Avis n°505 de : CLAVEAU Jean-Marc - Les Essarts le Roi 78690 - le 31/03/2006
La RN 10 est présentée comme une coupure urbaine alors que l'urbanisation s'est développée après sa construction.
La réalisation d'une A12 se serait elle pas une coupure rurale sans pour autant faire disparaitre la coupure urbaine de la RN10 existante ?

Avis n°383 de : SARFATI Arnaud - LES ESSARTS LE ROI - le 31/03/2006
Je vous présente une question mais aussi un témoignage sur l'évolution des habitudes de transport.
Je ne critique pas l'utilité du projet, et je reconnais la nécessité absolue de résoudre le problème des villes traversées par la N10, et la difficulté de choix, qui pénalisera des milliers de personnes et en avantagera d'autres.
Nous empruntons d'ailleurs et bien loin de chez nous des autoroutes construites en bordure d'autres communes.
Mais le prolongement de la A12 représente un coût colossal, financier et environnemental, pour toutes les populations.
Lorsque l'A12 a été construite, elle a permis de libérer la ville de Saint-Cyr l'école du trafic qui l'encombrait. C'était une excellente chose pour les habitants. Aujourd'hui, l'A12 est saturée chaque jour, idem pour l'A13. Saint-Cyr est au milieu, et le respire au quotidien, avec Fontenay le Fleury. L'histoire nous montre qu'augmenter le réseau autoroutier est une solution nécessaire, mais temporaire.
De façon plus générale, on constate chaque jour plus de 300 km de bouchons cumulés autour de Paris pendant plusieurs heures. Dans la majorité des cas, il n'y a qu'une seule personne dans chaque voiture.
Depuis plus de trois ans, je fais vivre un service de covoiturage gratuit sur internet dont je tairai le nom. Je réponds chaque jour personnellement à des dizaines de demandes de personnes qui cherchent à réduire leurs frais et ou réduire la pollution. Pour vous donner une idée de l'intérêt des français et des franciliens pour ce mode de transport : 55.000 inscrits, à un rythme actuel mais croissant de 1.000 inscriptions par semaine. 15.000 habitent en région parisienne.
Ce sont essentiellement des trajets pour aller travailler, étudier, partir en week-end et en vacances.
Beaucoup prennent leur voiture ou cherchent une place dans une autre voiture, faute de transport en commun adapté.
Il prendraient les transports en commun si on augmentait la fréquence et l'interconnexion des transports en commun avec une combinaison de trains omnibus et semi-directs. Obligés de se déplacer en voiture, ils cherchent néanmoins à réduire leurs frais avec le covoiturage, et on pris conscience de leur impact environnemental.
( on parle de pénurie de pétrole et de gaz à effet de serre en plus d'augmenter les TC )

Avis n°471 de : EGNER Christian - LES ESSARTS LE ROI 78690 - le 30/03/2006
Monsieur,

Avant tout, permettez-moi de vous remercier pour le temps que vous avez bien voulu consacrer à la réponse à mon précédent courrier électronique. Je concède pour ma part, avoir certainement été très sévère dans les termes que j'ai pu employer et je souhaite ne pas avoir été blessant à votre propos, ce qui n'était pas le but.

Comme je le précisais, il ne s'agissait aucunement d'une attaque personnelle mais du témoignage de l'agacement croissant qui fut le mien eu égard au ton et à la « méthode » d'animation du débat.

A toute situation, à toute action, adaptation et réaction proportionnée.
Là où vous estimez avoir été directif, j'ai quant à moi (et à un certain nombre d'observateurs dans la salle), discerné à plusieurs occasions, une attitude, je le répète, injustement et disproportionnellement agressive et menaçante. Différence de jugement, de perception ? Sans doute.

Je ne conteste pas vos « états de service » et le fait que vous ayez fait preuve, notamment au cours du débat public sur le projet d'autoroute Amiens-Lille-Belgique, de qualités indiscutables, respectées et sans doute confirmées par les associations que vous m'invitez à aller consulter, mais je me réfère uniquement à la réunion à laquelle j'ai pu participer.
Comme d'ailleurs sur d'autres sujets d'actualité, ce que je remets en cause, c'est plus la forme que le fond, c'est le ton, la méthode, cette volonté, sous prétexte de faire régner bienséance et autorité, d'user d'un autoritarisme probablement efficace et nécessaire dans d'autres circonstances, mais malvenu à mes yeux quand il s'agit d'un débat public et démocratique. Les quelques mouvements, remarques et rumeurs de la salle étaient bien loin de pouvoir être comparables à ce qui peut se passer dans un de ces « meetings » que vous évoquez.

