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AVIS 380 / Le SYTRAL ne devrait-il pas être en mesure de répondre aux attentes de chaque citoyen ?
Ajouté par Pierre SUBLET, SAINT GENIS SUD (OULLINS), 26/03/2013
Les associations demandent la priorité aux Transports en Commun et non pas le tout TC comme le Grand Lyon voudrait le faire croire. Il serait urgent de rétablir l’équilibre TC dans l'ouest et le sud ouest du Grand Lyon en investissant un euro pour la voiture et un euro pour les TC comme nous le demandons depuis de nombreuses années. Pourquoi cette demande ? Le SYTRAL ne devrait-il pas être en mesure de répondre aux attentes de chaque citoyen, quel que soit son mode de déplacement (choisi ou contraint) ? Il reste beaucoup à faire avant d'investir plus de 2,5 milliards d'Euros HT pour le TOP.
Nous nous refusons à opposer la voiture aux transports collectifs ou aux vélos et autres modes doux, mais il faudrait rapidement desservir correctement en transports en commun les 120 000 personnes de l'ouest et du sud ouest de l'agglomération sans attendre 2025.
Rodolphe Munier, responsable des projets métro en trolleybus : « Il reste du potentiel dans ce désert en bas à gauche sur la carte de l’agglomération. Il y a un bassin de 120 000 personnes de l’autre côté du Rhône mal desservi par les Transport en commun » (extrait de ''Ville Rail Transport'' de septembre 2010, Prolongation ligne métro B arrivée du métro à Oullins).
Rappel du PDU approuvé en octobre 1997, le scénario C a été choisi par une grande majorité de lyonnais. ''Scénario C un nouveau visage pour la cité'', ce scénario donne un nouveau visage de la cité :
- L’effort des collectivités est important en matière de requalification urbaine ;
- Cyclistes et piétons ont enfin toute leur place dans la ville ;
- Les centres villes sont mieux protégés et les nuisances diminuent grâce à une modération de la circulation générale ;
- La circulation automobile est maîtrisée à l’intérieur de Lyon et de la première couronne ;
- Les performances des transports en commun sont garanties et comparable à celle de la voiture, dans le centre et la première couronne.
- Une réelle alternative à l’usage de l’automobile est ainsi offerte.
La situation financière du réseau de transports en commun est améliorée.
> PDU Lyon 1997 (1)
> PDU Lyon 1997 (2)
> PDU Lyon 1997 (3)
> PDU Lyon 1997 (4)
> PDU Lyon 1997 approuvé par les élus en octobre 1997
> Voir les vidéos ''L’impact des résultats de l’enquête-ménages déplacement de 1995'', Christian MONTES, Maître de Conférences en géographie, urbanisme et aménagement à l’Université Lyon 2, et Christian PHILIP, 1er adjoint au maire de Lyon, vice-président de la Communauté urbaine de Lyon et président du SYTRAL
Associé à Mobilité & modes de vie; Déplacements en transports en commun
Nous nous refusons à opposer la voiture aux transports collectifs ou aux vélos et autres modes doux, mais il faudrait rapidement desservir correctement en transports en commun les 120 000 personnes de l'ouest et du sud ouest de l'agglomération sans attendre 2025.
Rodolphe Munier, responsable des projets métro en trolleybus : « Il reste du potentiel dans ce désert en bas à gauche sur la carte de l’agglomération. Il y a un bassin de 120 000 personnes de l’autre côté du Rhône mal desservi par les Transport en commun » (extrait de ''Ville Rail Transport'' de septembre 2010, Prolongation ligne métro B arrivée du métro à Oullins).
Rappel du PDU approuvé en octobre 1997, le scénario C a été choisi par une grande majorité de lyonnais. ''Scénario C un nouveau visage pour la cité'', ce scénario donne un nouveau visage de la cité :
- L’effort des collectivités est important en matière de requalification urbaine ;
- Cyclistes et piétons ont enfin toute leur place dans la ville ;
- Les centres villes sont mieux protégés et les nuisances diminuent grâce à une modération de la circulation générale ;
- La circulation automobile est maîtrisée à l’intérieur de Lyon et de la première couronne ;
- Les performances des transports en commun sont garanties et comparable à celle de la voiture, dans le centre et la première couronne.
- Une réelle alternative à l’usage de l’automobile est ainsi offerte.
La situation financière du réseau de transports en commun est améliorée.
> PDU Lyon 1997 (1)
> PDU Lyon 1997 (2)
> PDU Lyon 1997 (3)
> PDU Lyon 1997 (4)
> PDU Lyon 1997 approuvé par les élus en octobre 1997
> Voir les vidéos ''L’impact des résultats de l’enquête-ménages déplacement de 1995'', Christian MONTES, Maître de Conférences en géographie, urbanisme et aménagement à l’Université Lyon 2, et Christian PHILIP, 1er adjoint au maire de Lyon, vice-président de la Communauté urbaine de Lyon et président du SYTRAL
Associé à Mobilité & modes de vie; Déplacements en transports en commun
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Je partage votre analyse et constate que depuis ce document de 1997, la ville a changé de maire, de courant politique, le Sytral a changé de président, mais aussi de logique ; en effet on lisait que ''ligne forte : un matériel roulant électrique est confortable est choisi''... ''le réseau de transport en commun devient plus efficace, attire de nouveaux clients ce qui permet de dégager des financements pour augmenter la qualité de service sur l'ensemble du réseau'' ... ''la situation financière du réseau de transport en commun est améliorée''...''La capacité des routes et autoroutes qui pénètrent l'agglomération est gelée''.
Autre maire, autre politique. En 2011 les lignes fortes sont apparues, mais le matériel roulant électrique n'est pas acquis, ce sont des bus inconfortables et tape cul, à moteur diesel qui prennent place sur les lignes fortes comme le C10, le C7 met plus de 45 mn pour rejoindre la Part Dieu en empruntant les plus petites rues possibles, les bus, la desserte de fin de soirée et de nuit sont quasi inexistantes sur le sud ouest. Et pour finir, on nous apporte sur un plateau ce projet rebaptisé privilégiant la voiture avec comme argument que les transports en commun sont déficitaires et que les développer accroitrait le déficit, selon Monsieur Rivalta président du Sytral ... sans oublier qu'une part des fonds qui aurait dû être affectée au développement des transports en commun sera prélevée pour réaliser ce projet routier à péage ... où les transports en communs imbriqués dans les flux automobiles et camions de transit perdront encore en efficacité. Ce projet rétrograde a l'allure d'un projet politicofinancier très loin de l'intérêt des habitants de l'Ouest Lyonnais, d'autant qu'il devra pour la ville cœur de Lyon ardent défenseur du projet, recevoir les flux de l'A6/A7. Car ne nous le cachons pas, ce dernier point est la principale motivation de la ville de Lyon.