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Questions et réponses

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Les Questions/Réponses reçus par la CPDP seront consultables sur le site de la Commission et figureront dans les archives du débat

Thème séléctionné : Paysages

Question n°393 de : FINDELI Alain-  30000 NÎMES - le 17/03/2009

Quelles sont les études spécifiquement paysagères effectuées et selon quelle(s) méthode(s) ( un document est il disponible, par exemple l' étude complémentaire N°10 ?)

Réponse le  31/03/2009

Un diagnostic paysager a été réalisé lors des études d’environnement préparatoires au débat public, afin de recenser les principales unités et entités paysagères présentes, et de définir leurs sensibilités par rapport à l’insertion d’une ligne dans les territoires traversés : espaces paysagers remarquables, sites d’‘intérêt, sites classés, monuments historiques et leurs abords…


Ce diagnostic a intégré les données des services de l’Etat, des collectivités mais aussi des associations et organismes compétents (Parc Naturel Régional de la Narbonnaise par exemple), et a nécessité une campagne de terrains et de relevés photographiques par les équipes d’études.


Ce volet paysager a été intégré à part entière dans l’analyse multicritères Environnement (eaux et ressources, milieu humain milieu naturel, patrimoine et paysage) afin de dégager des couloirs de passage préférentiels.


Une étude complémentaire paysagère a également été réalisée pour définir les entités paysagères concernées par les couloirs de passage étudiés, au regard de leur classification établie dans l’atlas régional des paysages, réalisé par la direction régionale de l’environnement du Languedoc – Roussillon.


Cette étude complémentaire est consultable en téléchargement sur le site internet du débat public    www.debatpublic-lnmp.org


 


A noter également qu’à l’issue du débat public, lors des études préliminaires et d’avant-projet, des études paysagères détaillées, globales et par secteur sensible, seront menées par des paysagistes. Les zones à enjeux seront recensées plus finement afin de préconiser des principes d’intégration paysagère adaptés.

Question n°396 de : biellmann guy-  66000 perpignan - le 17/03/2009
Peut-on croire à l'utilité des études paysagère dans les dossiers lorsqu'on voit le résultat sur le terrain ?

Réponse le  31/03/2009

Merci de préciser cette question qui, en l’état actuel, ne peut donner lieu à une réponse adaptée.

Question n°558 de : BERNET JEAN LUC-  30600 VAUVERT - le 18/03/2009
Quelles garanties seront données sur la réduction au strict minimum de l'impact paysager ? En clair, peut-on espérer qu'on préfèrera chaque fois que possible un tunnel à une tranchée (ex : la monstruosité de la voie TGV au niveau des Angles dans le Gard).

Réponse le  07/04/2009

Une ligne nouvelle introduit un élément nouveau dans les paysages traversés : c’est effectivement un ouvrage rectiligne avec des contraintes techniques liées à la grande vitesse ferroviaire et / ou au fret (rayons de courbure, pentes…) et d’environnement (notamment les traversées de zones inondables) ; ceci ne permet donc pas toujours de « se coller au terrain naturel ».


Les principaux impacts sur le paysage résultent :


o   des impacts directs de l'infrastructure sur les structures bâties ou végétales,


o    de la disparition pour le riverain ou l'usager de vues intéressantes,


o    de la modification du cadre de vie habituel pour le riverain,


o    de l'apparition de nouvelles structures pouvant être en contradiction avec l'échelle, la nature ou l'ambiance des sites traversés.


 


Ainsi, ce type d’infrastructure crée des coupures visuelles, physiques mais aussi parfois psychologiques pour ce qui touche au cadre de vie. Les impacts généraux d'une infrastructure ferroviaire sur les paysages peuvent aussi être indirects : aménagement foncier, développement urbain, réaménagement des délaissés…


L’intégration d’un projet de ligne ferroviaire dans les paysages est aujourd’hui prise en compte dès les pré-études fonctionnelles préalables au débat public. C’est pourquoi, au stade actuel des études de la ligne nouvelle Montpellier - Perpignan, une typologie des différents paysages traversés a été réalisée et les grands enjeux identifiés et hiérarchisés, pour la définition des couloirs de passage préférentiels.