C'est d'ailleurs pour éviter cette « dérive » possible que vous justifiez la posture qui a été adoptée au cours de la réunion. Mais je crois que c'est justement cette stratégie de l'évitement, cette fébrilité et cette crainte de tel ou tel débordement individuel ou collectif qui a peut être un peu « parasité » votre perception de la situation et semble avoir exacerbé la sensation d'un danger potentiel et la surévaluation de la réalité de ce qui se passait dans la salle. Dans le contexte du débat public, ceci a été ressenti dans certaines de vos remarques, comme une forme d'agressivité et de raideur illégitime et génératrice de frustrations et de colères. Il y a donc ainsi un risque d'attiser plus que d'éviter les attitudes et comportements que vous redoutez et c'est aussi ce que je voulais signifier.

Il y certainement aussi une différence de perception « géographique » des choses entre la tribune et la salle mais, quoi qu'il en soit, il me semblait intéressant de vous faire part de cette remarque et du ressenti de personnes du public sans qu'il s'agisse pour autant d'attaque personnelle ou de « jeunisme » déplacé.

En tout état de case, et pour en finir, même si vous contestez mes termes, j'ai constaté avec plaisir que le déroulement de la réunion de samedi dernier, fut d'une toute autre teneur et tenue, bien plus satisfaisantes en ce qui me concerne.
Mon courrier aura donc peut être eu au moins le mérite de participer à cet « assouplissement » de ton.


Bien cordialement,

Avis n°322 de : Baglin Nicolas - Les Essarts le roi 78690 - le 29/03/2006
L'avis du directeur départementale de la Chambre d'Agriculture lors de la réunion inaugurale est aussi à prendre en compte, mentionnant notament la notion de seuil spatiale de viabilité agricole qui s'il est atteint remet en cause l'activité globale du secteur, en amont et en aval. A lorgner sur des terres cultivées dans un parc naturel déjà restreint dont la vocation est de les maintenir en place, il est fort à parier que l'avenir se compromette avec ce type de projets.
Concernant l'opportunité d'un prolongement en tracé neuf, elle n'est pour moi pas contestable. La requalification de la RN10dans la traversée de la ville nouvelle en boulevard urbain et privé des 2/3 de son trafic créera un nouvel axe de développement et de reconquête urbaine et sera un gros soulagement pour les populations urbaines.
Enfin, il est dommage que les politiques aient laisser se développer des zones résidentielles de part et d'autre du tracé de l'A12 dans Montigny réservé depuis plus de 30 ans. A eux d'assumer les revendications légitimes des riverains pour un tranchée couverte qui risque de ne pas voir le jour.

Avis n°321 de : Baglin Nicolas - Les Essarts le roi 78690 - le 29/03/2006
Que ceus qui qui affirment comme une évidence le passage par le Vallon du Pommeret aient une vision à un peu plus long terme des conséquences géographiques, environnementales et donc humaines d'un tel choix.
Certes le tracé 3C s'éloignent le plus des habitations (ne pas oublier tout de même les habitants du Sud du Mesnil qui vont se retrouver à moins de 500 mètres d'un viaduc ouvert aux transports de matières dangeureuses contrairement aux tranchées couvertes) mais c'est celui qui induira le plus d'urbanisation nouvelle dans un espace protégé depuis à peine quelques dizaines d'années (et qui est sensé le rester dans les siècles futurs).
La priorité absolue désormais dans le développement de l'IDF est la densification de l'agglomération (avec la reconquête entre autre des anciennes friches industrielles ou ferroviaires présentes aussi sur le secteur de Trappes ou Coignières), la limitation au maximum du mitage de l'espace et la protection des espaces naturels sensibles. Déclasser un site inscrit dans un parc naturel pour construire une autoroute crée un facheux précédent juridique pour les parcs franciliens par définition les plus menacés.
C'est ainsi que la commune du Mesnil Saint Denis qui a pris la voie du développement maitrisé au sein du Parc se retrouvera isolé de facto de ce dernier, dans l'aire d'influence de la ville nouvelle et condamnée à une urbanisation sous forme de zones d'activités ou commerciales au NE de l'A12 et en relation avec l'échangeur dans la plaine du Mesnil.
Il s'agit d'évolution à moyen et long terme mais qui est celle qu'il faut prendre en compte dans un projet d'une telle ampleur (et non les 3 ou 4 ans de travaux certes difficile à supporter pour les riverains). La DDE a fait la démonstration qu'un tracé au Nord de la

Avis n°302 de : COURTIN Tatiana - Les Essarts le Roi - le 28/03/2006
Le prolongement de l'A12 ne ferait que dégrader l'environnement.
Pourquoi ne pas développer les transports en communs : on pourrait plutôt prolonger la ligne SNCF La Verrière-La Défense jusqu'à Rambouillet, ce qui serait particulièrement utile pour aller travailler!

