< RETOUR À L'ESPACE DE DISCUSSION

Faune et flore (15 questions)


Q23 • Michel DELEPINE, MERS LES BAINS, le 05/05/2010

La région a l'immense privilège de posséder le parc du Marquenterre. Il est prouvé que le parc éolien envisagé se situe dans le couloir de la migration de ces oiseaux. 140 machines : un véritable piège et une hécatombe. Pourquoi persister dans l'erreur ?

> Voir la réponse

Q27 • Gérard MONTASSINE, CAYEUX SUR MER, le 05/05/2010

Que connaît-on de cet aspect nature pour la mer et plus particulièrement en Manche ? L’humain détruira la mer comme il a déjà détruit les rivières et les estuaires pour la vie des poissons.

> Voir la réponse

Q48 • Pierre PALLU, GAPENNES, le 10/05/2010

Quel sera l’impact du projet sur les oiseaux en migration ou en pêche ?

> Voir la réponse

Q54 • Sylvain HURTELLE, le 11/05/2010

Le pigeon en migration ainsi que les différents canards

Bonjour,

Comment les canard pourront contourner toutes ces éoliennes, la migration depuis quelques années se fait beaucoup en mer et très peu dans les terres. Vont-ils se retrouver dans tout ce tas de ferraille ? C'est comme la migration de nos palombes, la plupart de la migration de la palombe se fait sur les côtes, comment vont-elles se repérer pour rentrer dans les terres picardes ?

> Voir la réponse

Q99 • TELLIER, le 29/05/2010

Dans votre débat, vous ne parlez au niveau de la faune que d'oiseaux, mais qu'en est-il de la faune aquatique, poissons, crustacés et mollusques ?????

(question posée au cours de la réunion du 27 mai en direct sur internet)

> Voir la réponse

Q101 • Antoine MEIRLAN, ST VALÉRY SUR SOMME, le 31/05/2010

De nombreuses espèces de chauves-souris présentes sur nos côtes sont mentionnées par Ahlen (2007) comme utilisant les éoliennes en mer, qu'il s'agisse d'espèces migratrices (noctules, pipistrelle de Nathusius) ou d'espèces peu connues quant à leurs migrations (pipistrelle communes et pygmées...). Ces espèces sont mentionnées par cette étude à plus de 10 kms des côtes. Ce groupe est très méconnu. Quels sont les résultats des études sur ce sujet ? Notamment en considérant l'attractivité des éoliennes pour ce groupe.

> Voir la réponse

Q104 • Francis THIBAUT, ST VALÉRY SUR SOMME, le 04/06/2010

Le laboratoire d'études grenoblois SOGREAH estime que la progression du colmatage de la baie par les herbus (appelés mollières) correspond à plus de 10 hectares par an. Dans un quart de siècle c'est 1200 hectares qui seront devenues "stériles".

Sédimentation de la baie de 700000 m3 par an (2cm par an). La spartine colonise la salicorne et le lilas de mer. Le dragage du port de St-Valéry est permanent. Alors pourquoi rajouter des alluvions, en installant vos éoliennes, ramonées deux fois par jour avec les marées ?

> Voir la réponse

Q115 • Michel BESSON, HUCHENNEVILLE, le 17/06/2010

A propos du traît de côte, vos dernières études publiées (2009) concluent que les supports éoliens, de part les courants marins, ne modifieraient l’ensablement du trait de côte ; tout juste l’affouillement à leurs pieds existerait pour la sable.

Pour moi, vos études ne sont pas complètes : en effet, l’implantation de la centrale nucléaire à Penly a considérablement modifié (et continue encore) le trait de côte par le déplacement et l’étalement vers le Nord, des galets. Or vous n’y faites pas référence ?!?