Lors des études préliminaires et d’avant-projet, à l’issue du débat public, d’autres études paysagères seront menées par des équipes de paysagistes. Les zones à enjeux seront recensées et analysées plus finement afin de préconiser les principes d’intégration paysagère les plus adaptés.


 


Différents types de solutions d’intégration paysagère sont ainsi envisageables :


o   adaptation du profil en long de la ligne conditionnée par les caractéristiques techniques minimales ou les contraintes du site (en déblai – enfoncé dans le terrain naturel -, ou en remblai - surélevé),


o    restitution des abords de la ligne aux activités existantes,


o   réalisation de plantations d’arbres et arbustes le long de la voie ferrée,


o    création de merlons (buttes de terre) ou travail plus élaboré de mise en scène paysagère par la modification des formes du terrain (modelés paysagers).


 


Il faut par ailleurs souligner que les spécialistes de l’environnement et du paysage font aujourd’hui partie intégrante des équipes de RFF.

Question n°739 de : MILLES Philippe-  66430 BOMPAS - le 19/03/2009
Comment intégrer les nouvelles infrastructures dans le paysage pour les rendre chaudes et accueillantes ?

Réponse le  16/04/2009









Une ligne nouvelle introduit un élément nouveau dans les paysages traversés : c’est effectivement un ouvrage rectiligne avec des contraintes techniques liées à la grande vitesse ferroviaire et / ou au fret (rayons de courbure, pentes…) et d’environnement (notamment les traversées de zones inondables) ; ceci ne permet donc pas toujours de « se coller au terrain naturel ».


Les principaux impacts sur le paysage résultent :


o     des impacts directs de l'infrastructure sur les structures bâties ou végétales,


o      de la disparition pour le riverain ou l'usager de vues intéressantes,


o      de la modification du cadre de vie habituel pour le riverain,


o      de l'apparition de nouvelles structures pouvant être en contradiction avec l'échelle, la nature ou l'ambiance des sites traversés.


 


Ainsi, ce type d’infrastructure crée des coupures visuelles, physiques mais aussi parfois psychologiques pour ce qui touche au cadre de vie. Les impacts généraux d'une infrastructure ferroviaire sur les paysages peuvent aussi être indirects : aménagement foncier, développement urbain, réaménagement des délaissés…


L’intégration d’un projet de ligne ferroviaire dans les paysages est aujourd’hui prise en compte dès les pré-études fonctionnelles préalable au débat public.


C’est pourquoi, au stade actuel des études de la ligne nouvelle Montpellier - Perpignan, une typologie des différents paysages traversés a été réalisée et les grands enjeux identifiés et hiérarchisés, pour la définition des couloirs de passage préférentiels.


Lors des études préliminaires et d’avant-projet, à l’issue du débat public, d’autres études paysagères seront menées par des équipes de paysagistes. Les zones à enjeux seront recensées et analysées plus finement afin de préconiser les principes d’intégration paysagère les plus adaptés.


 


Différents types de solutions d’intégration paysagère sont ainsi envisageables :


 


o    adaptation du profil en long de la ligne conditionnée par les caractéristiques techniques minimales ou les contraintes du site (en déblai – enfoncé dans le terrain naturel -, ou en remblai - surélevé),


o      restitution des abords de la ligne aux activités existantes,


o     réalisation de plantations d’arbres et arbustes le long de la voie ferrée,


o     création de merlons (buttes de terre) ou travail plus élaboré de mise en scène paysagère par la modification des formes du terrain (modelés paysagers).


 



Question n°984 de : RIUS David-  66000 PERPIGNAN - le 21/03/2009

Réflexion sur l'insertion paysagère ?

Réponse le  15/06/2009

Le volet paysager est pris en compte dès les pré-études fonctionnelles préalables au débat public.


