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Les questions/réponses reçues par la CPDP sont consultables sur le
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Thème séléctionné : L'historique - le projet
Q #11 |
22/09/2010 |
Ne serait-il pas préférable pour des seuls raisons de sé |
NICCOLINI Bernard 13500 MARTIGUES |
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QuestionNe serait-il pas préférable pour des seuls raisons de sécurité de réaliser les mêmes stockages enterrés? Les surcoûts d'investissements seraient-ils rédibitoires par rapport à la durée d'exploitation des 2 projets? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 29/10/2010
Enterrer un réservoir GNL n’améliore pas la sécurité par rapport à un réservoir aérien. Les réservoirs à intégrité totale, avec une cuve externe en béton armé précontraint, garantissent un très bon niveau de sécurité que ce soit vis-à-vis des agressions extérieures (feu, choc, impact, …) ou vis-à-vis des risques de fuite de GNL. Les scénarios étudiés dans les études de danger d’un réservoir enterré ou aérien sont les mêmes.
Les surcouts d’investissement générés par l’enterrement partiel ou total du réservoir, de l’ordre de 30%, seraient rédhibitoires pour le projet « Cap Tonkin ». Sur le site de Fos Tonkin, La construction d’un réservoir enterré serait très difficile compte tenu de la nature des sols (roche très dure et présence d’une nappe aquifère) et engendrerait un chantier beaucoup plus long et beaucoup plus impactant pour l’environnement et le voisinage, avec notamment la nécessité de creuser à l’explosif à proximité d’usines en exploitation, d’évacuer des quantités considérables de déblais et de procéder à un rabattement de nappe.
La faisabilité même de ces travaux n’est pas assurée.
Pour information, la plupart des réservoirs de GNL enterrés dans le monde sont construits au Japon, et en Corée du Sud, pour deux raisons :
- L’exigüité des superficies disponibles (les ports industriels de ces pays sont obtenus par remblai gagnés sur la mer)
- La faible portance de ces remblais (couche de sable de plusieurs dizaines de mètres de hauteur à l’intérieur d’une digue périphérique d’enrochements)
La construction de réservoirs aériens aurait obligé les concepteurs à réaliser des fondations très profondes pour un coût supérieur à la solution enterrée. De plus, ces fondations longues et souples, surmontées de la masse du réservoir, ne sont pas compatibles avec les niveaux sismiques de ces pays.
C’est la situation inverse de celle de Fos Tonkin, qui dispose d’un « bon sol » et d’un niveau de sismicité inférieur.
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Q #16 |
24/09/2010 |
Pourquoi la technique de l'électrochloration n'est-elle pas utilis&eac |
VANACKER Jean 13500 MARTIGUES |
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QuestionPourquoi la technique de l'électrochloration n'est-elle pas utilisée dans votre projet? Combien de m3 de chlore est additionné à l'eau de mer en 24h? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 13/10/2010
Il existe deux façons de disposer de l’eau de Javel :
- dans le premier cas, le produit est fabriqué industriellement et transporté par camion sur le site. Cette solution est utilisée sur le terminal méthanier de Fos Tonkin,
- dans le second cas, elle est fabriquée in situ par électrolyse de l’eau (transformation du sel contenu dans l’eau de mer en hypochlorite de sodium). C’est l’électrochloration.
Dans les deux cas, les concentrations injectées dans l’eau de regazéification et les impacts sur le milieu marin sont identiques (de l’ordre de 1 mg/l).
En 2009, 850 m3 d’une solution aqueuse d’hypochlorite de sodium à 13 % massique ont été utilisé par le terminal avec un débit d’eau moyen d’environ 300 000 m3/h.
Le choix d’utiliser une injection d’eau de Javel manufacturée sur le terminal méthanier de Fos Tonkin est historique : il a été fait en 1980 avec l’installation des premiers regazéifieurs à eau de mer sur le terminal. D’autres terminaux méthaniers, comme celui de Montoir-de-Bretagne ou de Fos Cavaou utilisent l’électrochloration. Cette dernière méthode présente l’avantage de limiter le trafic routier. Néanmoins, dans le cas du terminal de Fos Tonkin, le trafic routier généré est faible car l’eau de Javel utilisée est fabriquée par ARKEMA à Fos-sur-Mer.
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Q #19 |
06/10/2010 |
Qui sont les décideurs sur l’usage à venir du chantier li |
CAMARD Sophie 13481 MARSEILLE |
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QuestionQui sont les décideurs sur l’usage à venir du chantier libéré par Cap Tonkin ? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 22/10/2010
La convention d’occupation du domaine public sur lequel sont situés les réservoirs RV01&RV02 est valable jusqu’au 31 décembre 2040. Elengy conservera l’autorisation d’occupation de cette parcelle. Il lui appartiendra donc de décider de sa destination future.
