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Avis

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Thème sélectionné : Avis sur les nanos

Avis de DELMAS Jacme Tolosa - le 23/10/2009

Cela fait 50/80 ans que la société technologique nous trompe avec l'appui de l'Etat, comment peut-on penser que cela ne continue pas ? Certaines nanotechnologies sont déjà appliquées sans débat.

Avis de CLEMENTE FRANCOIS-  31400 Toulouse - le 30/10/2009

La nanotechnologie n'est pas bien nouvelle, nous utilisons déjà, paraît-il, un millier de nanomolécules fruit de nanotechnologies. Mais puisque déjà, actuellement et encore plus dans les années à venir, les nanoparticules auront une influence notable sur nos sociétés et sur l'écologie, nous devons sûrement nous plonger dans l'analyser de leurs effets éventuels. Nous pourrons par la suite étudier pratiquement comment utiliser chacune d'elles en tenant compte de conclusions acquises. Tout organisme vivant est constitué de nanomolécules.

Celles-ci sont assemblées pour constituer les cellules végétales et animales qui composent les organismes vivants. De plus, dans ces mêmes organismes elles établissent aussi des ponts entre tissus différents, souvent très éloignés. D'emblée, quelque question va se poser à nous. Comment l'organisme peut différencier une molécule naturelle, biologique de celle qui est produite artificiellement ? Ces nonomolécules, qui sont à leur place naturelle et y exercent des fonctions normales, peuvent-elles être différenciées de celles qui n'ont pas de fonctions normales ? Ces petites particules peuvent-elles gripper les machines, c'est-à-dire les organismes ? Peuvent-elles éventuellement pouvoir s'intégrer dans l'organisme pour donner à la longue des êtres défectueux dans leurs fonctions naturelles et devenir alors pathologiques ? Ces petites molécules peuvent-elles avoir la capacité de contaminer le personnel qui les produisent industriellement ou même ceux qui les présentent ? Quelles altérations écologiques peuvent-elle engendrer ? Globalement donc le prix à payer en vies humaines et en santé.

Voilà quelques questions très générales qui nous viennent d'emblée à l'esprit en pensant au développement des nanotechnologies. D'ailleurs, certaines de ces questions nous rappellent celles posés à propos des travailleurs des mines et des personnes soumises à l'amiante, qui par dégradation forme des particules cancéreuses. Ce n'est qu'une analyse globale, et nous sommes encore loin d'envisager les questions posées par l'utilisation de chaque type de nanomolécule. Nous désirons participer à un débat positif ! Donc en évoquant ces questions nous désirons pousser à la réflexion pour trouver les solutions adéquates, sans nous laisser berner par la science-fiction !

Avis de CHARLES Danielle Toulouse - le 23/10/2009

Démocratie : voulons-nous cette société ?

Je ne veux pas d'une socièté comme ça

- qui propose sans connaissances approfondies, de façon massive à l'image de la socièté de consommation, hors des murs des laboratoires,  des technologies incertaines, suspectes de risques pour l'environnement, la santé des êtres vivants, et ceci d'une façon irrémédiable, si le doute que nous en avons s'averrait réel. 

- je ne veux pas d'une société qui développe de façon industrielle des procèdés pour le grand public sans qu'elle puisse en mesurer les conséquences sur le long terme. A l'heure du développement durable où nous reconsidérons le monde des "non vivants" de la naissance à la mort, dans un cycle de vie, il n'est pas possible d'émettre des particules dans la socièté, dans la nature, sur terre dans l'eau et dans le air,  alors que nous savons que leur  agrégation au niveau nano est soit inconnu, soit nouveau, soit incertain, de même que leur usure ou désagrégation en fin de vie.


- je ne veux pas d'une société où travailleurs, employés, consommateurs et citoyens utilisent des nanotechologies sans information préalable, 
- je ne veux pas d'une société qui ne prennent pas en compte la question de l'élimination des nano objets en fin de vie

le principe de précaution doit s'appliquer. Les chercheurs et les industriels doivent s'y contraindrent. les fonds à la recherche toxicologique doivent être 

Et pour finir,  différentes ONG nous alertent sur la question ethique et morale  des nano technologies : brevetage du vivant, contrôle et suivi des personnes par le biais des puces. C'est au final la question de la liberté de l'individu qui est au centre du débat. Je ne veux pas d'une socièté "big brothers"


décidement, où que l'on se tourne les nanotechnologies sont trop dangeureuses !

