années (études + travaux).

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°1099 de : LAGANE René-  24000 PERIGUEUX - le 20/11/2006
Pourquoi ne pas mettre en service avant 2016 cette liaison (option centrale) en 2013 comme Bordeaux-Angoulème ?
Actuellement Paris-Poitiers 1h27 + 35 mn soit 2h02 pour Paris-Limoges ! Car Tours-Bordeaux n'est pas encore financé.
En attendant l'agglomération de Périgueux (80 000 hab) devrait pouvoir bénéficier de relations directes sur ligne classique grâce à des automotrices Bimode en 3h45, 3h40 et éviter ainsi le handicap et perte de temps pour changer à Limoges... car une importante clientèle existe.

Réponse  RFF 04/12/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée pour la réalisation de ces études.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Concernant la desserte de Périgueux en TER, la mise en service d’automotrices bi-modes relève de la compétence des régions Limousin et Aquitaine.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°1050 de : FEUTRIEZ Lionel-  19190 AUBAZINE - le 06/11/2006
Vu le kilométrage réduit à construire de la future LGV serait-il possible de diviser par deux les délais de mise en service ?

Réponse  RFF 16/11/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne (faible linéaire à construire et environnement globalement favorable), une durée réduite, de l'ordre de 3 à 4 ans, peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°1017 de : DUMIGARD Guy-  23300 LA SOUTERRAINE - le 26/10/2006
Combien ont coûtées les études du projet LGV Poitiers-Limoges et

Réponse  RFF 11/12/2006
Monsieur,

Le coût des études nécessaires à la préparation du débat public, soit un an et demi d’étude, mises en ligne sur le site de la Cpdp, est de 475.000 €. L’intégralité de ce montant est financé par l’AFITF (Agence de Financement des Infrastructures de Transport de France) et Réseau ferré de France.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°973 de : COUSINARD Alexandra-  36130 MONTIERCHAUME - le 19/10/2006
A quelle date la mise en oeuvre de ce TGV est-elle envisageable ?

Réponse  RFF 08/11/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée pour la réalisation de ces études.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°929 de : DUSSOUCHAUT Lucien-  87 200 CHAILLAC SUR VIENNE - le 16/10/2006
Je suis tout à fait d'accord avec ce projet , mais pourquoi 2020 ?
Les Régions Limousin , Poitou-Charentes et Pays de Loire ne peuvent supporter et accepter un délai si long , où est le modernisme et le bon sens , dans tout cela ?

Réponse  RFF 08/11/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée pour la réalisation de ces études.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°926 de : ABONNEAU Patrice-  86360 Chasseneuil - le 13/10/2006
Mr Christian MAUDET a dit en réunion publique du 11 octobre à Langon que 15 ans d’études étaient nécessaires pour mettre en place de tels projets de LGV.

Dans le cadre du débat également en cours sur la LGV Poitiers-Limoges, ses collègues de RFF, Messieurs Hervé de Tréglodé et Sylvestre Salin, garantissent aux limougeauds une mise en service de la LGV en même temps que la LGV Tours-Bordeaux prévue en 2016. Sachant que la durée de la phase travaux est de 3 à 5 années, cela nous donne une durée d'études de 4 à 6 ans si celles-ci commencent en 2007.

Pour info, les premières études de la LGV Tours –Bordeaux ont commencées en 1995 et nous en sommes fin 2006 à la DUP pour la section Angoulême-Bordeaux et à la fin de la consultation sur les études Avant Projet Sommaire pour la section Tours-Angoulême

Pouvez-vous nous faire savoir rapidement cette discordance ? Pourquoi irait-on plus vite pour le Limousin que pour le Pays Basque ?

Réponse  RFF 23/11/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases d’études ultérieures sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est actuellement envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités propres à cette ligne notamment son linéaire, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.


Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°867 de : VERRONAUD Jean-Pierre-  87480 ST PRIEST TAURION - le 09/10/2006
Pourquoi un délai aussi long entre ces premiers débats et la mise en service ? Délai prévu 10 à 15 ans, alors que le TGV devrait être dans notre région depuis déjà au moins 10 ans.

Réponse  RFF 23/11/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°854 de : CHESNEAU Jean-Claude-  18120 MEREAU - le 05/10/2006
J'aimerai connaître le temps de réalisation ?

