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Questions et réponses

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Les Questions/Réponses reçus par la CPDP seront consultables sur le site de la Commission et figureront dans les archives du débat

Thème séléctionné : Favorables

Question n°117 de : Larivière Jacques-  34080 Montpellier - le 09/03/2009

Le projet est indispensable mais la SNCF actuelle sera-t-elle le rentabiliser ?

Réponse le  09/03/2009

L'examen de la "rentabilisation" d'un projet de ligne à grande vitesse nécessite la description des rôles respectifs de RFF et de la SNCF, ainsi que l'impact des fonctionnalités (vitesse, mixité, gares) du projet.


RFF est responsable du développement du réseau ferroviaire et, à ce titre, de la construction des lignes nouvelles. Ensuite, RFF est également responsable de l'attribution des sillons (horaires).


A l'instar des autoroutes concédées, la SNCF fait circuler ses trains avec un versement à RFF d'un péage. Ce péage d'infrastructure permet à RFF de rembourser les emprunts contractés pour la construction de la ligne à grande vitesse, d'exploiter la ligne nouvelle, de l'entretenir et de la rénover au besoin sur toute la durée du bilan économique.


La rentabilisation d'un projet dépend donc prioritairement du nombre de trains qui circuleront sur la ligne nouvelle et du niveau des péages d'infrastructure.


Or, le gain de temps apporté par la ligne nouvelle à grande vitesse entraîne une augmentation de la demande de déplacement (nombre potentiel de voyageurs) qui permet au transporteur SNCF d'accroître le nombre de TGV circulant sur la ligne. Cette accroissement de l'offre ferroviaire en termes de nombre de TGV entraîne à son tour une augmentation des trafics voyageurs qui favorise à son tour une augmentation du nombre de TGV. On peut donc ainsi mesurer l'importance des gains de temps et donc de la vitesse maximale permise par la LGV sur l'économie globale du projet.


Cependant, un niveau excessif des péages de la ligne nouvelle, qui constituent une part importante du prix du billet TGV, peut être de nature à limiter le nombre de voyageurs et ainsi le nombre de TGV.


De plus, la SNCF doit financer ses propres investissements dans le matériel roulant (rames TGV), dans les ateliers d'entretien de ce matériel, ainsi que dans les bâtiments voyageurs des gares. Le niveau des péages ne doit pas remettre en cause le niveau de ces investissements indispensables.


On voit donc que la rentabilisation d'un projet dépend directement des caractéristiques fonctionnelles de ce projet (vitesse maximale, gares ...).


De même, pour l'exploitation des trains de fret, c'est essentiellement le niveau des péages et la qualité des conditions d'acheminement des trains (sillons de bout en bout, sans arrêt inutile) qui apporteront les conditions d'une plus grande pertinence économique du mode ferroviaire.


Ces éléments retenus pour optimiser le projet et le report modal voyageurs et fret, assureront sa "rentabilisation" économique et environnementale. 

Question n°504 de : FREVOL YVES-  66280 SALEILLES - le 18/03/2009

Chainon indispensable pour relier Portugal et Espagne au reste de l' Europe, qu' attendons nous pour en faire une priorité européenne ?

Réponse le  16/06/2009

Comme vous le faites remarquer, le projet de ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan a une dimension européenne, mais ce n’est pas la seule. Il est inscrit dans l’un des six corridors prioritaires identifiés par la Commission Européenne. Il est inclus dans le corridor D reliant Valence à Budapest, via Barcelone, Montpellier, Lyon, Turin, Milan, Ljubljana.


 

Question n°528 de : DULCIRE  Michel-  34830 CLAPIERS - le 18/03/2009
Il s'agit d'une très bonne initiative mais pourquoi le seul thème abordé concerne-t-il le train voyageur et non le transport de marchandises et donc le doublement de l'A7 ?