Avis de Viotti Philippe-  06200 NICE - le 26/10/2009

Il est temps de cesser d'avoir peur et de passer à un nouveau niveau de civilisation. En fait peu sont ceux qui ont vraiment pris conscience des répercussions qu'aura la totale maîtrise, à terme, des composants de la matière. Parmi les bouleversements ? - Une durée de vie largement augmentée, certainement la fin du cancer et de nombreuses autres maladies : il va falloir totalement repenser notre société lorsque les citoyens vivront près de 200 ans. - Des pans entiers de l'économie seront bientôt condamnés à dispararaître: - d'une part les nano technologies nous permettront de produire des matériaux de plus en plus solides, donc durables, ce qui n'est plus en adéquation avec notre société de consommation actuelle. - d'autre part, par exemple, pour fabriquer une feuille de papier, des nano robots organiseront les atomes de carbones pour produire directement la feuille : finies les étapes de coupe de l'arbre, etc... Nous devons envisager tous ces changements dès aujourd'hui car ils sont inéluctables: la recherche ne s'arrêtera pas, il y aura toujours quelqu'un pour avancer. Et si la France ne prend pas part à ces avancées, elle sera vite et irrémédiablement distancée. La maîtrise des nano technologies se doit d'être LA priorité nationale ! Les enjeux suscités par les nano technologies sont aussi merveilleux que les dangers. C'est comme un couteau: un côté coupe, l'autre non. Faut-il avoir peur ? Non, mais nous avons besoin des pouvoirs publics pour informer les citoyens sur les dangers et surtout sur les formidables progrès accomplis : il faut redonner espoir en l'avenir et cet espoir viendra des nano technologies. Je suis convaincu que bon nombre de nos problèmes actuels seront résolus grâce à la maîtrise de la matière.

Il faut également que la couverture médiatique concernant les nano technologies cesse de ne présenter que les dangers alors que nous sommes aux portes de la victoire contre le cancer grâce aux dernières avancés nano biotechnologiques (notamment avec l'encapsulation). Il faut qu'un portail internet global français sur les nano technologies soit créé, un site qui comprendrait une section grand public et aussi une section plus avancée pour les scientifiques mais qui seront toujours accessibles à tous - le maître mot : la transparence. Ce site ferait état de toute avancée en matière de nano technologie et mettra en avant la qualité du travail des chercheurs français. Il est plus que temps d'exposer le formidable travail accompli par nos chercheurs. Enfin comme toute chose nouvelle, il est facile d'en avoir peur: certains pensaient que les passagers d'un train mourraient au delà de 70 km/h ou encore qu'en apnée, le corps humain ne resisterait pas au delà de 50 m de profondeur... Il en est de même pour les nano technologies. L'avion n'existerait pas si les frères Wright n'avaient pas pris le risque de s'envoler, alors AVANCONS, prenons le risque nano, nos petits enfants nous remercierons !

Avis de JAMONT Thierry - le 26/10/2009

Rendre plus accessible des revues de presse sur  les innovations et les travaux de recherche

Avis de DELMAS Jacme Tolosa - le 23/10/2009

Maintenant que l'on sait ficher les arbitres de pelote basque, comment vont être les fiches des industriels toxiques pour les peuples et pour la filière ? Seront-ils accessibles par les voisins des industriels et les ouvriers ?

Avis de DELMAS Jacme - le 23/10/2009

Est-ce que les chercheurs ont une moindre connaissance de l'histoire des méfaits passés des technologies dites miraculeuses ?

Avis de MOLIN Claudine-  31100 Toulouse - le 23/10/2009

Pourquoi introduire les nanoparticules dans des produits où elles ne sont absolument pas utiles ? J'ai vu par exemple la publicité de patch miracle basé sur les nanotechnologies. Ce produit dont la publicité est faite dans les salles de sport est apparemment en vente libre.

Avis de DESJOURS Pascal-  31300 Toulouse - le 23/10/2009

Plutôt que de développer des techniques et particules malgré tout invasives, ne serait-il pas plus judicieux d'enrayer le mal à la source, les pollutions entre autres ?

Avis de ROCHER Laurent-  - - - le 23/10/2009

Bonjour à tous, Comme toute nouvelle technologie, le principe de précaution s'impose à la raison, même si les Directives européennes ont récemment renversé cette logique en mettant la charge de la preuve d'un risque à ceux qui demandent des précautions. Il ne faut pas non plus rester à côté du train de la technologie, car d'autres investissent massivement dessus. Mon avis est donc de limiter l'utilisation des nanotechnologies aux laboratoires de recherche, avec interdiction de mise sur le marché, tant que des études publiques et objectives d'impact sur la santé et l'environnement n'auront pas été menées à leur terme normal et démontré qu'il n'y a pas d'impact significatif, ou que les industriels n'auront pas financé les mesures de protection garantissant un niveau de risque jugé acceptable par les ministères de la santé et de l'environnement. L. Rocher ingénieur brevets

Avis de mateu vincent-  34070 montpellier - le 22/10/2009

houaou!! et dire que dans 20 ou 30 ans au plus tard nous n'aurons plus à travailler car les nano robots fabriqueront tout ce dont on a besoin, qu'ils pourront même nous réparer , voire même nous améliorer, et que le système économique et militaire n'aura plus de lieu d'être, parcequ'on aura plus besoin de faire travailler qui que ce soit pour obtenir ce que l'on veut je rêve? non c'est ce qui arrive à grand pas