Avis n°238 de : Cagin Anne - Les Essarts Le Roi 78690 - le 25/03/2006
Je suis favorable au tracé "par le vallon du Pommeret", pour les raisons suivantes:
-coût
-durée des travaux
-sécurité routière (Je circule souvent sur la N10)
-allégement du trafic sur la N10
-respect des riverains
-uniquement 6ha déclassés sur 3900 (il faut arrêter de protéger à tout prix les sites naturels au détriment des habitants, surtout à la frontière de la métropole parisienne)

Avis n°166 de : Pagel Maurice - LES ESSARTS LE ROI 78690 - le 23/03/2006
le 23 mars 2006

Bonjour,

Je suis pour le passage de A12 par le Vallon du Pommeret, et voici mes raisons :
- La circulation sur la RN10 est de plus en plus importante.
- Bouchons le matin, de plus importants, avant le feu de la grâce de Dieu, premier feu rouge sens province Paris, et le soir, sens Paris province.
- Beaucoup de pollution pour les Riverains de la RN10.
- Personnellement, je suis à 3 mètres de la voie de circulation sens province Paris, impossible d'ouvrir mes fenêtres coté RN10 (bruit - pollution)
- Difficultés de sortir de chez moi ou d'entrer sans risques ( vitesse limitée à 70 km h), mais passage des véhicules de toutes tailles très fréquemment à des vitesses largement supérieures.
- Pour subir tous les jours ces difficultés, je ne peux que demander que le passage de A12 ne puisse se faire que hors des villes, donc par le Vallon du Pommeret.
- Je me considère plus "écologiste", attaché aux problèmes d'environnement que ceux qui ne se disent "écologistes" que pour geler le plus longtemps possible le prolongement de A12.
- En prenant soin de la faune et de la flore, en France, nous savons réaliser des infrastrutures qui devraient satisfaire les "écologistes" qui sont contre le passage par le Vallon du Pommeret.
- Il ne faut pas oublier que l'être humain fait partie de cette faune, et que les partisans de l'A12 par le Vallon du Pommeret sont aussi des êtres humains qui aiment la nature et la tranquillité

Merci de votre écoute

Maurice Pagel

Avis n°156 de : MOULIN Colette - LES ESSARTS LE ROI 78690 - le 22/03/2006
Monsieur le Président,
J'ai lu avec attention l'ensemble du document relatif au débat public sur le projet de prolongation de la A 12.
Après des dizaines d'années d'études, beaucoup comme moi, osent penser qu'enfin une décision sera prise.
J'habite aux Essarts le roi, le long de la RN 10, et j'attend depuis très longtemps la déviation qui avait été prévue dans la fin des années 60, comme celle qui avait été faite au Perray en yvelines.
Cette déviation a été reprise dans le dossier du projet A12, donc n'a pas été réalisée...
Compte tenu des éléments fournis au niveau des diverses études, j'espère que la décision qui sera prise sera bénéfique à l'ensemble des populations des villes et villages concernés par les tracés.(l'écologie étant au service des populations, même celles des villes)
En outre, les coûts de construction et d'entretien n'étant pas négligeables, les seuls tracés possibles ne peuvent être que ceux qui utilisent des zones rurales.. donc,. Par le Pommeret.
L'A12 est devenue indispensable - merçi de penser aux habitants et également aux personnes dont leurs emplois seraient menacés par la destruction d'une partie de zones d'activités situées à Coignières et à La Verrière.
Quelques personnes craignent pour la Faune et la Flore du vallon du pommeret, entre-autre, les "Lézards"... et bien, je puis vous affirmer qu'à moins de 4 mètres du passage des véhicules, j'ai dans le mur de clôture de ma maison des lézards qui vivent bien paisiblement.
Je vous remercie de l'attention que vous porterez à mes suggestions.

