Avis n°3 de : LEPRETRE Raymond - Grand-Fort-Philippe 59153 - le 27/10/2007
Je me présente, je suis l'ancien Président du Club de Voile de Gravelines-Grand Fort Philippe (GGVLS) durant 12 ans. J'ai participé hier soir à la réunion publique à Gravelines. Pour des raisons personnelles, j'ai quitté la réunion vers 19h30. J'ai bien compris la question des véliplanchistes et également de la part du maître d'ouvrage la volonté d'apporter une solution au problème et de participer à un projet reprenant la problématique.
Je vous propose une suggestion, concernant un site non utilisé actuellement sur le littoral, qui pourrait convenir au projet des véliplanchistes et autres activités nautiques correspondantes.
Sur le territoire de Grand-Fort-Philippe, derrière le Calvaire, sur le front de mer, le site pourrait convenir à réaliser un plan d'eau de mer pour ces activités.
J'avais par le passé proposé ce site pour des activités nautiques de voile légère. A cette période, le projet n'avait pas été retenu,
C'est l'occasion aujourd'hui de le remettre sur la table. Il correspond aux amateurs du nautisme de bénéficier des sensations de la mer.
Je suis à votre disposition pour vous rencontrer autour d'une table ronde (je pense que l'idée est retenue) pour vous apporter des compléments aux projets ambitieux des jeunes passionnés par la mer.
Je vous remercie de prendre en compte cette suggestion.
Cordialement

Avis n°4 de : DEFRUIT Raoul - Gravelines 59820 - le 18/10/2007
Mon intervention, à la CCI ce mercredi, concernant la prévision d’un terminal méthanier lors de la construction de la centrale nucléaire s’est vue préciser en disant que c’était pour le passage de méthaniers que la centrale était protégée (souffle) mais non pour un terminal méthanier…J’ai posé cette question à la CCI ayant compulsé les divers échanges de courriers entre M. Denvers*, l’Etat et les administrations lors de la création du Centre Nucléaire de Production d'Electricité (CNPE).

* M. Denvers : Député-Maire de Gravelines – Pt du Conseil Général – Pt de la Communauté Urbaine de Dunkerque.

Avis n°1 de : SENAME Jean - Dunkerque 59240 - le 09/10/2007
AVIS POST DEBAT
Au sortir du débat du 8 octobre à la CCID sur l'impact économique prévisible du terminal méthanier s'il se réalise, il est frappant de constater que dans le dunkerquois, la plupart des managers, élus, syndicalistes qui se sont exprimés s'entêtent avec bonne conscience dans une conception magique, presque mystique du "progrès".
Alors qu'en France, les cités qui se développent harmonieusement et offrent à leur population un cadre de vie agréable, ont renoncé depuis belle lurette à une industrialisation forcenée conjuguant nuisances et risques, à Dunkerque où l'imagination n'est guère au pouvoir (cf les rendez-vous manqués du PAD avec le trafic par conteneurs ou l'autoroute de la mer), on persiste à croire que l'avenir c'est courir plus vite que son voisin vers un productivisme à tout va.
Pourtant, l'expérience des années 70, au cours desquelles le littoral a mis délibérément tous ses oeufs dans le même panier industriel sans pour autant résorber un chômage persistant et conjurer le mal vivre de ses habitants, aurait dû servir de leçon. On n'attire pas les entreprises de pointe, à haute valeur ajoutée, aucoeur d'un environnement de cavalerie lourde.
Or, donc le chômage perdure quasiment au même niveau depuis des décennies.
La région bat des records en termes de mortalité et de santé dégradée.
Arcelor, qui du temps où il s'appelait Usinor employait plus de 11.000 salariés, produit actuellement beaucoup plus d'acier avec 3 fois moins de personnel.
Le terminal gazier Statoil n'a pas créé un seul emploi direct et DK 6 aurait pu se brancher sur lescanalisations venues de Groningue.
Dès demain, "les pieds dans l'eau", nos descendants risquent de ne plus avoir ni pétrole, ni gaz, ni uranium"non-renouvelables...
Peu nous importe, disent en substance ceux qui s'affirment comme les seuls bien pensants. "On n'a pas le choix", "Une telle chance ne se présentera plus avant 15 ans", "Et si demain, on ne trouve plus de gaz, grâce à l'hydrogène notre génie nous sauvera et sauvera nos enfants du péril"
Et les lobbies qui n'ont désormais de fins que commerciales de se frotter les mains devant une telle acceptabilité sociale.

Avis n°2 de : CLCV-ADELFA  - Dunkerque 59941 - le 08/10/2007
L’idée d’aller où les « jeunes » se trouvent est bonne. Il est nécessaire de leur donner les moyens d’exercer leur devoir de citoyen, mais il est nécessaire qu’ils aient « tous » les éléments pour se faire une opinion, voire faire un choix. Pour ce faire, si une rencontre devait avoir lieu, il sera absolument nécessaire qu’il y ait des représentants d’associations d’habitants en même temps que le maître d’ouvrage.