Avis de DISPONS  Jean-  47230 THOUARS / GARONNE - le 21/10/2009

Bonjour, Le mieux est que je joigne ci-après la lettre que je viens d'envoyer au Ministre de l'Environnement. Cordialement, Jean DISPONS

Monsieur le Ministre, J'ai l'honneur, en tant que citoyen, de vous faire part de ma consternation de voir que les fanatiques de l'obscurantisme ont réussi à imposer leurs vues jusque dans nos Ministères. Je suis chimiste, reconnu internationalement dans mon domaine particulier comme en fait foi ma contribution à l'ouvrage de référence international cité en note en bas de page. Il est actuellement question de légiférer sur les "nanoparticules", comme s'il s'agissait d'une nouveauté. Je rappelle que seul le vocable est nouveau. Toute obtention d'émulsions colloïdales, artificielles ou naturelles, consiste à produire des "micelles" (ancien nom sans doute moins noble) les plus fines possibles pour obtenir l'onctuosité et la stabilité souhaitée. La mayonnaise en est l'exemple type. Sa dangerosité exceptionnelle est bien connue ! La digestion consiste à transformer nos aliments en constituants protidiques ou en émulsion huileuse, et donc, selon la prétentieuse terminologie actuelle en nanoparticules. Va-t-on légiférer sur la mayonnaise ou sur les modalités de la digestion ? L'exemple du dioxyde de titane, dont la poudre micronisée constitue un pansement digestif de choix est particulièrement mal venu. C'est grâce à la possibilité de l'obtenir sous forme de nanoparticules que TiO2 doit son pouvoir couvrant exceptionnel. En fait l'ingestion de substances micronisées, si elles ne sont pas toxiques, n'est pas rendue plus dangereuse par leur état de finesse, car alors qu'en serait-il des molécules elles-mêmes (on passe alors de nano à pico). Va-t-il falloir indiquer que tel produit contient de l'eau ou de l'huile à l'état de dangereuses picoparticules (molécules) ? En revanche, mais ce n'est pas nouveau, la respiration de nanoparticules peut être très dangereuse, la nocivité des fumées domestiques ou industrielles est connue depuis longtemps. Il faut évidemment s'en protéger sans être obligé d'en débattre. En définitive, ce que je retiens de ces incriminations c'est la volonté de certains idéologues anti-progrès de soulever par le biais de termes à connotations techniques mal connus du public un problème inexistant en profitant de l'ignorance générale et de peurs de type millénaristes en évoquant des dangers sans fondement. Ils ont déjà réussi à obtenir la tenue d'un débat public, ce qui est à peine croyable ! Puisse le simple bons sens ramener ce débat à sa vraie dimension : Celui de l'émergence bien orchestrée d'un faux problème dans des buts idéologiques bien éloignés du souci de la santé publique. Je vous prie d'agréer, Monsieur le Ministre, l'assurance de ma haute considération. Jean DISPONS Feedstock recycling and pyrolysis of waste plastics ( 2006 John Wiley & Sons Ltd) Chapitre 22 p.595 et ss.

Avis de bredel Stéphane-  76490 st wandrille - le 21/10/2009

le fait que l'armée est été la première intéressé ( comme pour le nucléaire) va encore nous conduire à la désinformation et au secret

Avis de mccormick elisabeth ferney-voltaire - le 21/10/2009

Si l'on ne peut qu'admirer les avancées scientifiques, l'utilisation qui en est faite soulève quand même quelques questions. Dans le cas des RFID, on se trouve en présence de technologies indétectables/insoupçonnables pour le commun des mortels. Quelles informations contiendront-elles? Qui y aura accès? Sous quelles conditions? Comme ceux qui en décideront la mise en application risquent fort d'être les mêmes que ceux qui les fabriqueront. (c'est du moins ce qui ressort de la composition des responsables du Programme de Stockholm), un vote du Parlement européen sur ces questions aurait été le bienvenu. On peut peut-être regretter que les questions de Sécurité fasse partie du premier pilier, et qu'elles échappent ainsi au contrôle du Parlement. Espérons qu'on lui accordera quand même la possibilité de donner son avis (consultatif seulement), ce qu'il n'a pas obtenu jusqu'ici.

Avis de alexandra nanovich-  31000 toulouse - le 21/10/2009

Bonjour, Foutaise et démarche anti-démocratique évidente. Pour exemple à Toulouse l'info a été communiquée par une affichette collée une heure avant le démarrage dudit débat à l'Arche Marengo dans un lieu bien à l'écart. Le débat qui n'en n'est pas un est juste là pour faire passer le message que bientôt nous allons manger des nanos à toutes les sauces.