Réponse le  31/03/2009

Les objectifs du projet de ligne nouvelle Montpellier - Perpignan sont multiples. Certes, le transport de voyageurs est une thématique du projet, mais le transport de marchandises est aussi concerné. Concrètement, une ligne nouvelle en plus de la ligne existante permettrait de :


- Favoriser le transport de marchandises sur le rail plutôt que sur la route, - Inciter à prendre le train plutôt que la voiture,


- Donner aux habitants de toute la région l’accès à la grande vitesse sur le réseau ferroviaire européen,


- Renforcer la fiabilité et la qualité du service ferroviaire entre Montpellier et Perpignan en décongestionnant la ligne existante,


- Réduire le temps des trajets entre les villes de la région et améliorer la fréquence des trains,


- Mettre en relation directe les agglomérations du Languedoc-Roussillon,


- Accompagner le dynamisme de l’économie régionale.


 


Ainsi, Réseau ferré de France (RFF) maître d’ouvrage du projet propose 4 scénarios bien différenciés au débat public :


-          1 scénario création de ligne nouvelle à grande vitesse uniquement voyageurs (Le scénario LGV voyageurs à 320 km/h


-          2 scénarios mixtes de création de ligne nouvelle voyageurs et marchandises (le scénario Ligne nouvelle voyageurs à 220 km/h et fret à 120 km/h et le scénario LGV voyageurs à 300 km/h et fret à 120 km/


1 scénario de  doublement partiel de la ligne existante.

Question n°1133 de : SITJA JEAN CHRISTOPHE-  66000 PERPIGNAN - le 23/03/2009
Verra-t-on réellement un jour une ligne TGV reliant Paris à Perpignan ? N' est-il pas indispensable d' accélérer les travaux ?

Réponse le  28/04/2009

 


 


La mise en service du Contournement de  Nîmes et de Montpellier (CNM) est prévue à l’horizon 2015.


Concernant le projet entre Montpellier et Perpignan, suivant les avis exprimés pendant le débat public, Réseau Ferré de France (RFF), maître d'ouvrage du projet, décidera fin 2009 du principe et des conditions de la poursuite du projet.


Compte tenu des délais d'études et de procédures administratives et foncières, la mise en service de la ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan se situe à l’horizon 2020.


Pour accélérer la réalisation du projet, plusieurs leviers peuvent être actionnés :


-          [endif]regrouper les phases d’études préalables à la Déclaration d’Utilité Publique (DUP) pour limiter les interfaces entre les différents partenaires,


-          [endif]obtenir le décret de DUP au plus tôt après la clôture de l’enquête d’utilité publique


-          [endif]réunir rapidement un « tour de table » financier avec l’ensemble des partenaires.


Vous trouverez ci-dessous le schéma des grandes étapes du projet :



Question n°1203 de : LLABATA JEAN JACQUES-  11000 CARCASSONNE - le 24/03/2009
A quand l' idée Narbonne-Toulouse pour le TGV avec arret à Carcassonne, surtout pour les touristes avec en point de mire la cité ? Par contre, c' est une bonne idée pour la région cette ligne Montpellier-Perpignan.

Réponse le  30/04/2009

Actuellement il existe des liaisons voyageurs entre Montpellier et Bordeaux. Les scénarios de ligne nouvelle proposés au débat public permettraient des gains de temps compris entre 25 et 30 minutes entre Montpellier et Toulouse.


 


Concernant le projet de ligne entre Toulouse et Narbonne, des "pré études fonctionnelles" vont prochainement être lancées par Réseau Ferré de France (vers l'été 2009). Ces études proposeront des scénarios contrastés de ligne nouvelle et/ou de réaménagement de la ligne existante.


Ces études devraient s'achever fin 2010/début 2011, de telle sorte que Réseau Ferré de France puisse être en mesure de saisir la Commission Nationale du Débat Public au premier semestre 2011, celle-ci jugeant alors de l'opportunité de réaliser un débat public.

