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samedi 22 décembre 2007

Voici les avis émis par le public par mail, par courrier ou lors des réunions publique, classés par ordre chronologique.

Avis n°1 de : MARTINEZ JEAN CLAUDE - 31140 LAUNAGUET
Opportunité du passage de la rocade à 2x4 voies.
Bonjour,
je viens de lire l'étude et plusieurs points m'interpellent ;
1/ passage de la rocade à 2x4 voies ; arrêtons d'amener des voitures vers la ville. Il faut sortir de métro de Toulouse et dès à présent penser à le faire aller au Nord vers Castelginest, à l'Est vers l'Union, etc,etc.
La création de boulevard urbain, de travaux sur la rocade existante ne règlera rien. On amène du flux vers la ville, sans fin.
2/ Il faut coupler cette action extension urgente du métro, avec un grand contournement par l'Est, le moins couteux et le plus urgent (transit Nord Sud, Paris, Barcelone + Bordeaux Marseille).
Un peu de bon sens messieurs.
Bien cordialement

Avis n°2 de : Guillaume Roger - 31380 MONTASTRUC
Il est dommage de se limiter qu'à trois solutions.
Une quatrième me semble "incontournable" : un anneau autoroutier complet autour de l'agglomération. Elle aurait comme gros avantage de ne défavoriser aucune zone géographique. De plus elle serait moins rapidement saturée car le flux routier pourrait être diviser par deux. Les usagées pourraient choisir de contourner dans un sens ou l'autre suivant des informations en temps réel sur le trafic.
Bien sur le coût !. Donnons nous les moyens de nos ambitions.

Avis n°3 de : CONTE Serge - 31300 TOULOUSE
Vous semblez indiquer qu'avoir recours au péage offre de nombreux avantages et donc une réalisation plus rapide du projet, moi il me semble que le péage pour construire et entretenir un réseau routier présente que des inconvéniants.
Le péage ne sert pas en totalité à financer et à entretenir le réseau mais à faire faire des bénéfices importants à la société qui gére le réseau. L'infrastructure routière doir être aux service des usagers et non pas au service de grands groupes financier. (Le péage des autoroutes est une illustration de ce propos)

Avis n°4 de : Diaz Rémi - 31240 SAINT JEAN
Madame, Monsieur

Je m'étonne de voir l'ampleur que peut prendre ce débat, alors que les réponses au problème d'asphixie de la rocade se trouvent dans votre site internet.
Vous dites vous même sur la synthèse du projet que la totalité de l'organisation des transports en commun est "en étoile" en effet je me réjoui de voir enfin apparaître cette constatation dans un débat.
Ce qui ne semble avoir été compris de personne c'est que les gens qui prennent la rocade veulent CONTOURNER la ville et non pas y entrer. Or AUCUN moyen de transport ne propose ce service, à part la voiture!

Pour passer d'une brettelle de rocade à l'autre en transport en commun il faut parfois plus de 1h30 quand elles se trouvent à moins de 5 kms l'une de l'autre! (tout ca parcequ'il faut rejoindre le centre ville à chaque fois)

Ce nouveau contournement autoroutier de l'agglomération serait une véritable erreur à mes yeux. Il serait une véritable "pollution" visuelle, sonore, et même olfactive. Il pousserait les gens à prendre ou reprendre leur voiture. Si vous voulez que les gens laissent leurs voiture proposez leur un meilleur service, un service de BUS PRIORITAIRE qui CONTOURNE l'agglomération.Mettez une telle ligne de bus en place avec une fréquence de passage a 5 min et des péages pour les voitures aux propriétaires un peu têtus et vous verrez qu'en peu de temps un grand nombre de personne se mettrait à prendre des abonnements transports en commun.

Je tiens à préciser que je suis un automobiliste qui prend la rocade quotidiennement mais qui ne va en centre ville qu'une fois par mois, vous comprendrez donc que le dispositif actuel en "étoile" ne répond pas à la demande des gens qui prennent la rocade, et que le contournement autoroutier à l'étude n'y répondra pas non plus.
Veuillez recevoir madame, monsieur mes sincères salutations

Avis n°5 de : Duclos Lucie - 31400 TOULOUSE
Bonjour,

Je souhaiterais savoir si une étude réalisée par un organisme indépendant a été réalisée, ou va l'être, sur ce sujet.
Pour ma part, je pense qu'il serait plus judicieuse d'investir dans les transports en commun (train, bus, ...) pour les particuliers ainsi que pour le transport commercial. Les sources d'énergie s'épuisant, il est temps de penser à faire des économies d'énergie et de prévoir de nouveaux modes de déplacement.
Je vous remercie de bien vouloir m'envoyer le journal des débats et la synthèse du projet.

Cordialement,
Lucie Duclos

Avis n°6 de : de Fornel Olivier - 81 GAILLAC
Bonjour,

Il me semble qu'il faut prendre en compte le fait que l'autoroute d'Albi doit aller jusqu'à Lyon dans un futur proche et que donc ce trafic va se développer peut être un peu plus que la moyenne.

Cordialement

Avis n°7 de : Auzuret Pascal - 31180 CASTELMAUROU
Bonsoir,

Oui pour un contournement à condition qu'il soit sans peage,autoroute A68 payante RN88 saturé,tout le monde prendra le trajet gratuit.

Avis n°8 de : GLEIZES ISABELLE - 31530 STE LIVRADE
Non à la couronne ouest sud.

Est-il une fois de plus utile de saccager le cote sud et ouest, nous avons déjà eu notre lot avec l'itineraire A380 et déjà beaucoup plus de trafic.
On veut la paix et garder notre verdure et notre forêt
c'est trop demandé?

Avis n°9 de : DUCHEMIN JAQUES - 31 300 TOULOUSE
ILS ON 100.ANS DE RETARD A LA MAIRIE DE TOULOUSE??YA LONGTEMPS QUIL DEVRAIS YAVOIR DES AIRES DE DEGAGEMENT??CEST COMME POUR LE METROS??''((ILS NON PAS COMPRIS QUE LE METRO CEST UN MOYEN DE TRANSPORT RAPIDE??DONC PAS DE SIEGE ?? MAIS DES MAINS COURANTES??)))°LES INGENIEURS SONT FORMATER VEILLES FRANCE A LESPRIT VEILLOT??PAS DU TOUT MODERNE??QUANT AUX BUS ILS DEVRAIS ALLER PLUS VITE ON DIRAIS QUILS FONT LA COURSSE???ILS SONT NUL??DES FOIS ILS SARRETE ET DES FOIS YA 2.OU 3.BUS QUI PASSE SANS SARRETER??ET LE PROCHAINS QUI SARRETE??ILS ET PLEIND DE MONDE??CEST CA LE TRANSPORT TOULOUSAINS QUI ET MAL ENCADRER??PAR DES DIRECTEURS QUI SONT NUL..??A LESPRIT VEILLOT DE 1900????CEST PAS AVEC LES MENTALITEES DES POLITIQUES TOULOUSAINS QUE TOULOUSE VAS EVOLUER???ILS ON DES MENTALITEES CES POLITIQUES TOULOUSAINS DE 1900????ILS FERAIS MIEUX DE LAISSER LA PLACE AUX JEUNES QUI ONT DES IDEES NOUVELLES DONC EVOLUTIVES??PAS COMMES CES VIEUX RABOUGRIS??AUX MENTALITEES OBSOLETES??CEST POUR CELA QUE TOULOUSE ET TRES°°SALE???ET CA°°PUE°°???? ET ON PAYE DES °°IMPOTS°°???QUANT A°° AIRBUS LES POLITIQUES COMME CE VILLEPIN CE DISPUTE LE GATAUX°°ET APRES ILS PARTENTS AVEC DES PARACHUITE DORé°°ALOR QUE MOI AU CHOMAGE JE SURVIE AVEC 468.EUROS PAR MOIS?????°VOILA LA VIE A TOULOUSE POUR LES PRECAIRE COMME MOI???ET EN PLUS JHABITE DANS UN HLM DE LOPAC OU CA PUE ET JE PAYE UN LOYER DE 635.EUROS???CES DES CONSTRUCTION QUI DATTE DE 1950????LE VIEUX AUX PRIX DU NEUF??VOILA LA VIE A TOULOUSE??EN 2007??ON SE CROIRAIS EN 1900??FAUT VOIR LE PANEL POLITIQUE DE LA MAIRIE DE TOULOUSE QUE DES VIEUX??AUX MENTALITEES VEILLOTE??ET VEILLES FRANCE???PAS DU TOUT MODERNE???ET QUI SEPANOUISSE DANS LA PUANTEUR TOULOUSAINE???DE LA VILLE ROSE????LES TOURISTES ON APRECIER CET ETE????QUANT AUX BALAYEUSES??ON CE DEMANDE CE QUIL NETOIE????°TOULOUSE LA VILEE GRADE COMMES LES POLITIQUES VEILLOT??A LESPRIT VEILLES FRANCE???DE 1900?????°°°°

Avis n°10 de : Nadalin Eric - 31000 TOULOUSE
Bonsoir,

J'ai assiste aux deux premiere heures du debat public le 13/9 a Toulouse. Il me semble qu'il ya beaucoup de confusions dans l'objectif. Apparement il ya 2 camps les pours et les contres mais en fait ils ne repondent pas a la meme question ... Les contres disent que cela ne vas pas resoudre les problemes de la rocade toulousaine (et ils sont raisons car cela ne va toucher a que 15% du traffic) , mais la question n'est pas "si on fait le contournement on n'ameliore pas des transports en commnun sur Toulouse?". Les pours disent il faut prevoir a long terme ce contournement pour les generations futures et eviter les erreurs du passe (une personne d'Albi a suggerer de faire l'etude jusqu'au bout, d'acheter les terrains et pas forcement de construire l'autoroute, ce si dit c'est exactement la meme demarche pour le nouvel aeroport).
Je pense qu'il faut clarifier le positionnement de ce debat public, car sinon il va y avoir un amalgame et ce projet qui est necessaire sera bloque pour des mauvaises raisons.
Cordialement.
Eric Nadalin

Avis n°11 de : Bouteillé Pascale - 81000 ALBI
Je serai intéressée par un axe Albi-Grenade.

Avis n°12 de : Maes Sébastien TOULOUSE
Ce projet sera selon moi, soit un formidable gâchis, soit un constat d'échec pour l'humanité.

Explication :

Si l'on s'en tient aux conclusions des scientifiques et notamment du GIEC, il semble évident que sans une diminution massive de nos émissions de CO2 dans les 10 prochaines années, on s'en va tout droit vers une situation écologiquement catastrophique. De l'avis même des constructeurs automobiles une réduction massive des émissions des véhicules n'est pas possible.
Conclusion : IL FAUT DIMINUER LE TRAFFIC !!!

2 options :

Soit nous nous comportons en humains responsables et nous diminuons sérieusement le traffic routier auquel cas, ce projet de contournement ne sert à rien ; soit nous poursuivons notre course insensée vers le toujours plus de véhicules et nos enfants en assumerons les conséquences.

Dans les 2 cas de figure... c'est un constat d'échec !

Avis n°13 de : Montel Johan - 81470 MAURENS-SCOPONT
Bonjour,

J'ai assisté à la conférence-débat du 13 septembre à Toulouse. Je voudrais réagir à une réponse qui a été donnée par une personne de la DRE (Mr Crocherie ou un de ses collaborateurs). La question portait sur l'objectif "facteur 4" de réduction des gaz à effet de serre et de son incompatibilité avec un projet autoroutier. La réponse a été: "il y a d'autres leviers d'action pour arriver à cet objectif, le transport ne faisant que 35% des émissions de gaz à effet de serre en France". Si je puis me permettre, cette réponse est idiote: en effet, si on suppose que les émissions dues au transport se stabilisent, il est impossible d'atteindre 25% des émissions actuelles(=facteur 4) et même en supposant que les autres sources d'émission se réduisent à néant, pour la simple raison que 35% > 25%.

Le transport est la première source d'émission de gaz à effet de serre en France, par conséquent si l'on veut atteindre un facteur 4 de diminution de gaz à effet de serre, il faut diminuer de manière drastique les émission de gaz à effet de serre provenant des transport. Ca parait une lapalissade, mais visiblement pas pour la DRE!
Puisqu'un facteur 4 de diminution de la consommation de carburant par km est impossible, il faut que le nombre de km parcourus baisse, donc que le transport en voiture/camion baisse. Faire des routes/autoroutes qui vont encourager encore plus de trafic est donc exactement contraire à l'objectif "facteur 4".

Avis n°14 de : Planells Rodriguez Milena - 31000 TOULOUSE
L'enquete réalisée auprès des toulousains (apparue dans capitole infos) montre que la plupart des utilisateurs de la rocade sont des personnes individuelless qui se rendent au travail en voiture car il n'y a pas de transport public ou avec de temps de passage trop espacés. Il semble évident donc que la solution ce n'est pas de construire ce contournement de toulouse mais plutot de renforcer les services de transport public vers ces zones là (Airbus, Centre commercial de Blagnac, Centre commercial de Labège, etc.), non?

Avis n°15 de : GARAT Philippe - 31120 ROQUETTES
Avant de se lancer dans de longues réflexions pour de grands travaux, il me parait urgent de réajuster le transport collectif en périphérie proche de Toulouse.
Concernant ma commune, ROQUETTES, je vois régulièrement les bus passer, quasi vide... ça coûte à la collectivité et c'est inutile, c'est déplorable ! Nous avons été plusieurs à contacter depuis 8 ans SEMVAT, TISSEO, Mairies pour aboutir à des réponse du genre "TISSEO est en train d'y réfléchir...." et toujours rien n'avance. Nous sommes nombreux sur la commune à travailler dans la zone de Basso Cambo / Bd Eisenhower et en face on nous propose des bus 50+52 (avec changement et 20mn d'attente) qui pour faire 17km mettent 1h10... et ceci à des horaires ne correspondant pas à des horaires de travail. Il me paraitrait judicieux de placer 1 à 2 arrêts maxi par commune (pour accélerer le temps de trajet - les gens peuvent marcher, prendre des vélos et les laisser dans le bourg de la commune)
exemple de 8 arrêts pour une liaison rapide: Saubens, Roquettes, Pinsaguel, Rond-point Rte d'Ax / Rte Muret, Gare Matabiau, St Simon, Eisenhower et terminus Basso-Cambo. Avec 3 départ le matin arrivée 6h30, 7h30, 8h30 à Basso Cambo) et 3 le soir en semaine distants d'1h (départ 16h30, 17h30, 18h30 de Basso-Cambo).
Un transport en commun "bien pensé" permettrait de désengorger à epu de frais (car peu de bus engagés) les 2 ponts traversant la garonne au niveau de Pinsaguel et permettrait de fluidifier le trafic sur la route de Muret et sur la A64 direction Toulouse.

Je suis prêt à participer à l'élaboration d'une enquête dans ma commune et/ou à un groupe de réflexion à condition qu'il y ait une réelle envie d'aboutir et ce rapidement !!!

Cordialement,

Avis n°16 de : Timbal-Duclaux Philippe - 31000 TOULOUSE
Est ce que l'on admet le double tire à l'asphyxie, c'est la fluidité du trafic ?
Il faut offrir un itinéraire de délestage à ceux qui n'ont pas besoins d'approcher le coeur de Toulouse, alors le meilleur équilibre entre Toulouse et sa banlieue c'est la"rocade bis"..

Avis n°17 de : Citerne Bernard
Je ne comprends pas le pourquoi d'une seconde rocade à Toulouse ayant pour
objet de désengorger la région toulousaine des transports individuels qui la
sature. Alors que 70% des salariés toulousains utilisent leur véhicule
personnel pour se rendre quotidiennement à leur travail, il me semble que la
question qui devrait se poser est "quel doit être le grand plan de
circulation pour Toulouse?". Cela sous-tend une réflexion sur les transports
utilisés et insuffisamment utilisés, la potentialité de réaliser des
infrastructures utiles aux intérêts collectifs, individuels et économiques;
Je pense notamment à revoir le réseau de transport en commun, rapide,
confortable, économique, environnemental, pour que d'un système en étoile il
se complète d'un système en araignée. La réalisation d'un métro sur le
périphérique intérieur, l'utilisation du canal, faire des lignes de tramway
entre les communes en périphérie sont peut être des idées à creuser. L'étude
de l'implantation des différentes grandes entreprises et le trajet de leurs
salariés permettraient de shématiser le transport collectif d'avenir. Diminuer
le nombre de camions sur nos routes en développant le fret ferroviaire
participerait à la démarche.

Avis n°18 de : MICHEL Jean-François - 31700 BLAGNAC
Bonjour,

Il y a maintenant un peu plus de 5 ans, nous avons du revendre en catastrophe notre maison pour ne plus subir les 2 x 1h45 que représentaient nos trajets domicile- travail . La pression immobilière obligeant par ailleurs à s'éloigner toujours un peu plus des bassin d'emploi...Alors je tombe sur cet article d'autres citadins ailleurs en France confrontés au même problème :

"– Dites, ce n’est pas possible ce troisième franchissement de la Loire, ils vont donc le faire ? Les deux grands ouvrages routiers de Nantes et St-Nazaire, ça ne suffit donc pas ? Et on va en construire un troisième ? « Ils » ne vont pas nous faire ça ?
La voiture, c’est comme le gaz : plus on lui crée de l’espace, plus elle l’occupe et toujours au détriment des autres moyens de communication que l’on plie à sa dictature. Nos axes au sud de la Loire vont être saturés, car le troisième pont fera office de nouvel aspirateur à voitures et notre liberté de déplacement local sera rendue plus pénible encore ; moi, je n’aime plus conduire, c’est devenu une corvée.
A la fin de ma journée de travail, je voudrais avoir la liberté de lire, de me reposer, de discuter tout en étant transporté. Vous n’avez donc pas réussi avec votre réseau Armorique : ils ne vous écoutent pas !

– Pas encore, mais la maturation est lente... La machine infernale du « tout-voiture » est lancée à tout-va : les décideurs ont quelque peine à s’en dégager. Ouvrir une route ou un pont nouveau, c’est plus simple : le flot des automobiles s’y engouffrera et on renvoie le problème à plus tard ! A nous de leur montrer toujours qu’on peut faire autrement en usant de patience et pédagogie."

La voiture est elle aussi le moteur de la pensée frénétique se développant autours du projet de grand contournement de Toulouse? Un tonneau des Danaïdes de plus...Merci d'apporter une réponse convaincante pour les générations à venir. Dont acte. Mr Michel JF

Avis n°19 de : Audureau Pierre - 31190 MIREMONT
Bonjour,

Après lecture de l'ensemble de ce dossier, il s'avère que la solution Est seule la plus éloignée semble la mieux à même de répondre aux besoins.
Dans tout le projet on nous parle de plan d'ensemble, mais on n'a l'impression que le projet autoroutier sera seul examiné et mis en oeuvre en dehors de quelques aménagements aux abords des échangeurs.
Cet ouvrage ne devrait-il pas servir de colonne vertébrale pour faciliter les échanges entre les "banlieues" de Toulouse.
D'autre part j'attends de la collectivité une ceinture de transport en commun à 10 et 20 km du péréiphérique actuel, pour faciliter les transports de travail entre les banlieues et ne plus être obligé quand on habite au sud ouest de Toulouse et qu'on travaille au sud est, de rentrer au coeur de Toulouse pour en ressortir et surcharger un peu plus les transports à l'intérieur de la ville.

Avis n°20 de : BAZO JAQUES - 31500 TOULOUSE
YA VINGT ANS????QUE LE CONTOURNEMENT AUTOROUTIER AURAIS DU ETRE FAIT??///CEST ELEMENTAIRE///CA VAS DE SOI??MAIS ON A QUE DES INCAPABLE A LA MAIRIE QUE DES GENS A LESPRIT ROUTIONIER//DEPOURVUE DIMAGINATION??ET BORNER??PAS DU TOUT EVOLUTIF??BREFF QUE DES GENS A LESPRIT VEILLE FRANCE??ET VEILLOT?DE 1900?PAS DU TOUT MODERNE??QUI NE RELATIVISE PAS QUE NOUS SOMME EN 2007???ET PLUS EN 1900????////REVEILLE VOUS??SORTEZ DE LA ROUTINE???////EVOLUEZ???EXEMPLE LA VIDEOTHEQUE??UN RESTAURANT TOURNANT?????AU DESSUS CELA AURAIS ETE TRES BIEN ET MODERNE??CE CATAPHALQUE QUI NEST MEME PAS SYMBOLIQUE DES ANNEE 2007????OU 200?/?/?////CES ARCHITECTES ILS NON PAS DU TOUT L'ESPRIT EVOLUTIF?????EN 2007 ILS CONSTRUISE COMME EN 1900????ILS NE RELATIVISE PAS QUE NOUS SOMME EN 2007????EXACTEMENT COMME LES POLITIQUES DE TOUT BORD?????///QUI EN SONT TOUJOUR AUX MENTALITES DE 1900???ET TOUT CELA TOURNE EN BOUCLE????DEPUIS DES LUSTRE???CEST LA CONNERIES PERPETUELLE?????PSEUDOS INTELECTUELLE????QUI FAIT DU SURPLACE????POUR ETRE SIMPLE????OU ET L'EVOLUTION??QUE LES CONTRIBUABLES QUI SONT DES ELECTEURS?ET DES CONSOMMATEURS??/// SONT EN DROIT DATTENDRE DES POLITIQUES???EN 2007?????REVEILLEZ VOUS== VOUS ETES EN LAN 2007?????????ET PLUS EN 1900======BONNE JOURNEE=====////////

Avis n°21 de : Sonnet Jean-Claude - 82000 MONTAUBAN
1. Je n'ai pas reçu de carte T dans ma boîte aux lettres, ne suis-je pas concerné?
2. A lire la présentation des motifs du projet, il semble que le trafic national qui emprunte la rocade Est de Toulouse, pour passer de l'A62 à l'A61 soit une gêne pour le trafic local toulousain. Personnellement, je pense l'inverse, c'est le trafic local qui n'a rien à faire sur une autoroute. Il est donc logique et souhaitable de séparer ces deux trafics antagonistes.
3. Le choix du tracé nouveau à usage exclusif de liaison autoroutière, est à mon avis, lié au choix de l'emplacement du nouvel aéroport. Si comme je le pense, le nouvel aéroport doit être dans le secteur de Villemeur/Fronton, il est évident que la nouvelle rocade doit le desservir. Je suis donc pour l'hypothèse Est éventuellement prolonger au Sud. Ceci placerait le nouveau tracé à 20 kilomètres environ du périphérique Est actuel.