La recherche a démarré les produits déjà commercialisés sans étiquetage. Je trouve la démarche des scientifiques un peu juste pour rehausser leur image vis à vis du grand public. Pourquoi pas un débat sur l'utilisation du nucléaire en France, et la recherche sur les OGM ? anachronisme ou volonté délibérée d'exlure nos concitoyens d'un choix de société qui les concerne .... Je ne vous félcite pas, je vais m'employer à la création de garde fous puisque vous restez toujours emmurer dans votre tour d'ivoire. Pas nanocordialement,

Avis de TUHITI Jean - le 20/10/2009

Bonjour,
 
et merci par avance de votre attention.
 
Du point de vue purement scientifique le sujet reste trop ouvert pour qu'il soit déjà en phase industrielle.
 
En effet, les incertitudes sont encore trop nombreuses concernant la sécurité et des ces effets, tels que le démontrent pleinement la question des pollutions ondulatoires, où les affaires liées au téléphones portables (par extension à tous ce qui est portable en fait vu qu'à l'echelle quantique c'est le même problème.
 
Par conséquent et en transposant les ondes aux nano vous devinerez soudainement les potentiels d'effets pervers et ainsi la dangerosité éventuelle car presque trop petit (seul par le nombre) pour être vu mais suffisammant grand (par le nombre seul) pour être nuisible.
 
Tout comme les nuisibles de la vie courante, des cages doivent être préparées pour les amadouer (laboratoires pour poursuivre les recherches sur la dangerosité.... je sais ce sera long comme toute innovation c'est long donc soyons patient) ou il faut les supprimer rapidement afin de les contrôler.
 
La mondialisation avec ses avantages et inconvénients que nous vivons n'est telle pas qu'un prélude à la nanolisation et devrait par conséquent nous interpeller plus fermement avant de décider. 
 
La légèreté de celle-ci est comme une métastase, passé un seuil le retour en arrière n'est plus possible.
 
Ce qu'il faudrait pour les nano est comme le vaccin que l'on s'apprête à injecter pour la grippe A par exemple.
 
Le courage c'est toujours attendre avant d'agir pour sauver sa propre vie.
 
Merci.
 
Bonne journée.
 
Cordialement.

Avis de CHARLES Danielle - le 20/10/2009

 

BONJOUR,  Je m’appelle Danielle CHARLES,  je suis élue conseillère communautaire au Grand Toulouse.  Un débat a lieu alors que les nanotechnologies ont largement investi les champs de notre vie.  Quel est l’objet,  quel est le but de ce débat national,  qu’en ferons nous ? Pour moi,  sans aucun doute,   ce débat doit déboucher sur la protection du consommateur,  des travailleurs,  des citoyens,  de l’environnement,  des organismes vivants  et de la santé,  bref la société dans son ensemble.

 

 Les nanos n’enclenchent rien de moins  qu’un débat sur les pollutions atmosphériques,  sur la sécurité intérieure et la défense nationale. Les nanoobjets à l’insu de beaucoup,  ont envahi l’habitat,  l’énergie,  les matériaux,  les biens d’équipements,  et les applications multiples l’informatique,  le textile,  la médecine,  les cosmétiques. , Ce débat national va s’emparer de la question de la défense des libertés individuelles,  et évoquer  l’éthique dans la gouvernance alors que le débat vise également la recherche,  le développement industriel, et la compétitivité. Le débat semble faussé d’avance puisque les valeurs défendues d’une société idéale semblent incompatibles avec les valeurs marchandes  défendues.

 

 Devant l’ampleur et le nombre de questions soulevées,  nous,  citoyens et citoyennes devons alerter l’opinion publique,  sur les risques de santé et de pollution,  sur les problèmes d’éthique,  que nos sociétés développent à travers les nanoobjets, la nanos science.

 

 Nous devons agir, alerter et provoquer un moratoire afin d’en savoir plus,  avant d’en développer plus. En midi Pyrénées,  900 entreprises sont concernées par les nanos. Nous ne savons pas combien de produits issus des nanos nous entourent et quels impacts ils ont sur nous.  A minima il faudrait tout de suite une identification,  un logo spécifique qui puisse informer les citoyens,  consommateurs et salariés,  afin que ceux puissent choisir d’en utiliser ou non. Il faut une législation qui encadre la production et l’utilisation des nanos.

16 réunions auront lieu dans toute la France.

 

J’ai noté l’absence de la réflexion sur la question des déchets,  autant pour les particuliers que pour les industriels : car s’il y a une certitude,  c’est que nous retrouverons un jour ces objets,  usés,  déchirés,  réduits en poussière. Nous les retrouverons là où nous retrouvons nos déchets : dans les incinérateurs,  les centres d’enfouissement,  dans les boues des stations d’épuration,  et au final dans l’air  par les réfiom et dans l’eau à la sortie des stations d'épurations qui ne l’auront pas prévues. Et si les nanos sont dangereux,  les déchets le seront aussi et ils seront dispersés. Il faut caractériser les nanos.