Concrètement, au stade actuel des études de la ligne nouvelle Montpellier - Perpignan, une typologie des différents paysages traversés a été réalisée et les grands enjeux identifiés et hiérarchisés. Ce diagnostic a intégré les données des services de l’Etat, des collectivités mais aussi des associations et organismes compétents (Parc Naturel Régional de la Narbonnaise par exemple), et a nécessité une campagne de terrain et des relevés photographiques par les équipes d’études.


Ce volet paysager a été intégré à part entière dans l’analyse multicritères environnementale (eaux et ressources, milieu humain milieu naturel, patrimoine et paysage) afin d’identifier des couloirs de passage préférentiels.


Lors des études préliminaires et d’avant-projet, à l’issue du débat public, d’autres études paysagères seront menées par des équipes de paysagistes. Les zones à enjeux seront recensées et analysées plus finement afin de préconiser les principes d’intégration paysagère les plus adaptés.


 


Différents types de solutions d’intégration paysagère sont ainsi envisageables :


o        adaptation du profil en long de la ligne conditionnée par les caractéristiques techniques minimales ou les contraintes du site (en déblai – enfoncé dans le terrain naturel -, ou en remblai - surélevé),


o        restitution des abords de la ligne aux activités existantes,


o        réalisation de plantations d’arbres et arbustes le long de la voie ferrée,


o        création de merlons (buttes de terre) ou travail plus élaboré de mise en scène paysagère par la modification des formes du terrain (modelés paysagers).

Question n°1455 de : MURCIA Jean-Pierre-  66350 TOULOUGES - le 30/03/2009

Des plantations d'arbres non résineux sont-elles prévues en bordure raisonnable (bas de talus et délaissés) de la LGV ?

Réponse le  26/05/2009

Au stade actuel des études de la ligne nouvelle Montpellier - Perpignan, nous avons identifié les différents paysages traversés ainsi que les grands enjeux environnementaux, ceci dans des couloirs de 5 km de large.


Lors des études préliminaires et d’avant-projet, des études paysagères très fines seront menées par des équipes de paysagistes. Les zones à enjeux seront recensées et analysées afin de préconiser les principes d’intégration paysagère les plus adaptés.


Différentes solutions d’intégration paysagère seront envisageables :


o        réalisation de plantations d’arbres et arbustes le long de la voie ferrée et dans les délaissés,


o        définition du type de plantation selon les secteurs (résineux, non résineux…)


o        adaptation du profil en long de la ligne conditionnée par les caractéristiques techniques ou des contraintes du site,


o        création de merlons (buttes de terre) ou travail plus élaboré de mise en scène paysagère par la modification des formes du terrain (modelés paysagers).


Question n°1478 de : BELMAS LAURENT-  66540 BAHO - le 30/03/2009

A partir du moment où l' on connait le tracé définitif, est-il possible de prévoir la plantation de haies composites avant le début du chantier, quitte à faire cette démarche avec des propriétaires fonciers de la future ligne ?

Réponse le  26/05/2009

Comme vous le mentionnez, les aménagements paysagers sont définis très précisément lorsque le tracé de l’infrastructure est connu (phase d’« avant projet détaillé »).


Aucune plantation n’est réalisée avant le début des travaux, du fait des chantiers préparatoires préalables : déboisements, archéologie, déviation de réseaux, etc…. Les premières plantations mises en œuvre sont les engazonnements à la fin des terrassements pour stabiliser les talus contre les ravinements (pluie).


Les plantations d’arbres et d’arbustes sont généralement effectuées lors de la mise en place des équipements ferroviaires (ballast, rail, écrans acoustiques, assainissements de la plateforme…).