Avis n°22 de : Des Jean-Jacques - 11600 MALVES EN MINERVOIS
Que va bien pouvoir m'apporter le contournement autoroutier de Toulouse moi qui habite dans l'Aude? Une fois de plus l'argent du contribuable va être gaspillé à tort et à travers?

Avis n°23 de : Robin Philippe - 31190 AUTERIVE
Je suis opposé à ce projet.
Le développement durable ce n'est pas le "tout autoroute" mais plutôt le développement des transports collectifs!

Avis n°24 de : Rémondet Georges - 31650 SAINT-ORENS
A la place du contournement autoroutier c'est-à-dire des "camions", il faut à mon avis développer le ferroutage et les transports en commun: bus/trains cadencés et donner partout la possibilité d'accéder à son travail en vélo, la grande honte à ce sujet c'est l'échangeur du Palays.

Avis n°25 de : Brunet Louis Vincent - 81370 SAINT SULPICE
Arrêtez les frais pour le tout voiture, le train, le bus, le métro...vous verrez c'est mieux pour tout le monde, par exemple, doublez la voie Toulouse/Albi.

Avis n°26 de : Gardiès Christophe - 11400 CASTELNAUDARY
L'hypothèse "Est+sud" nous serait d'un grand intérêt. Merci.

Avis n°27 de : Poletti Georges - 31270 CUGNAUX
Nous sommes opposés à un nouveau réseau des voies départementales de dimensions démentielles faussement indemnisées. Regardez à St Martory.

Avis n°28 de : Jaubert Isabelle - 31480 LAGRAULET ST NICOLAS
Le contournement doit faciliter les déplacements des habitants.
Le trajet travail est devenu un enfer, le contournement devrait être positionné là où il y a le plus d'activités (Ouest+sud) mais il doit tenir compte des projets déjà engagés.

Avis n°29 de : Poletti Georges - 31270 CUGNAUX
Nous sommes opposés à un nouveau réseau des voies départementales de dimensions démentielles faussement indemnisées. Regardez à St Martory.

Avis n°30 de : Griffon Jean-Pierre - 09160 LA BASTIDE DU SALAT
Je suis pour un contournement Sud-Est éloigné (Carbonne-Auterive et Lavaur-Montauban).

Avis n°31 de : Goffart Jean-Pierre - 82000 MONTAUBAN
D'autres part, un péage oui. Mais les dépenses??? Les rentrées d'argent pour qui! Création d'emplois???!!!

Avis n°32 de : Arrighi Raymond - 09200 MONTJOPIE EN COUSERANS
Une grande étude des trafics routiers poids lourds Nord Sud et Est Ouest sera-t-elle réalisée prenant en compte une éventuelle traversée centrale des Pyrénées?

Avis n°33 de : Regimbeau Patrice - 31490 BRAX
Il faudrait ajouter une voie sur l'A61 entre Toulouse et Narbonne. Faire plus de transports en commun. Faire des embauches en décalés le matin et le soir.

Avis n°35 de : Faysse Gilles - 31450 ISSUS
Le document est confus sur certains points ("favoriser l'usage combiné voiture-transports en commun").
Le détournement de la circulation de transit. La mise en service d'un équipement routier n'a jamais ralenti la croissance de la circulation. Exemple: 2ème périphérique parisien et le "saute-bouchon" à Lyon. Tout au plus, il résoudra l'asphyxie de l'équipement existant comme c'est en train de se produire pour l'A7/A9 pendant la période estivale. Le contournement favorisera inévitablement l'étalement urbain.

Avis n°36 de : Rey Laurent L'UNION
L'agglomération de Toulouse a une densité de population plus importante à l'Ouest qu'à l'Est. Quel est l'intérêt de contourner par l'Est ??
En semaine c'est un fait lorsque j'utilise le périphérique c'est à l'Ouest que les bouchons sont plus denses. Contourner par l'Est va contribuer à diluer le traffic Nord Sud mais en aucun cas la situation inter banlieu ville.

Avis n°37 de : Lacroix Francis
J'habite Tournefeuille. J'étais mercredi 19 septembre à Odyssud. J'ai
du assister à la moitié de la séance. Celle-ci m'a inspiré quelques
réflexions posthumes, dont je vous fais part, comme d'autres l'ont
fait en direct au micro.

Si je comprends bien la démarche, il est demandé aux habitants de
donner leur avis sur un grand contournement de Toulouse, par ce qui
serait une autoroute concédée et de préciser dans la réponse leur
choix entre trois "familles d'hypothèses".

La première réaction est celle d'un habitant de la proche banlieue
toulousaine qui vit tous les jours les bouchons. Aux heures de
pointe, ces moments où tout le monde se rend ou revient du travail,
chaque jour ouvrable de la semaine, nous vivons au rythme des
bouchons. Ils sont plus ou moins longs selon que l'on est plus ou
moins éloignés des grands axes (arc en ciel, fil d'Ariane, A 64,
rocade) qui permettent de débiter du volume.

Depuis 10 ans à Tournefeuille, je constate que la situation empire
et, en voyant les projets de construction en cours ici, à Plaisance,
Fonsorbes... je pense que ces déplacements de tous les jours vont
continuer à se dégrader. Les voies qui reliaient les anciens
villages, devenus aujourd'hui villes de plusieurs milliers
d'habitants, ont été au fil de l'urbanisation déqualifiées en voies
urbaines dédiées à une circulation de proximité (aujourd'hui
succession de ronds points, gendarmes couchés, zone 30, limitation à
50 km/h). Elles ont perdu leur fonction antérieure de transit entre
parties agglomérées. Je lis dans cette évolution un manque
d'anticipation qui contraint aujourd'hui les usagers à subir des
bouchons quotidiens avant d'atteindre la première voie rapide (celles
qui sont citées plus haut), et cela sur des distances de l'ordre de
10 à 20 km.

Le dynamisme démographique de l'agglomération a été évoqué 5 ou 6
fois dans la présentation à Odyssud. J'ai eu l'impression que cette
répétition venait appuyer l'idée suivante "voyez, déjà aujourd'hui ce
n'est pas facile et demain ce sera pire si on ne fait rien, alors il
faut réaliser le grand contournement". En ajoutant au raisonnement
"attention, le grand contournement ne résoudra pas à lui seul toutes
les difficultés". Cette approche me rend mal à l'aise.

Pour être persuasif, il faut faire sentir aux gens un intérêt dans ce
qui leur est proposé. L'Etat, aujourd'hui, doit dire aux gens du
grand Toulouse qu'il va se préoccuper de leur vie au quotidien, parce
que c'est cela qui les intéresse avant tout. Et parce que la ville
phare ne porte pas ce message dans la démarche intercommunale. S'il
ne dit pas cela, toute cette énergie déployée pour recueillir leur
avis restera un coup d'épée dans l'eau.

Première observation donc : c'est la question des priorités. On se
trompe de priorité en posant une question comme celle qui est posée,
car elle semble de fait mettre à l'arrière plan les autres problèmes
de transports. Rappelez-vous, c'est ce qu'a dit dans son message
d'accueil le maire de Blagnac et d'autres intervenants après lui. Il
faut avoir entendu cela. En quelque sorte, la question posée n'est
pas la bonne.

Ma deuxième observation est relative à l'ambition du projet. Une
autoroute, ça supporte un trafic conséquent. Quelqu'un a dit en
séance "la voiture appelle la voiture". Quand on ouvre un tronçon
autoroutier, on s'aperçoit que la fréquentation croit à des niveaux
supérieurs aux prévisions faites. Une autoroute est un geste fort
d'aménagement du territoire. Rappelons-nous que depuis 30 ans, le
réseau autoroutier a servi à structurer le territoire national en
reliant les métropoles entre elles, avec Paris, et avec les
métropoles de nos voisins européens. (Il faut bien sûr intégrer dans
ce jeu-là l'air et le rail). Soyons clair en posant autour de
Toulouse un nouveau tronçon autoroutier : on ne peut pas faire
l'économie d'une réflexion sur l'aménagement du territoire desservi,
car l'urbanisation viendra de fait. Il vaut mieux anticiper les
endroits pour la recevoir que la subir, parce que sans cadre de
référence, l'urbanisation (logements + activités) interviendra de
façon disséminée, en engorgeant l'utilisation des espaces.

Toutes les prévisions montrent que le dynamisme démographique dans
notre région ne va pas s'arrêter. A la question de "où va-t-on faire
passer le grand contournement ?", ajoutons celle de "où va-t-on faire
loger les importantes arrivées des 20 prochaines années ?". Quand,
dans les années 1970 la question a été posée en Ile de France, la
réponse a été : les villes nouvelles. Elles ont rendu un fier service
pour structurer l'aménagement régional face à un fort développement.
Personne ne songe à remettre en cause, Cergy, Marne la vallée ou Evry.

Je pense qu'il faut s'organiser dans cette région pour arrêter de
subir, d'avoir toujours l'impression d'un train de retard sur les
événements. Il faut une vision novatrice d'approche de l'aménagement.
Mettons en chantier rapidement la construction d'une telle vision qui
puisse trancher avec ce développement urbain intraverti sur le centre
historique. Il y va, de mon point de vue, de la capacité pour les
générations futures à pouvoir encore respirer et se déplacer
correctement dans cette région. Il faut stopper le modèle de
développement que nous y connaissons depuis 30 ou 40 ans. Mettons des
gens au travail pour construire des propositions. Voilà la vraie
question derrière celle posée du nouveau contournement autoroutier.

Bien amicalement

Francis Lacroix

Avis n°38 de : Joulie Bernard - 81100 CASTRES
En souhaitant que le contournement autoroutier de Toulouse sera en circulation avant 2020...

Avis n°39 de : Forget Serge - 31170 TOURNEFEUILLE
Ayant parcouru + de 2 000 000 kilomètres, je ne suis pas d'accord pour le péage.

Avis n°40 de : Fauré Roland - 09000 SERRES SUR ARGET
Je me suis beaucoup investi, il y a presque 30 ans, pour la réalisation de la voie de dégagement Ouest et la ligne B du métro, en tant que Président de l'association pour le développement des transports dans l'ouest toulousain.

Avis n°41 de : Saysset Bernard - 81000 ALBI
Le nouvel aéroport est-il dans le projet?

Avis n°42 de : Azais Gérard - 81110 ARFONS
Si comme le projet le prévoit, il doit favoriser les transports en commun dans l'agglomération, est-ce que le coût de ses transports pour l'usager va baisser car aujourd'hui un salarié paiera à mon avis trop cher? (Les entreprises devraient plus y participer)

Avis n°43 de : Nicolas André - 31380 MONTASTRUC LA CONSEILLÈRE
Pour accélerer sa réalisation, prévoir un concessionnaire avec péage mais gratuit (ou avec réduction sensible) pour les usagers locaux (télépéage).

Avis n°44 de : Nicosia Jean-François - 31650 ST ORENS DE GAMEVILLE
Osez malgré la perte de fonds pour d'autres communes déplacer les péages svp.

Avis n°45 de : Carrandie Gabriel - 31290 VILLENOUVELLE
Le plan que j'ai connu de l'autoroute Verfeil, Villenouvelle serait un bon tronçon du contournement de Toulouse.

Avis n°46 de : Fueyo Guy - 32000 AUCH
Je souhaite proposer de favoriser le tracé "Ouest+sud" pour faire d'une pierre deux coups:

- désenclaver les transitaires entre l'A62, l'A20 et l'A64
- rapprocher Auch et les Landes de Toulouse

Avis n°47 de : Aulipoul Myriam - 32600 LIAS
La route de Saint-Lys/L'Isle-Jourdain sera-t-elle agrandie ou modifiée?

Avis n°48 de : Seigneurie René - 32600 MONTBRUN
Je viens de lire votre n° 1 du journal du débat et le 4pages « Pourquoi ?» et je le trouve plein de contradictions. Je vous cite :

-« cette urbanisation des territoires en périphérie…a pour conséquence une multiplication et un allongement des déplacements »
-« les projets engagés ne suffiront pas à faire face à la croissance attendue de la population et de ses besoins de déplacements »
-« participer à la restructuration du territoire régional »
-« les départements et le réseau des villes petites et moyennes pourraient en bénéficier »
-« la nouvelle autoroute, outre le gain de temps et de sécurité routière pourrait favoriser l’usage combiné voiture-transports en commun »

On voit tout l’avantage que peut retirer la région de ce projet mais dans votre document on sent toute une réticence à aller jusqu’au bout du raisonnement car on dit, par ailleurs, que l’on ne veut pas contribuer à l’étalement urbain » et que l’on veut surtout retirer du périphérique les gens qui ne font que traverser la région et qui n’ont rien à y faire.

Depuis que je conduis, soit plus de 40 ans, Toulouse a toujours connu des problèmes de circulation et les aménagements réalisés l’ont toujours été avec retard car immédiatement saturés. Alors voilà enfin une occasion d’être à l’heure si on veut bien s’en donner la peine.
A l’échéance de la mise en service de ce projet, soit 2020, la grande région Toulousaine va s’accroitre de 379 000 habitants soit quasiment une nouvelle ville de Toulouse telle qu’elle était en 1999.

Il faut alors aller jusqu’au bout du raisonnement. Si les gens s’éloignent en 2ème couronne ce n’est pas toujours par choix mais imposé par le prix du foncier. Ce projet est une occasion de désenclaver des régions rurales et pas seulement de dévier un trafic.
« Les ambitions de Toulouse sont à l’échelle européenne », dites vous.

Avis n°49 de : Galau-Talavera Sylvie
Bonjour,

Je suis domiciliée à Villeneuve-Tolosane, je prends la rocade à Carrefour Portet, et je travaille au CNES (soit à 15kms), donc je sors à Rangueil, soit avenue Edouard Belin, soit avenue Latécoère. Si je pars à 9h, j'arrive à 9h20, si je pars à 8h30 j'arrive à 9h10. Et ça dans des conditions optimales (sans pluie, sans accident, sans explosion quelque part, sans travaux, et j'en passe ...). Le matin, le bouchon commence déjà à Roques. Donc souvent je prends des itinéraires en dehors de la rocade, mais l'étranglement arrive de toute façon tôt ou tard.



Je vois beaucoup de camions, dont beaucoup d'étrangers (on a le temps d'admirer le paysage sur 15 kms de bouchon) qui ne font que traverser l'agglomération.



On nous dit que seuls 12% de la circulation serait déviée si un contournement était créé. Mais si sur 12% il y a 10% de camions, ça vaut la peine, non seulement en terme de circulation mais aussi de pollution et de risques.



Il ne faut pas non plus oublier tous les sites qui vont "charger" les infrastructures routières sur cette portion de rocade :

- la construction d'immeubles à usage locatif et professionnel sur le site de Montaudran : plusieurs milliers de voitures supplémentaires

- le terminus du métro à Ramonville qui va faire appel d'air

- les 1000 logements (ou 2000) d'ores et déjà construits sur Pouvourville et Pech David : au moins le double de voiture qui vont descendre via des voies extrêmement étroites côté chemin des Etroits ou côté métro Ramonville.

- le cancéropôle : de 4000 à 10000 voitures (suivant les articles de presse).

- l'énorme terminus de la Semvat bientôt en service

- sans compter tous les terrains d'Empalot et de la route d'Espagne dévastés pas l'explosion d'AZF, pas encore totalement reconstruits et qui constituent un énorme potentiel.





Donc quand le contournement sera enfin réalisé, d'ici 13 ans avec de la chance, Toulouse sera de toute façon asphyxiée depuis longtemps, puisque les projets d'étalement urbain, malgré les promesses de ne pas les favoriser sont de toute façon toujours acceptés (on n'a pas entendu les écolos sur le bétonnage de Pouvourville, mais gare aux glissements de terrain lors de prochains gros orages), au détriment des infrastructures routières qui ont toujours 10 ans de retard (alors là dès qu'il y a un nouveau pont en projet, il y a toujours un triton rare ou un narcisse exceptionnel à sauvegarder).



Que le contournement soit par l'est ou l'ouest, je pense qu'à terme l'anneau doit être complet pour pouvoir raccorder à toutes les autoroutes et prendre en compte tous les flux.



Il y a par ailleurs des petites améliorations simples à réaliser à certains endroits qui permettraient de sécuriser et de mieux fluidifier la circulation . Il y a également un gigantesque point noir du rond-point de la rocade arc-en-ciel à la route d'Espagne. A quand un aménagement cohérent à 4 voies de l'avenue Eisenhower jusqu'à Rangueil, via un pont sur la Garonne et éventuellement un tunnel sous Pech David ? Parce qu'en terme de travaux pharaoniques, le paquet a été mis côté Aérosconstellation et côté Palays, vers Fonsegrives, Castanet, Albi, pas mal de choses ont été faites, mais alors entre la partie Roques et le futur casino, rien, pas un pont qui permettrait de délester pas mal de circulation. c'est pourtant pas la place qui manque.



En dehors du présent débat public, j'aimerais savoir qui je dois contacter pour faire part de tout un lot de petites remarques et de questions sur l'aménagement de certaines voies.



Cordialement.



Sylvie GALAU-TALAVERA
CNES DSI/SD/IE BPi 3511
Tél : (05.61.2)8.17.39
Fax : (05.61.2)8.34.57

Avis n°50 de : Azema Gérard - 31500 TOULOUSE
J'ai lu les suggestions qui sont faites du contournement autoroutier de Toulouse.
A mon avis, ce projet doit se réaliser à court terme dans 10 ans.

Avis n°51 de : Delamare Jean - 31380 MONTASTRUC
Le tracé du contournement de Toulouse dépendra surtout du nouvel aéroport que l'on nous IMPOSE. Le TGV et le ferroutage sont sûrement plus importants. De plus, il est prouvé que les voies express et autoroute sont saturés au bout de 10 ans. Allonger le métro serait peut-être une solution.

Avis n°52 de : Rogos Dominique - 31270 FROUZINS
Tant d'incohérences existent au niveau des emplois des toulousains du Sud obligés de travailler au Nord sur des emplois que pourraient occuper ceux du Nord qui vont travailler au Sud.
Une vraie étude en ce sens serait très édifiante!

Avis n°53 de : Léculier Claude - 31650 SAINT ORENS DE GAMEVILLE
Ce contournement autoroutier de toulouse est une absolue nécessité. Néanmoins, la capilarité des routes rejoignant Toulouse n'est pas assurée. Nous avons les mêmes routes existantes dans les années 50.
Si impossiblité d'améliorer: prévoir immenses parking et moyens de transport à fréquence rapide.

Avis n°54 de : Nawrocki Michel - 82290 ALBEFEUILLE LAGARDE
Vous parlez de 3 familles d'hypothèses pour ce contournement ce qui se traduira par 3 tranches de travaux réparties dans le temps d'où la durée des travaux plus longue, problèmes de circulation et de bouchons pas réglés et coût des travaux, si toutefois il y a 3 tranches plus élévées?

Avis n°55 de : Souquie Pierre - 81600 GAILLAC
Pourquoi pas un contournement total? Avec une mise en place beaucoup plus rapide!!!
C'est aujourd'hui qu'il serait très utile.

Avis n°56 de : Boué Guy - 31480 BELLESSERRE
Dans les schémas du grand contournement ou implanter un nouveau grand aéroport manifestement nécessaire.

Avis n°57 de : Lesecq Jean-Marie
TOULOUSE, le 25 septembre 2007
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CONTOURNEMENT AUTOROUTIER de TOULOUSE

UNE ALTERNATIVE à l’AUTOROUTE

PROJET de PLATE-FORME MOBILE de TRANSBORDEMENT TERRESTRE (PMTT)

( idée proposée par Jean-Marie LESECQ )

En lisant le « dossier du débat public » établi par la DDE, je suis étonné d’y voir le mot « autoroutier » : la décision serait-elle déjà prise concernant le choix de la solution de contournement ? Et le « débat » uniquement une explication de texte pour préparer le public à accepter une décision déjà prise ?
Dans le dossier, on déclare à chaque page, vouloir protéger l’environnement, or une autoroute dégrade gravement l’environnement :
- elle augmente les émissions de GES et de particules,
- elle augmente la pollution sonore,
- elle annexe une emprise importante au sol.
Je propose donc une solution de contournement innovante.

QUEL EST LE BESOIN ?
désengorger la rocade actuelle du trafic de transit, Atlantique – Méditerranée, dans les deux sens, avec les contraintes associées :
- ne pas dégrader l’environnement (GES, PM10, bruit)
- éviter l’étalement urbain,
- préserver le cadre de vie actuel.

QUELLES SOLUTIONS POSSIBLES ?
N’y a t’il pas d’autres solutions que le « tout routier », vraiment pollueur ?
Je propose d’imaginer un mode de transport alternatif : la PMTT (plate-forme mobile de transbordement terrestre) à l’image des ferry-boats Norvégiens géants qui permettent au trafic routier de traverser les fjords.
Il s’agit de plates-formes RO-RO (roll-on/roll-off) : les véhicules entrent et sortent en marche avant, PL et VL mélangés. Les opérations de chargement/déchargement sont très rapides.
La PMTT circule sur une voie dédiée en liaison point à point.