 

Il n’y a pas à l’heure actuelle de collecte de déchets de nanos auprès des particuliers,  ni auprès des industriels,  ni auprès des entreprises du bâtiment.  Il faut organiser une récupération des déchets,  qui correspondent à leur mise sur le marché. Il faut donc savoir qui en produit qui en vend qui en utilise. Il faut un moratoire,  puis une législation.

 

 

 

 

Avis de Sabathé Patrick-  92 220 Bagneux - le 20/10/2009

Il y a, je crois, un rapprochement à faire entre l'amiante (et ses effets) et les nanotechnologies. En effet, dans le cas de l'amiante, ce qui étonne les médecins et les biologistes, c'est que, bien que chimiquement inerte, l'amiante puisse provoquer des cancers. Et c'est ici que le rapprochement se fait car c'est uniquement la taille (nanométrique) des particules libérées par les produits amiantés qui provoque ces affections.

La taille et peut-être la forme (en aiguilles) qui sans doute agresse les cellules vivantes d'une façon ou d'une autre. Avant de légiférer sur les nanotechnologies il faudrait donc mieux comprendre les mécanismes qui, dans le cas de l'amiante, provoquent les cancers ; peut-être en viendra-t-on ainsi à interdire, dans le cas des nanotechnologies, celles qui utilisent des nano-objets ayant certaines formes.

Avis de Bondy Odile-  70100 Velesmes - le 20/10/2009

Mon avis: C'est une bombe à retardement pour notre corps concernant les produits alimentaires et cosmétiques contenant des nanoparticules qui s'infiltrent au coeur de nos cellules. Combien de générations vont tenir le coup??? Nous ne pourrons plus faire marche arrière puisque aucun masque ne pourra empêcher les nano de passer par les voies respiratoires et quelle combinaison pour la peau, autant aller vivre sur une autre planète.... J'espère qu'ils n'envisageront pas d'utiliser ces cochonneries dans l'agriculture. Cordialement

Avis de Cailac Cyrille-  567629 Singapour - le 20/10/2009

Les nanotechnologies sont un des seuls domaines promettant un progres technologique visible dans une enveloppe enegetique realiste dans les decennies a venir. Les dangers pour la sante demontres semblent du meme ordre que ceux lies a l'amiante et donc, maitrisables.

Avis de GUIS Alain-  33260 La Teste - le 19/10/2009

1/ Le progrès est une donnée irréversible, sauf à vouloir retourner aux cavernes... pour de nouveau tout faire pour en sortir ! 2/ Aucune activité humaine n'est innocente (exempte de conséquences bonnes ET néfastes) 3/ Quantitativement, les actions humaines s'expriment en dizaines de joules : même multipliées par 6 X 10EXP9 individus, cela demeure modeste face aux peta joules d'une activité tectonique par exemple; 4/ Ne pouvant arrêter le progrès il convient de l'encadrer par des règles et procédures elles mêmes dictées par bon sens, études, expérimentations.

Ces règles, procédures et dispositifs mis en place devant évoluer avec le retour d'expérience. Cela dit, il vaut mieux éviter de tomber dans le piège de dispositifs castrateurs qui pénaliseraient la R & D. Seuls les dispositifs à usage militaire (nanodrônes etc) doivent faire l'objet de développements nécessairement secrets et d'usage par définition réservé aux Forces et services de sécurité. Enfin quelques petites remarques sur les fantasmes de boue grise. Si on est capable de développer des machines à la Drexler (autorépliquantes) cela signifie que l'on est bien évidemment capables de réaliser des gardes-fous inhérents à la structure elle-même. Personne semble-t-il n'a envisagé que cette boue grise pourrait être un parfait...éboueur ? Décontaminer toutes les zones polluées par des machines qui transformeraient les polluants en substances inoffensives voire avantageuses, voilà qui devrait faire vibrer toute fibre écologiste. Quant à Terraformer Mars (et peut être Vénus), l'opération ne prendrait plus quelques siècles mais seulement quelques décennies... Au fait, les nanomachines existent depuis presque 4 milliards d'années... Cordialement à vous Alain GUIS Ancien représentant (adjoint) du ministère de la Défense auprès de la Commission Interministérielle des Radioéléments Artificiels (de 1985 à 1992)

Avis de Vialis Théo-  06410 Biot - le 19/10/2009

Le progrès technologique et scientifique est une évolution naturelle de l'homme. Nous sommes né pour évoluer, notre soif du savoir et nos questions métaphysique ne seront peut-être jamais satisfait, mais nous mourront en nous en rapprochant le plus possible. Les Nanotechnologie font parti des avancés technologiques à notre portée à ce jour et, même si il existe un danger, je pense que c'est un risque à prendre plutôt que d'avoir peur et de stagner tout a se demandant si on est pas passé à côté de ce qui est important...