J'espère que la réalisation du projet sera assez rapide, car il devient de plus en plus dangereux pour les riverains de sortir et rentrer chez eux. La vitesse, bien que limitée, n'est pas toujours respectée, et compte tenu du nombre de véhicules aujourd'hui, c'est presque un exploit de se sortir indemne lors de chaque départ ou arrivée.

Avis n°144 de : BILL CADORE Anne Marie - Les Essarts le Roi 78690 - le 22/03/2006
L'horizon 2020 ne me concerne plus. mais je pense aux générations à venir et je souhaite que l'on sauvegarde les quelques arpents de nature qui les aideront à supporter la vie que nous leurs préparons. NE TOUCHEZ PAS AU PARC NATUREL

Avis n°135 de : MARS Roger - Les Essarts le Roi 78690 - le 22/03/2006
À la lecture des avis ci-dessous reportés, je constate que certains d’entre nous cautionnent la démarche de la DDE sur les différents tracés, sans se poser la question…. Le prolongement de la A12 est-il opportun ?. Réponse : NON.
Les 100 000 véhicules/jour annoncés ne sont pas une fatalité, car des solutions alternatives existent comme la répartition du trafic de transit sur tout le territoire national, sans passer dans la région Parisienne, que propose la DATAR (haute instance d’études gouvernementales d’aménagement du territoire). Déjà en 1976 le contournement du bassin parisien était envisagé par l’ouest du massif forestier Rambolitain. Les transports alternatifs offriront une opportunité massive comme le rail, le fluvial, maritime, les transports par "conteners", les oléoducs, etc…. et trouveront leurs pertinences dans les années à venir, tant sur le plan économique qu’écologique, si les hautes autorités le décident.
Dans une époque où le pétrole est encore considéré comme peu cher la réponse à une demande de transport est par facilité le ''tout routier", mais demain le PEAK OIL, c'est-à-dire le point culminant au delà duquel le pétrole commencera à manquer face à la demande, prévu entre 2010 et 2030 remettra en cause cette politique à courte vue. Si cette vision n’est pas corrigée, dans les dix à vingt ans à venir, par une politique de transports collectifs élargis, elle nous mènera vers des désordres économiques , politiques et sociaux gravissimes.
Il sera nécessaire de corriger sur la RN 10, les causes de nuisances multiples, une insécurité engendrée par une circulation chaotique et difficile, en remplaçant par des dénivelés les carrefours, feux rouges, ‘’tourne à gauche’’, etc….et en supprimant des coupures urbaines ciblées, tant aux Essarts le Roi, qu’ à Coignières ou Trappes.
Par son effet "aspirateur"ce prolongement de transit associé aux autres prévisions comme l’ancienne A88 rebaptisée liaison RN 12-RN 10, ne peuvent que nous ramener des nuisances supplémentaires alors que notre volonté est de les réduire au maximum sans affecter l’environnement et les couloirs d’alimentations économiques.
Rappelons que dans cet espace agricole, dit de Montmort et de la Tasse situé à l’ouest de Essarts le roi il y aura a terme 14 voies de circulation (2x3 : A12 / 2x2 RN 10 / 2x2 Ancienne A 88.) sans compter les deux échangeurs au Nord et au Sud des Essarts le roi. Soit plus de 7 voies pour s'engager dans les deux voies de la RN 10 vers Rambouillet. Jolis bouchons en perspective et beaucoup de nuisances à venir.

Avis n°118 de : VAN DEN DAELE  - LES ESSARTS LE ROI 78690 - le 21/03/2006
Beaucoup de nuisances pour les Essartois

Avis n°96 de : OLIVIER Jean-Marie - Les essarts le Roi 78690 - le 20/03/2006
Ne pas toucher à la vallée de Chevreuse.
Les tracés de la famille 2 me paraissent idéals à part les pleurs de boutiquiers qui iront s'installer ailleurs.

