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Avis et contributions

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Les avis reçus par la CPDP seront consultables sur le site de la Commission et figureront dans les archives du débat

Thème séléctionné : Gares existantes ou externes

Avis n°158 de : WOLFFHUGEL Jean-François-  11480 LA PALME - le 05/04/2009

Une gare voyageur est un lieu où les trains s'arrêtent pour prendre et déposer les voyageurs. Lorsqu'un Train à Grande Vitesse est arrêté, c'est un train comme les autres. Il faut que l'usager qui veut prendre le train puisse venir à la gare par tous les moyens : à pied, à vélo, en auto, en train régional, en tram, en bus, en train interrégional. Il est évident que les gares existantes qui offrent ces possibilités doivent être reliés à la Ligne Grande Vitesse par des bretelles et modernisées. Pas de gare voyageur au milieu des champs de vigne accessible qu'en automobile !

Avis n°193 de : DITISHEIM Bernard-  30900 NÎMES - le 08/04/2009

N'oubliez jamais que l'intérêt du train c'est d'arriver pratiquement en ville. Les gares excentrées sont une erreur (voir aéroports pour accès en ville). Quant aux gains de temps, est-ce bien utile face à la dépense... De toutes façons, enquête ou non, "les responables" appliqueront leur volonté (politique ou financière).

Avis n°230 de : PUECH Jean-Pierre-  34990 JUVIGNAC - le 08/04/2009

Je suis favorable au passage des TGV dans les gares historiques (en centre ville).

Avis n°257 de : PIERRINE Bruno-  11440 PEYRIAC DE MER - le 09/04/2009

Sur l'axe Narbonne-Béziers-Pézénas, il serait intéressant de limiter le nombre de gares en les répartissant à égale distance sur le territoire. Ex : 1 au Sud-Est de Narbonne, 1 au Nord Ouest de Béziers, voire côté Pézénas.

Avis n°260 de : DUBREMETZ Jean-François-  34500 BEZIERS - le 09/04/2009

Toutes les gares hors agglomération sont des échecs. Pourquoi en ajouter. Les sorties de ligne GV sur les gares centre ville sont bien plus cohérentes. Le TGV n'est pas fait pour s'arrêter tous les 50km ; il faut aussi des rames Montpellier-Perpignan-Barcelone...

Avis n°269 de : FOLCHER Christian-  30340 SAINT PRIVAT DES VIEUX - le 09/04/2009

Dans un esprit de développement durable (évolution du climat, besoin de surfaces agricoles pour nourrir la planète, faciliter l'accès aux personnes âgées/handicapées...) quitte à perdre un peu de vitesse, gardons les gares au coeur des villes.

Avis n°315 de : BOIS Bernard-  66700 ARGELES SUR MER - le 09/04/2009

Le fait de créer des gares extérieures aux agglomérations risque de retarder les travaux.

Avis n°405 de : ROLAND -  66200 LATOUR BAS ELNE - le 15/04/2009

Pas de gare éloignée des trafics normaux. Ce afin de faciliter les correspondances.

Avis n°460 de : BUTHEAU Alain-  66700 ARGELES SUR MER - le 06/04/2009

Ca parait simple votre ligne... Il faut suivre l'autoroute, faire des raccordements avec la ligne existante pour accéder aux gares actuelles qui devraient être agrandies et modernisées pour accueillir tous les trains. Surtout ne faites pas la bêtise de faire de nouvelles gares dans les champs avec des navettes pour accéder aux anciennes gares en centre ville... Les gares doivent rester en centre ville comme Lyon, Port-Dieu ou Paris.

Avis n°493 de : SOULIE Laurent-  34550 BESSAN - le 06/04/2009

Favoriser les installations des gares en ville et plus en rase compagne pour Nîmes, Montpellier et Béziers.

Avis n°503 de : GRISON Marc-  34570 PIGNAN - le 06/04/2009

Quelque soit le projet, je demande instamment que les gares d'arrêt des voyageurs demeurent dans les centres villes comme elles le sont actuellement. C'est le bon sens même si l'on perd quelques minutes de trajet en chemin de fer.

Avis n°542 de : ROUQUETTE Guy-  30200 BAGNOLS SUR CEZE - le 30/04/2009

 


REFLEXION SUR LA NOUVELLE GARE TGV


Sur la gare elle-même, je pense qu’une réflexion innovante s’impose : une gare est par essence un nœud de communications pour le voyageur. Mais à notre époque, et plus encore à l’avenir, elle a un rôle à jouer. Elle doit être le vecteur avancé de l’image de la ville, du département, de la région qu’elle contribue à irriguer, tout comme des grands aéroports. C’est la première et la dernière impression qui compte. Elle doit donc partir d’un nouveau concept.


Le TGV vaut à la France une notoriété incontestable.


Il convient d’y harmoniser l’image de ses gares. Si elles sont, pour les plus récentes, architecturalement au diapason, force est de reconnaître que leur ambiance n’a pas évolué depuis la traction à vapeur. Elles avaient alors l’image sévère des locomotives entrant dans un vacarme assourdissant, crachant leur vapeur, leur fumée de charbon, leur relent d’huile poisseuse dans le vacarme de tampons entrechoqués.


Le terme « gare » lui-même porte une idée de protection d’un danger et nous préfèrerions le terme de « station ».