> Voir la réponse

Q118 • Charles FLIPO, MEULAN, le 21/06/2010

Si j'ai bien compris, chaque éolienne sera maintenue par un cône de béton de selon les sources 15 m à 25 m de haut pour 1500 à 3000 tonnes de béton. Vous prévoyez de démanteler ces éoliennes dans 25 à 30 ans maximum !!!! C'est pas très renouvelable, ça !! Allez-vous enlever le béton pour le recycler ?

> Voir la réponse

Q121 • Charles FLIPO, MEULAN , le 21/06/2010

Les éoliennes font quelques victimes par les oiseaux.... par choc sur le pâles... mais ne pensez-vous pas aussi que la chute soudaine de la pression de l'air à côté des pâles puisse causer des hémorragies internes chez quelques espèces qui fréquentent nos côtes ? Une étude sur la baltique dit que les éoliennes sont la source principale de la disparition des cétacés dans cette région !!! Qu'en pensez-vous ?

> Voir la réponse

Q134 • Bettina LANCHAIS, LE TREPORT, le 02/07/2010

Le cabinet ABIES a bien établi que les risques de collisisions des oiseaux avec les éoliennes étaient faibles. Cependant les éoliennes risquent-elles de faire dévier les couloirs migratoires et donc de limiter les haltes migratoires en baie de Somme ?

Les champs magnétiques des éliennes peuvent-ils influer sur le sens de l'orientation des oiseaux ?

> Voir la réponse

Q146 • Dominique LOISEAUX, BORDEAUX, le 14/07/2010

Des projets offshore sortent des cartons dans le sud ouest Atlantique, en plein couloir des oiseaux migrateurs. Ne va-t-on pas un peu vite en besogne à vouloir de l'éolien partout, même là où il n'y a pas de vent ? N'est-on pas en train d'avaliser des projets qui sont des impostures et des affaires d'argent, sous couvert d'écologie ?

> Voir la réponse

Q156 • Nadine HELFER, MERS LES BAINS, le 23/07/2010

Certains membres du corps médical craignent des effets néfastes sur la santé, qui seraient causés par une modification des champs magnétiques induite par l'implantation d'un ensemble de cette importance.

Y-a-t-il une réponse autorisée et fiable?

> Voir la réponse

Q167 • Chantal MONFROY, MERS LES BAINS, le 25/07/2010

La question Q150 de Monsieur GUILLAUMIN est toujours en attente de réponse. Elle rejoint ma question posée lors de la réunion du 20 juillet : les implantations des socles des éoliennes risquent d'entrainer des modifications des fonds et courants sous-marins. D'où d'éventuelles conséquences importantes et graves sur notre côte. Nous avons déjà beaucoup de mal à maintenir la sécurité notamment lors des grandes marées. Ce ne serait pas la première fois que la main de l'homme provoquerait des catastrophes. Pouvez-vous vous engager sur ce plan ? En cas de dégâts, voire même de catastrophes, vous engagez-vous à en assumer les conséquences ?

> Voir la réponse

Q175 • D. GOSSELIN, QUEND PLAGE, le 30/08/2010

1) L'impact sur les oiseaux portent essentiellement sur les risques de collisions. Mais, qu'en est-il des champs électro-magnétiques générés par 140 éoliennes ? J'ai vu des oies sauvages en migration complètement déroutées en passant au dessus d'une antenne de téléphone. Ne risque-t-on pas de voir les oiseaux déserter la baie de Somme et le parc du Marquenterre ? Le problème peut également se poser sur la colonie de phoques ??

2) Ne serait-il pas possible de réaliser une installation "pilote" avec une trentaine d'éoliennes afin de bien étudier les impacts ? Pourquoi envisager dès le départ un tel projet gigantesque avec 140 éoliennes sans avoir de certitudes sur les impacts dans une zone si sensible en matière écologique et économique ??

3) Enfin, ne serait-il pas plus sage d'écarter au maximum ce projet de la baie de Somme et de les construire au large des centrales de Penly et de Paluel, ce qui aurait une portée symbolique de l'éolien répondant au nucléaire ??

> Voir la réponse