Avis de DUPARC-LYNG Astrid - le 19/10/2009

Bonjour,

Je serai brève !

Il est indispensable d'informer le consommateur de présence de nano-technologies dans ce qu'il achète et utilise :

De la " t r a n s p a r e n c e " !!

Astrid Duparc-Lyng.

Avis de BARBET DIDIER-  78870 BAILLY - le 19/10/2009

Nanotechnologies, d'accord, mais aux seules conditions de prendre toutes les mesures de précaution avant, de réaliser toutes les études toxicologiques nécessaires avant, de prendre le temps de la réflexion et le recul nécessaire. De ne pas faire n'importe quoi pour gagner de l'argent.

Avis de Magoga Michael-  31220 Montberaud - le 19/10/2009

Bonjour, Je suis un des rares professionels de la Nanotechnologie, mais aujourd'hui je parle en mon nom propre. Apres avoir parcouru les quelques contributions/questions recensées sur ce site, je pense qu'il faudrait lever au plus vite une ambiguité majeure. En effet, aujourd'hui, on met dans le même panier la nanotechnologie (miniaturisation d'outils à l'échelle atomique, comme un nano-robots) et "les nanotechnologies" (tout ce qui met en jeu un élément nanométrique).

Dans la premiere catégorie, on trouve beaucoup d'espoirs et de potentialités, c'est une future révolution, mais aucune applications pratique actuelle, puisque l'homme en est encore au stade de la recherche fondamentale, à jouer avec les concepts et les outils mis au points. Dans la seconde catégorie, on peut trouver n'importe quoi (faire un cocktail, par exemple, c'est mélanger des molécules, donc faire des nanotechnologies :)).

Mais on y trouve surtout les nano-matériaux. Or, ne nous laissons pas tromper par le terme, un nano-matériaux, ca n'est rien d'autre qu'un nouveau produit de synthese, nouveau par ses propriétés et par sa réactivité, qui devrait être traité au même titre que n'importe quelle substance chimique ou réactive: passer par une phase d'expérimentation animale, une phase de recherche de nocivité, l'examen attentif de ses éventuels impacts environnementaux, etc... et ce *AVANT* d'envisager son exploitation dans une quelconque application ! Le principe de précaution, en quelque sorte, lequel s'applique d'autant plus aux nanomatériaux que ceux-ci entrainent des réactions plus importantes (en termes qualitatifs ET quantitatifs), pour de plus *petites* quantités. Les normes actuelles ne sont donc plus du tout pertinentes.

Merci, Michael Magoga

Avis de Mayer Marie-Claude Strasbourg - le 17/10/2009

Nos décideurs privés et publics qui ont permis que les nanotechnologies soient déjà employées en-dehors des milieux confinés propres à la recherche - les laboratoires - ("autrement dit" : qui ont fait du lobbying pour et/ou qui ont permis qu'elles soient déjà légalement pour partie présentes dans des produits de consommation courante) font courir à l'ensemble des espèces vivantes de très grands risques (avec impacts potentiels sur la vitalité des individus, ainsi que bio-accumulation toxique tout au long des chaînes alimentaires) et dans tous les cas introduisent dans l'environnement des molécules qui n'y existaient pas et qui vont perturber, en l'état actuel de nos connaissances et capacités de dépolution, de manière irréversible le fonctionnement des écosystèmes. L'avis de la population devrait être sollicité (par référendum) avant que les "politiques" prennent des décisions dont les conséquences pourraient être dramatiques, à plus ou moins court terme, pour toute la planète !

Avis de Losson Olivier-  59650 Villeneuve d'Ascq - le 17/10/2009

Je m'étonne et m'inquiète que des produits (cosmétiques, etc.) incluant des nanoparticules puissent être commercialisés sans réelle étude sanitaire ou environnementale, d'autant que les affections potentielles sur la santé humaine (cancers, etc.) peuvent apparaître à longue échéance. Je crains également, comme dans le cas des OGM, une irréversibilité de la contamination et des effets éventuels qu'elle pourrait induire. Aussi, je demande instamment un moratoire de la commercialisation de nanoproduits tant que des études épidémiologiques et écotoxicologiques poussées n'ont pas été menées ainsi que, s'il s'avérait que ces produits sont sans danger prouvé sur le long terme, leur étiquetage lors de leur mise sur la marché.

Avis de Vieren Christophe-  59262 Sainghin-en-Mélantois - le 16/10/2009

Comme pour le nucléaire, comme pour les OGM, .... on autorise et après on pose la question : êtes-vous pour ou contre ? Bon je le donne quand même mon avis : quand on voit l'autorisation déjà octroyées pour l'utilisation dans  des cosmétiques, on a tout de suite compris l'inérêt : business is business, business as usual. La fuite en avant vers les ennuis. "Le système économique dominant n'est plus la solution mais bien le problème", N. Hulot

Avis de braud marie madeleine-  67700  furchhausen - le 16/10/2009

Il est indispensable que toxicité, et autres effets sur la santé de tous les êtres vivants, de chaque élement utilisé en nanothecnologie soient évalués. Ceci par plusieurs laboratoires indépendants, sur des cycles de vie dont la durée est représentative. Il est aussi indispensable de suivre le cour de la vie de ces mamotechnologies lorsqu"elles retournent à la nature. Dans l'attente de ces resultats ces produits ne doivent pas être utilisés.