Question n°1369 de : VERHEECKE Jean-Marie-  66100 PERPIGNAN - le 26/03/2009

Pourquoi ne pas insister davantage sur la connexion (fret-voyageur) avec l'Espagne ?

Réponse le  15/06/2009

La connexion avec l’Espagne pour les transports ferroviaires de voyageurs et de marchandises est un objectif essentiel de ce projet, au même titre que les objectifs régionaux que représente ce projet de ligne nouvelle.


D’ailleurs les objectifs du projet de ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan sont régionaux et internationaux. Ils ont été analysés au terme d’un important programme d’études, mené par Réseau Ferré de France (RFF), maître d’ouvrage du projet, l’Etat, la Région Languedoc-Roussillon et 12 collectivités partenaires.


Concrètement, une ligne nouvelle en plus de la ligne existante permettrait de :


- Donner aux habitants de toute la région l’accès à la grande vitesse sur le réseau ferroviaire européen,


- Renforcer la fiabilité et la qualité du service ferroviaire entre Montpellier et Perpignan en décongestionnant la ligne existante,


- Réduire le temps des trajets entre les villes de la région et améliorer la fréquence des trains,


- Inciter à prendre le train plutôt que la voiture,


- Favoriser le transport de marchandises sur le rail plutôt que sur la route,


- Mettre en relation directe les agglomérations du Languedoc-Roussillon,


- Accompagner le dynamisme de l’économie régionale.

Question n°1399 de : RUIZ ANTOINE-  66760 ENVEITG - le 26/03/2009

Qu' apportera à la région de Montagne (Cerdagne-Capcir) la création d' une ligne nouvelle, indispensable par ailleurs ?

Réponse le  05/05/2009

A l'horizon de la mise en service du projet de ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan, l'ambition régionale est de développer le nombre de circulations TER sur les lignes ferroviaires dont celle entre Perpignan et Villefranche. Les circulations TER prévues à l'horizon 2020 seraient de 24 TER par jour contre 16 actuellement.


L'augmentation de ces services TER permettra également d'avoir des correspondances plus nombreuses avec les TGV au départ/à l’arrivée de Perpignan (Espagne et France).

Question n°1571 de : CHAMPALLIER Georges-Claude-  34600 BEDARIEUX - le 03/04/2009

D'accord pour la réalisation d'une seconde ligne nouvelle (Rail/Route). Dans le cadre de l'amélioration des relations des agglomérations du Languedoc Roussillon, pourquoi ne pas prévoir une antenne Béziers-Carcassonne avec une desserte "Paris-Béziers-Carcassonne" ? (désenclavement). Note : compte tenu de la proximité de Béziers et Narbonne, il y aurait 2 dessertes (Paris-Narbonne-Perpignan et Paris-Béziers-Carcassonne avec correspondance avec la ligne Clermont Ferrand/Béziers).

Réponse le  26/05/2009

Dans le cadre des scénarios proposés au débat public, il est prévu des raccordements entre la ligne nouvelle et la ligne existante Toulouse-Narbonne. Ceux-ci permettront aux trains de relier directement Béziers à Carcassonne.


Ainsi les entreprises ferroviaires, telle que la SNCF, pourront en 2020 proposer des trains effectuant par exemple les trajets Paris-Béziers-Carcassonne et Paris-Narbonne-Perpignan via la ligne nouvelle.


Pour les relations entre Bédarieux et Carcassonne, il sera nécessaire d’effectuer une correspondance en gare de Béziers.

Question n°1579 de : DHENRY Sylvain-  30400 VILLENEUVE LEZ AVIGNON - le 04/04/2009
Une verticale du sud au nord de l'Europe et un arc méditerranéen à GV ne constitueraient-ils pas un symbole de l'éco-mobilité et du savoir-faire technologique de notre pays ? Ce tronçon est, à mon avis, le chaînon manquant du développement ferroviaire tant prôné par nos élus et un désenclavement assuré du Languedoc Roussillon... Qu'attendons-nous pour franchir ce pas ?

