Vos questions et leurs réponses

Réponse le  24/09/2009

Bonjour,

Le projet prévoit en effet le recours à la voie d’eau pour l’évacuation des matières issues du traitement des déchets (mâchefers, digestats issus du procédé de méthanisation, compost…). Selon les études de faisabilité qui ont été réalisées en 2007-2008, les quantités qui pourraient être ainsi évacuées pourraient s’élever entre 265 000 et 310 000 tonnes/an.

De même, la fraction combustible résiduelle (c’est à dire la fraction des ordures ménagères à haut pouvoir calorifique) en provenance des installations de méthanisation avec valorisation organique du SYCTOM prévues en Seine Saint Denis (Romainville/Bobigny et Blanc-Mesnil / Aulnay-sous-Bois) arriverait par la voie fluviale pour le centre de Romainville/Bobigny (80 000 tonnes/an) et par voie ferrée pour le centre de Blanc-Mesnil / Aulnay-sous-Bois (30 000 tonnes/an). Le projet serait ainsi en interconnexion avec d’autres installations du SYCTOM dans une logique de fonctionnement en réseau.

Le recours à la voie d’eau, combiné avec le recours au transport ferré également prévu dans le projet, permettra d’éviter environ 20 000 camions sur les routes chaque année.

Le projet s’inscrit ainsi dans la politique que le SYCTOM a engagée depuis 1995 pour faire des transports alternatifs à la route l’une de ses priorités stratégiques afin de contribuer à la lutte contre le changement climatique et au désengorgement de la circulation sur les routes de l’agglomération parisienne.

Le SYCTOM de l’Agglomération parisienne

Réponse le  24/09/2009

Bonjour,

Nous tenons tout d’abord à vous préciser que le SYCTOM exerce une mission de service public qui consiste à traiter les déchets produits par les ménages habitant sur son territoire. Le SYCTOM n’a pas en charge la collecte des déchets ménagers qui est du ressort des communes. Le parc de camions de collecte auxquels vous faites référence dans votre question relève donc de la responsabilité de ces communes, de même que les horaires des tournées.

Nous pouvons toutefois vous indiquer, s’agissant du projet de transformation du centre du SYCTOM à Ivry-Paris XIII, que celui-ci intègre la réalisation sur site d’un poste de distribution de biocarburant pour 85 bennes de collecte (80 bennes de la Ville de Paris et 5 bennes de la Ville d’Ivry).

Ce biocarburant qui serait produit à partir du biogaz issu du procédé de méthanisation des déchets ménagers du centre Ivry-Paris XIII, viendrait se substituer au gaz naturel de ville actuellement utilisé par ces bennes, l’objectif étant de contribuer à la lutte contre le changement climatique en permettant d’éviter le recours à des énergies d’origine fossile.

Le SYCTOM de l’Agglomération parisienne.

Réponse le  24/09/2009

Bonjour,

Les modes de transport utilisés par le projet de transformation du centre Ivry-Paris XIII seraient d’une part le fluvial grâce à la création d’un accès souterrain permettant de relier le centre au quai de Seine et d’autre part la voie ferrée par la création d’un embranchement ferroviaire sur le site.

Le projet prévoit en effet le recours à la voie d’eau pour l’évacuation des matières issues du traitement des déchets (mâchefers, digestats issus du procédé de méthanisation, compost…). Selon les études de faisabilité qui ont été réalisées en 2007-2008, les quantités qui pourraient être ainsi évacuées pourraient s’élever entre 265 000 et 310 000 tonnes/an.

De même, la fraction combustible résiduelle (c’est à dire la fraction des ordures ménagères à haut pouvoir calorifique) en provenance des installations de méthanisation avec valorisation organique du SYCTOM prévues en Seine Saint Denis (Romainville/Bobigny et Blanc-Mesnil / Aulnay-sous-Bois) arriverait par la voie fluviale pour le centre de Romainville/Bobigny (80 000 tonnes/an) et par voie ferrée pour le centre de Blanc-Mesnil / Aulnay-sous-Bois (30 000 tonnes/an).