Le démantèlement des réservoirs métalliques RV01 & RV02 laissera une place disponible dans le terminal. Cet emplacement peut permettre de développer des installations visant à réduire l’empreinte environnementale du terminal. Parmi les idées possibles, il peut être envisagé une nouvelle valorisation des frigories en complément de celle actuellement réalisée avec l’usine d’Air liquide, comme, par exemple :
- une production d’électricité (procédé dit cycle de Rankine)
- une captation/liquéfaction du CO2 (participation au projet porté par le port, nommé VASCO. Ce projet est évoqué par le GPMM dans son document « point de vue de l’aménageur » disponible sur le site internet du débat : http://www.debatpublic-prolongementexploitation-methanier-fos-tonkin.org/informer/autres-documents.html
Elengy devra, en outre, obtenir les autorisations administratives nécessaires à l’exercice de cette nouvelle activité et se conformer aux procédures qui y sont attachées.
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Q #22 |
07/10/2010 |
Dans l'option 2 qui consiste à adapter l'appontement existant, pourquo |
CAMARD Sophie 13481 MARSEILLE |
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QuestionDans l'option 2 qui consiste à adapter l'appontement existant, pourquoi est-il nécessaire de "reconstruire la jetée un peu plus en retrait", alors que les structures d'amarrage seraient conservées? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 12/10/2010
L’option 2 consiste bien à conserver quelques structures d’amarrage, mais une partie seulement. Il s’agit des structures de part et d’autre du poste de déchargement qui recueillent les amarres des méthaniers appelées « gardes », ces dernières limitent les mouvements longitudinaux des méthaniers à quai.
Néanmoins, les autres amarres qui, elles, limitent les mouvements transversaux des méthaniers à quai (les amarres appelées traversières) sont concernées par la modification et de nouveaux massifs d’amarrages seraient construits en recul par rapport aux existants, ces derniers étant démantelés par la suite.
Cette option est conforme aux bonnes pratiques de la profession et à une optimisation de l’amarrage. En effet, plus une amarre est proche de l’horizontale plus celle-ci est efficace. Il faut cependant conserver un compromis en particulier pour l’accessibilité des lamaneurs qui passent les amarres des navires à l’aide de canots.
Du fait de leur recul, les amarres traversières se retrouvent ainsi plus proches de l’horizontale et sont donc plus efficaces pour limiter les mouvements du navire à quai.
Schéma d’amarrage de l’option 2 : adaptation de l’appontement actuel
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Q #23 |
07/10/2010 |
Dans l'option 2 qui consiste à adapter l'appontement existant, à |
CAMARD Sophie 13481 MARSEILLE |
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QuestionDans l'option 2 qui consiste à adapter l'appontement existant, à quelle hauteur se chiffreraient les pertes d'exploitation pour Elengy? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 10/11/2010
Le projet « Cap Tonkin », envisage de sécuriser et de moderniser les conditions d’amarrage.
Deux possibilités d’aménagement de l’appontement sont actuellement étudiées :
- Construire un nouvel appontement
- Adapter l’appontement existant
Dans le cadre de cette deuxième option, la réalisation des travaux de rénovation aurait lieu à proximité d’un lieu de déchargement des méthaniers. Des mesures de sécurité importantes devraient donc être mises en œuvre ce qui impliquerait de fortes contraintes sur la programmation des bateaux. Pour certaines phases de travaux, il ne serait pas possible de recevoir des navires. Une estimation préliminaire conduit à ne pas recevoir une vingtaine de navires soit une perte de recette d’environ 10 M€.
Si cette option était retenue, Elengy examinerait avec ses clients une optimisation de la programmation des navires afin de limiter autant que possible les impacts des travaux.
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Q #30 |
15/10/2010 |
GDF présentera-t-il ce qu'il compte faire des espaces vides aprè |
MEUNIER Romuald 13270 FOS-SUR-MER |
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QuestionGDF présentera-t-il ce qu'il compte faire des espaces vides après démantèlement des 2 réservoirs? Sous-entendu, envisagez-vous sous 10 ans, 20 ans d'y construire un nouveau réservoir? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 10/11/2010
Le démantèlement des réservoirs métalliques RV01 & RV02 laissera une place disponible dans le terminal. Cet emplacement peut permettre de développer des installations visant à réduire l’empreinte environnementale du terminal. Parmi les idées possibles, il peut être envisagé une nouvelle valorisation des frigories en complément de celle actuellement réalisée avec l’usine d’Air liquide, comme, par exemple :
En outre, le projet Cap Tonkin ne prévoit pas de construire un nouveau réservoir de stockage de GNL à cet emplacement.