Réponse le  26/05/2009

Le savoir-faire technologique français en matière de grande vitesse est déjà visible avec les 1800 km de ligne à grande vitesse (LGV) construits depuis le début des années 80. Les grandes liaisons Arc Méditerranée, Nord-Sud, mais également Grand Sud (Bordeaux-Nice) ou bien Toulouse-Barcelone viendrait compléter et mailler ce réseau.


Suivant les avis exprimés pendant le débat public, Réseau Ferré de France (RFF), maître d’ouvrage du projet, décidera fin 2009 du principe et des conditions de la poursuite du projet.


Si l’opportunité du projet est confirmée et compte tenu des délais d'études et des procédures administratives et foncières, la mise en service de la ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan se situe à l’horizon 2020.


Vous trouverez ci-dessous un schéma récapitulant les grandes étapes du projet :


Question n°1601 de : FABRE Francis-  66250 SAINT LAURENT DE LA SALANQUE - le 03/04/2009

Pourquoi ne pas mettre en évidence la raison majeure qui est celle du chainon manquant entre Perpignan et Montpellier sur la LGV Barcelone-Nîmes ? Intérêt européen en matière de transport ferroviaire à grande vitesse et intérêt industriel français.

Réponse le  26/05/2009

La notion de chainon manquant correspond à l’absence d’une seconde ligne au sein d’un corridor d’enjeu européen, tel que Séville-Amsterdam. Néanmoins ce projet de ligne nouvelle n’est pas seulement motivé par cet objectif de construire la dernière section de LGV pour relier ces deux villes.


En effet, les objectifs du projet de ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan sont multiples et ils intéressent en premier lieu la région Languedoc-Roussillon et ses habitants. Cela dépasse donc le seul objectif de construire un chainon manquant (qui implicitement justifie la création par les deux extrémités de la chaine et non le territoire « chainon » en tant que tel). Ces objectifs ont été analysés au terme d’un important programme d’études, mené par Réseau Ferré de France (RFF), maître d’ouvrage du projet, l’Etat, la Région Languedoc-Roussillon et 12 collectivités partenaires.


Concrètement, une ligne nouvelle en plus de la ligne existante permettrait de :


- Donner aux habitants de toute la région l’accès à la grande vitesse sur le réseau ferroviaire européen,


- Renforcer la fiabilité et la qualité du service ferroviaire entre Montpellier et Perpignan en décongestionnant la ligne existante,


- Réduire le temps des trajets entre les villes de la région et améliorer la fréquence des trains,


- Inciter à prendre le train plutôt que la voiture,


- Favoriser le transport de marchandises sur le rail plutôt que sur la route,


- Mettre en relation directe les agglomérations du Languedoc-Roussillon,


- Accompagner le dynamisme de l’économie régionale.

Question n°1827 de : IHITSAGUE Pierre et Christiane-  66750 SAINT CYPRIEN - le 17/04/2009

Pourquoi le tronçon pose-t-il autant de problèmes alors que les Pyrénées Orientales ont tant à gagner d'être desservies et reliées à toute la France et l'étranger plus rapidement ?

Réponse le  16/06/2009

D’ici quelques années, les Pyrénées orientales seront connectées efficacement à l’Espagne via la ligne nouvelle Figueras Barcelone (en 2012 dixit les dernières déclarations des responsables espagnols). Le tunnel entre Perpignan et Figueras est lui d’ores et déjà connecté au réseau ferré français depuis le 17 février 2009.



La ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan est l'un des multiples projets de ligne nouvelle en France. Sa réalisation ne peut être cependant déconnectée de l'avancement des autres projets ferroviaires français, inscrits par ailleurs au "Grenelle de l'environnement".