Réponse  RFF 24/10/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.

À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.

La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.

Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°852 de : MARTINET Suzanne-  18100 VIERZON - le 05/10/2006
Je souhaite la réalisation du TGV Berry-Limousin-Pyrénées, élément vital pour le Centre de la France. Restons neutre, plein de bon sens. De multiples structures (à améliorer pour certaines) sont déjà en place pour accueillir et rentabiliser ce projet. N'attendons pas 20 ans pour réaliser ce projet, il ne serait plus viable : est possible ?

Réponse  RFF 24/10/2006
Madame,

La desserte de Limoges par une ligne nouvelle à grande vitesse passant par Vierzon et Châteauroux a été analysée. Cette possibilité, considérée comme la première phase d’un projet permettant de mettre Limoges à 1h30 de Paris pour un investissement total de l’ordre de 4 milliards d’euros, consiste à utiliser pour partie la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Atlantique au sortir de Paris, puis à réaliser une ligne nouvelle jusqu’au sud d’Issoudun, en desservant Orléans et Vierzon par des gares nouvelles. La desserte de Limoges s’effectuerait, dans un premier temps, par la ligne actuelle à partir de Châteauroux.
En première approche, Réseau ferré de France estime que cette solution impliquerait de réaliser une infrastructure nouvelle de 165 km environ, qui permettrait de desservir (sans arrêt) Châteauroux en 1h05 et Limoges en 2h05, pour un investissement de l’ordre de 2,2 à 2,4 milliards d’euros.
En plus du surcoût de plus de 1 milliard d’euros de cette 1ère phase par rapport au projet de LGV Poitiers-Limoges (1,15 Md € / 1,3 Md €), une telle réalisation :
• ne desservirait pas Poitiers et ne permettrait pas d’accompagner le mouvement d’ouverture du Limousin sur la façade atlantique ;
• obligerait à une réorganisation complète du système de transport des agglomérations d’Orléans et Vierzon, du fait de la réalisation de gares nouvelles ;
• imposerait de traverser des espaces très fragiles du point de vue écologique (vallée de la Loire, Sologne) ;
• ne permettrait pas de coupler des TGV, ce qui poserait de nouvelles interrogations en matière de gestion des trafics sur la LGV Atlantique.

Pour l’ensemble de ces raisons, et compte tenu du montant très élevé de l’investissement nécessaire, Réseau ferré de France a décidé de ne pas poursuivre l’étude d’une telle proposition.

Nous vous prions d’agréer, Madame, nos salutations distinguées.

Question n°805 de : NAULEAU Philippe-  87700 saint priest sous aixe - le 02/10/2006
Il est compréhensible que la conception d’un projet de grande envergure tel que la LGV Est ou la nouvelle LGV Atlantique, comporte de nombreuses étapes aboutissant à des calendriers répartis sur 10 à 15 ans. L’ampleur de ce type de chantier permet de comprendre la nécessité de délais aussi longs. En revanche, pour des projets de moindre envergure tel que la LGV Limoges-Poitiers, même si certaines étapes paraissent incompressibles tels que les enquêtes légales, acquisitions foncières ou expropriations, réalisations de travaux, il est surprenant que les délais d’étude contraignent autant le calendrier que pour de gros projets. En effet, dans différents domaines industriels, les méthodes de conduite de projet sont généralement adaptées à l’ampleur des projets.

Pourquoi donc le plan projet exposé dans la synthèse du dossier du maître d’ouvrage, fait état d’un calendrier aussi long ?
N’est il pas possible d’adapter ce calendrier à la taille « modeste » de ce projet ?

Réponse  RFF 24/10/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
La réalisation d’un tel projet se caractérise par différentes phases successives et formalisées d’études, puis de travaux. Chaque phase fait l’objet d’approbations ministérielles.
A l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°791 de : LAVENIR Marie-Françoise-  87100 LIMOGES - le 29/09/2006
Faudra-t-il attendre vraiment 10 ans pour que ce projet de ligne à grande vitesse soit réalisé ?

Réponse  RFF 16/10/2006
Madame,

A l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser progressivement les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Dans ces conditions, le délai de réalisation de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges peut se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années. La mise en service de la ligne pourrait ainsi être concomitante avec celle de la LGV Sud Europe Atlantique prévue en 2016.