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Q #37 |
20/10/2010 |
Pourquoi GDF n'a pas encore pris de décision entre 1) construire un no |
MEUNIER Romuald 13270 FOS-SUR-MER |
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QuestionPourquoi GDF n'a pas encore pris de décision entre 1) construire un nouvel appontement et 2) aménager son appontement existant? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 02/11/2010
Le projet cap Tonkin prévoit notamment un aménagement de l’appontement du terminal afin de sécuriser et de moderniser les conditions d’appontement des navires.
2 possibilités sont envisagées : la construction d’un nouvel appontement ou le réaménagement de l’appontement existant. A ce jour, Elengy a réalisé des premières études qui ont permis de recenser un certain nombre de caractéristiques pour chacune de ces deux solutions (cf. tableau ci-dessous) :
Enjeux
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Option 1
(nouvel appontement)
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Option 2
(adaptation de l’appontement actuel)
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Impacts environnementaux dus au dragage
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Modification du fond et du profil de la côte.
Traitement des matériaux dragués.
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Modification du fond seulement au droit des ducs d’Albe d’amarrage et des supports de la canalisation de déchargement.
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Impacts environnementaux dus à la position de l’appontement
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Modification de la courantologie en raison de la proximité du rejet de la roubine des platanes.
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Minimise fortement toute modification de la courantologie au regard de la situation existante.
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Sécurité industrielle et influence sur l’exploitation actuelle des installations
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Mesures de sécurité plus légères car la construction est plus éloignée de l’appontement restant en exploitation.
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Mesures de sécurité importantes afin de permettre la construction à proximité d’un appontement en exploitation ou forte contrainte sur la programmation des navires si les travaux sont arrêtés lors des déchargements des navires.
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Coût de la construction
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25 M€
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16 M€
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Pertes d’exploitation
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L’exploitation de l’ancien appontement continue pendant la construction. Une fois le nouvel appontement en service, le démantèlement de l’ancien serait sans conséquence sur la programmation des navires.
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L’ancien appontement ne pourra pas fonctionner pendant certaines périodes de construction.
Impact également sur la programmation des navires lors du démantèlement des anciennes installations.
Une estimation préliminaire conduit à ne pas pouvoir recevoir une vingtaine de navires ce qui conduit à une perte de recettes d’environ 10 M€.
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Au regard des éléments aujourd’hui disponibles, Elengy privilégie, à ce stade, l’option 2 : la rénovation de l’appontement existant. Néanmoins, aucune décision n’est encore prise car les informations disponibles ne sont pas suffisantes et ne permettent pas à Elengy de procéder, en l’état actuel des choses, à un choix définitif entre les deux solutions.
Ce choix pourra être fait à l’issue du débat, au regard :
- Des échanges avec le public pendant le débat public, qui permettront d’éclairer Elengy sur des critères de choix liés à la connaissance, par les acteurs du débat, du territoire et de l’environnement local.
- De la décision d’Elengy sur la poursuite ou non du projet ;
- Des conclusions des études qui se poursuivent sur chacune des deux solutions ;
En tout état de cause, si Elengy décide de poursuivre le projet Cap Tonkin, le dialogue avec les acteurs concernés, sur la question de l’appontement comme sur d’autres aspects du projet, se poursuivra à l’issue du débat public. Les modalités de cette concertation ne sont toutefois pas encore définies à ce jour.
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Q #42 |
21/10/2010 |
La hauteur des cuves ne pourrait-elle pas être descendue ? Et pour |
MOUTET Daniel 13270 FOS-SUR-MER |
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QuestionLa hauteur des cuves ne pourrait-elle pas être descendue ? Et pourquoi, ne pas les enterrer ? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 23/11/2010
Une solution pour diminuer l’impact visuel du nouveau réservoir RV04 pourrait effectivement être de l’enterrer.
Cependant, les surcoûts d’investissement générés par l’enterrement partiel ou total du réservoir, de l’ordre de 30%, seraient rédhibitoires pour le projet « Cap Tonkin ». Sur le site de Fos Tonkin, la construction d’un réservoir enterré serait très difficile compte tenu de la nature des sols (roche très dure et présence d’une nappe aquifère) et engendrerait un chantier beaucoup plus long et beaucoup plus impactant pour l’environnement et le voisinage, avec notamment la nécessité de creuser à l’explosif à proximité d’usines en exploitation, d’évacuer des quantités considérables de déblais et de procéder à un rabattement de nappe.