Le recours à la voie d’eau, combiné avec le recours au transport ferré également prévu dans le projet, permettra d’éviter environ 20 000 camions sur les routes chaque année.

Le projet s’inscrit ainsi dans la politique que le SYCTOM a engagée depuis 1995 pour faire des transports alternatifs à la route l’une de ses priorités stratégiques afin de contribuer à la lutte contre le changement climatique et au désengorgement de la circulation sur les routes de l’agglomération parisienne.

Le SYCTOM de l’Agglomération parisienne

Réponse le  25/09/2009

Bonjour,

Nous tenons tout d’abord à rappeler que le SYCTOM exerce une mission de service public qui consiste à traiter les déchets produits par les ménages habitant sur son territoire. Le SYCTOM n’a pas en charge la collecte des déchets ménagers qui est du ressort des communes.

S’agissant du transport des déchets ménagers par la Seine, c’est aux communes et établissements publics de coopération intercommunale en charge de cette mission, de décider s’ils souhaitent mettre en œuvre ce dispositif.

Le projet de transformation du centre Ivry-Paris XIII intègre la réalisation d’un accès souterrain pour relier le centre au quai de Seine et serait par conséquent en mesure de recevoir des déchets ménagers par voie fluviale.

On peut néanmoins préciser que l’utilisation du fluvial pour amener les déchets dans l’unité de traitement du SYCTOM présenterait un intérêt limité. Tout d’abord, l’implantation de l’unité du SYCTOM est au cœur même du bassin de collecte des déchets ménagers et permet ainsi un parcours limité des bennes chargées de collecter les déchets ménagers (environ 5 km en moyenne). La mise en œuvre d’un transport fluvial nécessiterait en outre l’implantation d’un ou plusieurs postes de transfert de ces déchets en bord de Seine pour une distance de transport par voie fluviale qui serait au final très limitée, et entrainerait un coût plus élevé de la collecte…Toutefois, le SYCTOM a proposé récemment l’engagement d’une réflexion sur l’élaboration d’un schéma directeur de la collecte pour justement dépasser cette séparation actuelle entre collecte et traitement afin notamment d’apprécier, selon les bassins versants (zone géographique de collecte autour d’un centre de traitement), l’opportunité du transport fluvial des déchets en amont du traitement.

Par ailleurs, des collectivités réfléchissent aussi à la mise en place de la collecte pneumatique (système d’aspiration des déchets par des canalisations souterraines) à l’occasion du réaménagement complet d’un quartier afin de regrouper les déchets en un lieu et d’éviter la circulation des bennes : Paris dans le XVIIème, Romainville, les Lilas, Issy-les-Moulineaux.

Enfin, le SYCTOM développe déjà le transport fluvial en sortie de ses centres pour les déchets ou produits, soit 11 000 camions évités sur les routes en 2008. Avec le projet Ivry-Paris 13 ce seront 20 000 camions supplémentaires qui seront évités.

Les SYCTOM de l’Agglomération parisienne

Réponse le  16/10/2009

Bonjour,

Le bilan CO2 du projet de centre de tri Paris 12 (capacité de 60 000 tonnes/an) sur le plan des transports est le suivant :

• Bilan CO2 lié à la collecte sélective : 93 tonnes éq. CO2 (pour un transport en matière de collecte qui s’élève à 300 000 t.km/an)


• Bilan CO2 lié au transport des matériaux recyclés et refus : 435  tonnes éq. CO2 (pour un transport qui s’élève à 6 450 000 t.km/an dont 4 600 000 t.km/an par voie fluviale) ; sans le recours à la voie fluviale tel que prévu dans le projet, ce bilan s’élèverait à 670 000 tonnes éq. CO2 (représentant une augmentation de plus de 54 %).