AVANTAGES
Cette plate-forme a de nombreux avantages :
- elle ne rejette aucun GES ni particules, car les véhicules sont transportés moteur arrêté,
- elle est silencieuse (mue par des moteurs électriques, alimentés par GOLFECH),
- elle évite l’étalement urbain,
- son emprise au sol est réduite par rapport à l’autoroute (~ 50 m de large) soit 6 fois moins que les 300 m de l’autoroute,
- contrairement à l’autoroute, la PMTT n’est pas accidentogène,
- pendant la période de transbordement, les chauffeurs se reposent ce qui favorise le respect des temps de conduite,
- le trafic de transit dérivera vers la PMTT, les chauffeurs préféreront la PMTT plutôt que l’engorgement chronique du périphérique toulousain.
…/ …

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INCONVÉNIENTS
La PMTT peut être inesthétique dans le paysage car elle est relativement « géante ». Mais des architectes géniaux peuvent y remédier par un dessin astucieux (exemple : le viaduc de Millau, dont certains prédisaient l’échec pour cause d’enlaidissement du paysage …)

CARACTÉRISTIQUES de la PMTT.
Largeur : 10 camions de front on 20 VL => 30 à 40 m
Longueur : 8 à 10 camions ou 50 VL => 150 à 180 m
Surface de la PMTT : 5000 à 7000 m2
Capacité : 3500 tonnes (80 à 100 PL, ou 600 VL, ou un mélange des deux, comme sur les ferry-boats Norvégiens),
Voirie : voie dédiée à grand gabarit, soit en béton, soit en fer, soit en macadam (si fer, elle est différente du gabarit SNCF).
Le dégagement aérien est total au-dessus de la PMTT pour permettre les transports spéciaux, les bateaux, etc…seules les lignes EDF 400 kV passent au-dessus.
Cadencement : il faut imaginer un départ toutes les 30 minutes environ, soit 48 passages par jour.
Si la PMTT embarque 300 véhicules à chaque voyage (50 PL + 250 VL), le 48 passages représentent 14400 véhicules transbordés chaque jour, soit 22 % du trafic de transit de 66000 véhicules estimés à l’horizon 2020.
La PMTT fait l’objet, bien sûr, d’une concession au privé, comme le viaduc de Millau.

CONTOURNEMENT COMPLET.
La véritable contournement de Toulouse, pour être utile, devrait être réalisé sur 360° tout autour de l’agglomération, en plusieurs étapes, si le financement l’exige.
On peut imaginer un pentagone, avec 5 plates-formes fixes d’échange, permettant un transit vers les 5 grandes voiries existantes d’accès à Toulouse.
Exemple à 35 km : Campsas – Rabastens – Avignonet – Carbone – Gimont – Campsas.
Exemple à 15 km : Eurocentre – Verfeil – Baziège – Muret/sud – L’Isle-Joudain – Eurocentre.
Ce dernier tracé semble plus judicieux et moins coûteux.

BILAN ACTUALISÉ.
La PMTT est conforme aux recommandations de la LOTI du 30 décembre 1982 concernant « les impacts relatifs à l’environnement, à la sécurité et à la santé » en matière de transports.
Le dossier du débat public décrit la nécessité d’établir le bilan actualisé d’un projet (page 101).

JE DEMANDE QUE LE MAÎTRE D’OUVRAGE ÉTABLISSE LE BILAN ACTUALISÉ DU PROJET DE PMTT.

Jean-Marie Lesecq
Retraité
Ancien ingénieur au CNES

Avis n°58 de : Lagarde Louis - 09000 FOIX
Je suis pour l'hypothèse Ouest+Sud.

Avis n°59 de : Malou Jean et Marie - 82200 MOISSAC
Nous sommes consternés par ce projet qui va détruire l'environnement et les cultures vivrières.

Avis n°60 de : Frezouls Georges - 81100 CASTRES
En premier Est seul: afin de répondre au projet Castres-Toulouse qui est à l'étude et pour bientôt.

Avis n°61 de : Dax Nadine - 32600 CLERMONT-SAVÈS
A mon sens, le projet "Est+Sud" est celui qui détournera le plus de trafic des rocades existantes puisqu'il drainera le trafic des A62+A68+A61+A64.

Avis n°62 de : Bouin Guy - 31450 MONTGISCARD
Favorable à ce projet.

Avis n°63 de : Le Quentrec Marcel - 31820 PIBRAC
Je ne suis pas sûr que le grand contournement soit efficace (12% du trafic de transit). Par contre, je suis certain qu'il faut un pont sur la Garonne ou dans le sud de Toulouse pour désengorger au niveau de Rangueil.

Avis n°64 de : Rougean Carole - 31500 TOULOUSE
Pourquoi créer une route de plus qui se remplira forcément de voitures polluantes???
alors qu'on nous annonce pompeusement la limitation définitive de la rocade à 90 km/h pour limiter justement les emissions de gaz polluants, pourquoi proposer l'aménagement d'une route de plus????
je circule sur la rocade tous les jours et je prendrais volotiers un tramway s'il faisait le tour de toulouse au lieu de prendre ma voiture, comment, à l'heure actuelle, avec ce que l'on sait de la détérioration de l'environnement et des effets de l'homme sur cette dégradation, comment peut-on décemment proposer de nouvelles solutions pour laisser la voiture envahir nos espaces???pourquoi ne pas penser à des solutions écologiques, ceinture de Toulouse par un tramway ou par un train??
JE SUIS CONTRE CE GRAND CONTOURNEMENT AUTOROUTIER

Avis n°65 de : Batut Emile - 31620 FRONTON
Je souhaite que cette autoroute passe le plus près possible de Fronton.

Je souhaite également que le nouvel aéroport soit construit à Fronton, le tout au plus tôt.

Avis n°66 de : Rouquet Yvon - 31410 NOÉ
Pourquoi donc certains sont contre le contournement de Toulouse alors que toute grande ville qui grossit en font...Et cela est du mieux vivre pour tout le monde!

Avis n°67 de : Michellon Cyril
Faire un contournement de Toulouse: oui
Où?: N'importe où pourvu qu'il soit le plus long possible et qu'il désengorge la ville et l'enfer des embouteillages aux heures de pointe.
Comment: réaliser quelquechose qui soit le moins cher possible: pas de péage, ni aires de repos ni statues, ou débilités de ce genre mais une 4 voies simple et sans chichis et vite qu'il ne soit pas en doublon avec des voies déjà existantes comme toutes les autoroutes actuelles.
De plus, on se moque d'avoir une route "billard" que le monde entier nous envie (et la plus chère aussi) pas chère, large, efficace, pragmatique.

Cordialement,

Avis n°69 de : Ventre Alain - 31270 FROUZINS
Le 1 septembre 2007



Projet d’une grande rocade à Toulouse


Messieurs,

de 1981 (date de ma nomination) à 2006 (date de ma retraite), je me suis rendu à mon bureau rue Nazareth à Toulouse en venant de l’extérieur puisque mes goûts personnels m’incitent à résider en campagne. Au gré de mes déménagements, j’ai emprunté chaque jour ouvrable, pendant ces 25 ans, les entrées et sorties des autoroutes de Villefranche, Montauban et Muret en utilisant la rocade actuelle.

Que ce soit le matin de 8h à 9h30 ou le soir de 17h30 à 19h, elle est bouchée quelque soit l’entrée ou la sortie.

A mon sens, le problème provient quasi exclusivement des gens qui travaillent à Toulouse intra muros ou dans les zones qui bordent le périphérique et qui habitent en banlieue. Les sorties de la rocade deviennent alors de véritables entonnoirs et je ne vois pas très bien comment résoudre ces engorgements dus à ces goulots d’étranglement générés par les inévitables rues moins larges et les feux rouges.

Lors de mes différents voyages j’ai observé le même phénomène dans d’autres villes dans le monde, un peu atténué à Los Angeles, car il y a 800 kilomètres d’autoroute dans la ville elle-même !

Faire une immense rocade, qui se révèle onéreuse à ce jour et qui le sera encore plus à l’arrivée –comme tous les grands projets-, ne résoudra pas le problème des goulots d’étranglements cités plus haut. A mes yeux ce n’est pas le trafic traversant seulement la zone de Toulouse qui est responsable de ces embouteillages. La voie de gauche est bien plus rapide et en général, aux heures de pointe, la circulation, quoique ralentie, est acceptable.

Je sais très bien qu’en vous faisant part de mon sentiment, je fais injure à votre intelligence car tous les points cités ne vous ont échappés. Mais je me suis fais plaisir !

Comme solution, je vois essentiellement de profonds développements des transports en commun intra muros, une interdiction de circulation du lundi au vendredi des véhicules personnels, y compris ceux des fonctionnaires « assis » l’exemple doit venir d’en haut… ! conjugués avec la création de grands silos de parkings gratuits aux terminus des nombreuses lignes de transport en commun.

Les avantages en seraient énormes y compris en gain de temps et en pollution. Mais ils ne seront pas populaires au début du moins et en outre, ce n’est pas là l’objet de votre mission…

En outre, je ne pense pas que le trafic pour contourner Toulouse empruntera une autoroute à péage plus élevé que celui actuel et qui sera bien plus long que l’actuel périphérique.

Veuillez croire, Messieurs, en mes sentiments distingués.

Avis n°70 de : Herin Jules - 09100 VILLENEUVE DU PARÉAGE
Je pense qu'a priori l'option "Ouest+Sud" serait à privilégier selon le trafic actuel et la présence des grandes infrastructures: aérospatial, aéroport...; à présent les pôles d'Albi, Castres, se trouveraient pénaliser.
L'idéal serait un projet de contournement complet.

Avis n°71 de : Couderc Claudine - 31300 TOULOUSE
Je n'ai pas pu malheureusement assister à votre réunion du 13/09 mais je compte bien venir à la réunion du 20/12. Je n'ai pas encore de question puisque je ne connais pas bien le dossier mais je suis persuadée que pour Toulouse et la périphérie, ce contournement est indispensable et assez éloigné de Toulouse.

En remerciant toute l'équipe de la Commission,

Avis n°73 de : Gaston Robert - 31240 L'UNION
Une autre solution: doubler le périphérique en y ajoutant un étage !
Pas de terrains à acheter Pb sonores à peu près inchangés, complété par des pénétrantes en TRAM vers METRO Saint Jean, Saint Orens, ...
Parallélement, améliorer les routes Montauban-St Sulpice - Lavaur-Villefranche de Lauragais à l'Est, et à l'Ouest améliorer Montauban -Grenade-L'isle Jourdain - St Lys - Muret, Plus loin Albi - Castres - Revel - Castelnaudary
Merci d'y réfléchir
RG

Avis n°74 de : Monnin Luc - 31520 RAMONVILLE ST AGNE
Alors que les problèmes de contournement de Toulouse s'inscrivent dans une logique que la biologie décrirait comme endogamique à la ville. La pertinence de la question reste en suspens:

- quel pourcentage de véhicules seraient susceptibles de vouloir contourner la ville sans s'y arrêter ?
à priori moins de 10%
Quel est aujourd'hui le phénomène structurant de l'urbain qui réduit ce trafic interne qui génère à lui quasiment seul la saturation de la ville ?
C'est la mise en service de transports en commun en sites propres, prioritairement de surface. Les villes équipées de tramways, et plus encore de connections élargies tramways et métro jusque vers leurs zones périphériques sont celles qui voient effectivement leur trafic se réguler. Si l'on cherche une solution à la surcharge du trafic, c'est donc prioritairement en ce sens que l"on devrait orienter les réflexions.

Avis n°75 de : Monnin Luc - 31520 RAMONVILLE ST AGNE
Si l'on fait un bilan environnemental, un grand contournement en organisant un trafic plus important autour de la ville s'inscrit dans une production supérieure de rejet carbonés. à l'opposé de toutes les injonctions actuelles aussi bien scientifiques que politiques. De plus cette mise en oeuvre nécessiterait des emprises et la production de matériaux d'origines fossiles très importants.

Avis n°76 de : Monnin Luc - 31520 RAMONVILLE ST AGNE
Au niveau financier, le coût de ce "grand contournement" permettrait la construction dans un délai plus court d'au moins 10 lignes de tramway telles celles construites actuellement sur Paris, Bordeaux ou Lyon, pour les villes les plus proches de la problématique toulousaine.
Il apparaît donc que cette démarche d'infrastructure s'inscrit plutôt dans une logique politique que soucieuse de l'intérêt public et du bon usage des fonds du même nom. Pour toute ces raisons ce projet semble de peu d'intérêt pour les citoyens et devrait être abandonnés pour des approches plus respectueuses de l'environnement et plus proches des orientations urbaines et sociales actuellement explorées dans le reste du monde pour améliorer la situation environnementale et fonctionnelle des villes.

Luc Monnin

Avis n°78 de : Teisseyre Hubert - 31400 TOULOUSE
Sur vos3 hypothèses "EST SEUL"
OUEST+SUD ou EST+SUD= sans opinion préférentielle

Avis n°79 de : Cornolo Philippe - 31830 PLAISANCE DU TOUCH
La construction d'une nouvelle route ne résoudra rien à moyen terme et empirera la situation. Nous avons besoin d'élus VISIONNAIRES et se poser la question de la construction d'un contournement montre que nous n'en avons pas. Il faudrait instaurer un délit contre la société.

Avis n°80 de : Pegart Francis - 31600 MURET
Je pense que l'hypothèse "Ouest" serait suffisante (Montauban, Grisolles, L'Isle Jourdain, Carbonne) sans descendre sur Auterive. Pourquoi ne pas envisager cette solution?

Avis n°81 de : Taureau Christian - 31500 TOULOUSE
Que ce contournement se fasse le plus rapidement possible

Avis n°82 de : Boyer Monique - 31000 TOULOUSE
Je pense que le projet de ce contournement est indispensable; la partie la plus importante est "Est Seul" car le nord de Toulouse et le Tarn (dépt) sont délaissés mais l'idéal serait de faire la tour complet.

Avis n°83 de : Kaczmarek Frédéric - 32370 MARSAN
Le contournement autouroutier de Toulouse doit certainement être une très bonne chose? Je comprends les gens de Toulouse comme ceux de Lille? (par ex). Ma question est au sujet de la pollution. Aux mines du Pas de Calais quant tout s'est arrêté on a planté sur les terrils d'inmombrables arbres de l'espèce du bouleau, qui je présume pour empêcher une éventuelle pollution de ces terrils à chistes. Est-ce qu'on pourrait pas essayer d'acclimater ces arbres à certains endroits sans nuire le paysage méridional et touristique? Ces arbres je crois, doivent avoir un grand pouvoir de filtration de pollution environnemental...
Je suis heureux de constater que l'on cherche à faire du préventif avant de construire...

Avis n°84 de : Cugno Jean - 31100 TOULOUSE
Dépêchez-vous de trouver une solution très très urgent. Bougez les élus!
Sincères Salutations

Avis n°85 de : Nanty Maurice - 81500 LABASTIDE ST GEORGES
Je suis opposé au PEAGE: il perturbe la fluidité du trafic causé par les arrêts d'entrée et sortie.
Financement: par l'Etat en instituant un impôt national sur les chiens de 15 euros: avec 7 millions de chiens vous récoltez 100 millions chaque année:::

Avis n°86 de : Dorleans Jean - 81000 ALBI
(C'est vraiment prématuré!) Mais le Conseil Régional MP annonce pour la même écheance, un plan rail de 820 M d'euros. La cohérence, la convergence des deux démarches (ou la concurrence?) mérite d'être explicite dès maintenant!

Avis n°87 de : Cund Bernard - 31380 MONTASTRUC LA CONSEILLÈRE
Je pense aller suivre les débats publics de Toulouse et Paulhac.

Avis n°88 de : Pellat Dominica - 31270 VILLENEUVE-TOLOSANE
Comment peut-on être sûr de l'impartialité du maître d'ouvrage puisqu'il est directement impliqué dans le projet? J'ai eu l'occasion de lire l'enquête demandée par la Mairie de Toulouse concernant ce projet et il n'est jamais fait référence à l'impact des travaux du métro sur les conséquences de la circulation à Toulouse.

Avis n°89 de : Signoles André - 81310 L'ISLE SUR TARN
Il ne faut pas tergiverser ni se poser de questions, le grand contournement de Toulouse n'est pas une aberration, il aurait du être prévu bien avant la Rocade. Je suis pour un projet Est Seul ou EST+Sud avec l'aéroport à Rabastens

Avis n°90 de : Agusou Joël - 31410 ST SULPICE S/LÈZE
D'accord pour le contournement autouroutier. Et le feroutage?

Avis n°91 de : Lac Michèle - 09350 SABARAT
Le coût de cette réalisation doit être impressionnant: cet argent ne serait-il pas plus utile à l'amélioration des transport en commun dans Toulouse et liaisons Toulouse/banlieue? Des TER plus nombreux et sans pannes feraient la joie de ceux qui viennent travailler à Toulouse!

Avis n°92 de : Deoux Jean-Paul - 31800 LABARTHE INARD
Nous avons eu la ceinture des boulevards, puis la ceinture des péripheriques. Il est donc logique d'avoir une troisième ceinture, l'agglomération s'étendant. Mais il faut peut être arrêter de favoriser les déplacements individuels en véhicule à pétrole en augmentant les kilomètres roulables. Difficile!

Avis n°93 de : Cravero Noël - 82700 ST PORQUIER
Option pour le projet EST+SUD car lel projet OUEST+SUD déjà encombré par l'arrivage des cargaisons Airbus A380 et moins coûteux car il n y pas besoin de construire un pont sur la Garonne.

Avis n°94 de : Serieys Jacques - 31240 L'UNION
Pourquoi considerer-t-on le périphérique actuel comme une liaison autoroutière? A mon avis, il n'y a pas de jonctionnement réel des A62 et A61 sans passer dans Toulouse. Prend-on en compte l'augmentation importante dans les 20 prochaines années du traffic venant de l'A20 (du nord). Le contournement doit se situer à 20 ou 30 km de Toulouse pour bien irriguer les départements voisins

Avis n°95 de : Neau Paul - 31290 GARDOUCH
Selon le BIPE, Soc d'études écon et de conseil en stratégie (Le Monde du 29/08/07) le nombre de kilomètres parcourus en France par la voiture a baissé de 2% depuis 2003. La tendance devrait s'accentuer avec une réduction de 2% par an jusqu'en 2015. Même si la croissance de l'agglomération toulousaine est forte, cette tendance limite l'intérêt du contournement.

Avis n°96 de : Moulières Roger - 31590 VERFEIL
En premier la 2 fois de 2 voies Castres Toulouse avec à Gragnague pouvoir tourner sur Albi, alors que pour l'instant on ne peut pas, inadmissible pour le mmetre à plus tard!

Avis n°97 de : Pages Claude - 09000 FOIX
Solutions alternatives?
Un contournement ferroviaire "EST seul" par Eurocentre, à voié double relié aux principales voies ferrées existantes, avec possibilité de ferroutage = dynamiser la périphérie de Midi-Pyrénées (Castres, Auch, l'Aveyron, etc ont perdu des habitants ces dernières années) pour stopper l'expansion toulousaine.

Avis n°98 de : Bourgeois Jacques - 31320 AUZEVILLE TOLOSANE
"Dans la mesure du possible" accélerer les procédures. C'est indispensable mais dans 15 ans ça sera trop tard. Nous serons complètement asphyxiés.

Avis n°99 de : Gout Odile - 11800 TRÈBES
Le contournement est nécessaire depuis longtemps.

Avis n°100 de : Gaschard Bernard - 11000 CARCASSONNE
Surtout développemet des transports collectifs
- du vélo (pistes cyclabes)
-et de la marche
-respect de l'environnement

Avis n°101 de : Guillen Gustave - 31300 TOULOUSE
Trois volets dans pla problématique de nos transports: l'aérien, le ferré, le routier.
La refléxion sur le contournement doit intégrer les deux autres. TGV et sou tracé, le choix du site du deuxième aéroport et donc les prendre en compte pour ne pas les enterrer.

Avis n°102 de : Gos Alexis - 81100 CASTRES
Je désirerais que ce projet ou ces hypothèses soient choisis en fonction de l'environnement et de l'écologie.

Avis n°103 de : Culié Jean-Marie - 81120 LABOUTARIÉ RÉALMONT
Il faudrait faire le contournement le moins cher, faire plus de pistes cyclabes, mais pour moi, quand il faut faire un projet, il faut foncer si on veut plaire à tout le monde on ne fait rien!

Avis n°104 de : Rouzaud Aimé - 09100 MADIERE
Je souhaite que le grand contournement de Toulouse se fasse côté "Est+Sud".

Avis n°105 de : Cancel Pierre - 81220 VITERBE
Mettre en priorité le desenclavement du sud de Toulouse-Castres-Mazamet-Béziers.

Avis n°106 de : Mayanobe Pierre - 82100 CASTELSARRASIN
Pour moi, à mon avis lal priorité pour le contournement de Toulouse c'est d'éliminer tout les deux flux qui viennent de Paris et Bordeaux et qui vont vers Carcassonne pour qu'ils n'entrent pas dans le périphérique Est. donc une liaison péage de Montauban à Castelnaudary directe.

Avis n°107 de : Gorse André - 81800 RABASTENS
Je suis pour l'hypothèse 3 "Est+Sud", étant celle qui prend en compte le plus de trafics. Je crois qu'il faudrait la faire le plus loin possible et éviter ainsi que le grand nombre de véhicules se rendent à Toulouse y passent.

Avis n°108 de : Haspot Théophile - 81110 MASSAGUEL
A quand le désenclavement du Tarn Sud (Castres-Labruguière)? Toutes les meilleures usines sont parties ou ne sont pas venues à cause de cela...
Le trajet (temps) Castres-Toulouse est plus long et plus dangereux maintenant qu'en 1971.

Merci.

Avis n°109 de : Rivière Emile - 31450 LABASTIDE-BEAUVOIR
J'ai 83 ans, je suis d'accord pour vos projets.

Avis n°110 de : Prime Irène - 31500 TOULOUSE
Avec le développement de Toulouse, le passage de plus en plus de touristes, l'affluence lors des manifestations sportives et autres, le grand contournement est indispensable alors faites pour le mieux.