La faisabilité même de ces travaux n’est pas assurée.
Nous rappelons que le réservoir RV03 existant a une capacité de stockage de 80 000 m3 alors que le réservoir RV04 en projet aurait une capacité maximale de stockage deux fois plus importante, soit 160°000 m3.
C’est la raison pour laquelle, nous considérons que maintenir la hauteur du RV04 à celle du RV03 constitue une limitation de l’impact visuel.
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Q #43 |
22/10/2010 |
Comment sera financé le coût de cette construction? |
LEONARD Paulette 13800 ISTRES |
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QuestionComment sera financé le coût de cette construction? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 25/10/2010
Le projet « Cap Tonkin » pour la prolongation de l’exploitation jusqu’en 2034 du terminal méthanier de Fos Tonkin nécessitera, dans sa version la plus ambitieuse, un investissement de l’ordre de 430 MEUR. Cet investissement , comme tous les autres investissements engagés par la société ELENGY sera entièrement et uniquement financé par GDF SUEZ en tant qu’actionnaire de la société.
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Q #61 |
01/12/2010 |
Une ZPE (Zone de Protection Eloignée) a été mise en plac |
RAIMONDI René 13771 FOS-SUR-MER CEDEX |
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QuestionUne ZPE (Zone de Protection Eloignée) a été mise en place autour du site Elengy au Cavaou, en plus des zones Z1 et Z2 liées aux scénarios d’accidents. Une telle zone sera-t-elle créée également autour du site Elengy de Tonkin ? Quel est le devenir de ce type de zone avec la mise en place des PPRT (les différentes zones s’ajoutent-elles ? se remplacent-elles ?) ? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 22/12/2010
Dans le passé, les zones de maîtrise de l’urbanisation étaient élaborées à partir des principes exposés dans la loi n°87-565 du 22 juillet 1987 relative à l'organisation de la sécurité civile, à la protection de la forêt contre l'incendie et à la prévention des risques majeurs. Des zones de protection ZPE (Zone de protection éloignée) et ZPR (Zone de protection rapprochée) ont ainsi été définies par les services de l’état, à partir des zones d’effets Z1 (premier effets létaux) et Z2 (effets significatifs) déterminées par l’étude de dangers du site pour le cas des établissements recevant du public ou des lieux de rassemblement de personnes.
La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et à la réparation des dommages a créé un nouvel outil de maîtrise de l’urbanisation autour des sites existants : les plans de prévention des risques technologiques (PPRT). Cet outil qui repose sur la notion d’aléa, remplace les zones Z1, Z2, ZPE et ZPR. Chaque PPRT délimite un périmètre d’exposition aux risques autour des sites à l’intérieur duquel différentes zones peuvent être réglementées en fonction du niveau de risque.
Un PPRT regroupant plusieurs industriels de la zone de Fos est en cours d’élaboration par les services de l’état. Ce PPRT définira des zones pour limiter l’exposition aux risques de la population en fonction de la superposition des aléas générés par ces industriels. Les éventuelles contraintes d’urbanisme autour du terminal de Fos Tonkin ne résulteront donc pas exclusivement de la présence du terminal mais également des zones d’effets générées par les industriels voisins.
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Q #63 |
01/12/2010 |
Pourquoi un seul gros réservoir, plus visible, et pas plusieurs petits |
RAIMONDI René 13771 FOS-SUR-MER CEDEX |
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QuestionPourquoi un seul gros réservoir, plus visible, et pas plusieurs petits (raisons économiques ? sécurité des procédures ? sécurité des équipements ?…) |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 10/12/2010
Le projet « Cap Tonkin » prévoit dans sa version la plus ambitieuse, la construction d’un nouveau réservoir de 160 000 m3 (RV04) après le démantèlement des deux plus anciens réservoirs (RV01&RV02) de 35 000 m3 chacun.
Construire deux réservoirs d’un volume de 80 000 m3 chacun à la place d’un seul réservoir de 160 000 m3 n’apporterait pas d’amélioration significative. Le coût de deux réservoirs serait plus de 50% plus élevé que le coût d’un seul réservoir et l’impact environnemental serait également plus important.
En effet, pour un même volume stocké, la construction de deux réservoirs à la place d’un seul nécessite
- Plus de matières premières (béton, paroi interne, isolant),
- Plus d’équipements (tuyauterie GNL calorifugée, pompes, etc.),
- Plus de surface au sol.