Nous vous prions d’agréer, Madame, nos salutations distinguées.

Question n°769 de : PHILIPPON Jean-Marie-  87100 LIMOGES - le 29/09/2006
Après les débats quel est le délai de réalisation finale ?

Réponse  RFF 16/10/2006
Monsieur,

A l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser progressivement les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Dans ces conditions, le délai de réalisation de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges peut se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années. La mise en service de la ligne pourrait ainsi être concomitante avec celle de la LGV Sud Europe Atlantique prévue en 2016.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°763 de : BREJAUD Bernadette-  36330 LE POINCONNET - le 29/09/2006
Pour quand le TGV ?

Réponse  RFF 16/10/2006
Madame,

A l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser progressivement les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Dans ces conditions, le délai de réalisation de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges peut se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années. La mise en service de la ligne pourrait ainsi être concomitante avec celle de la LGV Sud Europe Atlantique prévue en 2016.

Nous vous prions d’agréer, Madame, nos salutations distinguées.

Question n°688 de : BURWOOD Paul-  16350 LE VIEUX CERIER - le 21/09/2006
Quand le projet sera terminé, combien de personnes auront une occupation permanente ?

Réponse  RFF 20/12/2006
Monsieur,

Il n’est pas possible à ce stade du projet de répondre à votre question.
Toutefois, des éléments de comparaison peuvent être donnés, notamment par rapport à la Ligne à Grande Vitesse Est européenne qui sera mise en service courant 2007.
Il est estimé que ce projet de 300 km de Ligne à Grande Vitesse induira une création ou un maintien d’environ 16 500 emplois/an au-delà de la mise en service, répartis à raison de :
• 3000 pour la Champagne-Ardennes ;
• 7000 pour la Lorraine ;
• 6500 pour l’Alsace.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°661 de : BROUSSE Robert-  87 270 couzeix - le 18/09/2006
Y a -t-il des projets déjà finalisés, si oui, lesquels ?

Réponse  RFF 19/12/2006
Monsieur,

Le débat public a pour vocation d’éclairer le maître d’ouvrage sur la décision qu’il a à prendre. Ainsi, à la suite du débat, Réseau ferré de France peut décider de poursuivre le projet ou il peut être amené à modifier profondément ce dernier comme cela fut le cas pour le projet CDG Express, pour lequel le débat public a permis de faire émerger une nouvelle solution que Réseau ferré de France a finalement retenue. Certains maîtres d’ouvrage décident de ne pas poursuivre leur projet. Donc, à ce jour, aucune décision ne peut-être prise.
Dans les trois mois qui suivent la publication du compte-rendu de la Commission Particulière du Débat Public et du bilan de la Commission Nationale du Débat Public (rendus publics au plus tard deux mois après la fin du débat public), Réseau ferré de France, maître d’ouvrage, publiera au Journal Officiel les suites qu’il entend donner au projet.
Ensuite, si le maître d’ouvrage décide de poursuivre le projet, les différentes phases d’études sont ponctuées d’étapes de validation (approbations ministérielles, déclaration d’utilité publique...) qui sont nécessaires à la poursuite et à la concrétisation du projet.
Réseau ferré de France mènera donc le projet à bien dans la mesure où l’ensemble des partenaires en assurera le financement, puisque notre établissement public n’a pas vocation à assurer seul le financement d’une Ligne à Grande Vitesse.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°583 de : WEISS Viviane-  87 280 Limoges - le 13/09/2006
Quand sera réalisé le TGV Limoges-Paris ?

Réponse  RFF 02/11/2006
Madame,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Madame, nos salutations distinguées.

Question n°509 de : PRAGOUT Jean-Pierre-  87 240 Saint-Sylvestre - le 09/09/2006
Les délais de réalisation sont-ils les mêmes pour toutes les options de passage ?