Ainsi, pour des raisons d'aménagement du territoire, après la construction du TGV Méditerranée mis en service en 2001, d'autres régions avaient également le souhait d'être connectées au réseau ferroviaire à grande vitesse, en particulier dans l'est de la France (ce qui a donné lieu à la construction de la LGV Est Européenne, mise en service en 2007, et à la réalisation actuellement de la branche est de la LGV Rhin-Rhône entre Dijon et Mulhouse) et à l'ouest (avec deux projets dont la phase de réalisation devrait être bientôt engagée : la LGV Sud Europe Atlantique de Tours à Bordeaux et la LGV Bretagne pays de la Loire du Mans à Rennes).


Ce sont donc des raisons d'équité territoriale au niveau national qui ont conduit à privilégier la réalisation du TGV Méditerranée au cours des années 1990, qui a permis d'apporter la grande vitesse aux portes du Languedoc-Roussillon dès 2001 (Manduel - département du Gard), mais également les mêmes raisons qui ont mis entre parenthèses le projet de ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan afin d'apporter également la grande vitesse à l'ouest et à l'est de la France. Le coût important de construction d'une ligne nouvelle et la rareté des fonds publics limitent actuellement la construction de plus d'une à deux LGV simultanément.


Néanmoins, une partie de la nouvelle liaison ferroviaire entre Nîmes et l'Espagne a avancé de manière concrète à travers le projet de contournement de Nîmes et Montpellier, déclaré d'utilité publique en 2005, et dont le démarrage des travaux est proche.



Le projet de ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan en est à présent au stade du débat public. L’intérêt d’un débat public est de permettre l’expression la plus large possible et de prendre en compte les avis et remarques formulés par le public sur l’opportunité et les caractéristiques essentielles du projet (scénario, couloirs, intérêt de créer des gares nouvelles).


Suivant les avis exprimés pendant le débat public, Réseau Ferré de France (RFF), maître d’ouvrage du projet, décidera fin 2009 du principe et des conditions de la poursuite du projet.


Si l’opportunité du projet est confirmée et compte tenu des délais d'études et des procédures administratives et foncières, la mise en service de la ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan se situe à l’horizon 2020.


Vous trouverez ci-dessous un schéma récapitulant les grandes étapes du projet :



Question n°2024 de : VITI René - le 10/06/2009

Message à l'attention des Responsables du projet : Afin de démontrer l'intérêt de ce projet et en soignant l'aspect "pédagogique" de la démarche, je pense qu'il serait utile, en plus d'avoir démontré l'intérêt de le mener à bien, d'en montrer les inconvénients de l'abandonner. A cet effet, il serait judicieux de développer "L'ARBRE DE DECISIONS". Quel impact négatif sur la région, en cas d'abandon ?

Réponse le  17/06/2009

Dans le cadre des études préalable au débat public, Réseau Ferré de France (RFF), maître d’ouvrage du projet, l’Etat, la Région Languedoc-Roussillon et 12 collectivités partenaires, ont déterminé les objectifs auquel le projet de ligne nouvelle entre Montpellier et Perpignan devait répondre.


 


Concrètement selon ces acteurs, une ligne nouvelle en plus de la ligne existante devra permettre de :


- Donner aux habitants de toute la région l’accès à la grande vitesse sur le réseau ferroviaire européen,


- Renforcer la fiabilité et la qualité du service ferroviaire entre Montpellier et Perpignan en décongestionnant la ligne existante,


- Réduire le temps des trajets entre les villes de la région et améliorer la fréquence des trains,


- Inciter à prendre le train plutôt que la voiture,


- Favoriser le transport de marchandises sur le rail plutôt que sur la route,


- Mettre en relation directe les agglomérations du Languedoc-Roussillon,


- Accompagner le dynamisme de l’économie régionale.


En l’absence de réalisation de ce projet, ces objectifs et attentes du territoire ne seraient pas ou que partiellement atteints.