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Q #64 |
01/12/2010 |
Le site d’Elengy au Cavaou ne fonctionne pas en plein régime (&a |
RAIMONDI René 13771 FOS-SUR-MER CEDEX |
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QuestionLe site d’Elengy au Cavaou ne fonctionne pas en plein régime (à 20% de ses capacités pour le moment, passage progressif à 100% en cours) et les quais ne sont pas exploités au maximum (15 méthaniers bloqués en rade de Fos en 40 jours de grève, pour les deux terminaux Cavaou et Tonkin). Pourquoi ne pas utiliser les capacités du site du Cavaou pour accueillir les livraisons correspondant aux 2 petites cuves de Tonkin pendant les travaux ? Cela permettrait soit une meilleure sécurité pendant les travaux si le choix de l’agrandissement vers l’Est est conservé, soit d’éviter l’agrandissement vers l’Est en implantant la nouvelle cuve à la place des deux cuves actuelles. |
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RéponseQuestion en cours de traitement
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Q #66 |
01/12/2010 |
Lors de la réunion publique 04/11/10 vous avez comparé les co&u |
RAIMONDI René 13771 FOS-SUR-MER CEDEX |
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QuestionLors de la réunion publique 04/11/10 vous avez comparé les coûts (investissements + manque à gagner) des deux solutions concernant l’appontement. De la même manière, pouvez-vous établir une comparaison des coûts des deux solutions suivantes : 1-utiliser une nouvelle zone à l’Est pour construire la nouvelle cuve 2- faire d’abord le démantèlement des deux petites cuves existantes et construire la nouvelle sur l’espace disponible. |
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RéponseQuestion en cours de traitement
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Q #67 |
01/12/2010 |
Extension à l’Est : pouvez-vous comparer la surface de la zone p |
RAIMONDI René 13771 FOS-SUR-MER CEDEX |
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QuestionExtension à l’Est : pouvez-vous comparer la surface de la zone prévue pour la nouvelle cuve avec celle de la zone utilisée par l’actuelle grosse cuve (la plus récente), et expliquer les causes des différences éventuelles ? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 10/12/2010
Au delà de la surface d’emprise au sol du réservoir lui-même, il est difficile de définir précisément la zone d’emprise du nouveau réservoir RV04 par rapport au RV03.
En effet, la réglementation en 1980, date de mise en service du RV03, exigeait la construction d’une cuvette de rétention même pour ce type de réservoir de technologie parfaitement sûre. Cette disposition n’est plus exigée par la règlementation actuelle.
Ainsi la surface d’emprise du RV03 avec sa cuvette de rétention est de 16 500 m²
La surface d’emprise du RV04 serait de 6000 m² environ.
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Q #68 |
01/12/2010 |
Extension à l’Est : sur le projet il semble que la zone situ&eac |
RAIMONDI René 13771 FOS-SUR-MER CEDEX |
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QuestionExtension à l’Est : sur le projet il semble que la zone située le plus au Sud-Est et celle à l’extrême nord de l’extension restent vides d’implantation. A quoi ces zones sont-elles destinées ? Si elles ne sont destinées à aucun équipement, pourquoi alors les inclure dans l’emprise industrielle et ne pas les laisser en l’état ? |
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Réponse rédigée par ElengyRéponse le 22/12/2010
Nous comprenons de votre question que vous évoquez deux zones de la parcelle adjacente au terminal de Fos Tonkin. Pour éviter toute ambigüité, nous avons localisé ces deux zones sur le schéma d’implantation (Zones 1 et 2).
Zone 1 : Le cercle noir placé autour du futur réservoir correspond au cercle d’effet en cas de rejet enflammé par les soupapes de ce réservoir. Les soupapes sont des dispositifs ultimes de sécurité destinées à empêcher toute surpression intempestive dans le réservoir. L’échappement de ce type de dispositif ne peut être collectée en raison de la position et du débit de ces soupapes. En cas très peu probable d’inflammation du rejet, les effets du feu de torche qui en résulte doivent être contenu dans une zone sûre. C’est le standard qui est respecté sur les terminaux de GDF SUEZ et qui est recommandé dans la norme EN1473 « installation et équipement de Gaz Naturel Liquéfié : conception des installations terrestres ». C’est pourquoi la limite de propriété a été placée au-delà de ce cercle d’effet.
Zone 2 : Sur cette zone est disposée une aire de sécurité qui recueille des éventuelles fuites accidentelles de GNL. Le cercle noir placé autour de cette aire de sécurité correspond au cercle d’effet en cas d’inflammation du GNL contenu dans cette aire. La limite de propriété a été placée au-delà de ce cercle d’effet.
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