Avis de rougier alain Grenoble - le 16/10/2009

Ok pour le progrès, et donc les nano, s'il apporte plus de qualité de vie (santé, solutions à la raréfaction des ressources naturelles, aux énergies renouvelables, au DD en général, ...) mais NON s'il contient le moindre risque ( à court et long terme) pour la santé, pour l'égalité sociale (accessibilité à ces nano pour tous), s'il est prétexte à toujours plus de développement économique au sens de "acquisition de richesses pour une minorité". Donc pour le débat public, pour prendre le temps (qu'est-ce qui presse? tout va de plus en vite vite! Attention au toujours plus!!!).

Avis de ATI Anthony-  85000 LA ROCHE SUR YON - le 16/10/2009

POUR LA PRÉSERVATION D'UNE NATURE POETIQUE ET VIVANTE : NON À LA DESTRUCTION TECHNOLOGIQUE DU VIVANT ! NON AU NÉANT ! Tout ce qui prive les espèces vivantes d'autonomie individuelle en polluant et en stérilisant notre environnement n'est pas un progrés mais une chute irrervisible vers l'abime et l'esclavage totale des populations ainsi mises devant le fait accompli d'une pollution et d'une stérilisation de la nature rendu volontairement irréversible par une logique lucrative elle même aux ordres de la logique d'intemporalité de tout pouvoir centralisé aspirant à se substituer technologiquement au cycle de reproduction des espèces lui même. NON AUX NANOTECHNOLOGIES ! NON À LA POLLUTION TECHNOLOGIQUE DU VIVANT ! Il n'existe pas et n'existera jamais de technologie au service du vivant et des populations, bien au contraire depuis l'aube des temps les technologies visent à contrôler et à se substituer à la création et au vivant pour servir la logique d'intemporalité de tout pouvoir centralisé issu des peurs et de l'orgueil anthropocentriste humain en générale. ce n'est jamais l'homme qui prend le pouvoir et régne sur la technologie, mais c'est toujours la logique et l'exercice du pouvoir qui finissent par posséder l'homme en le transformant en une simple marchandise puis en un rouage de la machine technologique elle même. QUOI QUE FASSE LES HOMMES, LA NATURE REPRENDRA TOUJOURS SES DROITS UN JOUR OU L'AUTRE ET LES PYRAMIDES D'ORGEUIL, DE PEURS ET DE VANITÉS SERONT À NOUVEAU ENGLOUTIES DANS LES ABIMES DU NÉANT.

Avis de Herlaut Ludovic-  59170 croix - le 16/10/2009

Je pense qu'il faut investir massivement à coup de milliards d'euros dans cette future révolution technologiques. La France peuvent devenir leader, elle a une chance historique à saisir.

Avis de Magoga Michael-  31220 Montberaud - le 16/10/2009

Bonjour, En tant qu'expert dans le domaine Nanotechnologies, et apres avoir parcouru les quelques contributions/questions recensées sur ce site, je pense qu'il faudrait lever au plus vite une ambiguité majeure. En effet, aujourd'hui, on met dans le même panier la nanotechnologie (miniaturisation d'outils à l'échelle atomique, comme un nano-robots) et "les nanotechnologies" (tout ce qui met en jeu un élément nanométrique). Dans la premiere catégorie, on trouve beaucoup d'espoirs et de potentialités, c'est une future révolution, mais aucune applications pratique actuelle, puisque l'homme en est encore au stade de la recherche fondamentale, à jouer avec les concepts et les outils mis au points. Dans la seconde catégorie, on peut trouver n'importe quoi (faire un cocktail, par exemple, c'est mélanger des molécules, donc faire des nanotechnologies :)). Mais on y trouve surtout les nano-matériaux. Or, ne nous laissons pas tromper par le terme, un nano-matériaux, ca n'est rien d'autre qu'un nouveau produit de synthese, nouveau par ses propriétés et par sa réactivité, qui devrait être traité au même titre que n'importe quelle substance chimique ou réactive: passer par une phase d'expérimentation animale, une phase de recherche de nocivité, l'examen attentif de ses éventuels impacts environnementaux, etc... et ce *AVANT* d'envisager son exploitation dans une quelconque application ! Le principe de précaution, en quelque sorte, lequel s'applique d'autant plus aux nanomatériaux que ceux-ci entrainent des réactions plus importantes (en termes qualitatifs ET quantitatifs), pour de plus *petites* quantités. Les normes actuelles ne sont donc plus du tout pertinentes. Merci,

Avis de Auclin Danièle-  58700 Lurcy le Bourg - le 15/10/2009

- accentuer les études de risques de toxicité pour l'environnement, les salariés manipulateurs et les consommateurs de ces molécules, et les rendre publiques.