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

Les linéaires de ligne nouvelle prévus par les différentes options de passage sont relativement proches, l’écart maximum étant de 25km entre l’option Sud (90km) et l’option Nord (115km). C’est pourquoi, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet à l’issue du débat public, les délais ne devraient pas être sensiblement modifiés selon les options.
Les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser progressivement les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Dans ces conditions, le délai de réalisation de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges peut se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années. La mise en service de la ligne pourrait ainsi être concomitante avec celle de la LGV Sud Europe Atlantique prévue en 2016.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°508 de : PRAGOUT Jean-Pierre-  87 240 Saint-Sylvestre - le 09/09/2006
Quels sont les délais de réalisation envisagés ?

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

Si Réseau ferré de France décide de poursuivre le projet, la mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France apporte une attention particulière à la maîtrise des délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°451 de : THIBAUD Vincent-  87300 PEYRAT DE BELLAC - le 06/09/2006
Quelles raisons pourraient faire abandonner le projet pour RFF et l'Etat ?

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

Un projet comme celui de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges fait l’objet de différentes étapes décisionnelles.
Le débat public a pour vocation d’éclairer le maître d’ouvrage sur la décision qu’il a à prendre. A la suite du débat, Réseau ferré de France peut poursuivre son projet, être amené à l’abandonner ou à le modifier profondément, comme cela a été le cas pour le projet CDG Express, pour lequel le débat public a permis de faire émerger une nouvelle solution que Réseau ferré de France a finalement retenue.
Si la décision de poursuivre le projet est prise, les différentes phases d’études sont ponctuées d’étapes de validation (approbations ministérielles, décret de Déclaration d’Utilité Publique en Conseil d’Etat suite à une enquête publique, etc.) qui sont nécessaires à la poursuite et à la concrétisation du projet.
Réseau ferré de France mènera donc le projet à bien dans la mesure où l’ensemble des partenaires en assurera le financement puisque notre établissement public n’a pas vocation à assurer seul le financement d’une Ligne à Grande Vitesse.


Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°437 de : EDME Gilles-  87480 ST PRIEST TAURION - le 06/09/2006
Y-aura-t-il encore beaucoup d'études pour cette ligne nouvelle car il y a déjà eu :
- le POLT
- l' amélioration de la ligne actuelle
- le TGV Paris-Limoges via Poitiers

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°408 de : GUEGAN François - le 05/09/2006
Quand les tracés envisagés seront-ils précisés ?

Réponse  RFF 09/10/2006
Monsieur,

A ce stade du projet, le débat public permet de débattre de l’opportunité et des principales caractéristiques du projet de Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges. Il n’existe donc pas de tracé. Seules des options de passage (bandes d’une dizaine de km de large) sont définies.
A l’issue du débat public, si Réseau ferré de France décide de poursuivre le projet, différentes phases d’étude et de concertation permettront d’en préciser progressivement les caractéristiques et notamment le tracé. Ce n’est qu’au cours de ces études qu’il sera possible de retenir, dans un premier temps, un fuseau de 1.000 m de large (études préliminaires) puis, à l’issue de l’enquête publique, une bande de 500 m dans laquelle s’inscrira la future infrastructure. Une durée minimum de l'ordre de 6 ans est communément admise pour la réalisation de ces différentes phases d’études.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°404 de : WELLS John-  86460 AVAILLES LIMOUZINE - le 05/09/2006
Pour quand l'option sud ?

Réponse  RFF 27/10/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016. A l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.

Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°375 de : BELLEUDY Philippe-  87350 PANAZOL - le 04/09/2006
A qui revient, en dernier ressort, pour cet excellent projet, la décision finale, et quelle autorité se chargera de promouvoir le "bien public" face aux différents groupes d'intérêts ?

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

Dans les trois mois qui suivent la publication du compte-rendu de la Commission Particulière du Débat Public et du bilan de la Commission Nationale du Débat Public (rendus publics au plus tard deux mois après la fin du débat public) Réseau ferré de France, maître d’ouvrage, publiera au Journal Officiel les suites qu’il entend donner au projet.
Le débat public a pour vocation d’éclairer le maître d’ouvrage sur la décision qu’il a à prendre. Ainsi, à la suite du débat, Réseau ferré de France peut décider de poursuivre le projet ou il peut être amené à modifier profondément ce dernier comme cela fut le cas pour le projet CDG Express, pour lequel le débat public a permis de faire émerger une nouvelle solution que Réseau ferré de France a finalement retenue.
Ensuite, les différentes phases d’études sont ponctuées d’étapes de validation (approbations ministérielles, déclaration d’utilité publique... ) qui sont nécessaires à la poursuite et à la concrétisation du projet.
Réseau ferré de France mènera donc le projet à bien dans la mesure où l’ensemble des partenaires en assurera le financement puisque notre établissement public n’a pas vocation à assurer seul le financement d’une Ligne à Grande Vitesse.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°369 de : BREME Daniel-  86550 MIGNALOUX - le 04/09/2006
Quelle est la date possible de la mise en service ?