Avis n°111 de : O'Kelly Gaston - 81100 CASTRES
Projet très intéressant.

Avis n°112 de : Le Tranouez Jean - 31250 REVEL
L'hypothèse "Est seul" à mes yeux paraît la plus réaliste.
En effet, elle permettra de désenclaver le tour et le secteur de Revel partant de Gisolles et finirait à Villefranche.
L'Ariège et Andorre seront bénéficiaires ainsi que la Méditerranée.
Le flot de véhicules venant du sud sera absorbé et vice versa.

Avis n°113 de : Coquillat Laurence - 31190 MIREMONT
Pourquoi plus de routes et... PAS PLUS DE RAILS?
Personnellement, je préfèrerais le train puis le métro, bus ou tramway moins dangereux, moins polluants, moins fatigants et qui nous permettent de faire beaucoup d'autres choses plus intéressantes (observer le paysage, lire, travailler, discuter,... les autoroutes abîment trop le paysage) que conduire sur une 4 voies.

Avis n°114 de : Pastor Pierre - 09000 FOIX
Comment une énorme métropole régionale de l'importance de celle de Toulouse peut-elle être, de nos jours, aussi enclavée? Et c'est pourtant vers ellequ'affluent voyageurs et camions de primeurs de la péninsule ibérique. Et, c'est en son sein que la ville de Barcelone a décidé d'implanter un port sec de containers.

La perspective d'u nouveau contournement routier, certes peut apporter un soulagement à la grande cité, mais gageons qu'il sera éphémère et provisoire.

Et pourquoi ne pas privilégier le rail?

Le doublement de la voie ferrée Foix-Toulouse permettrait la création d'un véritable réseau express régional, en améliorant les horaires et le cadencement. Avec la possibilité d'étaler sur les départements limitrophes les multiples activités de la grande métropole.

Il faut 2h15 pour relier Paris à Londres. Pour la région, il nous est demandé de contourner Bordeaux pour rejoindre Paris!! Alors que le réseau à grande vitesse Catalan, est à notre portée, ainsi que la très récente autoroute ferroviaire de Bruxelles Perpignan. Ce sont les jonctions Toulouse/Montpellier et Perpignan qui sont prioritaires. Elles permettraient le raccordement de Toulouse au réseau Sud-Est et, ainsi, l'accès aux grandes métropoles européennes.


Bien cordialement,

Pierre Pastor

Avis n°115 de : Dumeunier Jacques - 31250 REVEL
Il ne s'agit pas d'une question, mais d'un avis, et il est franchement négatif : les salariés, et en général les classes populaires, n'ont absolument rien à gagner d'une autoroute privée à péage, qui ne servira qu'à une minorité de privilégiés et aux entreprises (cf l le projet d' "autoroute Fabre", entre Toulouse et Castres, totalement inutile, sauf pour les intérêts privés) et qui aura comme conséquences des "dégâts collatéraux" sur l'environnement ! Ils auraient en revanche tout à gagner du développement de transports publics non privatisés, fréquents, pratiques, confortables et à bon marché pour éviter de passer systématiquement par Toulouse pour aller d'un point à l'autre de l'agglomération. Ce n'est manifestement pas la préoccupation des promoteurs de ce projet. Nous participerons donc à toute action visant à le faire capoter.

Avis n°116 de : Bommarito Jean-Claude - 31480 PELLEPORT
Je vous remercie de nous permettre de donner nos impressions sur le Contournement autoroutier de Toulouse.

Je ne suis pas contre cette nécessité... mais je resterai attentif et vigilant sur les débats futurs.

Salutations.

Avis n°117 de : Bonnet Jean-Christophe - 81500 TEULAT
Travaillant à Teulat, je soutiens les projets de Grand Contournement mais aussi et surtout celui d'une autoroute Verfeil-Castres, qui rapprochera mon entreprise de Toulouse et de Castres, mais à la condition qu’il respecte l’environnement et le cadre de vie de la population qui a choisi d’habiter à la campagne, loin des pollutions sonores et de l’air. J’y suis d’autant plus sensible que ma famille habite aussi Teulat depuis 1994 (3 enfants qui ont grandis là, même bâtiment que mon bureau) et que l’un des tracés provisoires de cette autoroute s’étendrait sur mon jardin.

Je ne pourrai donc soutenir complément ce projet que lorsque j’aurais l’assurance que la future autoroute passera dans le fonde la vallée du Girou, loin des lieux de vie et sans détruire l’habitat, ce qui est possible.

Avis n°118 de : Cancé Didier - 81000 ALBI
La position de Toulouse par rapport à l'autoroute axe Bordeaux-Montpellier (cet axe s'incurve pour aller chercher Toulouse) voire par rapport à l'axe Paris/N20 n'implique-t-il pas par défaut un contournement par l'Est et le Sud (si l'on ne veut pas éloigner encore de toulouse le contournement et le rallonger).

Avis n°119 de : Aubert Daniel - 31350 CHARLAS
VRP à la retraite depuis peu, je m'intéresse à ce projet qui m'aurait facilité la vie, j'effectuais 80 000 kilomètres par an Midi-Pyrénées et Aquitaine. Ce contournement aurait dû exister au moins depuis 20 ans.

Avis n°121 de : Miglioli Bruno - 31520 RAMONVILLE ST AGNE
La déflation probable des trafics (coût plus élevé des carburants, politique volontariste et efficace des transports en commun) pour balancer les effets négatifs sur la circulation des projections que vous faites en terme de population. Cette déflation pourrait être brutale donc investissement proposé coûteux et non rentable.

Avis n°122 de : Bourquin Michel - 82290 ALBEFEUILLE-LAGARDE
Protestation: surtout pas de nouvelles autouroutes! La France n'est plus qu'un autodrome.
Organisez plutôt le déclin de la bagnole. Un département français disparaît sous le goudron tous les 10 ans!

Avis n°123 de : Galy Josiane - 81350 LESCURE D'ALBIGEOIS
Simplement une remarque: j'ai du mal à prendre conscience de ce contournement autour de Toulouse, ni pour ni contre sauf le respect de la nature.

Avis n°124 de : Andrieu René - 31290 VILLEFRANCHE DE LAURAGAIS
A l'heure présente, je manque d'information pour avoir une opinion aussi objective que possible

Avis n°125 de : Bordenave Pierre - 31160 ARGUENOS
Il y a 6 mois que la route départementale qui passe par le col de Muret est effondrée, vous attendez qu'il y ait un accident grave pour faire une réparation.

Avis n°126 de : Archat Claude - 31500 TOULOUSE
Choisir un tiers de périphérique, n'est-ce pas injuste pour les 2 autres (pénalisant).

Dans le cadre de la circulation dans le territoire concerné construire une autre gare SNCF et un nouvel aéroport aussi!

Avis n°127 de : Gau Régis - 11000 CARCASSONNE
Oui au contounement EST+SUD près de l'agglomération et avec prolongement au sud.

Avis n°128 de : Molitor Salvat - 31780 CASTELGINEST
Oui à tout ce qui améliore la circulation

Avis n°129 de : Cavallo Marie Claude - 31200 TOULOUSE
Il n'y a pas de réunions su l'aménagement durable du territoire pour le secteur Villefranche-Auterive-Muret-Carbonne etc c'est-à-dire secteur "Ouest+Sud".

Merci

Avis n°130 de : Pancziszin Michel - 81160 ST JUÉRY
Je viens de prendre connaissance du projet de contournement de Toulouse. C'est un projet ambitieux et nécessaire.

Celui que je retiendrai est: "Est+Sud" qui serait le plus efficace.
Il permettrait de dégager les environs de Toulouse et de développer l'Est de Toulouse, la région du Tarn et de l'Aveyron.

Avis n°131 de : Scarrone Jean-Louis - 31100 TOULOUSE
Le traffic périphérique est local à 95% du temps. Il manque un contournement par la rocade Arc en Ciel à travers le côteau de la SNPE. Le principe de raccorder les autouroutes a un circulaire est depassé.

Avis n°132 de : Papin Denis - 31820 PIBRAC
Le contournement autoroutier ne décongestionne pas le périphérique, il faut d'urgence améliorer les transports en commun.

Avis n°133 de : Duho Dominque - 81300 GRAULHET
Je pense que le projet EST+Sud est le meilleur par rapport à la population et le rapprochement industriel avec le Tarn.

Avis n°134 de : Latour Bernard - 31100 TOULOUSE
Le contournement complet de Toulouse

Avis n°135 de : Canet Pierre - 82000 MONTAUBAN
Le contournement d'accord mais seulement pour les camions.
Pour les touristes, ils ont besoin de passer par les villes, les hôtels ne travailleraient plus surtout aux abords des gares.

Avis n°136 de : Ragaru Bernard - 81600 GAILLAC
Mon avis sur le grand périphérique, meilleure solution: EST+Sud.
Avantages: Beaucoup de zones non habitées, raccordements très faciles vers les autoroutes Montpellier et Bordeaux et version la moins coûteuse

Avis n°137 de : Lève Louis - 31310 RIEUX-VOLVESTRE
Je suis d'accord pour le contournement de Toulouse côté "Est+Sud" mais surtout avec une limitation de la vitesse à 80 kilomètres sur le périphérique et les nationales et départementales sur les autoroutes à 120 kilomètres comme en Espagne pour éviter de trop polluer.

Avis n°138 de : Azaïs Pierre - 81800 COUFOULEUX
Bravo opour que tout le monde soit informé pour la réalisation des projets destinés à l'évolution de la région. Merci

Avis n°139 de : SAurac Michèle - 31240 ST JEAN
Pourquoi "Est seul" comme solution? Il faut un contournement qui permettr de relier toutes les autoroutes entre elles.

Avis n°140 de : Pronost Pierre - 31830 PIBRAC
Je suis favorable pour la réalisation du projet de contournement de Toulouse mais avant je souhaiterais recevoir le dossier de présentation du projet. Merci

Avis n°141 de : Garcia Françoise - 31400 TOULOUSE
Choix Est +Sud.

Avis n°142 de : Bruggeman Christian - 31770 COLOMIERS
Je participerai à certaines des réunions.

Avis n°143 de : Toulza Josette - 31550 CINTEGABELLE
Je suis pour la version Oues+Sud qui nous rapproche de Muret. J'espère que ce contournement se fera proche d'Aterive/Cintegabelle des bourgs dortoirs!! (Deuxième couronne)

Avis n°144 de : Becker André - 31750 ESCALQUENS
Je n'ai pas de question dans l'immédiat mais je suis favorable à l'étude de faisabilité et à l'idée qu'il est absolument indispensable de réaliser ce contournement. Reste à décider la bonne solution!

Avis n°145 de : Rietdyk Theodoor - 31310 MONTBRUN BOCAGE
J'ai peur: plus d'autoroutes autour de Toulouse = plus de suburbanisation dehors le "contournement" (étalement suburbain), deuxième aéroport peut-être ce que donnera aussi plus de circulation sur le périphérique.

Avis n°146 de : Eclache Pierre - 09700 SAVERDUN
Je viens de recevoir votre journal du débat n° 1 et suis assez étonné par la localisation des lieux de réunions. (Liste de villes..)
Entre Castelnaudary et Carbonne sur le trajet du tronçon sud il n'y aurait donc aucune salle susceptible d'accueiller une réunion, à moins que les populations d'Auterive 6000 habitants, Cintegabelle 1000 habitants, St Sulpice 1500 hab ou Lézat 2000 hab ne soient pas concernées: mais alors pourquoi l'information de la population fuxéenne à 70 km de Toulouse vous semble-t-elle indispensable?
Puisque vous rappelez que la loi rend la participation du public obligatoire, doit-on conclure de ce qui précède que le tronçon sud n'est pas à l'ordre du jour?
De même à l'ouest, entre Montauban et Carbonne il n'y aurait que Gimont et Cadours qui recevraient une information spécifique, L'Isle Jourdain, St Lys ou Rieumes ont-elles été désertées par leur population, à moins que le trajet ouest ne soit lui aussi déjà éliminé?
Meilleures Salutations

Avis n°147 de : Fabre Jacques - 81120 ST LIEUX LAFENASSE
Ce contournement conserve bien l'axe océan/Méditerranée + vers Espagne et améliore le centre de la France.
Le côté Ouest+Sud, étant bien desservi, malgré que l'on ne parle pas de la N124 qui est plutôt près d'une autoroute que d'une nationale.
Il paraît plus intéressant côté Est+Sud vers Bordeaux Paris Méditerranée Piémont.

Avis n°148 de : Cols Fernand - 81600 GAILLAC
Bravo pour ce grand projet, j'espère et souhaite que les détracteurs en soient pour leurs frais. Bon courage.

Avis n°149 de : Deweerdt Raymond - 31300 TOULOUSE
2 x 2 ou 2 x 3 voies en souterrain ou aérien ou normale ou dessus de la rocade actuelle.

Avis n°150 de : Darteyre Jean-Paul - 31280 DRÉMIL LAFAGE
Pourquoi seulement un contournement d'un tiers (voire deux tiers) de l'agglomération? Je n'envisage pas les camions voulant aller à Castres ou Mazamet passant par un contournement ouest! Ce n'est pas vrai, ce ne le sera pas plus demain. Il fuat faure un cercle complet.

Avis n°151 de : Paillier Marc - 31170 TOURNEFEUILLE
Oui au contournement Non au péage.

Avis n°152 de : Pralong Marie-José - 31170 TOURNEFEUILLE
Oui, il faut réaliser ce grand contournement. Les rocades actuelles seraient sans doute moins surchargées. Cela fait peur de passer par Toulouse aux touristes.

Avis n°153 de : Rolland Jean-Noël - 31520 RAMONVILLE
Avant de discuter "grand contournement", il est prioritaire d'étendre la rocade "Arc-en ciel" jusqu'à la banlieu Sud Est, en enjambant la Garonne. Trop de personnes de Portet ou de Castanet sont obligées de remonter jusqu'au péripherique pour se rojoindre.

Avis n°154 de : Gauchy Rolande - 31170 TOURNEFEUILLE
Pour vivre au quotidien les désagréments des embouteillages, je pense qu'un contournement autoroutier de la ville de Toulouse doit être réalisé. Ma question est pourquoi avoir tant tardé?

Avis n°155 de : Bermond Raymond - 09100 PAMIERS
Il faut une autoroute Nor Ouest et l'autoroute Nord Est Sud.

Avis n°156 de : Rey André - 81700 BLAN
Difficile de poser une question lorsqu'on ne connaît pas le projet.
Par contre, le contournement autoroutier de Toulouse me paraît indispensable.

Avis n°157 de : Lompedre Jean-Jacques - 81370 ST SULPICE
L'engorgement du periph se produit uniquement durant les heures de pointe mati et soir des usagers locaux. Le problème perdurera même si on exclut les transits.

Avis n°158 de : Mazet Roger - 31140 ST ALBAN
Autoroutes (payées par nos impôts) privatisées!!!
Aujourd'hui contournement des villes payant...ça suffit.
Rocade supplémentaire OUI mais GRATUITE pour les usagers.

Avis n°159 de : Sutra Maire-Louise - 31000 TOULOUSE
Pour éviter les gands embouteillages il est indispensable de créer une nouvelle rocade.

Avis n°160 de : Couzinet Gilbert - 31220 CAZERES
Priorité Est+Sud.

Avis n°161 de : Scot Maxime - 31120 PORTET SUR GARONNE
En 1969-73 j'étais chef du 4° bureau à l'EM de la 44 DMT. J'étais un relation avec la Préfecture et l'idée d'une 2° rocade autour de Toulouse avait été à l'époque envisagée pour éviter aux poids lourds la traversée de Toulouse et pour débloquer les départements voisins Ariège Gers Trn et Tarn et Garonne.

Avis n°162 de : Cauneille Germain - 31280 MONS
J'opterai dans un premier temps pour le projet Est seul (économie?) poursuivi par le projet Est+Sud par la suite (raisons: partie 2x2 voies déjà existantes, Garidech, Verfeil puis une partie de l'A66 à partir de Villefranche et surtout possibilité d'adjoindre à côté la ligne TGV Bordeaux-Toulouse-Narbonne).

Avis n°163 de : Tixier Jean-Pierre - 31300 TOULOUSE
Je suis un vieux retraité mais un professionnel averti de ces questions. Je souhaiterais, sii possible, participer aux propositions des choix des solutions à mettre en oeuvre. Ben à vous

Avis n°164 de : Salètes Jean - 31300 TOULOUSE
Oui bien au contournement de Toulouse.

Avis n°165 de : Bon André - 31420 AURIGNAC
Si ce contournement doit se faire, ne pas trop attendre

Avis n°166 de : Chipot Michel - 31550 CINTEGABELLE
Favorable au contournement de Toulouse de 5 à 10 kilomètres en périphérie.

Avis n°167 de : Delcassé Marc - 31120 ROQUETTES
Oui pour le contournement.
Je pense qu'il faudrait tenir compte du 2ème aéroport ainsi que du tracé de la LGV SNCF.

Avis n°168 de : Vidal René - 81100 CASTRES
Il serait souhaitable d'envisager et surtout de prévoir le contournement complet de Toulouse oues + sud + est + est sud? il est permis de rêver. Gouverner c'est prévoir alors?

Avis n°169 de : Page Marcel - 32600 L'ISLE JOURDAIN
Oui, c'est un important problème d'avenir.
J'habite pas loin de l'Isle Jourdain et je constate combien ce petit village a changé en 20 ans. Alors Toulouse!!
Donc il faut penser à un nouvel axe de contournement du Grand Toulouse.

Avis n°170 de : Gay Jean Alphonse - 31180 ROUFFIAC TOLOSAN
Le grand contournement autoroutier le plus à même de faire face aux futurs besoins me paraît être l'hypothèse Ouest+Sud compte tenu qu'il englobe la zone aéroportuaire de Blagnac.

Avis n°171 de : Gall Roger - 31100 TOULOUSE
Quels sont les arguments de ceux qui s'opposent à la création d'un contournement, alors que dans une quinzaine d'années ils ne seront plus de ce monde, peut être!

Avis n°172 de : Courtoleu Jean - 09100 PAMIERS
Villefranche de Lauragais, Auterive, Cazères, l'Isle Jourdain, Montauban, Lavaur, Villefranche: super grande rocade à réaliser vite avec l'aéroport et le village de Marques.

Avis n°173 de : Jean Gilbert - 31550 CINTEGABELLE
En tant que chauffeur routier la solution la plus efficace est A62 N124 A64 A66. Pour rejoindre la A66 Pamiers-Villefranche Lauragais A61 on évite Toulouse Muret Auterive.
D622 Capens Nailloux danger!

Avis n°174 de : Allaid Joseph - 31620 BOULOC
L'axe routier Toulouse-Montauban par Bruguières-Fronton est déjà saturé entre l'autoroute d'Albi et de Montauban et comme la population se développe intensivement dans la zone Nord dans les villages du Frontonnais, il faut aller plus vite.

Avis n°175 de : Duris Marie-Françoise - 81220 SAINT PAUL CAP DE JOUX
Quelle chance de pouvoir participer à ce débat!
Le contournement autoroutier est fondamental pour l'avenir de notre région. Attention à ne léser personne. Nous devons absolument avancer...

Avis n°176 de : Amblaid Catherine - 32450 LARTIGUE
Les gens de l'extérieur qui viennen en visite à Toulouse pour des courses au centre ont intérêt s'ils sont plusieurs dans la même voiture à se garer au centre ville car le métro devient dans ce cas plus cher que le parking centre ville. Y a-t-il une solution équitable?

Avis n°177 de : Sincyr Gilbert - 31340 VACQUIERS
Je suis favorable à un grand contournement autoroutier. Il me semble que l'option Est (seul ou +Sud) permettrait d'irriguer davantage le territoire (Gaillac-Albi-Lavaur-Castres/Mazamet etc.).
L'option Ouest est moins intéressante de ce point de vue.

Avis n°178 de : Loumagne Jean - 31220 MARTRES
Tout simplement je pense que le projet Ouest-Sud, me semble être celui que relierait le mieux les quatre axes : nord sud est ouest. Très bonne idée pleine de bon sens.

Avis n°179 de : Cramont Jean - 81710 SAÏX
Castres, deuxième bassin d'emploi de Midi-Pyrénes a besoin d'être dans cette refléxion.

Avis n°181 de : Galigné Jean-Louis - 31600 EAUNES
Alors qu'on nous ressasse tous les jours, dans les médias, la fin prochaine du pétrole, nous ne savons toujours pas avec rouleront nos véhicules de demain.
Le projet de contournement autoroutier pour l'avenir paraît utopique.

Avis n°182 de : Farrenq Jacques - 81100 CASTRES
Mon attente est que la mise en oeuvre de ce projet insipensable, ne retarde en aucune façon la réalisation de la 2 x 2 voies Castres Toulouse

Avis n°183 de : Bisset Amandine - 31000 TOULOUSE
L'amélioration des voies de circulation des trains de marchandises et du TGV pourrait engendrer un désengorgement de la rocade des poids lourds, etc.
Ainsi, le patrimoine toulousain ne serait pas pénalisé par la construction d'une autoroute.

Avis n°184 de : Magdalov André - 09000 FOIX
La mégalopole toulousaine ne doit pas être une fatalité d'un développement non maîtrisé des petites et villes moyennes qui ont un rôle à jouer avec le contournement.

Avis n°185 de : Brignol Jean-Louis - 82000 MONTAUBAN
Le contournement Ouest pourrait s'intégrer à la base de Bressols (noeud A20-A62), suivre la vallée du Girou et se raccorder au noeud autoroutier A61-A66.
L'agglomération toulousaine serait délestée du trafic national et international.

En vous remerciant,

Avis n°187 de : Bordes Serge - 31240 L'UNION
Plutôt un accès TGV qu'un 2ème aéroport. Le premier Toulouse Blagnac accessible après 45/50 minutes aux heures de pointe car saturation de la zone de Sesquières.