Avis n°89 de : BRIQUET Eric - LES ESSARTS LE ROI 78690 - le 20/03/2006
Madame, Monsieur,
je vous prie d'accorder quelques secondes à la lecture de ce courriel qui résume mon point de vue sur le prolongement de l'A12 en y apportant quelques suggestions.
1. Etant donné l'urgence de finaliser ce serpent de mer, il me parait indispensable de choisir la solution la plus rapide, soit le tracé historique par le vallon du Pommeret.
2. Si ce projet est rejeté depuis plus de 20 ans par les riverains concernés, il manque peut-être un ou deux arguments forts pour le faire accepter.
- A. Nuisances.
Les habitants du Mesnil St Denis ou Lévis St Nom ont choisi ces localités afin de vivre dans un cadre naturel agréable à proximité de grandes agglomérations et des bassins d'emplois. Quelques aménagements du tracé par le Pommeret pourraient réduire voire supprimer les craintes légitimes provoquées par une telle réalisation.
- B. Solutions.
Deux points noirs doivent être effacés.
a/ Pommeret et contournement de Lévis St Nom:
Percement d'un tunnel depuis l'échangeur des Essarts le Roi afin de passer sous l'actuelle RN 10 et la voie ferrée. Cette galerie en pente douce sortirait le plus loin (et bas possible) dans le vallon du Pommeret. Tel le métro aérien, on peut imaginer la suite en extérieur (300 m environ) avec un remblai de terre (issu du tunnel) qui éviterait tout ouvrage d'art en béton. Ce remblai aurait aussi l'avantage d'être paysagé et donc d'offrir une protection naturelle aussi bien pour les oreilles que pour les yeux.
b/ Contournement du Mesnil St Denis.
Après la partie aérienne (cf paragraphe précédent), suivrait une grande courbe à gauche (dans le sens Les Essarts-St Quentin Yvelines) puis un nouveau tunnel (afin d'éviter le site classé) et, toujours en pente douce, qui sortirait sur le plateau juste avant l'échangeur du Mesnil. Il ne resterait alors plus que 300 à 500 mètres environ avant de rejoindre le bois qui entoure la zone industrielle de Trappes-Elancourt. Cette dernière portion à l'air libre pourrait être semi enterrée. Il suffirait de creuser une tranchée d'une profondeur de deux mètres et de compléter avec deux buttes de terre parallèles afin de masquer totalement la chaussée de la vue des riverains.
-C. Conclusion.
Avec moins d'un kilomètre d'autoroute extérieur et particulièrement intégré à l'élément naturel afin de réduire tous les types de nuisances, ce projet serait peut-être plus facilement accepté par les riverains concernés. Le supplément du coût et l'allongement du délai de livraison aux usagers ne devraient pas être trop éloignés des autres projets actuellement à l'étude.
En espérant avoir retenue votre attention, veuillez agréer mes sincères et respectueuses salutations.

Avis n°68 de : GERAULT Alain - les essarts le roi 78690 - le 19/03/2006
Bonjour
je viens de prendre lecture de votre plaquette aussi je suis tres surpris sur le volume de poids lourds affiché (qui semble réellement ridicule!!!)
je suis sur cet axe le matin vers 6h15 à Trappes,et 6h30 à l'épi d'or je pense
que l'on ne peut compter ques les voitures parmi les camions !!!
la repartition est vraiment ninimisée (quelle est votre définition du poids lourds,comment passe t'on de 12% à Coignieres à 9% à Maurepas?
je maintiens mon choix pour le tracé 3C
Salutations

Avis n°38 de : Vendrely Matthieu - Les Essarts le Roi 78690 - le 15/03/2006
Voilà quelques mois notre président de la république déclarait devant un parterre international : "la maison brûle". Aujourd'hui, nous en sommes pourtant à nous demander comme permettre à plus de voitures de circuler autour d'une capitale dont précisément les responsables tentent de faire fuir les autos. Nous sommes dans un débat sans queue ni tête. Il n'y a semble-t-il aucune cohérence dans cette affaire. Et pourtant.. La solution n'est elle pas de "mettre le paquet" sur les transports les plus propres? Des trains plus réguliers, à toutes heures du jour et de la nuit. Au lieu de cela, on envisage carrément de déclasser une partie de la vallée de Chevreuse, l'un des seuls poumons restant en Ile de France. Pensons aux "générations futures".. Celles à qui nous laisserons des autoroutes et des régions polluées. Voulons-nous réellement cela ? Sommes nous à ce point égoïstes ? Tentons d'avoir une vision à long terme.. Pour une fois. Matthieu VENDRELY - Journaliste.

Avis n°24 de : BUCHOT MICHEL - LES ESSARTS LE ROI 78690 - le 13/03/2006
je serai favorable au renforcement du tracé actuel de la RN10

- tracé le plus direct
-ne dégrade pas plus l'environnement d'une région sensible
-n'augmente pas la population riveraine des nuisances automobiles