Question n°2033 de : BELMAS Laurent-  66540 BAHO - le 12/06/2009

Madame, Monsieur, je ne suis pas sûr d'avoir été compris. Peut être que ma question n'était pas assez claire ou détaillée. Permettez-moi de la préciser. J'ai pu observer les différentes phases du chantier TGV Perpignan vers la Catalogne Sud. Et c'est bien pour cela que ma question portait précisément sur la prévision des travaux et des couloirs déjà réservés pour le passage de la ligne. Je n'ai jamais parlé d'aménagement paysagé aux abords proches de la ligne, mais de possibilités de préparer l'avenir en aménageant les abords moins proches en utilisant des terrains donnés par des futurs voisins de la ligne. Cela me semble être du bon sens quand on connaît la vitesse de croissance d'un arbre. En tant qu'ancien agriculteur, je peux en parler. Sachez, Madame, Monsieur, que je prépare un programme dans ce sens. Il me semble aujourd'hui qu'il est préférable de prévoir que de se tromper. L'environnement n'est pas une marchandise mais un investissement. Bien entendu j'attends une réponse de votre part aussi rapide que celle que je viens de recevoir. Cordialement

Réponse le  18/06/2009

Au stade actuel des pré études fonctionnelles, il est trop tôt pour répondre de manière précise à votre question sur les plantations et les reboisements qui seront effectués. C’est seulement après les conclusions du débat public que des études plus approfondies seront lancées, en phase d’études préliminaires puis d’avant projet sommaire. En tout état de cause, les aménagements paysagers sont généralement préconisés dans les emprises ferroviaires c'est-à-dire à l’intérieur des espaces clôturés, dans lesquels le gestionnaire de l’infrastructure en est propriétaire et est habilité à les entretenir.


Plusieurs expériences de plantations hors emprises ferroviaires sur des espaces « éloignés » de la LGV ont été menées dans le cadre du TGV Méditerranée ; elles n’ont pas donné des résultats satisfaisants du fait du manque d’engagement des collectivités locales (communes notamment) pour entretenir ces espaces plantés.

Question n°1623 de : GARRIGUE Henri-  66350 TOULOUGES - le 03/04/2009

L' effort d' intégration des ouvrages concernant le nouveau tronçon Perpignan-Figuières n' a rien de comparable à celui constaté sur d' autres secteurs, par exemple Avignon. Consacrera-t-on pour Montpellier-Perpignan les moyens nécessaires et adaptés à la préservation de ces différents sites remarquables ?

Réponse le  27/05/2009

Vous pouvez vous référer à l’ensemble des études environnementales menées par Réseau ferré de France sur le site internet de la CPDP. Vous y trouverez également une étude sur la prise en compte des paysages traversés par le projet dans la réflexion d’inscription de la ligne dans son territoire.


Pourriez-vous préciser votre question sur des points explicites pour que nous y apportions la meilleure réponse possible ?


Merci

Question n°1924 de : MUNIER Mélanie-  34000 MONTPELLIER - le 13/05/2009
Comment conciliez-vous protection des espaces naturels et valorisation du territoire à travers la ligne GV ?

Réponse le  16/06/2009

La prise en compte des sensibilités environnementales et la valorisation des territoires (par une meilleure desserte et la proximité des bassins de vie) ont été, avec le critère « coût de réalisation », les trois grands thèmes qui ont alimenté la réflexion pour le choix des couloirs de passage proposés au débat public, et donc du futur projet de ligne nouvelle Montpellier Perpignan.


Cette démarche est expliquée en détail en pages 62 et 63 du dossier du Maître d’ouvre, téléchargeable sur le site internet de la commission particulière du débat public www.debatpublic-lnmp.org

Question n°1982 de : DISCH Marie-Madeleine-  11290 MONTREAL - le 20/05/2009

L'impact sur le paysage, une catastrophe ? L'Aude est déjà si martyrisée !

Réponse le  17/06/2009

Il convient de signaler en préambule que la majorité des paysages en France ont été façonnés par la main de l’homme depuis plusieurs siècles (agriculture, grandes infrastructures comme le canal du Midi etc…), ce qui n’enlève en rien à leur beauté.