Le SYCTOM de l’Agglomération parisienne

Réponse le  16/10/2009

Bonjour,

Nous tenons tout d’abord à vous préciser que le SYCTOM exerce une mission de service public qui consiste à traiter les déchets produits par les ménages habitant sur son territoire. Le SYCTOM n’a pas en charge la collecte des déchets ménagers qui est du ressort des communes. Il n’en reste pas moins que votre remarque sur l’intérêt de recourir à des réseaux pneumatiques pour collecter les ordures ménagères triées par l’habitant est tout à fait pertinente.

Ces réseaux viennent en remplacement des collectes classiques par bennes à ordures. S’ils sont très coûteux en investissement, ils sont plus économiques en fonctionnement et évitent les nuisances liées à la collecte par camions ainsi que l’utilisation et la gestion des bacs dans les immeubles. Ils sont généralement développés lors d’importantes opérations d’aménagement urbain.

C’est ainsi que ce dispositif a été retenu par la Ville de Paris dans le cadre de son opération d’aménagement Les Batignolles pour récupérer les ordures ménagères et les collectes sélectives des habitants. Le SYCTOM a un projet de réalisation d’un centre de tri de collectes sélectives dans cette opération d’aménagement (centre de tri Paris 17 d’une capacité de 30 000 tonnes/an). Les collectes sélectives récupérées par le transport pneumatique pourront ainsi être directement acheminées dans le centre de tri en vue d’être valorisées.

Un réseau de collecte pneumatique est également à l’étude dans le cadre de l’urbanisation du site de l’ancienne usine du Syctom à Issy-les-Moulineaux. Ce réseau aura un débouché direct dans le centre du Syctom (Isséane).

Le centre de tri existant à Ivry-Paris XIII a vocation à être reconstruit dans le 12^ème arrondissement de Paris avec une capacité doublée (60 000 tonnes/an) pour tenir compte des objectifs de progression des collectes sélectives. Il pourra être adapté pour recevoir des collectes sélectives par réseau de collecte pneumatique si la Ville de Paris décidait d’installer ce type de réseau dans le nouveau secteur d’aménagement dans lequel est prévu d’être réalisé ce centre de tri du SYCTOM.

S’agissant du projet de futur centre Ivry-Paris 13, l’unité du SYCTOM sera bien entendu en mesure de recevoir les ordures ménagères collectées par voie pneumatique si de tels réseaux étaient également mis en œuvre dans son bassin de collecte par les collectivités compétentes.

Il convient enfin de préciser, en matière d’évitement du transport routier source de nuisance, que le projet du SYCTOM met particulièrement l’accent sur le transport fluvial de déchets et produits en entrée et sortie de centre, soit l’économie de plus de 20 000 camions par an.

Le SYCTOM de l’Agglomération parisienne

Réponse le  09/11/2009

Bonjour,

Concernant les aménagements routiers, ceux-ci portent uniquement sur la réalisation d’une rue nouvelle ayant pour objectif de compléter le maillage de la ville d’Ivry-sur-Seine tout en participant aux projets contribuant à la continuité urbaine qui sont envisagés entre Ivry-sur-Seine et Paris.

A la demande des villes d’Ivry-sur-Seine et de Paris, ce projet de rue a été intégré dans les études de faisabilité du projet de futur centre du SYCTOM qui ont été réalisées en 2007-2008.

Selon ces études, cette rue nouvelle s’inscrirait dans la trame viaire existante, parallèlement à la rue François Mitterrand, ou prendrait une forme courbe côté Seine. Elle contournerait l’usine au nord, la traverserait ou la borderait au sud. Ornée d’une ou deux rangées d’arbres, elle serait plantée d’un mail central dans l’une des études.

Le Syndicat adaptera son projet en fonction des décisions des deux municipalités qui examinent actuellement le tracé qui serait optimal au regard des évolutions urbaines en cours.