Les TGV entrent maintenant ; alliant vitesse et douceur.


La gare doit passer d’une image agressive de contrainte, à une image d‘accueil. De charmantes hôtesses du rail, en tenue seyante classique ou régionale, dans le hall, et non derrière un guichet, au service des arrivants, des partants, en particulier des personnes âgées appelées à voyager de plus en plus nombreuses, serait un plus. Hôtesses en mesure de renseigner sur les transports annexes, les différents services de la ville, les divertissements, les monuments et centres d’intérêts.


Il n’est pas exclu de penser que la gare puisse, temporairement, se transformer en lieu de vie et de présentations folkloriques, lors de manifestations sur la ville, attirant ainsi l’attention des passagers.


Le décor floral permanent devrait investir la gare et non s’arrêter à sa porte.


Des jeux d’eau pourraient renforcer l’image apaisante.


L’appellation à connotation ennuyeuse « salle d’attente » pourrait devenir « espace de relaxation ».


Un poste avancé du commissariat de la ville, en relation avec les chefs de trains, contribuerait à rassurer et enregistrerait les dépôts de plaintes éventuels.


Des vitrines agréables présenteraient les spécialités locales et régionales.


Un service de location de vélos VELNIM pour rendre service aux voyageurs à bagages légers.


Le tout formerait un ensemble accueillant de services et d’intérêt commercial pour le plus grand intérêt de la SNCF, de la ville, de la région et des voyageurs. Evidemment, reste le coût d’une telle réalisation à comparer aux retombées prévisibles.


La consommation d’énergie pourrait être assurée par le photovoltaïque sur le toit.


Financièrement pourraient, semble-t-il, participer autour de la table : SNCF, Villes de Nîmes, d’Alès, et autres concernées, Agglomération, Département, Région, CCI, commerçants présents etc…


La ville, qui la première parviendrait à réaliser cette gare newlook, bénéficierait certainement d’une belle publicité par les médias.


Voilà qui contribuerait, dans mon esprit de voyageur, à transformer le visage d’une gare en un visage d’une STATION ACCUEILLANTE.

Avis n°625 de : MORISOT Pierre-  75015 PARIS - le 02/06/2009

Monsieur le Président,


N’ayant eu l’occasion de m’exprimer lors de la réunion tenue à Nîmes le 23 avril dernier, en raison du nombre et de la densité d’interventions, et bien que l’exposé introductif du maire ait établi comme acquis l’établissement d’une gare nouvelle et ait ainsi fait douter de la nature du « débat » de cette réunion, je souhaiterai revenir sur le caractère à mon humble avis très inopportun d’une gare voyageurs supplémentaire dans le zone de Nîmes (alors d’ailleurs que je projet examiné est intitulé « Montpellier-Perpignan », donc nettement plus à l’Ouest et que le « dossier du maître d’ouvrage » traite à peu près entièrement de la portion Ouest de Montpellier).


En tant que voyageur fréquent, je déplore vivement l’existence de ces gares « nouvelles » situées en pleine campagne, et parfois à une distance considérable de la cité desservie (le Creusot par exemple), où des voyageurs transis attendent les trains sur des quais venteux ou se réfugient dans des structures sans âme de béton et de verre, avec au maximum la possibilité de boire un café ou d’acheter une revue. On perd ainsi l’avantage considérable du rail par rapport à la voie aérienne, celui de conduire au centre des villes, comme on a eu le soin de maintenir à Marseille – Saint Charles, à Lille (Flandres et Europe) et dans d’autres grandes villes, sans parler de la notion de gare centrale appliquée à Berlin à deux pas de la Chancellerie.


Il me semble que le TGV (et c’est la source de son vif succès) a quitté le caractère « élitiste » de 19841 (procurant à des gomme d’affaires pressés la possibilité d’effectuer un aller et retour rapide à Lyon) pour revêtir désormais un caractère « populaire » en transportant une clientèle de tous âges encombrée de paquets et de valises. Dès lors, toute rupture de charge devient une source d’énervement, de retards, d’erreurs de parcours. On aura gagné quelques minutes sur le trajet principal, on en perdra le double en fin de parcours. Se trouver sur un quai de Manduel à la recherche du souterrain qui conduit à la navette n’a rien à voir avec l’arrivée au bas de l’avenue Feuchères ! Ce serait une régression considérable par rapport aux pratiques actuelles, acceptable à la rigueur pour la personnalité attendue par son chauffeur, détestable pour celui qui cherche son véhicule dans les hectares pluvieux d’un parking payant ou qui va s’entasser dans une navette inconfortable (v. certains aéroports).


A partir d’un aiguillage, une ligne nouvelle de contournement pour le fret interrégional ou international, pour des Paris-Barcelone plus ou moins directs ou encore pour des trains de pèlerins à destination de Londres, certes ceci est sans doute rationnel, voire indispensable à terme, mais laissez nous débarquer face à la tour Magne et non au milieu des champs, gardez nous des projets mirobolants des grandes entreprises et des diners d’affaires et évitez de pleurer sur le confort et la simplicité des voyages d’antan.


Je vous présente l’assurance de ma parfaite considération.

Avis n°640 de : PICHERY Benoît-  11110 SALLES D'AUDE - le 30/03/2009

Je crois que comme la LGV Méditerrannée, il faut une seule gare entre Perpignan et Montpellier, le débat consiste à savoir où ?