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°343 de : RAYNAUD André-  87000 LIMOGES - le 04/09/2006
Quel serait le calendrier des réalisations études et travaux (option centrale) ?

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

Concernant le processus traditionnel de conduite d’un projet de ligne à grande vitesse, ce dernier se caractérise par différentes phases successives et formalisées d’études, puis de travaux. Chaque phase fait l’objet d’approbations ministérielles.
À l’issue du débat public, si le maître d’ouvrage prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration en Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser progressivement les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Dans ces conditions, le délai de réalisation de la LGV Poitiers-Limoges peut se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années. La mise en service de la ligne pourrait ainsi être concomitante avec celle de la LGV Sud Europe Atlantique prévue en 2016.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°300 de : LAGARDE Francis-  87520 VEYRAC - le 04/09/2006
Ce projet a-t-il vraiment une chance de réussir ?

Réponse  RFF 13/11/2006
Monsieur,

Dans les trois mois qui suivent la publication du compte-rendu de la Commission Particulière du Débat Public et du bilan de la Commission Nationale du Débat Public (rendus publics au plus tard deux mois après la fin du débat public) Réseau ferré de France, maître d’ouvrage, publiera au Journal Officiel les suites qu’il entend donner au projet.
Le débat public a pour vocation d’éclairer le maître d’ouvrage sur la décision qu’il a à prendre. Ainsi, à la suite du débat, Réseau ferré de France peut décider de poursuivre le projet ou il peut être amené à modifier profondément ce dernier comme cela fut le cas pour le projet CDG Express, pour lequel le débat public a permis de faire émerger une nouvelle solution que Réseau ferré de France a finalement retenue.
Ensuite, les différentes phases d’études sont ponctuées d’étapes de validation (approbations ministérielles, déclaration d’utilité publique... ) qui sont nécessaires à la poursuite et à la concrétisation du projet.
Réseau ferré de France mènera donc le projet à bien dans la mesure où l’ensemble des partenaires en assurera le financement puisque notre établissement public n’a pas vocation à assurer seul le financement d’une Ligne à Grande Vitesse.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°291 de : VENEL François-  87700 AIX SUR VIENNE - le 04/09/2006
Quels sont les éléments réels de décision ?

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

Le débat public permet de débattre de l’opportunité et des principales caractéristiques du projet de Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges. A la suite du débat, Réseau ferré de France en fera l’analyse et devra publier sa décision motivée au Journal Officiel.
Pour Réseau ferré de France, le débat public a pour vocation d’éclairer le maître d’ouvrage sur la décision qu’il a à prendre. Ainsi, à la suite du débat, Réseau ferré de France peut être amené à modifier profondément son projet comme cela fut le cas pour le projet CDG Express, pour lequel le débat public a permis de faire émerger une nouvelle solution que Réseau ferré de France a finalement retenue. Il peut également poursuivre son projet. Par ailleurs, certains maîtres d’ouvrage ont été amenés à ne pas donner de suite à leur projet. Aujourd’hui, ces trois possibilités sont envisageables.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°277 de : ROCHER Thierry-  87000 LIMOGES - le 04/09/2006
J'aimerai connaître les délais de réalisation, les cadres attendent avec impatience ?

Réponse  RFF 20/11/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°272 de : LAGARDE Roland-  87520 ORADOUR SUR GLANE - le 04/09/2006
En mai 2007 RFF doit rendre sa décision, quels seront les engagements du maître d'ouvrage ?

