Vous êtes ici

Question n°166

ECHANGEUR DE NANCY

Ajouté par Eric WALTHER (VILLEY SAINT ETIENNE), le
[Origine : Site internet]
Autres

Bonjour

A la réunion de Toul, Jérôme PFAFF, CEREMA revient sur les difficultés d’accès à Nancy depuis Toul et l’échangeur d’origine : les remontées de file depuis cet échangeur sont principalement liées à un manque d’écoulement de l’avenue de la Résistance. Les difficultés d'accès à Nancy aux heures de pointe sont uniquement liées aux flux vers l'A33, tous les utilisateurs de ce parcours peuvent en témoigner .... Jamais, jamais l'avenue de la Résistance n'a été en cause dans ce qu'il avance....faut-il demander un constat d'huissier? Si le CEREMA n'a pas d'autres arguments que ceux-ci à produire pour évincer l'hypothèse d'une réfection de cet échangeur, je m’inquiète vivement de la sincérité d'autres propos. Cela devient exagéré! Je demande au MO une explication.

Date de la réponse:
Réponse de La maîtrise d’ouvrage, le
Réponse:

On note deux problèmes au droit de l’échangeur origine dans la situation actuelle.

Le premier concerne effectivement des remontées de file depuis l’avenue de la Résistance à Laxou. On note un trafic à l’heure de pointe du matin de 2500 véhicules arrivant sur l’avenue de la Résistance depuis l’échangeur, ce qui est considérable pour un carrefour à feu. Ce chiffre de trafic corrobore les informations fournies par l’exploitant faisant état de remontées de file régulières sur les bretelles A33 vers Laxou et A31 – Toul vers Laxou.

Le second concerne le trafic important sur la voie de droite en approche de l’échangeur origine lorsqu’on arrive de Toul. Le niveau de trafic sur cette voie est dû à la proximité des deux sorties successives Toul vers A33 et Toul vers Nancy – Laxou. Cette situation entraine des ralentissements en jour ouvré à l’heure de pointe du matin à l’approche de l’échangeur dans le sens Toul-Nancy.

La proximité de la zone urbaine, la conjonction de 2 grands axes autoroutiers, font que la reconfiguration de l’échangeur est extrêmement complexe et qu’il serait nécessaire, pour en assurer le bon fonctionnement que les usages autoroutiers et ceux plus urbains soient dissociés, ce qui n’est pas possible sans travaux lourds.