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AVIS
Il faut revoir entièrement le tracé
par Jean-Marc BECUWE (BOURGTHEROULDE-INFREVILLE), 03/10/2011
Une LGV qui passe et s'arrête partout, par définition ce n'est pas une LGV !
Dans le cadre du "Grand Paris", et d'une seule région Normandie, il faut donc que la LGV rejoigne (et seulement) les trois pôles régionaux : Rouen, Le Havre, Caen, via deux tunnels sous la Seine (l'un à Rouen - sous le Cours Clémenceau, la Gare Orléans, la Seine... et l'autre à proximité du Havre).
Les autres villes (Evreux, Bernay, Vernon...) continueraient à être desservies par des TER rénovés... et à l'heure !
Gagner une demi-heure dans le projet actuel, pour arriver à la Défense et reperdre cette demi-heure en RER pour venir au centre de Paris, je ne vois pas trop l'intérêt (sauf l'égo des politiques).
Ne refaites pas l'erreur de ces mêmes politiques (ou presque) (Fabius-Lecanuet) pour le "métro" (oups) de Rouen : le refus de le faire passer sous la Seine crée des nuisances, des bouchons quotidiens, de l'énergie électrique gaspillée...
Sincèrement vôtre.

VOS COMMENTAIRES

Les villes moyennes sont nombreuses

Il me semble réducteur de réduire la desserte à celles des 3 villes de Rouen, Caen et le Havre. Les villes moyennes sont nombreuses sur les axes normands et participent grandement à la rentabilité de ces lignes. Par exemple, la gare de Lisieux et ses correspondances vers Trouville-Deauville sont particulièrement empruntées. Il n'y a aucun intérêt à faire une nouvelle ligne si la moitié des voyageurs y perdent en temps et en facilité d'utilisation à cause de correspondances TER comme vous le préconisez.

Ajouté par Johan ABOUT (DEAUVILLE), le 05/10/2011

Fiabilisation du parcours Paris/Mantes

Il est bien évident que la desserte voyageur de Le Havre, Rouen et Caen vers Paris ne justifie pas à elle seule la création de la LNPN. Pour Le Havre/Rouen/Île de France (et le reste du pays) la question du fret est très importante et conduit à penser que la création d'une nouvelle infrastructure pourrait devenir indispensable.
De nombreuses villes moyennes jalonnent ces deux lignes. Si les voyageurs de ces villes doivent emprunter des TER en correspondance le gain de temps sera nul voire même négatif.
Le gros souci pour la desserte des deux lignes normandes (cela est également valable pour Paris-Granville) réside absolument et en priorité dans la fiabilisation du parcours Paris/Mantes.
Ensuite viennent le respect des horaires, la mise en service d'un matériel neuf (sur la base d'automotrices aptes à 200/220km/h) et enfin un gain de temps significatif le tout à un coût acceptable pour une clientèle composée pour une majeure partie de ''navetteurs''.
A partir du moment où le voyageur peut voyager confortablement dans un horaire respecté et à un prix du billet raisonnable la question du temps de parcours devient moins cruciale pour ce type de desserte même s'il ne faut pas négliger cet aspect.

Ajouté par Yves JANSSENS (LISIEUX), le 09/10/2011