Réponse  RFF 13/11/2006
Monsieur,

Dans les trois mois qui suivent la publication du compte-rendu de la Commission Particulière du Débat Public et du bilan de la Commission Nationale du Débat Public (rendus publics au plus tard deux mois après la fin du débat public), Réseau ferré de France, maître d’ouvrage, publiera au Journal Officiel les suites qu’il entend donner au projet.
Le débat public a pour vocation d’éclairer le maître d’ouvrage sur la décision qu’il a à prendre (modifier, poursuivre ou abandonner le projet). Ainsi, à la suite du débat, Réseau ferré de France peut décider de poursuivre le projet ou il peut être amené à modifier profondément ce dernier comme cela fut le cas pour le projet CDG Express, pour lequel le débat public a permis de faire émerger une nouvelle solution que Réseau ferré de France a finalement retenue. Par ailleurs, certains maîtres d’ouvrage ont décidé de ne pas poursuivre leur projet à l’issue d’un débat public.
Ensuite, les différentes phases d’études sont ponctuées d’étapes de validation (approbations ministérielles, déclaration d’utilité publique... ) qui sont nécessaires à la poursuite et à la concrétisation du projet.
Réseau ferré de France mènera donc le projet à bien dans la mesure où l’ensemble des partenaires en assurera le financement puisque notre établissement public n’a pas vocation à assurer seul le financement d’une Ligne à Grande Vitesse.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°246 de : MOUZAC Aurélien - le 04/09/2006
je fais régulièrement les voyages Poitiers-Limoges en train. il est évident qu'un projet comme le LGV m'interesse. Je souhaiterai savoir dans le cas où tout fonctionne comme prévu (financements, travaux...) quelle serait l'année de mise en service de ce train ?

Réponse  RFF 09/10/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la LGV Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
À l’issue du débat public, si Réseau ferré de France prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne, une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent, dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale, se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°241 de : DAVID Pierre-  87370 SAINT SULPICE LAURIERE - le 02/09/2006
RFF est-il en mesure de donner des dates de début de construction et de mise en service de cette ligne LGV ?

Réponse  RFF 06/09/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France apporte une attention particulière à la maîtrise des délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°231 de : COHELEAC'H Loïc-  86300 LEIGNES SUR FONTAINE - le 02/09/2006
Pourquoi n'avons nous pas été avisé d'un tel projet au moment du dépôt de notre permis de construire par la DDE en janvier 2005 ?

Réponse  RFF 07/11/2006
Actuellement, le projet est dans la phase des études fonctionnelles et du débat public qui porte sur des principes de fuseau.
Dans ce cadre, le dossier du débat public propose trois options de fuseau pour le tracé. Rien n’est arrêté pour l’instant. Les conclusions de la CPDP sur le projet permettront au maître d’ouvrage, RFF, de décider de la suite qui sera réservée au projet.
Une décision du ministre des Transports fixera ensuite l’avenir de ce projet qui entrera alors dans une phase d’étude plus précise.
En janvier 2005, il ne pouvait donc pas être fait état de cette liaison qui, à ce jour, n’en est qu’au stade des réflexions de faisabilité.
Pour qu’un projet puisse être indiqué lors de l’instruction des demandes de permis de construire, il doit avoir fait l’objet d’une décision ministérielle ou préfectorale.

Question n°187 de : FEUTRIEZ Lionel-  19190 AUBAZINE - le 02/09/2006
Ce projet très attendu ne doit prendre aucun retard, à quand estimez vous la mise en service de cette ligne ?

Réponse  RFF 07/09/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France affiche une volonté forte de maîtriser les délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°186 de : SARRE Roland-  87100 LIMOGES - le 02/09/2006
A quelle date serait terminé le projet ?

Réponse  RFF 07/09/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France apporte une attention particulière à la maîtrise des délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°185 de : CHAMAGNE Jean-Marie-  87800 NEXON - le 02/09/2006
En quelle année le projet sera-t-il terminé ?

Réponse  RFF 07/09/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France affiche une volonté forte de maîtriser les délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°183 de : SUSSINGEAS Jacques-  87500 SAINT YRIEIX LA PERCHE - le 02/09/2006
Quelle est la durée de réalisation effective d'un tel projet ?

Réponse  RFF 07/09/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France apporte une attention particulière à la maîtrise des délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°182 de : REBEIX Monique-  19200 USSEL - le 02/09/2006
Quelle est la date approximative de mise en service de la ligne à grande vitesse Paris-Limoges ?