Avis n°188 de : Esquierre Pierre - 31330 LE BURGAUD
Il est très regrettable que le contournement de Toulouse ait pris autant de retard.

Avis n°190 de : Laffont Jean-Pierre - 81100 CASTRES
Il faut que les usagers puissent s'exprimer et être présent à la Commission particulière pour que ce débat soit plus équilibré.

Avis n°191 de : Tahar Charles - 31340 VILLEMUR SUR TARN
Le choix n°2 Est seul.

Avis n°192 de : Brouant Marc - 11410 MARQUEIN
Une assertion plutot qu'une question: un grand contournement est censé répondre à une augmentation du traffic.
une augmentation du trafic est sensée être la conséquence d'une augmentation de la population périurbaine.
Une augmentation de la population periurbaine est la conséquence d'une absence de maitrise de la densité de la population!
Donc: fa

Avis n°193 de : Massat Roland - 31270 FROUZINS
Pourquoi en est-on encore à tergiverser sur la question "faire ou ne pas faire" alors que l'on sait pertinemment que l'on ne peut pas y échapper?

Avis n°194 de : ROUDIERE Emilie - 81370 SAINT-SULPICE LA POINTE
Plutôt qu'une question, un constat : Je remarque encore une fois, le problème francais. Trouver une solution provisoire en guise de pansement, à une véritable problématique de fond qu'est le désengeorgement du périphérique Toulousain. Regardons les solutions efficaces déjà mise en place par nos voisins européens du nord sur de telles problématiques. Essayons d'optimiser ce qui est disponible, et favorisons les agrandissements et aménagements de moyens de déplacements propres et durables.

Avis n°195 de : Wommelsdorf Eric - 31590 VERFEIL
Bonjour

Je souhaite émettre un avis sur ce débat et , je suis plus que surpris de ne pouvoir le faire directement , ou est l'email de destination des avis ? faut-il forcément participer à un débat pour en émettre un ?

En tout état de cause voici mon avis :
La préocupation qui devrait être la notre aujourd'hui devrait être de défendre notre planéte et donc de dire NON au grand contournement qui organisera un trafic plus important autour de la ville avecune production supérieure de rejet carbonés ... Il ne suffit pas de parler écologie pour améliorer les choses , il faut être responsable du changement de mentalité : STOP au route et autoroute !!!
des alternatives existent et doivent être étudiés.
Cordialement
Eric Wommelsdorf

Avis n°196 de : Rosenberg Gudrun - 31460 CARAGOUDES
Allons-nous vers un « monstre du Loch Ness » en plein milieu du Lauragais ? Déjà en 1996, lors de l’enquête d’utilité publique concernant le projet de contournement autoroutier nous avons dit NON, ; notre opinion n ‘a pas changé , c’est NON en 2007 !
A l »époque, les arguments , conclusions et prétextes des experts et décideurs étaient, à peu de chose près, les mêmes :
- détournement des camions pour éviter les embouteillages et la pollution sur la rocade, la plateforme de frêt de Castelnaud d’Estretefonds
- solution des problèmes : tracé à l’est à proximité de Toulouse dans un couloir de 15 à 30 km…
A-t-on ressorti les mêmes études pour les mêmes lobbies, enrubannés d’un débat public et d’outils « modernes » ?
Contents ( ?) de voir les arguments d’alors repris par les ANTIs individuels et institutionnels d’aujourd’hui…
A tout prendre, on aurait préféré avoir à faire au monstre du Loch Ness dont on sait définitivement qu’il s’agit d’une superchérie

Avis n°197 de : Dannus Robert
Difficile d’intervenir à partir du site Internet.



Le contournement de Toulouse est il pertinent ? Servira-t’il à déconcentrer ou bien à augmenter la concentration urbaine ? Difficile de répondre par oui ou par non. Une chose est sure, un contournement à péage sera inefficace. Toulouse a prouvé l’impact négatif sur la circulation des péages trop proches de l’agglomération. Je crois que nous avons le record de France de ce point de vue. Bilan, les embouteillages sont légions sur les accès non payant. Par conséquent, si contournement il doit y avoir, il faut qu’il s’intègre dans le domaine public, accessible sans péage pour être efficace du point de vue de la circulation, dans le cas contraire, ce serait une nouvelle pompe à fric pour les banlieusards, plus ou moins éloignés de Toulouse.



Robert DANNUS le 5 octobre 2007.

Avis n°198 de : Hulshof Peter - 33220 STE-FOY-LA-GRANDE
Madame, Monsieur,

C'est avec un grand intérêt que je suis le débat sur le grand contournement de Toulouse. Il y a beacoup de ressemblances avec celui de Bordeaux.
Il me semble que ce contournement est justement incontournable! Il est évident que sa réalisation (quel que soit l'option choisi) n'est pas la seule et unique solution au problème du trafic. Mais celles et ceux qui défendent exclusivement le développement des transports en commun doivent reconnaître que le problème ne sera pas résolu. Il a fallu 15 ans pour simplement ouvrir une 2ème ligne de métro. A ce rythme, les bouchons ont de beaux jours devant eux! Et cela ne risque pas de s'arranger, même avec un effort financier du conseil général de la Haute-Garonne, car la région a désormais à rembourser son emprunt pour l'aménagement des voies ferrées, Tisséo est dans le rouge tout comme l'Etat est en déficit et ne dépense pas un sou pour les transports en commun dans les villes de province... Le développement des transports en commun doit se poursuivre, certes, mais ne résoudra pas à lui tout seul le problème des déplacements. Un contournement autoroutier à péage donc financé par les utilisateurs ne coutera pas grand chose aux collectivités locales qui pourront continuer à investir dans les transports en commun et puis même s'il n'absorbera que 10% du tarfic actuel, il évitera à la plupart des poids lourds d'emprunter le périphérique actuel. Enfin, il me semble indispensable de coupler ce contournement autoroutier avec un contournement ferroviaire afin d'éviter au fret de traverser la gare Matabiau avec ses produits chimiques et explosifs (ce qui contribuera peut-être également à désengorger la gare). Merci de votre compréhension.

Avis n°199 de : Couderc Claudine - 31300 TOULOUSE
Je n'ai pu malheureusement assisté à la réunion du 13/09 mais je compte bien venir à celle du 20/12. Je n'ai pas encore de questions puisque je ne connais pas bien le dossier mais je suis persuadé que pour Toulouse et la périphérie, ce contournement est indispensable et assez éloigné de Toulouse.

Avis n°200 de : Frezouls Georges - 81100 CASTRES
En premier Est seul en raison de l'autoroute Castres-Toulouse qui est à l'étude et pour bientôt.

Avis n°201 de : Malou Jean et Marie - 82200 MOISSAC
Nous sommes consternés par ce projet qui va détruire l'environnement et les cultures vivrières.

Avis n°202 de : Rogos Dominique - 31270 FROUZINS
Tant d'incohérences existent au niveau des emplois des Toulousains du Sus obligés de travailler au Nord sur des emplois que pourraient occuper ceux du Nord qui vont travailler au Sud.
Une vaste étude en ce sens serait très édifiante!

Avis n°203 de : Griffon Jean-Pierre - 09160 LA BASTIDE DU SALAT
Je suis pour un contournement Sud-Est éloigné (Carbonne-Auterive-Lavaur-Montauban).

Avis n°204 de : Azema Gérard - 31500 TOULOUSE
J'ai lu toutes les suggestions qui sont faites du contournement autoroutier de Toulouse.
A mon avis, un tel projet doit se réaliser à court terme: 10 ans.

Avis n°205 de : Nawrocki Michel - 82290 ALBEFEUILLE LAGARDE
Vous parlez de 3 familles d'hypothèses pour ce contournement ce qui se traduira par 3 tranches de travaux réparties dans le temps d'où durée des travaux plus longue, problèmes de circulation et de bouchons pas réglés et coût des travaux, si toutefois il y a 3 tranches, plus élevé.

Avis n°206 de : Rouquet Yvon - 31410 NOÉ
Pourquoi donc certains sont contre le contournement de Toulouse! Alors que toute grande ville qui grossit en font...et cela est du mieux vivre pour tout le monde.

Avis n°207 de : Batut Emile - 31620 FRONTON
Je souhaite que cette autoroute passe le plus près possible de Fronton.
Je souhaite également que le nouvel aéroport soit construit à Fronton, le tout au plus tôt.

Avis n°208 de : Rouzaud Aimé - 09100 MADIERE
Je souhaite le grand contournement de Toulouse côté "Est+Sud".

Avis n°209 de : Vidal René - 81100 CASTRES
Il serait souhaitable d'envisager et surtout de prévoir le contournement complet de Toulouse Ouest+Sud+Est+Est Sud??? Il est permis de rêver...gouvernerc'est prévoir. Alors???

Avis n°210 de : Girod Françoise - 31000 TOULOUSE
Conseillère à Drémil Lafage et employée d'une grande entreprise du Sud Est toulousain.

1. Dans le dossier fourni, il n'y a pas de carte présentant la position des grandes entreprises. Cette carte si elle est faitte montrerait que la plupart des entreprises sont contre le périphérique actuel des habitants de l'agglomération sont donc obligés de prendre ce périphérique.

2. Un anneau sur le territoire du SCOT central (moins de 15 km) aurait pour conséquence de modifier l'organisation de ce SCOT.
Le nombre limité de ponts pour enjamber cet axe modifierait les transports personnels, publics, scolaires au détriment de la circulation locale et l'aménagement du territoire.
Exemple: si le contournement se situe entre Drémil lafage et Quint Fonsegrives, il modifie les accès à Balma pour la vie associative, les accès à St Orens pour le lycée et les grands commerces, à Quint Fonsegrives pour le collège et l'accès à Toulouse pour les emplois.
Ce schéma sera le même pour toutes les communes du SCOT qui seront de l'autre côté de cet axe. Pour vous en convaincre, mettez aussi sur les cartes, le maillage des routes départementales.

3. Sur le territoire agricole en zone périurbaine, il aurait pour effet de détruire la nécessaire continuité de parcelles pour une agriculture moderne alors que le SCOT s'est donné comme objectif le maintien de l'agriculture périurbaine.

Avis n°211 de : Gardiès Christophe - 11400 CASTELNAUDARY
L'hypothèse Est+Sud nous serait d'un grand intérêt.

Merci.

Avis n°212 de : Guitard Jean-Paul - 31410 NOÉ
Aujourd'hui, tout le monde reconnaît que notre planète est en danger et ce par notre faute à tous. Chacun cherche des solutions pour sortir de cette spirale bien dangereuse pour les futures générations.
N'est-il pas le bon moment pour réfléchir différemment?
Avec ce projet d'autoroute périphérique, il me semble que nous n'allons pas dans le bon sens. Au lieu de réaliser ce projet bien coûteux, osons changer nos manières d'appréhender l'avenir.
Pourquoi se focaliser sur Toulouse, notre capitale régionale asphyxiée?
Pourquoi ne pas réagir avec l'esprit résolument régional et au-delà?
Au lieu de concentrer sur Toulouse, tout le tissu industriel et les centres de vie, décentralisons-les vers les villes périphériques qui se meurent.

Ainsi les bassins d'emploi et de vie seront plus décimés et les embouteillages aussi.

De plus, pour obliger les automobilistes à emprunter les transports en commun, qui restent à développer et à médiatiser, créons des parkings à la périphérie et faisons payer l'entrée du centre ville. Faisons le covoiturage.
Une autre façon de voir les choses et d'y consacrer les moyens nécessaires. Toulouse ainsi respirera mieux et nous pourrons continuer d'y bien vivre, sans pour cela reporter le problème ailleurs. (une question d'équilibre en quelques sortes).

Merci pour mes petites filles...

Avis n°213 de : Mayer bernard - 81000 ALBI
Je n'ai pas lu dans tous les documents fournis , mais il y en a tant, le fait que l'A 68 lorsqu'elle sera terminée au moins jusqu' à Severac le château sera un axe des plus importants à savoir reliant le nord est de la france au sud ouest et par extrapolation le nord de l'europe à l'espagne sans passer par la vallée du rhône et qui en plus elle sera un itinéraire en partie gratuit.
Aussi je pense que le projet "est" dans son ensemble est le plus adapté ;
sinon que penser de ce trafic nouveau sur la rocade actuelle .
Un autre argument en faveur du projet est est bien entendu le futur aéroport de toulouse sur le site de saint sulpice / rabastens , le tout déservi également par une voie ferrée.
Du côté ouest de toulouse il me semble que la forêt de Bouconne est un obstacle majeur à la construction d'une rocade.
De ce même côté 'ouest" il y a déjà une nouvelle rocade avec la rocade "Arc n ciel" qu'il serait bon de terminer dans sa partie sud ; là ou pourrait aboutir d'ailleurs la rocade venant de l'Est .
Merci de me lire .

Avis n°214 de : Harms Jens - 31470 FONTENILLES
Pourquoi il n'y a pas de projet de faire un nouveau système de traffic public comme tram, tram et bus autour de Toulouse?

Avis n°217 de : Calmel Philippe - 31600 MURET
Le contournement autoroutier de Toulouse doit être gratuit pour les travailleurs particuliers de l'agglomération toulousaine en détriment des professionnels et du transit routier.

Avis n°218 de : Morel Pascal - 31650 ST ORENS DE GAMEVILLE
Pourquoi ne pas développer en priorité le feroutage, alos que l'on parle et observe de plus en plus les conséquences désastreuses sur un plan environnemental des déplacements autoroutiers ?

Avis n°219 de : Missonnier Huguette - 31140 ST ALBAN
Projet de jonction Nord : où est-elle prévue?

Avis n°220 de : Hargous Nadine - 31200 TOULOUSE
Est-il envisagé que des transports en commun (train, bus...) se raccordent avec le grand contournement ? Par ex. sur "Est" ou "Est-Sud" : des points de jonction voiture/train ou bus avec axe Albi, axe Castres, axe Carcassonne ? Merci d'avance de votre réponse.

Avis n°221 de : Heuze Pascal
Bonjour,

Voici, modestement mon avis:

1ère idée forte: Mieux vaut prévoir une infrastructure, l'étudier, réserver les emprises ...et ne pas la réaliser si des éléments nouveaux apparaissaient ultérieurement rendant caduc le projet que ne pas la prévoir et s'apercevoir dans 10 ou 15 ans qu'il aurait vraiment fallu la réserver et qu'il faudra la faire en urgence et en la payant alors au prix fort sur les plans financiers, humains et environnementaux.

2ième idée forte: Si une seule section devait être faite ce serait la section Sud pour les raisons suivantes.

- La liaison A64 A61via Toulouse constitue un allongement de parcours très important qui pourrait être évité par cette section autoroutière.

Il est rare d'avoir des projets qui raccourcissent les distances en même temps que les durées de parcours.

- La section du périphérique Sud est la plus contrainte et ne pourra jamais être élargie

- Elle est également la plus saturée aujourd'hui et à l'horizon 2020.

- En conséquence la solution Est seule doit être fermement écartée.

3ième idée: Si l'on veut privilégier l'objectif de soulagement du périphérique, la section Ouest étant la plus saturée et la moins aménageable , alors il faut retenir la solution Ouest plus Sud



Pascal Heuzé, Huos

Avis n°222 de : BENKADA Richard - 31100 TOULOUSE
Je suis pour le grand contournement de Toulouse. Etant plus éloigné de Toulouse, le péage semble raisonnable. Mais les péages proches de Toulouse sont un scandale : à Paris, Bordeaux, ... ils sont loins et si on appliquait cela ici, des axes routiers seraient désengorgés. Les ASF sont riches ! Ayons le courage de le faire pour les nerfs, l'écologie et le bien-être. Mais je pense que le grand contournement ne suffira pas à désengorger suffisamment le trafic routier notamment sur le périphérique et l'A64. Ne faudrait-il pas accompagner ce chantier, de travaux d'amélioration des accès routiers à Toulouse et proche Toulouse ? Exemples pour désengorger : sur A64 élargissement à 2x2 voies du pont au niveau de l'échangeur de Portet - sur A64 recul du péage de Muret - sur A64 échangeur n°1 création de bretelles d'accès direct à la route d'Espagne venant de Toulouse ou à Saint-Simon venant de Muret - au niveau des sorties du périph' et des autoroutes adjacentes quand c'est possible créer des bretelles ou échangeurs pour désengorger certains ronds-points saturés ! - recul du péage de A68 - A62 - A61 - mise à 2x3 voies du périph' partout pour éviter les effets "entonnoirs". Merci de votre attention et de vos réponses. Très cordialement.

Avis n°223 de : Moteki Pascale - 31000 TOULOUSE
Le contournement routier ou autoroutier de Toulouse ne fera qu'etouffer cette ville déjà saturée !!! LA SOLUTION est la délocalisation et la création d'entreprises dans les villes des départements voisins: nouveaux pôles de vie, nouvelles activités économiques, Toulouse ne serait plus en ligne de mire, les habitants, les automobilistes et les arbres commenceraient peut -être à pouvoir mieux respirer...Une solution à moindre frais pour les contribuables et l'environnement. Merci d'envisager aussi cette hypothèse et de la mentionner dans le débat.

Avis n°224 de : Boissay Armand - 9100 Bonnac
Comment peut-on vouloir préserver l'environnement pour l'avenir de mes enfants et favoriser une augmentation du trafic, principal responsable de l'effet de serre désastreux?

Avis n°225 de : Lagarde Francis - 81310 Peyrole
Tout développement semble passer par plus de route (autoroutes), d'aéroports, de grandes villes (donc invivables). tout ce qui va à l'encontre de la qualité de vie et de la préservation de la planète...
Pourquoi n'étudie-t-on pas toutes les façons de faire vivre sur place les populations, sans déserts et sans ours!

Avis n°226 de : Trillaud Isabelle - 31850 Montrabé
Comment sont pris en compte les questions environnementales et d'impact entre les différents choix?

Avis n°227 de : De Coignac Henri - 81700 ST GERMAIN DES PRES
Si la rencontre de Puylaurens du 16/10/07 devait servir de prétexte à la DRE pour officialiser son projet d'autoroute à péage Castres/Verfeil ne serions-nous pas en face d'une supercherie? Ceci pour 2 raisons essentielles:
Après une présentation "officieuse" de ce projet aux élus ( en pleine période de réserve de l'administration avril/mai ), le Préfet de région avait décidé de sursoir à la concertation publique ( prévue en juillet/aout ) au prétexte de l'ouverture proche du débat public sur le GCAT et afin de pas interférer dans ce débat. La possibilité d'ouvrir la concertation pendant cette période n'était pas exclue mais elle s'inscrivait ouvertement contre l'esprit de la décision.
La CPDP, d'autre part, a clairement pour objet d'évaluer la pertinence du GCAT et d'éclairer le choix de son implantation, elle n'a pas pour mission de valider le projet d'autoroute Castres/Verfeil, ni moins encore de l'intégrer dans le GCAT. Agir differemment mettrait en cause sa neutralité et par voie de conséquence sa crédiblité. Les dés seraient pipés.

Avis n°228 de : LETOURMY Guillaume - 31130 QUINT FONSEGRIVES
Avis:
Il serait judicieux de retenir le tracé EST + SUD:
En effet l'ensemble des autoroutes actuelles, rejoignant TOULOUSE, serait ainsi raccordé à ce nouveau contournement autoroutier. Ce projet doit être plus cher, mais il gagnerait en efficacité pour délester TOULOUSE des véhicules en transit.

Avis n°229 de : Inglesakis Florence - 31000 TOULOUSE
Une information à vous livrer :
en examinant la carte Michelin Europa 2002, je constate que disposent d'un contournement les agglomérations européennes suivantes :
- Londres
- Dublin
- Birmingham
- Bruxelles
- Breme
- Cologne
- Francfort
- Berlin
- Lyon
- Munich
- Milan
- Rome
- Saragosse
- Madrid
- Barcelone
Cordialement
FI.

Avis n°230 de : Dupuy Jean - 31770 Colomiers
En développant le transport par ferroutage ou par voie fluviale, cela diminuerait le nombre de camions sur les routes et la rocade serait fluide.

Avis n°231 de : Collado Denis - 31290 Villefranche de Lauragais
Pourquoi la gauche régionale et départementale est contre?
Cela permettrait de créer un lien entre plusieurs départements de se mettre au niveau d'autres villes européennes, Ex: (Barcelone) Catalunya. Il faut avancer et non toujours critiquer et reculer.

Avis n°232 de : Aznar Guychem - 31500 Toulouse
Je suis contre la méthode (péage) proposée: soit le contournement est inutile et o ne le fait pas (il amènera une hausse de la circulation à mon avis), soit il est utile et donc financé publiquement.

Avis n°233 de : Trantoul Alain - 31200 TOULOUSE
Non au contournement routier ,
Oui aux tramways vers toutes les communes de la deuxième couronne.

Avis n°235 de :  Nicole
Bonjour,

J'ai reçu dernièrement la revue d'information pour le débat du GRAND CONTOURNEMENT AUTOROUTIER DE TOULOUSE.
Je souhaitais donner mon avis sur ce projet.

En effet, on constate tous les ans que la population de MIDI PYRENEES et encore plus dans la proche agglomération de Toulouse, augmente à une allure importante.

Ceci est dû comme pour moi (j'ai déménagé en banlieue toulousaine il y a un peu plus de 4 ans), à une démarche de travail plus facile aux abords des grandes villes.

Au lieu de chercher à construire une fois de plus, des routes, ne pourrait-on essayer de penser différemment et analyser pourquoi notre réseau routier est si encombré tous les jours de la semaine.

On le voit bien quand on va travailler, tous les automobilistes sont dans le même sens le matin et idem le soir.
Ceci est généré par le fait que beaucoup d' entreprises sont centrés vers la grande ville.

Ne pourrait-on envisager de délocaliser des entreprises vers la banlieue pour créer un équilibre de déplacement dans les deux sens au moment des heures de pointes ? Il doit bien y avoir des moyens de convaincre les entreprises de bouger vers l'extérieur des grandes agglomérations. Ou sinon revoir l'organisation des grandes entreprises pour décaler les horaires de pointes. Les usagers partent de plus en plus tôt par crainte justement de se retrouver dans les bouchons et il devient donc de plus en plus difficile de trouver un créneau horaire convenable.