Concernant les circulations en phase travaux, celles-ci ne pourront être évaluées qu’en phase opérationnelle de l’opération et plus précisément lors des études d’exécution du chantier, une fois que le concepteur et le constructeur auront été désignés par le SYCTOM dans le cadre d’une mise en concurrence publique.

Comme indiqué page 94 du dossier du maître d’ouvrage, la désignation du concepteur et du constructeur est prévue pour 2012.

Sachez toutefois que la mise en œuvre des transports alternatifs à la route (voie fluviale et/ou ferrée) sera privilégiée dès la phase chantier, notamment pour les opérations d’évacuation des matériaux de terrassement ou d’approvisionnement en matériels.

Conformément à ce qui a été annoncé par le Président du SYCTOM lors de la réunion de clôture du 14 décembre dernier, une charte de qualité environnementale sera élaborée au cours du premier semestre 2011 en concertation avec la commune, les associations et les représentants des riverains qui souhaiteront s’associer à cette démarche.

Cette charte abordera notamment la gestion de l’impact environnemental du chantier de l’opération et plus particulièrement les dispositions qui seront prises en matière de transports alternatifs pour l’évacuation et l’approvisionnement du chantier.

Enfin, concernant les circulations au cours de l’exploitation du futur centre pour être complet sur ces sujets, il est important de noter que le projet du SYCTOM est prévu avec une réduction de 20% de la capacité de traitement et qu’à ce titre, le nombre de bennes de collectes d’ordures ménagères résiduelles venant déverser leur contenu dans le centre s’élèvera à 108 500 (soit une réduction de 21 500 camions par rapport à 2008)

Pour le reste des flux liés à l’activité du centre, ceux-ci sont prévus pour l’essentiel par voie alternative à la route.

Ainsi, le recours à la voie d’eau est prévu pour l’évacuation des matières issues du traitement des déchets (mâchefers, digestats issus du procédé de méthanisation, compost…)

Selon les études de faisabilité qui ont été réalisées en 2007-2008, les quantités qui pourraient être ainsi évacuées pourraient s’élever entre 265 000 et 310 000 tonnes/an selon les études.

De même, la fraction combustible résiduelle (c’est à dire la fraction des ordures ménagères à haut pouvoir calorifique) en provenance des installations de méthanisation avec valorisation organique du SYCTOM prévues en Seine Saint Denis (Romainville/Bobigny et Blanc-Mesnil / Aulnay-sous-Bois) arriverait par la voie fluviale pour le centre de Romainville/Bobigny (80 000 tonnes/an) et par voie ferrée pour le centre de Blanc-Mesnil / Aulnay-sous-Bois (30 000 tonnes/an). Le projet serait ainsi en interconnexion avec d’autres installations du SYCTOM dans une logique de fonctionnement en réseau.

Le recours à la voie d’eau, combiné avec le recours au transport ferré également prévu dans le projet, permettra aussi d’éviter environ 20 000 camions sur les routes chaque année.

Le SYCTOM de l’Agglomération parisienne

Réponse le  07/12/2009

Bonjour,

Concernant les mouvements de camions pour la déconstruction/reconstruction de l’usine, ceux-ci ne pourront être évalués qu’en phase opérationnelle de l’opération et plus précisément lors des études d’exécution du chantier, une fois que le constructeur aura été désigné.

Comme indiqué page 94 du dossier du maître d’ouvrage, la désignation du concepteur et du constructeur est prévue pour 2012.

Sachez toutefois que (comme cela a été le cas pour le projet Isséane à Issy-les-Moulineaux) la mise en œuvre des transports alternatifs à la route (voie fluviale et/ou ferrée) sera privilégiée dès la phase chantier, notamment pour les opérations d’évacuation des matériaux de terrassement ou d’approvisionnement en matériels.