Contrairement à vos propos, la construction d’une ligne ferroviaire n’est pas une catastrophe pour les paysages car de nombreuses études sont menées, dans le respect de la réglementation française en matière de protection de l’environnement, y compris sur le volet paysager. Quelque soit le tracé retenu, une étude d’impact sur l’environnement sera réalisée et jointe au dossier d’enquête publique, et de nombreuses études d’insertion paysagère seront réalisées par des spécialistes. Pour votre information, les incidences générales d‘un projet ferroviaire sur l’environnement et les mesures mises en œuvre sont traitées dans le rapport d’étude n°15 intitulé « synthèse des impacts et mesures envisageables dans le cadre de la ligne nouvelle », et dans l’étude complémentaire « Analyse paysagère des couloirs de passage étudiés » disponible sur CD rom ou en téléchargement sur le site internet du débat public www.debatpublic-lnmp.org.

Question n°1995 de : LACOSTE Régine-  34400 SATURARGUES - le 22/05/2009

Les paysages viticoles languedociens font partie intégrante du patrimoine naturel de la Région. Je ne pense pas que RFF ait mesuré la juste valeur qualitative des hectares AOC supprimés. Les tunnels qui pourraient être faits ne le sont pas, car ils coûtent trop cher ! Comment peut-on avoir la certitude, après les travaux de construction de la ligne, que les solutions d'intégration paysagères (plantations d'arbres..) seront effectivement réalisées ?? Les engagements pris ne sont-ils qu'"envisageables", comme il est dit dans les dossiers ? J'aimerai être rassurée, en ce qui concerne" l'Après chantier".

Réponse le  18/06/2009

Votre remarque est relative au projet de Contournement de Nîmes et de Montpellier alors que les études auxquelles vous faites référence sont celles du projet Ligne Nouvelle Montpelier Perpignan. Or c’est deux projet ne sont pas du tout au même stade de définition.


Suite à l’enquête d’utilité publique réalisée fin 2003, le projet de Contournement de Nîmes et Montpellier (CNM) a été déclaré d’utilité publique le 16 mai 2005 par décret du premier ministre après avis du Conseil d’Etat. L’insertion du projet dans son environnement constitue un objectif fort qui a été traduit en actions dans un dossier de mars 2006 dit des « Engagements de l’Etat ».


Ce dossier présente pour le Contournement de Nîmes et Montpellier les engagements pris par l’Etat en matière d’environnement, engagements résultants des observations recueillies au stade de l’instruction Mixte à l’Echelon Central (IMEC) des propositions du dossier d’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique , des observations et conclusions formulées par la commission d’enquête et des réponses qui y sont apportées par Réseau Ferré de France (RFF).


Les études et les travaux seront réalisés conformément aux engagements de l’Etat. Des comités de suivi départementaux (Gard et Hérault) veilleront au respect des engagements pris sur le projet par l’Etat.


Ces comités constitués par les préfets seront composés de représentants de l’Etat, des collectivités locales concernées, des administrations, des acteurs socio économiques et des représentants associatifs, et se réuniront au moins une fois par an jusqu’à la mise en service, l’année suivante et à la remise du bilan économique, social et environnemental qui sera réalisé dans les 3 à 5 ans suivant la mise en service.


Ce dossier des Engagements de l’Etat peut être téléchargé sur le site de la Commission particulière du débat publique de la ligne nouvelle Montpellier Perpignan (www.debatpublic-lnmp.org)

Question n°2026 de : GONDRY Jean-Yves-  11150 VILLEPINTE - le 11/06/2009

Pourra-t-on voir une maquette avec reliefs et paysages quand le projet sera en construction afin de voir comment cela sera à la fin des travaux ?

Réponse le  17/06/2009

A ce stade des études, il ne serait pas pertinent de réaliser une maquette puisque ce sont des couloirs de 5 km qui sont proposés au débat, alors que le projet lui ne dépassera pas la centaine de mètres de largeur.


Cependant par la suite, lors de l’enquête publique avec la définition précise du tracé, il pourrait être envisagé la réalisation d’animations en trois dimensions de certains secteurs ayant un caractère remarquable. C’est un outil couramment utilisé dans les projets d’infrastructure.


Idéalement, il faudra se positionner 10 ans après la mise en service, une fois que la végétation aura repris ses droits sur les travaux.