- réglementer les nanomatériaux en tant que nouvelles substances - revoir à la hausse la définition basée sur la taille (300nm)

 - obliger les fabricants à l'étiquetage des produits.

Un groupement d'associations nivernaises a créer un site : www.nature-environnement58.info. J'ai fait un article qui est consultable à partir du 15/10. Nos demandes sont précises.

Danièle Auclin

Avis de Cabanel Olivier-  38490 chimilin - le 15/10/2009

j'ai publié un article dans agoravox au mois d'aout dernier, voici le lien pour en prendre connaissance, cordialement http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/nouvel-article-59947

Avis de crosta patrick-  84260 SARRIANS - le 15/10/2009

Deux soucis : une liberté encore plus restreinte, la récupération des déchets ( fabrication et fin d'utilisation )

Avis de thavard  christian troyes - le 15/10/2009

sans entrer dans les détails il faut parler des particules élémentaires et peut etre de la théorie des supers cordes

Avis de Schwartz Arnaud-  - - - le 15/10/2009

Nos décideurs privés et publics qui ont permis que les nanotechnologies soient déjà employées en-dehors des milieux confinés propres à la recherche -les laboratoires- ("autrement dit" : qui ont fait du lobbying pour et/ou qui ont permis qu'elles soient déjà légalement pour partie présentes dans des produits de consommation courante) font courrir à l'ensemble des espèces vivantes de très grands risques (avec impacts potentiels sur la vitalité des individus, ainsi que bio-accumulation toxique tout au long des chaînes alimentaires) et dans tous les cas introduisent dans l'environnement des molécules qui n'y existaient pas et qui vont perturber, en l'état actuel de nos connaissances et capacités de dépollution, de manière irréversible le fonctionnement des écosystèmes.

Avis de Perdu Fabien saint martin le vinoux - le 15/10/2009

Sans être spécialiste des "nanos", je suis ingénieur chercheur en physique. Voici ma position : De par leurs propriétés uniques (grande mobilité, grande surface de contact,...), les nanoparticules ont la possibilité d'avoir des effets supérieurs de plusieurs ordres de grandeur à ceux des matériaux courants. De ce fait, elles peuvent à la fois apporter de grandes innovations technologiques dont le monde a besoin (je pense en particulier au domaine de l'énergie), et présenter des risques d'un nouveau type. Pour éviter de devoir faire machine arrière dans l'avenir (comme c'est actuellement le cas sur de nombreux produits chimiques), je pense que ces produits fondamentalement nouveaux devraient faire l'objet d'une autorisation de mise sur le marché qui permettrait d'évaluer et de mettre en balance "l'utilité" sociale du produit et sa "nocivité" potentielle. Cela ne briderait pas la recherche car cette autorisation ne concernerait que la mise sur le marché. Je ne parle pas de principe de précaution car celui-ci tend à interdire tout produit dès que son innocuité totale n'est pas sûre à 100%, même si son utilité sociale est manifeste et très importante.

Avis de bredel stéphane-  76490 st wandrille - le 15/10/2009

Avec les nanotechnologies ne va t'on pas ,encore, vers des catastrophes sanitaires et environnentales comme pour l'amiante et les OGM ? le fait que l'armée est été la première intéressé ( comme pour le nucléaire) va encore nous conduire à la désinformation et au secret. Et pourquoi ce " débat " arrive t 'il si tard alors que des sommes astronomiques ont déjà été injectées dans cette technologie contre nature ?? Comme souvent, on met sur le marché, on prend l'argent et on espère qu'il se passera au moins une génération avant d'avoir un procès

Avis de weemaels henry-  5561 Celles - le 15/10/2009

L'initiative est louable comme son retard est regrettable . Cependant l'affrontement n'en est qu'a ses début . La révolution scientifique que nous connaissons inaugure une ére particuliére dans l'histoire de notre humanité. La révolution industrielle suivra . Seule une révolution politique pourra nous donner les moyens d'échapper à la tyrannie que nous connaissons aujourdhui

Avis de   - le 14/10/2009

Information du Groupe MARS CHOCOLAT FRANCE

Le groupe MARS a été récemment cité dans un article du canard enchainé comme utilisateur des nanotechnologies.

Il nous paraît donc important d'éclairer sur la situation réelle : Mars Chocolat Europe n'emploie aucune nanoparticule dans ses fabrications industrielles.

La confusion provient peut être du fait que nous avions déposé en 1996 un brevet relatif à ce sujet, tout comme nous déposons chaque année plusieurs brevets. Celui-ci a été abandonné dès 1996 et n'a jamais été mis en oeuvre.