De plus, si on veut développer les transports en commun, il faut repenser certaines voiries. Et pour cause, je l'ai expérimenté. En me déplaçant en train depuis ma petite commune (pour le train, c'est bien car il y a une très bonne fréquence), lorsque j'ai voulu me rendre à mon travail, pour finir mon déplacement à pied, je n'avais aucun espace prévu en tant que piéton donc danger de se faire écraser au bord de la route que ce soit pour aller de mon domicile au train mais aussi de la gare à proximité de mon travail. Les accès ne sont pas étudiés pour ça. Chaque commune devrait repenser également à des aménagements pour motiver les personnes à utiliser les transports en commun.

Je pense que tout n'a pas été analysé pour convaincre les contribuables de se déplacer en transport en commun.

EN CONCLUSION, AVANT DE REALISER ENCORE DES ROUTES, IL SERAIT BIEN D'ANALYSER TOUTES LES POSSIBILITES D'AMELIORER LES DEPLACEMENTS AUTRE QUE CEUX EN VOITURE CAR LE COVOITURAGE N'EST PAS FORCEMENT ENVISAGEABLE POUR BEAUCOUP DE GENS.

Espérant que mon courrier sera pris en considération et qu'un débat permettra d'aboutir sur une solution intelligente.

Sincères salutations.

Un usager de la route


Avis n°236 de : Denat 
Ayant assisté à un de vos débats: Puylaurens, j'attire votre attention sur le fait que le problème routier autour de Blagnac et Portet sur Garonne n'a pas été évoqué.

Donc avant de se lancer dans un projet coûteux, plusieurs alternatives :
- développer et adapter les transports en commun bus car et chemin de fer avec les tramways
- eventuellement développer comme à Belfort la mise en place de sites internet pour les horaires de bus ,
- idem les services horaires sur les mobiles

et en matière de transports en commun, mettre en place des transports en commun sur la proche péripherie de toulouse 5km .

Rappel : le feroutage reste d'actualité.

Merci.

Avis n°237 de : Ousset André - 31330 Merville
Je choisirai "Est seul" mais toutefois, il ne faut pas oublier de desservir l'A64 et l'A66. Et que la meilleure solution évolue au service de tous.

Merci.

Avis n°238 de : Fontanilles René - 31200 Toulouse
Le schéma "Est+Sud" me paraît assez équilibré. Réservé accès Scnf-autoroute-route nationale si le projet d'environnement et paysage est amélioré et respecté.

Avis n°239 de : Vié Rosette - 81370 Saint-Sulpice sur Tarn
A contourner Toulouse, il serait souhaitable me semble-t-il d'envisager plusieurs axes désenclavant les départements limitrophes, tout en desservant les localités et en respectant la nature. Cela concerne tout le monde.
En sachant que les péages et impôts sont impopulaires.

Avis n°240 de : Andréa Michel - 31190 AURAGNE
GRAND CONTOURNEMENT AUTOROUTIER DE TOULOUSE

Il n'y a pas photo:

Quand on regarde la vue satellite de nuit de la région toulousaine non "Il n'y a pas photo".
La desserte par l'Est et le Sud devient la plus avantageuse au niveau des services rendus à l'agglomération et aux grandes villes proches.

Villes couvertes:

Montauban, Albi, Castres, Mazamet, Castelnaudary, Carcassonne, Pamiers, Foix, St Girons et St Gaudens.

Le transit:

On relie les autoroutes de Bordeaux-Paris: Albi, Castres, Narbonn, Foix, Bayonne.

La grande banlieue de Toulouse:

Fronton, Montastruc, St Sulpice, Lavaur, Revel, Villefranche, Nailloux, Auterive, St Sulpice sur Lèze...
De l'autre côté "Ouest", il reste Auch. Plus tard, Auch va avoir "son " autoroute, et on terminera dans quelques années la grande boucle de l'agglomération toulousaine (contournement à environ 25 km de moyenne soit 157 km)

En outre, :

Je crois qu'il faut pousser à fond à l'échelon mondial les recherches et les études pour réaliser des voitures ou des véhicules propres car je pense que la liberté qu'apporte un véhicule personnel est indissociable de l'avenir.
Malgré cela, il faut aussi favoriser les transports en commun dans les très fortes concentrations humaines.
Ainsi quand nous aurons tout cela les routes seront prêtes et Toulouse pourra encore grandir en nombre et en commodités.

Mon humble avis,

Michel Andréa

Avis n°241 de : Podensky Cédric - 31140 AUCAMVILLE
J'habite à Aucamville et le matin il me faut presque un tout pour aller à mon travail qui se trouve à Bagatelle et le soir idem. La route de Paris est vraiment un réel problème!!!
Avez-vous débattu sur ce problème?

Avis n°242 de : RHEINBOLD Daniel - 31570 TARABEL
Quel est en pourcentage le nombre de véhicules en transit par rapport au trafic total, en dehors des personnes allant du lieu de travail vers le domicile et inversement, aux heures de pointe (07h-09h et 17h-19h) ?
Le pourcentage est inférieur aux 14% annoncés. Le contournement de Toulouse dans ce but n'a aucun sens.
Par contre, un projet de liaison transversale entre des villes comme Castelnaudary, Revel, Castres, Albi, Montauban aurait de l'intérêt.
D'autre part un projet national d'organisation du territoire permettant de favoriser le rapprochement du domicile du lieu de travail serait un projet constructif et d'avenir
Il faut arrêter de centraliser les activités, les administrations etc.., surtout à l'heure d'Internet.

Avis n°243 de : Borg Michèle - 81100 CASTRES
La liaison autoroutière entre Toulouse et Castres est la seule solution de désenclavement possible pour notre bassin d'emploi. Il nous faut donc finir cette liaison autoroutière. Son raccordement au grand contournement n'en sera que plus constructif.

Avis n°244 de : Lyet Jerôme - 31310 RIEUX VOLVESTRE
Le déterminant: améliorer la circulation n'est surtout pas celui à considérer comme prioritaire. L'élement prioritaire c'est d'organiser la circulation de cette ville satellite à ville satellite c'est-à-dire un réaménagement total de l'aménagement du territoire.

Avis n°245 de : Martin Sabine
Les déplacements quotidiens à vélo sont rendus impossibles ou trop dangereux.
En effet, le vélo en France n'est pas pris en compte, que pour la détente et le sport et non comme déplacement quotidien, tout pour les collégiens et les scolaires que pour le domicile-travail.
Le vélo est un mode individuel de déplacement qui serait apprécié si les itinéraires sécurisés existaient. En fait, le problème c'est qu'il manque un chef d'orchestre qui étudie l'aménagement du territoire en hiérarchisant la voirie existante pour offrir ou RENDRE aux cyclistes la voirie totalement dédiée actuellement à la voiture.

Merci.

Avis n°246 de : Foin Louis - 82000 MONTAUBAN
Toulouse regroupe toutes les industries régionales, ce qui suppose un déplacement journalier en voitures vers cette ville de personnes. Le Tarn-et-Garonne ne possède plus aucune industrie. C'est l'emploi qui provoque le déplacement des gens.
Il faudrait revoir l'emploi dans ce département.

Avis n°247 de : Montel Johan - 81470 MAURENS-SCOPONT
Ironie des calendriers, ce débat intervient en même temps que le Grenelle de l'environnement qui est l'expression d'une prise de conscience collective sur les urgences environnementales: réchauffement climatique, diminution de la biodiversité.
Si on fait un grand contournement autoroutier en 2007 à Toulouse, on retiendra que c'est sous un ministère commun écologie-transports et pendant qu'à Paris, on affiche ses bonnes intentions environnementales, on a fait quoi? Des autoroutes!

Avis n°248 de : Bergoeng Claudette LESCURE D'ALBIGEOIS
TRAVAIL= voiture pour se déplacer.
Une meilleure organisation dans les grandes entreprises toulousaines et l'Académie vers les départements limitrophes de Toulouse.
Mon gendre habite Toulouse. Il est professeur intérimaire. Jusqu' à présent, il a été nommé dans les lycées à côté de Salies (HG), Pamiers/Foix (Ariège).
Cette année, il est nommé à Carmaux pour l'année.
Il a 2 heures de déplacement en voiture régulièrement à cause des heures de cours.

Avis n°249 de : Labouret Olivier - 32000 AUCH
Des experts indépendants annoncent le pic du pétrole dans les toutes prochaines années. L'accroissement de la circulation automobile à l'horizon 2020 est donc impossible; une délocalisation de l'économie apparaît inéluctable.
Il faut donc une politique ambitieuse de développement des énergies renouvelables et l'arrêt de toute nouvelle construction autoroutière, bref une alternative au "tout voiture".

Avis n°250 de : Courtleu Jean - 09000 PAMIERS
Pamiers, le 17 octobre 2007.

Monsieur,

Merci pour l'envoi du dossier autoroutier de Toulouse.

On ne peut pas attendre 2020 pour mettre en service l'autoroute de Saverdun à Carbonne, 40 kilomètres les moins chères qui diminueraient le trafic dans Toulouse mais aussi la volonté de réaliser l'aéroport de la Basse Ariège avec la possibilité ensuite de relier l'Isle-Jourdain et Montauban avec un liaison à Blagnac.

Dans l'attente de voir se réaliser ce projet rapidement, recevez, Monsieur, mes salutations distinguées.

Avis n°251 de : Leménager Colette - 09000 FOIX
Je suis pour le contournement autoroutier de Toulouse par l'Ouest.
Il devrait passer le plus près possible de l'aéroport de Blagnac et de Muret puis rejoindre l'A61 à son carrefour avec l'A66.
Il y aurait ainsi un nouvel accès à l'aéroport depuis le Nord, l'Ouest pour toutes les agglomérations en pleine expansion, le Sud-Ouest (Piémont Pyrénéen), le Sud et l'Est. Accès à la RN20!
Il désengorgerait la banlieue Ouest de Toulouse, très peuplée.

Avis n°252 de : Aleu-Germain Céline - 09100 PAMIERS
Je pense que le contournement "Est seul" serait suffisant car c'est de ce côté qu'il y a le plus d'encombrement.
Le problème est que pour utiliser l'autoroute,ça coûte cher...

Avis n°253 de : Gestas Guy - 81000 ALBI
Le tracé Est prolongé par celui du Sud nous paraît le meilleur. Cette solution devrait comprendre au Sud une partie de l'A65.
Le tracé devrait se situer entre 10 et 20 kilomètres de la rocade de Toulouse. Ce contournement devrait assurer la coordination (A680?) avec la voie reliant Castres et Mazamet à Toulouse.
Le tracé pourrait éviter un raccordement futur avec l'A68.

Avis n°254 de : Pagliano René - 09100 PAMIERS
Très favorable au projet Grand Contournement autoroutier de Toulouse, je suis persuadé que l'hypothèse "Est + Sud" serait la plus judicieuse dans la mesure où elle relèverait d'une stratégie politique intégrant le projet du nouvel aéroport sur les communes de Mazères et Saverdun. Ceci serait un atout majeur pour la liaison avec Toulouse.

Avis n°255 de : M Florou - 31460 LE FAGET
Meme si je doute fort l'obtention d'une réponse intelligente, je tiens tout de même à vous demander si par hasard vous avez pensé aux pauvres gens qui vont se retrouver expropriés ? l'attachement sentimental qu'ils peuvent avoir vis à vis d'une maison familiale, d'un lieu... tout cela écrasé par un projet ayant pour seul but : Faire de l'argent, soit disant des emplois etc. mettez vous un peu (ou du moins essayez si vous avez un minimum de sensibilité) à la place de ces gens qui se demandent si ils vont pouvoir continuer à vivre paisiblement dans leur demeure ou si celle-ci va finir rasée, sous du bitume. ET SI IL S'AGISSAIT DE VOS GRANDS PARENTS ? OU DE VOTRE PROPRE MAISON, SERIEZ VOUS TOUJOURS AUSSI ENTHOUSIASTE ?

Avis n°256 de : Gady Jean-Paul
Absolument contre le contournement routier, investissons plutôt dans les transports collectifs (metro,tramway) et arrêtons de défigurer notre ville et notre campagne.

Projet antiécologique diametralement opposé à ce qu'il faudrait faire pour sauver notre planète.

Avis n°257 de : Astruc Marie-José - 31380 MONTPITOL
Je connais une aide familiale qui habite Roquesérière et qui dit travailler le matin dans une famille au-delà de Verfeil et l'après-midi dans 2 familles différentes: comment peut-elle faire du co-voiturage?

Je travaille comme infirmière du CHU Rangueil: horaires de travail 6h10-14h10 (matinée) et 14h45-21h15 (l'après-midi), comment faire du co-voiturage?

Avis n°259 de : Bayle Christian - 31380 Paulhac
Avis :

1) Nous pensons que les solutions envisagées par les grands commis de l'Etat pour résoudre des problèmes sont trop souvent "classiques" et qu'il y a un manque pour rechercher des solutions originales, voire révolutionnaires. Ainsi dans 20 ans y aura-t-il encore besoin de se déplacer en voiture avec les progrès technologiques que l'on ne peut aujourd'hui envisager (en étant très imaginatif pourquoi ne pas envisager des téléportation, il y a 150 ans personne ne pouvait penser que l'on traverserait les océans dans des machines volantes).



2) Y aura-t-il vraiment plus de saturation du périphérique. Je pense qu'il faut prendre en compte qu'il y aura une régulation naturelle. Ainsi lorsqu'ils estimeront que les conditions de déplacements deviennent insupportables, les personnes choisiront d'autres modes de transport et ils envisageront de plus en plus le covoiturage ou les modes doux.



3) Du point de vue tout à fait rationnel le transport en commun est le moins consommateur énergie et le moins générateur de bouchons. Il faut le développer et surtout il faut qu'il soit fiable et avec des bonnes fréquences pour conduire les gens à l'utiliser. Il suffit de voir le succès des métro.



4) Sera-il nécessaire dans 20 ans de toujours regrouper les travailleurs au même endroit et en même temps. Ce style de management des sociétés date du 20 ème siècle. Au 21 ème siècle, il y aura de plus en plus de télé travail de vidéo conférence et d'adaptation des horaires des personnels pour éviter que tout le monde se retrouve sur les routes en même temps. Il faut optimiser l'utilisation des routes des moyens de transport afin de diminuer le temps et énergie perdus dans les bouchons.



5) Le coût du projet de grand contournement est important et mérite que l'on envisage tout ce qui est possible. Que devient le ferroutage dont eurocentre devait être une plaque tournante. N'est-il pas possible d'utiliser les voies ferrées existantes pour drainer les populations de la banlieue Toulousaine de façon efficace en augmentant la fréquence des trains. Ainsi pourquoi ne pas envisager d'utiliser la ligne SNCF Muret, Roques, Toulouse avec des parking relais à Muret ou à Roques sur Garonne et des fréquences de passage toutes les 5 minutes, cela décongestionnerait l'A64 toujours bloquée à entrée du périphérique aux heures de pointes. Idem pour la ligne de l'Est en provenance de Montastruc et sans doute pareil pour d'autres radiales.



6) L'analyse de la situation présentée dans le dossier s'appuie sur des hypothèses classiques que tout va se poursuivre de la même façon ... On peut également envisager que le prix du pétrole parte en exponentiel et que les solutions alternatives ne seront pas efficaces sous 20 ans ce qui nécessitera de revoir à la baisse les déplacements en voiture individuelle.



7) Les bilans multicritères sont toujours fallacieux car il suffit de choisir certains critères et non d'autres pour obtenir le résultat souhaité.



En raison de tous les points évoqués ci-dessus et qui ne semblent pas avoir été étudiés dans le dossier présenté, nous émettons un avis défavorable à la réalisation d'un grand contournement dont l'opportunité nous parait ni justifiée ni motivée.



Sincères salutations.

Avis n°261 de : Labaye Bernard - 81100 CASTRES
C'est plutôt une observation qu'une question
Je trouve dans des questions qu'elles parlent du ferroutage. Moi il y a 30ans je me suis battu pour que la SNCF ne ferraille pas les wagons poches et gangouroux ( ferroutage) et je suis même monté au ministère A cette époque l'on ma pris pour un fou Le public ne sais pas que la SNCF et le premier transporteur routier et qu'une grande parti de ces entreprises font parti du groupe SNCF Les actionnaires privilégies les camoins pour une raison de rentabilités de leurs actions Ne pas oublier que la SNCF vient de supprimer plus de 80% du transport marchandise par le fer et même si il faut se battre pour remettre en route ce mode de transport ce n'est pas encore pour demain
CONCLUSION oui il faut se battre pour le ferroutage mais aussi pour le contourment de Toulouse et la liaison Castres Toulouse

Avis n°262 de : Ward Ian VILLENEUVE LES LAVAUR
avis: objectif 2 : décongestionner la rocade

Je reprends ma question sur l’objectif 2 du dossier du débat public où je questionne l’absence d’analyse à partir des données des pages 34/76 concernant les embouteillages et les vitesses du trafic sur la rocade.

Laissant de côté l’option « est » (voir ma question « à quoi sert l’option est ? » sous la rubrique Questions :Familles de scénarios), j’ai moi-même tenté de simplifier les données de page 76 en termes de changements, exprimés en pourcentages. C’est pour faciliter la comparaison de la performance des options par rapport à l’option « sans contournement » en termes d’amélioration de la vitesse moyenne et donc, pour l’objectif 2, la décongestion de la rocade.

Les chiffres ci-dessous sont des différences de changement de vitesse moyenne (comme %), avec contournement, par rapport au changement de vitesse moyenne (comme %), sans contournement. Globalement....

* l’option « est-sud » a un effet sur les vitesses moyennes de plus de 10 points (parfois bien plus) pour les sections est (actuellement les plus fluides). Cette option n’a quasiment aucun effet sur les sections ouest, seulement la section sud ‘partagée’ avec l’option « ouest-sud », A64-A61 (pour vu qu’il soit à 10km de la périphérique – histoire de trafic local plutôt que de transit ?).

* l’option « ouest-sud » a un effet modeste (moins de 10 points) pour les sections est. Sur les sections ouest les résultats sont à peine plus de 10 points sauf à 10km pour la section A62-A624 et, comme pour l’option « est-sud », sur la section sud A64-A61, de préférence à 10km (l’effet est moindre que pour l’option « est-sud »).

Mais rappelons-nous que les bouchons sont principalement à l’ouest et au sud (et aux intersections avec les sections est – voir page 34).
Alors, sur ces sections très chargées, selon un critère de « succès » de ‘plus de 10 points’ :
* l’option « ouest-sud » ne satisfait l’objectif 2 que pour la section sud partagée (A64-A61) à 10 km et la section ouest A62-A624 (à 10km, dans un seul sens) et la section ouest A624-A64 (à 10km, dans un seul sens)
* l’option « est-sud » ne satisfait l’objectif 2 que pour la section sud partagée (A64-A61) à 10 km.

Nota : l’option « est » est écartée puisqu’elle n’a aucun effet sur la section sud A64-A61 et n’apporte donc aucun avantage par rapport à l’option « est-sud ».

Avis n°263 de : Ward Ian VILLENEUVE LES LAVAUR
avis: objectif 2 - décongestionner la rocade – conclusion sur les options proposées :

Je reprends mon analyse sur l’objectif 2, « contribuer à décongestionner la rocade ».

Bien sûr, une analyse basée sur des chiffres moyens de vitesse n’apporte pas de précisions sur les particularités du problème (intersections, horaires etc.) mais une absence de résultat quasi total pour l’objectif 2, selon les prévisions du dossier, devrait nous dire quelque chose. Et il semble que, à 10km, l’effet optimal, mais très modeste, porte sur le trafic local plutôt que le trafic de transit.

Malgré mon intérêt pour les enjeux écologiques d’un tel projet j’étais prêt à accepter le besoin d’un contournement. Mais, après avoir lu le dossier du débat public, et après en avoir fait ma propre analyse, je trouve que le projet n’est pas défendable en termes de l’objectif 2, décongestionner la rocade. Effectivement sa « contribution » est TRES modeste.

J’ai vu dans vos réponses à des questions que le GCAT n’est qu’une partie d’un « bouquet de solutions ». Il me semble que, franchement, cela veut dire que le GCAT ne se justifie pas et qu’il faut chercher les vraies solutions ailleurs. Le fait que le dossier ne tente aucune analyse des chiffres moyens de vitesse confirme cette faiblesse.

Avis n°264 de : Puech Laurent - 38000 GRENOBLE
Au vu des préoccupations motivant le projet de contournement, à savoir le désengorgement du périphérique d'une part et le désenclavement de la couronne de Toulouse d'autre part, est-il pertinent de limiter le débat au seul contournement autoroutier parmi les solutions envisageables ? Ne serait-il pas plus judicieux de considérer l'ensemble des trafics de l'actuel périphérique, plutôt que de se limiter au seul trafic de transit ?
L'étude fournie semble conclure à la faible incidence du contournement autoroutier sur le trafic de l'agglomération toulousaine. Les solutions d'évitement de l'agglomération tel le contournement autoroutier ne répondent que très partiellement au problème d'encombrement du périphérique par un trafic de type domicile-travail. Il apparait donc à mon sens la nécessité d'envisager d'autres solutions.
Au moment où notre aire urbaine et sa périphérie connaissent d'importantes évolutions, principalement démographiques, il me parait opportun de débattre de l'organisation des transports dans la région, ainsi que de traiter les questions d'urbanisme. D'un grand débat de ce type, s'il est alimenté par un panel d'études envisageant différentes solutions, pourraient émerger une politique commune d'aménagement du territoire que les différents protagonistes, de la région aux communes, mettraient en œuvre sur leurs territoires et dans leurs domaines de compétences.
On ne résoudra pas les problèmes de circulation routière de Toulouse si on ne répond pas à la polarité de la région d'une part et à l'étalement urbain d'autre part. Les solutions seraient plutôt le renforcement des villes de la couronne (leur attractivité limiterait les déplacements vers la capitale régionale) et rendre plus attractif d'autres modes de transport que l'automobile (ou le camion).

