CAMPUS CHARLES MéRIEUX - LYON 7
e
aujourd’hui
futur PÔLE MULTIMODAL D’oullins
Le choix DE l’INNOVATION
et du développement économique
FAIRE DES CAMPUS UNIVERSITAIRES
DE VÉRITABLES PÔLES D’INNOVATION
Dans un contexte de compétition internationale, l’agglomération
lyonnaise mise en premier lieu sur le renforcement de ses
pôles d’enseignement et de recherche. Elle souhaite en faire
de véritables centres d’excellence dans la recherche appliquée,
des «pôles d’innovation» étroitement liés au tissu industriel.
Elle entend ainsi faire le pari d’un modèle de développement
économique qui met en relation étroite les milieux économiques,
scientifiques et universitaires de très haut niveau.
SOUTENIR LE SOCLE INDUSTRIEL
À l’heure de la désindustrialisation, développer son socle indus­
triel constitue l’autre grand défi économique de l’agglomération.
Pour le relever, elle a préservé dans les plans d’urbanisme un
potentiel foncier de 2000 hectares pour les activités économiques
(
dont 150 ha. dans le secteur ouest), auquel s’ajoutent 500 hectares
pour la régénération industrielle. Le projet «horizon 2030» définit
les principaux lieux d’accueil pour le développement économique
et pour la préservation du socle industriel : Vallée de la chimie
(
de part et d’autre du Rhône), zone industrielle Lyon nord, zone
industrielle Lyon sud-est, Mi-Plaine (Chassieu), Porte des Alpes,
ZAC des Gaulnes (Meyzieu), pôle économique ouest.
À travers son Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) et
son Plan Climat, l’agglomération lyonnaise vient d’exprimer
ses orientations à l’horizon 2030. Elle réaffirme tout d’abord
l’ambition du développement mais en fixant un nouveau cap :
celui d’aménager différemment son territoire, pour qu’il soit
plus équilibré et pour qu’il s’organise autour de multiples
pôles de vie. Elle fait de l’environnement et de la qualité
urbaine un moteur de développement : l’agglomération
souhaite tirer parti de sa situation exceptionnelle, amplifier
la mise en valeur de ses fleuves et rendre accessibles
les espaces de nature à ses portes. Elle porte également
une ambitieuse politique multimodale de déplacements.
L’agglomération lyonnaise s’engage enfin à diminuer de
20%
ses consommations d’énergie et ses émissions de
gaz à effet de serre d’ici 2020 ; tout en assurant 20% de sa
consommation énergétique par les énergies renouvelables.
2.
L’agglomération lyonnaise à l’
horizon 2030
Promouvoir un développement équilibré et durable
arkéma - Pierre-bénite aujourd’hui
20
partie 1