L’évitement est bien évidemment la première mesure à privilégier. Des mesures de réduction pourront limiter les impacts indirects mais la consommation de terres agricoles ne peut être compensée, ou au détriment d’espaces naturels par exemple.
Les effets induits liés à l’augmentation de la pression foncière et de l’urbanisation seront à prendre en compte pour limiter la consommation d’espaces agricoles.