Avis n°265 de : Ward Ian VILLENEUVE LES LAVAUR
avis: objectif 3 : participer à l’aménagement du territoire

Pour comprendre l’objectif 3 j’ai lu les pages 92-98 du dossier du débat public et j’ai bien compris qu’il y a une forte préférence en faveur d’un contournement éloigné de Toulouse ainsi que pour les familles « est ».

Il semble qu’un des effets possibles soit de favoriser des échanges entre des ‘pôles d’équilibre’ / petites villes. Mais est-ce que l’on a besoin d’une autoroute pour voyager entre, disons, Lavaur (pôle d’équilibre) et Caraman ? C’est beau sur la carte mais en réalité ?

Il semble qu’un autre des effets possibles soit de favoriser des échanges entre les villes moyennes. Mais si un lien plus ou moins direct semble convenir pour les petites villes alors pourquoi pas pour les villes moyennes, ce qui serait plus justifié ? Pourquoi ne pas développer les liens directs existants entre les villes moyennes comme Albi et Castres si l’aménagement du territoire est bien l’objectif ? Par ailleurs, ne pas se focaliser sur Toulouse pourrait aider à modérer l’étalement urbain de cette ville, cité dans le dossier comme condition pour la réalisation du GCAT.

Ou est la logique, pour développer la région, de s’orienter sur des aménagements orientés sur Toulouse ? Un contournement éloigné de Toulouse comme suggéré dans ces pages 92-98 ne satisfait pas cet objectif de l’aménagement du territoire ni l’objectif 2, de décongestionner la rocade (pour le dernier, à un très modeste niveau, principalement au sud, il faut un contournement à 10km). Par ailleurs, post-Grenelle, il va à l’encontre des grandes lignes de ce forum, approuvé par le Président, en termes de transport et de l’urbanisme.

Avis n°266 de : KLOCLKENBRING Nathalie - 31500 TOULOUSE
Après études de tous les documents d'information que vous m'avez procurés, je vous signale que je suis DEFINITIVEMENT CONTRE LE PROJET DE CONTOURNEMENT AUTOROUTIER DE TOULOUSE!!!

Voilà mes raisons:
1- Il promet un sacage de l'environnement, dans des zones protégées.
2- Le traffic routier de transit ne sera en rien diminué,si l'on ne privilégie pas plutôt le ferroutage.
3- Il garde à la voiture toute sa place ,et va même l'augmenter, alors que se sont les transports en commun qu'il conviendrait de développer, pour faire face à l'augmentation de la population des environs de Toulouse, et pour prévenir la crise petrolière déjà en cours , et la diminution des stocks mondiaux de pétrole: il faut dors et déjà apprendre à vivre différemment, à laisser la voiture ,s'organiser pour du co-voiturage, ou lutter pour un meilleur maillage territorial des transports en commun.
4- Ce projet représente un VERITABLE GOUFFRE FINANCIER plébiscité par la mairie de Toulouse à bon frais ....puisque en fait l'addition reviendra au conseil général.

Donc JE SUIS CONTRE CE PROJET POUR TOUTES CES RAISONS.

Merci de tenir compte de cet avis

Avis n°267 de : BERGEZ ISABELLE - 31530 BRETX
Pourquoi un tel projet d'une telle ampleur qui aurait plus de conséquences néfastes sur l'environnement que des bénéfices ?
Le Conseil Général l'explique bien que ce contournement ne réduirait que de 10 % le trafic sur la rocade toulousaine (ces 10 % représentent le trafic de transit que l'on veut faire passer par le contournement).
Le Conseil Général a encore une fois raison, de maintenir qu'il faut développer le transport en commun (métro, RER, bus, tramway, vélo) pour les habitants de la périphérie toulousaine qui empruntent la rocade pour aller travailler 5 kms plus loin à peine !
Ainsi , faudrait-il penser à développer ces moyens de transports plutôt que continuer à préférer le tout voiture. Surtout, que dans quelques années, la voiture ne pourra plus rouler sans pétrole, et les biocarburants ne seront peut-être pas une solution efficace.
Un grand contournement routier aurait aussi fatalement pour conséquence d'élargir les zones urbaines, d'amener du monde là où l'on ne le souhaitait pas.
Et il ne faut pas croire que ce contournement aura peu d'impact sur l'environnement. Ce serait encore une fois une large route, autoroute même qui couperait les champs agricoles, exproprieraient des gens, qui couperait à travers bois, perturberait le déplacement des animaux (malgré les mesures prévues), la biodiversité serait mise à mal (déjà qu'elle l'est), la pollution sonore, visuelle, dans l'air (même si vous dites que tout serait mis en oeuvre pour limiter, il ne faut pas rêver ! ça n'existe pas la non-pollution). Il y a assez d'autoroutes en France, notre territoire est suffisamment découpé comme cela.
J'ai de la famille et des amis qui habitent un petit village près d'Orthez, et qui vont vivre désormais un enfer car un contournement routier (venant de l'Espagne et allant vers le Nord) va passer tout près de leur maison.

Aussi, faudrait-il aider les autres départements de Midi-Pyrénées à se développer au lieu d'attirer tout le monde à Toulouse.
Pense-t-on aux villes sinistrées comme Tarbes ?
Toulouse s'engorge de monde venant des 4 coins de la France. Il faudrait vraiment penser à freiner cette frénésie d'emploi sur la ville rose et trouver des solutions d'emploi sur les autres départements, diversifier l'économie de ces villes que les habitants et les jeunes étudiants désertent malgré eux pour Toulouse. Ce n'est pas impossible !
Il ne faut pas les oublier.
Merci de votre attention et de votre compréhension.
En espérant que la bonne décision sera prise.
Salutations distinguées,

Avis n°268 de : Ripoll J Claude - 31400 TOULOUSE
La question semble donc devoir être abordée en terme de complémentarité des modes de transport et non de concurrence. Le Grand Contournement Autoroutier de Toulouse pourrait, le cas échéant, être l'un des éléments du panel de solutions à développer.

citation: Cependant, il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier précisément l'utilité et l'opportunité du projet. (réponse par DRE)
comment concilier les implications de cette réponse avec un débat strictement limité au GCAT?
il faut débattre du "bouquet"!
d'autre part il est dit dans l'introduction au débat, que le débat doit "éclairer" la décision, non de l'orienter vers le positif ou négatif
on ne comprend pas bien!

Avis n°270 de : Leroy Patricia - 31470 ST LYS
Prévoir un accès rapide à l'aéroport.
Etudier la possibilité d'une desserte transports en commun (métro ou tram).

Avis n°271 de : BLAIN Hélène - 31460 AURIAC sur VENDINELLE
Les différents dossiers et études que j’ai lus ne m’ont pas convaincue de la nécessité de ce projet autoroutier payant.
Arrêtons de considérer les transports routiers et le tout voiture comme une donnée obligatoire et incontournable. La hausse constante du prix des hydrocarbures (pétrole, gaz, charbon), ainsi que les limites déjà avérées des agro ou biocarburants vont nous contraindre à penser autrement en terme de circulation des biens et des personnes.

En tant que citoyenne, j’aimerais qu’il soit fait une véritable étude sur les transports alternatifs et multimodaux juste évoqués dans le dossier du grand contournement autoroutier de Toulouse, aussi documenté et argumenté que celui-ci, avec des propositions concrètes tel que le train tram, une autre ligne de métro, une ligne de bus ou tram circulaire, le fret ferroviaire et ferroutage, ou encore les transports fluviaux…, ainsi que l’étude de leurs coûts financiers et environnementaux.
Cela permettrait de nous faire un avis en toute connaissance de causes.
Après seulement il sera possible, si il n’y a vraiment pas d’autres solutions, de songer à la construction de réseaux autoroutiers payant qui je le rappelle, sont polluants en soit et induisent énormément de conséquences sociales et économiques pas toujours positives à long terme. Va-t-on prendre le risque d’une « facture environnementale » très lourde à payer par tous y compris par les générations futures ?

C’est le moment d’ « utiliser » le retard de l’agglomération Toulousaine en terme de transport pour le transformer en avantage et innover vers les transports de demain, en s’appuyant sur toutes les recherches et les résultats des expérimentations de nos pays voisins, et en y incluant tout ce qui concerne les énergies renouvelables.

En espérant qu’au-delà des enjeux politico financiers, ce débat PUBLIC et CITOYEN ne soit pas seulement qu’une sorte de catharsis ou défouloir d’opinions, et que les conclusions ainsi que les propositions des différents acteurs soient réellement prises en compte dans la décision finale.

Ecologiquement vôtre.

Avis n°272 de : Dodet Jean-Marc - 81100 CASTRES
26% du réchauffement par automobile, autobus, camion.
26% agriculture
Qu'on arrête de dire que l'automobile seule nourrit le réchauffement.
Améliorez le train mais...

Avis n°274 de : Delage Martine - 82000 Montauban
Non à un projet absurde, polluant, destructeur de terres agricoles, d'espace et de qualité de vie; construire à l'urgente nécessité de réduire les émissions de CO2 conformément au protocole de Kyoto. Ne tenant pas compte de l'augmentation inévitable du prix du pétrole conçau invraisemblablement par le lobby autoroutier pour son seul profit.

Avis n°275 de : Martinasso Armand - 31400 Toulouse
Si l'on doit choisir entre les 3 propositions c'est la proposition Est+Sud la plus urgente et utile.
Toutefois, si on veut voir plus loin une proposition comprenant Ouest+Sud+Est permettrait de désenclaver le Gers et Auch (très isolé).

Avis n°276 de : Reinhardt Bernard - 82370 St Nauphary
Il faut envisager de créer un noeud de communication au Sud de Montauban (LGV, aéroport, autoroute).

Avis n°277 de : Vancells Jacques - 31620 Labastide St Sernin
La construction d'une autoroute me parait pas nécessaire pour améliorer les transports autour de Toulouse. Tous les jours, les médias donnent des conseils pour la protection de la planète.
Que va devenir notre vallée du Girou? Notre région?

Avis n°278 de : Leguern Louis - 31400 Toulouse
Tenant compte du développement important de l'agglomération toulousaine au cours des 20 années écoulées. Des perspectives d'augmentation de population en banlieue et 2ème couronne. De la durée de réalisation de ce projet pour une mise en service en 2020.
Un Pour concrétisation de ce projet.

Avis n°281 de : Delaye François Balma
La réalisation du contournement routier ne va-t-il pas de fait provoquer une accélération de l'étalement urbain qui est contraire aux principes de développement durable pour des raisons évidentes de protection des espaces naturels et de limitation des pollutions atmosphériques. La présentation d'un rééquilibrage ou d'une restructuration du territoire régional en faveur des villes petites et moyennes est une belle façon de "maquiller" l'étalement urbain. L'avenir écologique est aux grandes agglomérations pourvues de réseaux denses de transports urbains, que cela nous plaise ou non!

Avis n°282 de : CARLIER Pierre - 31400 Toulouse
Le grand contournement routier est justifié par l'augmentation de trafic dans la région toulousaine, augmentation qui pourrait être limitée par le déroutage du trafic de transit. Vous estimez ce trafic de transit au maximum à 15% du trafic actuel. Mais le trafic de transit qui limite les déplacements des habitants de la région est celui qui a lieu lors des heures de pointes, soit 4 au maximum heures par jour. A ces heures, la proportion du trafic de transit est largement plus faible, d'une part parce que, par définition, les déplacements des travailleurs sont beaucoup plus importants et d'autre part, parce que ces voyageurs en transit évitent ces créneaux.
Le projet a donc pour objectif de construire une autoroute qui aura son utilité pour 25 000 véhicules jour ramenés aux quatre heures auxquelles ces véhicules évitent de circuler, soit au maximum quelques milliers de véhicules par jour (en semaine). Est-ce bien justifié ? Est-ce bien raisonnable ?
Pendant ce temps là, des zones d'activité importantes sont complètement oubliés par les transports publics, comme Labege Innopole, le Parc Technologique du Canal, Blagnac... alors qu'une réponse efficace aurait probablement un impact bien supérieur à un contournement routier.

Avis n°283 de : Picard Monique - 31200 Toulouse
Pourquoi ne pas trouver une solution non productrice de co2 aux problèmes de circulation???? l'heure n'est plus aux projets qui accentuent le réchauffement climatique . Lisez les livres jean marc jancovici , informez vous . je ne comprends pas que des décideurs en soient encore là . contournez par le train s'il le faut , délocalisez les activités près de lieux de résidence, incitez les gens à pratiquer le covoiturage , organisez un concours d'idées ,

Avis n°284 de : Marce Hervé Lherm
Avec l'augmentation du prix du pétrole, le coût de construction sera certainement plus important que ce qui est étudié, et en parallèle la diminution du trafic dut au même raison, diminuera la viabilité économique de ce projet. Si ce projet est nécessaire en 2020, le sera t-il encore en 2030 ou 2050. Peut être que les études économiques prouvent que la rentabilité est atteinte en 5 ou 10 ans, le sait -on?
Mais après cela ne sera plus rentable le concessionnaire privé se retirera, et l'état et les collectivités locales se retrouveront avec une infrastructure inutile qu'il faudra alors déconstruire ou subventionner.
Les décideurs de ce pays ne pourraient ils pas être visionnaire, et proposer autre chose.
Vos études prennent en compte le développement prévus des transports publics, et bien ne pourrait on pas transformer cette autoroute privée, en ferroutage privé, si je ne me trompe pas la futur ligne TGV Paris/Toulouse sera déjà en partie privatisé. Alors continuons dans ce sens si il faut à tout prix que l'état se désengage

Avis n°285 de : Cornic Yann - 09140 Ustou
Je n'ai pas trop compris comment donner mon avis sur le site internet. Je vous le donne donc par cet email:
Un projet de contournement parait nécessaire: étude du trafic actuel de l'avenir. Un effort pour le transport en commun a été fait et serait peut être améliorer par ce contournement.
Donc tout va bien ... et pourtant je pense qu'il s'agirait alors d'une lourde erreur à l'heure actuel. Le réchauffement climatique et tout les problemes environnementaux (biodiversité, eau, santé...) ne sont plus un sujet secondaire, c'est notre réalité, et il va bien falloir qu'à toutes les échelles de nos société ont s'acharne à y répondre correctement. Il y a donc obligation à apporter des réponses innovantes malgré l'utopie quelle peuvent représenter. Le conseil régional, départemental, l'agglo toulousaine ne peuvent se lancer sur un projet certes réalistes mais autant en contradiction avec ce qu'il faut arriver à mettre en place sur un si long terme et un engagement financiers si lourd. Il ne s'agit pas d'un idéal mais de fait que les scientifiques entérine chaques jours plus profondement et qui impose des solutions incommensurables. Le dynamisme de notre région pour l'environnement doit savoir franchir ce cap et assumer une complexité que l'on souhaiterai simplifier mais qui ne le peut pourtant pas.
Avec tout mon respect pour le travail de ce qui oeuvre à organiser notre collectif.
Yann Cornic

Avis n°286 de : RIPOLL Jean-Claude - 31400 TOULOUSE
ceci n'est pas une question mais un avis



Le GCAT

Ce projet est mis en débat sans respecter quelques règles de gestion des projets.
La question est présentée sois la forme « que pensez vous de telle solution ? » alors même que le problème à résoudre n’est ni identifié ni exposé.
Un problème sans solution est gênant, mais une solution sans problème est une aberration.
La terminologie est claire :
« grand » donc gros projet, financement difficile, grosse visibilité, doit en imposer
« autoroutier » donc caractéristiques spécifiques, normes de profil et de courbure, vitesse élevée
« contournement » donc éloignement significatif pour dissuader de se dévier vers le centre, tracé en circulaire.
Sur ces bases les choix d’implantation sont limités, et l’effet sera ce qu’il sera.
Ensuite on cherche tout de même une justification : « le » problème !
Identifions deux problèmes réels évoqués dans le dossier:
- la saturation du périphérique aux heures de pointe
- la perspective de flux de transit entre la Méditerranée et les zones Ouest et Nord Ouest.
Le périphérique est en réalité essentiellement une voie urbaine ; son fonctionnement normal comporte des périodes d’encombrements. Il suffit de se souvenir que la saturation est intervenue rapidement après l’ouverture. Dans une grande agglomération il y a assez de voitures pour saturer (aux heures d’affluence) toute voirie imaginable, un doublement du périphérique à peu de distance (deuxième rocade) n’y échappera pas tant que les trajets ambitionnés seront trop compliqués et trop longs en transports en commun.
Quelle « solution » à ce problème ? La rectification de l’urbanisme actuel avec ses lotissements hors de voies de transports en commun raisonnablement chargés, la fluidité du logement pour permettre un choix rationnel en fonction des lieux de travail, la répartition de centres d’enseignement de qualité commodes pour les familles de travailleurs, la diffusion de véhicules individuels urbains, petits et électriques, un changement de mentalité qui donnerait la priorité à l’économie écologique. On voit qu’il s’agit de long terme, d’organisation et non d’investissement en voies routières.
Toulouse, la métropole du seuil de Naurouze, est condamnée à voir passer un trafic croissant dont le schéma est celui de autoroutes déjà construites. Qu’il s’agisse de poids lourds ou de véhicules légers il est souhaitable d’en éviter le passage au cœur de l’agglomération, même si selon certains décomptes il ne représente qu’une faible fraction du trafic total, et si ce transit ne coïncide pas avec les heures de pointe. Et même si à moyen terme des camions moins polluants sont envisageables. Pour autant un contournement doit il être dédié à ce trafic ?
On peut imaginer offrir au transit un parcours aisé, sans ralentissement excessif, en lui réservant une voie spécifique protégée, aux accès limités aux raccordements avec les autoroutes, implantée sur un tracé de desserte des villes satellites entre elles. Ce même tracé pourrait porter une desserte ferroviaire régionale, et à plus long terme un axe de ferroutage.
En effet le dossier du GCAT ne nous paraît pas donner assez de place et d’importance à un troisième problème, les communications directes entre ces villes dont certains projets régionaux préconisaient bien un développement cohérent en complément de celui de la métropole ; communications susceptibles de réduire le trafic actuellement contraint à emprunter le périphérique.
D’autres « problèmes » se posent : le contournement ferroviaire pour le fret qui ne doit plus traverser la ville, le tracé du TGV, avec des gares capables de supporter les passages à grande vitesse, l’emplacement du futur aéroport, quelle que soit son échéance s’agissant d’un « éco-aéroport », les plates-formes multimodales, les centres d’affaires, le parc d’expositions, le concept et la localisation de "bourgades nouvelles" aux normes du développement durable et de la qualité de vie, les développements urbains et industriels des villes satellites (Albi, Castres, Carcassonne, Montauban, etc.) par exemple.
Une approche systémique impose de les prendre en compte dans un « plan de Système Economique et Social Régional ».
Les ingénieurs peuvent avoir des domaines de compétences techniques délimités, ils n'en sont pas moins tous attachés à des méthodologies communes, en particulier celle de "l'approche système".
L'application de cette méthodologie au cas du GCAT peut s'exprimer ainsi:
- une infrastructure de cette ampleur est un instrument d'aménagement du territoire
- sa réalisation doit s'inscrire dans un "projet" de territoire, au sens d'un système socio-économique localisé sur ce territoire
- d'autres infrastructures majeures concourent nécessairement au développement de ce projet de territoire, on ne peut les ignorer et traiter chacune d'elles séparément
- le projet de GCAT doit donc être traité en association cohérente avec les projets relatifs à ces infrastructures comme sous système du système global.
Dans ce contexte il convient de laisser plus de degrés de liberté à la conception de ces infrastructures, notamment le GCAT, de façon à optimiser l'ensemble du système, sachant que cet optimum n'est pas l'addition des optimums obtenus pour chaque sous système traité indépendamment.
Il nous paraît clair que la mission de la Commission Particulière du débat public est limitée, et que la commission ne peut de son chef sortir de son domaine de compétence. Il appartient alors à une autorité pertinente de prendre en charge le problème du système global. D'autre part, la Commission étant proche d'achever son travail, il est essentiel, selon les méthodologies appliquées en ingénierie, de préciser très clairement quelle sera la nature et la portée de ses conclusions.

Avis n°287 de : Grosso Véronique - 31570 Aurin
Je me permets de vous rappeler quelques objectifs du grenelle de l'environnement :
- lutter contre le changement climatique
- sauvegarder la biodiversité
- prévenir les effets des pollutions

d'autre part le prix du baril de pétrole est en train d'atteindre des sommets : bientôt 100 dollars

Alors est-il bien raisonnable d'envisager encore le développement de routes à grande circulation qui vont massacrer nos campagnes et générer des pollutions, sachant que le bénéfice pour soulager l'actuelle rocade n'est absolument pas démontré. ( le trafic de transit ne représente qu'un très faible pourcentage de la circulation sur la rocade et il est très peu présent aux heures de pointe).

S'il vous plaît cessez de vouloir nous entraîner droit dans le mur et continuez à réfléchir à des solution de transport en commun, parce-que c'est à présent l'unique solution que des élus responsables peuvent envisager pour le bien être de leurs concitoyens et de cette planète qui ne leur appartient pas.

Toutefois si le maire de Toulouse tient à nous convaincre du caractère indispensable de ce grand contournement je lui conseille de s'engager publiquement à venir vivre à proximité immédiate de ce bel ouvrage afin de montrer l'exemple et de partager le sacrifice qu'il va demander à des centaines de concitoyens qui ont fait le choix de vivre loin des villes et de leurs nuisances .



Véronique Grosso

le coustou

31570 Aurin

Avis n°288 de : Bayle Gerault - 31400 Toulouse
Nous souhaitons que notre avis envoyé par messagerie soit pris en compte par la Commission.