Réponse  RFF 07/09/2006
Madame,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France affiche une volonté forte de maîtriser les délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Madame, nos salutations distinguées.

Question n°123 de : CHANIOL Marcelle-  19300 ROSIERS D'EGLETONS - le 01/09/2006
Pourquoi devoir attendre 10 ans une liaison que des milliers de personnes attendent déjà depuis 20 ans ?

Réponse  RFF 07/09/2006
Madame,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
La réalisation d’un tel projet se caractérise par différentes phases successives et formalisées d’études, puis de travaux. Chaque phase fait l’objet d’approbations ministérielles.
Les premières de ces études (pré-études fonctionnelles) servent à fournir un éclairage sur l’opportunité du projet et à définir ses grandes caractéristiques. Pour le projet de la LGV Poitiers-Limoges, ces études ont été réalisées en 2005-2006 et sont rendues publiques dans le cadre du débat public.
À l’issue du débat public, si le maître d’ouvrage prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.
Réseau ferré de France affiche une volonté forte de maîtriser les délais de réalisation de ses infrastructures. Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Madame, nos salutations distinguées.

Question n°64 de : NIBEAUDEAU Patrick-  86360 MONTAMISE - le 31/08/2006
Pourquoi le délai de réalisation est-il si long ?

Réponse  RFF 07/09/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
La réalisation d’un tel projet se caractérise par différentes phases successives et formalisées d’études, puis de travaux. Chaque phase fait l’objet d’approbations ministérielles.
Les premières de ces études (pré-études fonctionnelles) servent à fournir un éclairage sur l’opportunité du projet et à définir ses grandes caractéristiques. Pour le projet de la LGV Poitiers-Limoges, ces études ont été réalisées en 2005-2006 et sont rendues publiques dans le cadre du débat public.
À l’issue du débat public, si le maître d’ouvrage prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration en Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.
Réseau ferré de France affiche une volonté forte de maîtriser les délais de réalisation de ses infrastructures. Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°45 de : RANJON Carole-  23290 SAINT PIERRE DE FURSAC - le 31/08/2006
Quelle est l'instance qui prendra la décision définitive du tracé de la LGV ?

Réponse  RFF 09/10/2006
Madame,

A ce stade du projet, le débat public permet de débattre de l’opportunité et des principales caractéristiques du projet de Ligne à Grande Vitesse (LGV) Poitiers-Limoges. Il n’existe donc pas de tracé. Seules des options de passage (bandes d’une dizaine de km de large) sont définies.
A l’issue du débat public, si Réseau ferré de France décide de poursuivre le projet, différentes phases d’étude permettront de préciser progressivement le tracé. C’est à l’issue de l’enquête publique que sera connue la bande de 500 m dans laquelle s’inscrira la future infrastructure. Cette enquête, qui aura lieu dans 6 à 8 ans, fait l’objet d’un décret de Déclaration d'Utilité Publique signé en Conseil d'Etat.

Nous vous prions d’agréer, Madame, nos salutations distinguées.

Question n°34 de : BOURDON François-  86580 VOUNEUIL SOUS BIARD - le 31/08/2006
A quelles dates exactes seront connus :
- le choix parmi les 3 tracés ?
- le tracé précis et définitif ?

Réponse  RFF 22/09/2006
Monsieur,

A ce stade du projet, le débat public permet de débattre de l’opportunité et des principales caractéristiques du projet de LGV Poitiers-Limoges. Il n’existe donc pas de tracé. Seules des options de passage (bandes d’une dizaine de km de large) sont définies.
A l’issue du débat public, si le maître d’ouvrage décide de poursuivre le projet, il déterminera sur quelle(s) option(s) porteront les phases ultérieures d'étude. Ces dernières (étude préliminaire, avant projet sommaire) aboutiront à une enquête publique. C’est au cours de cette dernière que sera connue la bande de 500 m dans laquelle s’inscrira la future infrastructure.
Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément admise pour la réalisation de ces différentes phases.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°33 de : FRUGIER François-  87000 LIMOGES - le 31/08/2006
Quelles sont les étapes à venir ?
Quelles sont les chances de voir aboutir ce projet ?
Quand serons - nous définitivement fixés ?