Conformément à ce qui a été annoncé par le Président du SYCTOM lors de la réunion de clôture du 14 décembre dernier, une charte de qualité environnementale sera élaborée au cours du premier semestre 2011 en concertation avec les associations et les représentants des riverains qui souhaiteront s’associer à cette démarche.

Cette charte abordera notamment la gestion de l’impact environnemental du chantier de l’opération et plus particulièrement les dispositions qui seront à respecter par le futur concepteur/constructeur en matière de transports alternatifs pour l’évacuation et l’approvisionnement du chantier.

Concernant les mouvements de camions de collecte d'ordures ménagères  prévus pour le futur centre, il est important de noter que le projet du SYCTOM est dimensionné avec une réduction de 20% de la capacité de traitement et qu’à ce titre, le nombre de bennes de collectes d’ordures ménagères résiduelles venant déverser leur contenu dans le centre s’élèvera à 108 500 camions (soit une réduction de 21 500 camions par rapport à 2008).

Pour le reste des flux liés à l’activité du futur centre Ivry-Paris 13, ceux-ci sont prévus pour l’essentiel par voie alternative à la route.

Ainsi, le recours à la voie d’eau est prévu pour l’évacuation des matières issues du traitement des déchets (mâchefers, digestats issus du procédé de méthanisation, compost…)

Selon les études de faisabilité qui ont été réalisées en 2007-2008, les quantités qui pourraient être ainsi évacuées pourraient s’élever entre 265 000 et 310 000 tonnes/an selon les études.

De même, la fraction combustible résiduelle (c’est à dire la fraction des ordures ménagères à haut pouvoir calorifique) en provenance des installations de méthanisation avec valorisation organique du SYCTOM prévues en Seine Saint Denis (Romainville/Bobigny et Blanc-Mesnil / Aulnay-sous-Bois) arriverait par la voie fluviale pour le centre de Romainville/Bobigny (80 000 tonnes/an) et par voie ferrée pour le centre de Blanc-Mesnil / Aulnay-sous-Bois (30 000 tonnes/an). Le projet serait ainsi en interconnexion avec d’autres installations du SYCTOM dans une logique de fonctionnement en réseau.

Le recours à la voie d’eau, combiné avec le recours au transport ferré également prévu dans le projet, permettra d’éviter environ 20 000 camions sur les routes chaque année.

Mis à part les bennes de collecte, le recours aux camions pour l’exploitation du futur centre ne concernera que l’évacuation des résidus de traitement des fumées (pour environ 10 camions/semaine) ou l’approvisionnement en réactifs de certains équipements (représentant quelques camions/semaine).

Le SYCTOM de l’Agglomération parisienne

Réponse le  07/12/2009

Bonjour,

Le SYCTOM effectue depuis toujours des actions auprès de ses communes adhérentes dans le domaine des collectes, par exemple, pour les sensibiliser sur la sécurité du personnel de collecte et d’exploitation lors de leur passage dans ses centres de traitement ou pour l’amélioration de la qualité du tri des emballages et des papiers/cartons par les habitants.

Sur ce dernier point en particulier, le SYCTOM a prévu de mettre en œuvre prochainement un schéma de collecte en accord avec l’ensemble de ses communes adhérentes dans le but notamment d’harmoniser les consignes de tri sur son territoire.

Nous pourrons donc tout à fait relayer vos remarques sur les horaires de collecte qui s’inscrivent pleinement dans les objectifs du SYCTOM de minimiser les impacts et les nuisances de la gestion des déchets ménagers et d’en améliorer les performances. Enfin, il convient de préciser que des communes ont engagé des projets de collecte pneumatique dans le cadre de projet d’aménagement de quartier (transport par des canalisations souterraines des déchets ménagers vers un lieu de regroupement), réduisant ainsi nettement le passage des bennes. Il en est déjà ainsi à Paris (dans le XVIIème arrondissement), à Romainville, au Lilas, à Vitry-sur-seine et à Issy-les-Moulineaux.

Le SYCTOM de l’Agglomération parisienne