l’A7 le long de la confluence
Volumes
(
nombre de véhicules
à l’heure de pointe
du soir)
0-200
200-400
400-600
600-800
800
Le cas par ticulier de l’A6/A7
ZOOM
POURQUOI IL EST DIFFICILE
DE Supprimer L’AUTOROUTE
A6/A7,
SANS POSSIBILITÉ DE REPORT
DES TRAFICS SUR UNE NOUVELLE
VOIRIE D’AGGLOMÉRATION ?
L’analyse fine de la structure des dépla­
cements sur A6/A7 montre qu’aujourd’hui
ceux-ci sont très diffus. En effet, plus les
origines et des destinations sont éloignées
des zones de forte densité généralement
bien pourvues en transports collectifs,
moins ceux-ci sont efficaces au regard de la
voiture. Au final, le potentiel de report modal
de la voiture vers les transports collectifs
est faible. Les déplacements sur A6/A7
sont donc difficilement reportables sur
les transports collectifs.
Seul 25% de la demande de trafic pourrait
être reportée sur des transports en commun,
même dans l’hypothèse où l’intégralité des
automobilistes empruntant l’autoroute
résiderait dans un corridor de transports
collectifs. Ce niveau de report modal est
insuffisant pour permettre la suppression
de l’axe A6/A7 avec le niveau d’ambition
souhaité (voir précédemment).
UNE GRANDE DISPERSION DES ORIGINES ET DES DESTINATIONS de l’axe A6/A7
4.
Vers quelle mobilité urbaine allons-nous ? L’agglomération à l’heure des choix
Analyse des réponses en transpor ts collectifs sans infrastructure routière majeure
Sources : Grand Lyon 2009
Axe A6/A7
2030
sans infrastructure
majeure
Axe A6/A7
(
requalifié)
2030
souhaité
40000
à
50000
véhicules/jour
120000
à
130000
véhicules/jour
60
partie 1