Réponse  RFF 22/09/2006
Monsieur,

Concernant le processus traditionnel de conduite d’un projet de ligne à grande vitesse, ce dernier se caractérise par différentes phases successives et formalisées d’études, puis de travaux. Chaque phase fait l’objet d’approbations ministérielles.
Les premières de ces études (pré-études fonctionnelles) servent à fournir un éclairage sur l’opportunité du projet et à définir ses grandes caractéristiques. Pour le projet de la LGV Poitiers-Limoges, ces études ont été réalisées en 2005-2006 et sont rendues publiques dans le cadre du débat public.
À l’issue du débat public, si le maître d’ouvrage prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration en Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser progressivement les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Dans ces conditions, le délai de réalisation de la LGV Poitiers-Limoges peut se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années. La mise en service de la ligne pourrait ainsi être concomitante avec celle de la LGV Sud Europe Atlantique prévue en 2016.

A l’issue du débat, dans un délai de deux mois, un compte-rendu est établi par la Commission particulière du débat public (CPDP) et le président de la Commission nationale du débat public (CNDP) en dresse le bilan. Le maître d’ouvrage dispose ensuite de trois mois, soit le 18 mai 2007 pour prendre une décision sur le principe et les conditions de la poursuite du projet. Cette décision, publiée au Journal officiel, est prise en Conseil d’Administration de Réseau ferré de France.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°27 de : LAGALLE Claude-  86 000 POITIERS - le 28/08/2006
L'aménagement du territoire national alliant modernité et protection durable de l'environnement passe à mon sens par l'option centrale. Alors bouclez vite votre débat public et ce stade de votre enquête, je vous demande : quand commencez-vous?

Réponse  RFF 22/09/2006
Monsieur,
La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France apporte une attention particulière à la maîtrise des délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puisse se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°20 de : RUIZ Christian-  87300 BELLAC - le 22/08/2006
Constat : la SNCF est en pleine mutation. Dans les trois tracés, je retiens le centre mais soyons attentifs au fait que les directions régionales de la SNCF se mettent en retrait pour de véritables correspondances entre ce type de liaison et le TGV. Analysant le planning prévisionnel, pourriez vous être plus précis sur les différentes phases et notamment la mise en oeuvre de la ligne LGV ?

Réponse  RFF 22/09/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
La réalisation d’un tel projet se caractérise par différentes phases successives et formalisées d’études, puis de travaux. Chaque phase fait l’objet d’approbations ministérielles.
Les premières de ces études (pré-études fonctionnelles) servent à fournir un éclairage sur l’opportunité du projet et à définir ses grandes caractéristiques. Pour le projet de la LGV Poitiers-Limoges, ces études ont été réalisées en 2005-2006 et sont rendues publiques dans le cadre du débat public.
À l’issue du débat public, si le maître d’ouvrage prend la décision de poursuivre le projet, les phases suivantes sont successivement les études préliminaires, l’avant-projet sommaire (APS), l’enquête publique (avec déclaration au Conseil d’Etat) et l’avant-projet détaillé (APD). Chacune de ces phases permet de préciser davantage les caractéristiques, les avantages socio-économiques, les coûts et l’inscription territoriale du projet. Une durée moyenne de l’ordre de 6 à 8 ans est communément envisagée.
La réalisation des travaux constitue l’ultime phase de concrétisation du projet. Du fait des spécificités liées à cette ligne une durée de 3 à 4 ans peut être envisageable.
Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années.
Réseau ferré de France affiche une volonté forte de maîtriser les délais de réalisation de ses infrastructures. Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.

Question n°8 de : LUDBROOK Denys-  92700 COLOMBES - le 02/08/2006
En quelle année roulera la ligne?

Réponse  RFF 22/09/2006
Monsieur,

La mise en service de la Ligne à Grande Vitesse Poitiers-Limoges pourrait être concomitante à celle de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique, prévue en 2016.
Réseau ferré de France affiche une volonté forte de maîtriser les délais de réalisation de ses infrastructures. Réseau ferré de France mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires afin que la réalisation des études et l’exécution des travaux puissent se concevoir sur une durée d’une dizaine d’années (dont 3 à 4 années de travaux).
Cette volonté de maîtrise des délais se fera en cohérence avec la réglementation en vigueur et dans le respect des dispositifs continus de concertation auxquels nous accordons une importance primordiale.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.