Avis :

A-t-on étudié toutes les hypothèses et par exemple celle suivante un peu "science fiction" (mais il y a un 1/2 siècle personne ne pensaient que l'homme
marcherait un jour sur la lune).

Ainsi dans 20 ans cette nouvelle autoroute ne servira à rien car il n'y aura
plus de pétrole, plus de voiture comme nous les connaissons mais peut-être des
soucoupes volantes à l'énergie atomique enfin maitrisé qui voleront dans tous
les sens et à différents niveaux sans bouchons.

En outre la rocade n'est pas saturée sauf aux heures de pointes ce qui obligera,
à court terme, les usagers et les entreprises à s'adapter en changeant leurs horaires et/ou en pratiquant le covoiturage.

Encore une autoroute payante aux portes de Toulouse ! Soyons plus inventif et
trouvons d'autres solutions que celles qui nous auraient fait gagner la guerre précédente !

Nous pensons que le "tout voiture" n'est plus d'actualité et qu'il faut privilégier les transports en commun.

Ainsi nous émettons un avis défavorable à la réalisation d'un grand contournement dont l'opportunité nous semble injustifiée.


Avis n°289 de : Aubert Joachim - 31000 Toulouse
Monsieur le président,

Comme beaucoup de toulousain j’ai assisté à la réunion d’ouverture du débat public concernant le Contournement autoroutier de Toulouse.

Après avoir effectué une lecture attentive du dossier remis ce jour là, j’ai un certain nombre de commentaires (C) à faire, ainsi qu’un certain nombre de questions (Q) à poser, ce que je fais ici, espérant une réponse complète de votre part.

C1 Les dates des réunions d’information n’apparaissent pas sur le document. C’est dommage, tout le monde n’a pas en permanence accès à internet.
C2 En page 31 le rapport présente un graphique dont les chiffres datent de 1997. Je ne suis pas sûr que des chiffres aussi vieux, dont on sait pertinemment qu’ils ne sont plus vrais aujourd’hui apportent quoi que ce soit au débat. Peut-être par contre peuvent-ils donner l’impression que le rapport est complet et objectif…
C3 Toujours en page 31, dans le paragraphe sur le métro il n’est pas mentionné l’ouverture de la ligne B fin juin 07… dommage !

Avis n°290 de : Balarot Jean-Luc - 81100 Castres
Pour nous élus de petites communes, le contournement du GT n'aura pas d'effet positif, car les entreprises vont s'intaller le long du contournement.
Donc pas de TP source de vie de nos bourgades situées à 15/25 kms, par contre arrivée massive d'une population sur nos territoires. De fait nous devrons équiper nos petites communes (routes, écoles, assainissement, enfin tout ce que vous savez), et pour cela, pas de retombées financières. Pour toutes ces raisons, je suis opposé au contournement de TOULOUSE.

Avis n°291 de : Faupin Raf - 31560 Gibel
- Bien entendu, le transport routier des marchandises continuera d'exister à l'horizon 2020.

- N'empêche que la circulation des poids lourds, de plus en plus indésirables actuellement, devra être strictement réglementée et surveillée pour éviter les accidents.

Avis n°292 de : FIDELLE Pierre - 31460 Sègreville
AVIS de l’ADVS à la CNDP

L’Association ADVS, Association de Défense de la Vallée de la Saune, loi 1901, dont le siège social est à Caragoudes (31460), dont l’objet est la défense et la protection de l’environnement et du cadre de vie de la vallée de la Saune et du Lauragais, ne peut rester muette au vue du Projet Grand Contournement Autoroutier de Toulouse (PGCAT).
Bien que le tracé ne soit pas fixé et qu’on soit au stade du débat public, d’ores et déjà la lecture du projet, les réunions publiques, les avis et contributions sur Internet et notamment les desiderata de la mairie de Toulouse (capitole Info, nov. 2007) semblent pencher vers une solution Est + Sud.

Nous sommes donc très concrètement concernés ! Certains se rappelleront même un projet de « Translauragaise » de 1996.

Nous pensons que le projet présenté ne répond pas aux critères demandés : délester le périphérique actuel et participer à l’aménagement du territoire.

1) Le périphérique ne serait délesté au maximum que de 10% du trafic de transit, notamment des camions. Le vrai problème se situe au niveau de la circulation interurbaine du grand Toulouse (entrées/sorties, péages, transports en communs). La partie ouest présentant le plus de bouchons de circulation, pourquoi choisir l’est ou l’est + sud ?
2) En ce qui concerne l’aménagement du territoire, placer le PGCAT à 35 km de Toulouse, ce n’est pas encore assez éloigné pour répondre aux aspirations des habitants de Castres, de Mazamet ou d’Auch et participer aux « désenclavement » de ces villes.

Ce projet à péage n’engendrera pour nous, habitants du Lauragais, que des désagréments :
- Une autoroute sans accès pour les habitants des territoires traversées
- -Des bouleversements du réseau secondaire provoquant des gênes pour relier les communes entre elles
- La perte de surfaces agricoles dans un contexte tendu
- La détérioration irrémédiable des paysages encore intacts avec une grande richesse souvent méconnue en faune et flore, en patrimoine bâti et de notre cadre de vie
- Une pollution aggravée avec un flux de camions augmenté à un moment où il devient urgent de développer le ferroutage.

Un financement public destiné à l’amélioration et à la sécurisation des infrastructures existantes sans péages et accessibles à tous serait sans doute préférable à un grand contournement autoroutier payant.
L’évolution du prix du baril ainsi que la loi sur l’air et les discussions lors du Grenelle de l’environnement ne nous semblent pas garantir ni la fiabilité des études prospectives ni la pérennité de la structure GCAT envisagée.
Avant toute réalisation d’une nouvelle infrastructure, une concertation aussi bien institutionnelle que citoyenne plus poussée sur l’aménagement du territoire devrait être engagée.
Nous réclamons, et cherchons, des solutions réalistes pour le déplacement du milieu rural vers la ville et vice versa (extension des lignes de bus,train/tram, covoiturage, parkings élargis, etc.) ainsi que l’application des décisions prises avant le projet GCAT.



Avis n°293 de : Rigal Réal - 31000 Toulouse
« Si j'ai bien compris, seul au maximum 14%de trafic pourra être supprimé par le contournement., puisque les autres usagers auront intérêt à se rapprocher du centre de Toulouse pour éviter de trop longs trajets.
Il me parait donc nécessaire de contrôler l'urbanisme et de développer des transports en commun sûrs et rapides : construire plus au centre ville, prolongement des lignes actuelles du métro, création de nouvelles lignes, agrandissement et création de nouveaux parkings en tête des lignes. »

Monsieur Réal Rigal
18 rue Etoile
31000 TOULOUSE


Avis n°294 de : Higinio Aïneto - 31350 Boulogne sur Gesse
Je suis contre ce projet car il caricature le site et la France pour le fric. Je vous demande de ne plus utiliser le terme démocratique car cela n'existe plus. C'est une dictature fasciste.
Ecoutez la voie de la raison.

Avis n°295 de : Quenu Arnaud - 31830 Plaisance
Récemment installé sur Toulouse, je suis impressionné par le nombre de routes mal conçues, de voies inutiles, de graves problèmes d'urbanisation. Pourquoi ne pas mobiliser tous ces moyens de l'Etat au profit des particuliers (vélos) plutôt qu'aux...

Avis n°296 de : Achard Alain - 81000 Albi
Cela fait 25 ans que l'infrastructure routière du Tarn n'a pas évoluée.
Il serait temps que la région s'occupe de ce département sinistré avant de favoriser Toulouse!...

Avis n°297 de : David Gaetan - 31180 Castelmaurou
Ne pas attendre 20km pour faire ce contournement.

Avis n°298 de : Bennehari Yvette - 31190 Grépiac
Oui, il faut absolument développer les transports:
- SNCF
- un contournement autoroutier pour éviter un afflux de population sur Toulouse par manque de moyens de communication.

Avis n°299 de : Mysling Alexandre - 81000 Albi
Les étapes du projet sont vraiment trop longues... Une enquête d'utilité publique suffirait...
L'hypothèse Est + Sud est la meilleure et l'enjeu environnemental et paysager est la plus adéquate.

Avis n°300 de : Torres Henri - 31000 TOULOUSE
Pourquoi ne pas voir l'avenir avec confiance vu sous une question primordiale pour un developpement moderne de Toulouse et de ses environs ?

Avis n°301 de : Maurel Jean-Pierre - 81660 Payrin-Augmontel
Comment peut-on en 2007 être contre une évidence: la réalisation du contournement autoroutier de Toulouse? Bien entendu, en tant que Tarnais du Sud, je penche pour le faisceau Est+Sud (à environ 20km) avec raccordement à l'autoroute Castres-Mazamet/Toulouse.

Avis n°302 de : DE MALEFETTE GILLES - 32000 AUCH
Monsieur le Président,
Comme j'ai déjà eu l'honneur de vous le dire lors de votre venue à Auch le 20 septembre, en tant que Président du Syndicat des Propriétaires Privés Ruraux du Gers, (SDPPR du Gers) affilié à la FNPPR , je demande que les propriétaires ruraux et immobiliers, soient consultés avant toute prise de décision et je déplore que nos instances ne fassent pas partie de la commission d'enquête.
J' ajoute que je suis scandalisé par les pouvoirs des Pouvoirs Publics en général (Maires, Conseil Général et autres SEM), qui décident du sort de nos terrains et maisons sans nous avoir consulté préalablement , faisant ainsi souvent la fortune de certains amis et la ruine de ceux qui ne sont pas en odeur de sainteté......cela peut être assimilé à un droit de vie ou de mort sur les citoyens. Il me paraitrait logique, avant de consulter le public, de rencontrer tous les propriétaires concernés. Ne me parlez pas des enquêtes publiques au cours desquelles on peut rarement rencontrer le commissaire enquêteur qui assure 2 ou 3 permanences souvent prises d'assaut et dont on repart sans avoir pu faire entendre sa voix. ) Il va de soit que tout le monde veut des autoroutes, à conditions qu'elles passent loin de chez eux. La vrai question devrait être: Souhaitez-vous cette autoroute ? oui ? je vous précise que vous allez être expropriés car elle va passer sur votre terrain.....
Si je suis favorable à des solutions visant à désengorger le périph. toulousain, et si cette rocade peut aider au développement économique du Gers, je m'interroge sur la catastrophe que cela va représenter pour les propriétiares expropriés et peut-même spoliés.. De plus, avant de se lancer dans ce projet pharaonique, d'un coût exhorbitant, il serait sans doute bon d'étudier une amélioration du réseau routier existant et déjà assez dense.
Je reste à votre écoute et à votre disposition.
Je vous prie d'agréer Monsieur le Président, l'expression de mes salutations distinguées.

Avis n°303 de : Maury Joan-Francés - 31650 St Orens
Voici une réponse officielle par rapport à ma question sur la LOI sur L'AIR et aux pbs de santé.

Je trouve monstrueux et meme criminel de ne pas se préoccuper de la santé des gens (de la santé de la Planète, on sait déjà ...) et de mentir à ce point. En gros si je résume, on reconnait que les pollutions font mourir des gens, mais, on aménagera coûte que coûte, car:

1- on a confiance dans les progrès des nouvelles voitures (idem pour le Grenelle, il suffit de jetter les vieilles voitures!)

2- le fameux "bilan-neutre" est expliqué dans vos docs: il s'agit de dire que cela reduira les bouchons sur la rocade actuelle (ce qui est certainement faux: voir le perif parisien!) et que l'augmentation un peu plus loin s'equilibre avec (où est l'objectif de diminution des accords internationaux?, ceci est ma nouvelle question!)







Avis n°304 de : Gaudin Saveria - 31460 Vendine
Beaucoup d'élus ont signée la charte de Nicolas Hulot au printemps avant les élections.
Qu'en font-ils face à la problématique du GCAT ?

Avis n°305 de : Visentin Michel - 31620 Labastide St Sernin
Je trouve tout à fait aberrant de créer un tel projet qui va à l'encontre de la protection de l'environnement.

Avis n°306 de : ALLIO JEAN-MARC - 31450 MONTGISCARD
Ceci n'est pas une question sur le projet mais un avis.
Le projet a pour but de détourner du trafic sur le périphérique une minorité de véhicules. De plus, si les tarifs de péages appliqués ne sont pas très attractifs, il est probable que l'effet recherché ne sera pas atteint car les personne concernée préfèreront payer moins cher. Compte tenu, également, du supplément de kilomètres parcourus il n'est pas certain que ces usagers aiebnt un gain de temps sur leur trajet. Qui dit plus de kilomètres dit plus de consommation, plus de pollution, le projet est en contradiction avec l'un de ses buts.
Il faudrait, à mon sens, axer les efforts sur la diminution du traffic des toulousains et des habitants de l'agglomération. Cela passe par une politique des transports collectifs plus sérieuse que celle qui existe aujourd'hui qui pèche par son manque de fiabilité (grèves à répétitions) son inefficacité (temps de trajet très longs par rapport à la voiture) et son coût.
A titre d'exemple, j'habite dans le lauragais et travaille à Toulouse. Mon temps de parcours est de 30 mn en voiture, 1heure 30 avec les transports en commun, sans parler de la partie à faire à pied. Il n'existe pas de billet combinant les divers modes de transport. Il faut donc un abonnement à la sncf, un à Tisséo et éventuellement un aux courriers de la garonne. Au bilan, le coût du transport en commun est nettement supérieur au coût du gaz oil.
Il serait bon qu'il y ait une étude sérieuse des dessertes afin d'éviter les doublons sur certaines dessertes pour augmenter les fréquences (le 10 78 et 80 ont une grande partie de leur itinéraire en commun : Cours Dillon-Route de Revel) Plutôt que de penser à une prolongation de la ligne B du métro, pourquoi ne pas penser à faire des lignes de tramways et de les prolonger plus loin vers la banlieue. Nous nous y sommes installé peut être par plaisir mais surtout par nécessité compte tenu du prix des terrains.
Voici quelques unes de mes réflexions
Cordialement

Avis n°307 de : Marty Chantal - 31500 TOULOUSE
Pourquoi persévérer dans le tout voiture, camion alors que le problème ne peut être posé clairement?
"Les élus de l'aire urbaine toulousaine ont adopté un nouveau modèle de développement urbain qui devrait à terme contribuer à limiter les déplacements."

" Malgré les efforts considérables des collectivités, tout porte à croire que les projets engagés ne suffiront pas à faire face à la croissance attendue de la population et de ses besoins de déplacements."

Avis n°308 de : Juillot Jacques et Jacqueline - 31620 Labastide St Sernin
NON au contournement autoroutier de Toulouse :

Alors que nous sommes en plein débat au sujet du réchauffement climatique de la planète , l’on ne trouve rien de mieux que de nous proposer la construction d’une autoroute , soit disant
pour améliorer le trafic autour de Toulouse , ce qui reste à démontrer.

Cela revient à dire plus de pollutions , plus de trafic donc plus de nuisances , sans compter l’impact environnemental sur la faune et la flore .

Ne faudrait il pas au contraire privilégier le développement des transports publics ? Réseau de bus, développement des transports en commun, fer routage ?

Mais encore une fois il faut se battre contre le spectre du profit à n’importe quel prix , car bien entendu , qui dit autoroute , dit péage , taxes , etc … !!

Soyons citoyens , défendons notre patrimoine , et prenons des décisions qui vont dans le sens de la protection de cette planète qui doit nous subir !! Pensons à nos enfants , que leur restera- t-il dans un siècle si nous continuons ce comportement égoïste ?

Un couple responsable que l’on n’ écoute et ne voit plus .


Jacques et Evelyne JUILLOT

Avis n°309 de : Fiorentini Françoise - 32490 Marestang
Nous aurons besoin de l'agriculture, de toutes les surfaces agricoles pour subvenir aux besoins de la population en constante augmentation. La surface cultivable diminue avec le développement de la population et ses besoins en habitat.
Il me parait tout à fait contraire au développement durable de continuer à construire des autoroutes qui sont avant tout facteur d'augmentation de la pollution qui de plus suppriment des surfaces cultivables aux agriculteurs.

Avis n°310 de : Canet Pierre - 82000 Montauban
Le contournement veut peut-être dire que le plus gros des transports ne passent plus par la ville. Cela peut s'appeler une déviation ensuite donnera du travail aux entreprises.

Avis n°311 de : Martin Sabine - 82410 St Etienne de Tulmont
Il semble qu'il n'y ait pas de réchauffement climatique puisque tout est organisé pour promouvoir la voiture et le tout camion!
Le protocole de Kyoto demande de promouvoir une économie locale vivre local, tout pour la consommation alimentaire que les loisirs.
Or, cette économie doit encore s'organiser en circuits courts.
Conjointement, permettre grâce à une voirie dédiée des déplacements quotidiens en mode actif (dit doux) à vélo ou à pied. On ne parle que de TC par rapport à la voiture; pourtant le vélo est une réelle alternative avec la santé à la clé puisque l'obésité touche 3% en plus chaque année...

Avis n°312 de : Maille Philippe - 31320 Castanet
Dans 10 ans, aura-t-on de l'essence et à quel prix?
Le contournement autoroutier aura été de l'argent dépensé pour rien.

Avis n°313 de : Batanero Angèle - 31520 Ramonville
Je suis pour l'ouest+sud.

Avis n°314 de : Guittard Marcelle - 31200 Toulouse
Ce projet contribuera nécessairement à l'accélération de l'environnement et l'embellissement des paysages. Certains y trouveront des effets indésirables... Mais certaines personnes de critiques diront...on est en démocratie.

Avis n°315 de : Lachaud Hélène - 31320 Pechabou
Je suis opposée au contournement autoroutier parce qu'il ne résoudra pas le problème des embouteillages intramuros et qu'il défigurera le paysage comme l'a déjà fait l'autoroute Toulouse-Foix au niveau de Nailloux.

Avis n°316 de : Le Quentrec Marcel - 31820 Pibrac
En 2012, le Cancérôpole verra arriver 2 200 personnes, ce n'est pas le grand contournement qui va absorber ce trafic supplémentaire. Asphyxie garante au Sud du périphérique. La solution est de deux ordres:

1. créer une ligne de métro réunissant Blagnac, Airbus, le cancérôpole, Rangueil
2. Prolonger la rocade Arc-en-ciel jusqu'au Palays.

Pour désengorger Toulouse le grand contournement qui concerne 12% du trafic n'est pas la bonne solution.

Avis n°317 de : Febvre Stéphane - 81100 Saix
Notre région le Tarn a été sinistrée depuis des années à cause de choix politiques irrationnels (la découverte de Carmaux).
Il serait un juste retour des choses de réaliser le contournement autoroutier de Toulouse vers le Tarn pour permettre au sud tarnais de se désenclaver et surtout de nous apporter une sécurité et un développement économique.

Avis n°318 de : Le Tranouez Jean - 31250 Revel
Vous avez raison de ne pas accorder du crédit au président du Conseil général qui est contre tout dès lors cela n'est pas de son fait:

- La DDE doit avec les comptages des PL avoir combien de véhicules par jour aussi par le rail et transit dans Toulouse pour rejoindre le Sud.

A mon avis, le contournement par l'Est reste le seul valable. La desserte du Sud et le Sud Est de la Haute-Garonne.

Avis n°319 de : Leutard Georges - 31860 Labarthe s/ Lèze
Après lecture de votre dernier n°2 de novembre 2007 qui concerne le grand contournement de Toulouse, je pense que les responsables de ce projet commettraient une grave erreur en oubliant de connecter la N124 Auch, la 117 E80, et la N20 sur un grand contournement de 180° au lieu de 360° réunissant toute pénétrante autour de Toulouse.

Avis n°320 de : Bon André - 31420 Aurignac
L'agglomération toulousaine en 2020 comptera 200 000 hommes de plus. La rocade actuelle est déjà saturée aux heures de pointe. Si l'on ne fait rien, et que l'on pense au train comme certains, qu'en sera-t-il?
Les travailleurs viennent de plus en plus jusqu'à 80km de l'agglomération dispersée.

Avis n°321 de : Claustres Paul - 31320 Vieille Toulouse
Nous connaissons des pôles économiques existants dans l'agglomération toulousaine (Blagnac-Castelnau d'Estretefonds, etc.) et futurs (cancérôpole, aérodrome à Mazères ou Fronton) et de certaines villes (Castres Montauban). Je pense que le contournement autoroutier se justifierait en périphérie de la zone banlieue nord-est.

Avis n°322 de : De Rubio Jean - 31370 Lahage
Les constructions apparaissent un peu partout dans une couronne de 30 à 50 km autour du grand Toulouse, les routes ne sont pas adaptées à cette grande circulation routière notamment la départementale de Muret-St Clar de Rivière à Rieumes dangereuse avec les PL.

Avis n°323 de : Bayle Christian - 31380 Paulhac
NON à une nouvelle autoroute payante aux portes de Toulouse, seule grande ville de France a été encerclée de plages à ses poles.
J'ai demandé sur le net comment donner mon avis. Pas de réponse, question à éluder... Comment donner son avis si on n'a pas le net? Dans les docs, il n'y a rien sur ce sujet.

Avis n°324 de : Massard Georges - 11320 Montferrand
Page 5 du journal n°2, je lis "l'étalement urbain...doit être combattu..."
Je ne suis pas d'accord: le projet de contournement autoroutier devrait être un chapitre d'un projet beaucoup plus général d'aménagement raisonné et durable de la "province de Toulouse" coordonnant villes, bourgs et campagnes, en politique, économie, culture, etc.

Avis n°325 de : Diaz Rémi - 31240 Saint-Jean
Bonjour,

Je suis ce débat depuis son commencement avec beaucoup d'intérêt et plus ce débat avance et plus je me rends compte que ce contournement les toulousains n'en veulent pas!!Les seuls a vouloir ce contournement sont les villes un peu trop éloignées de Toulouse pour s'en rapprocher, ou les politiques qui voient là une future "pompe à fric".Mais en réalité, à en croire les cahiers d'acteurs, les avis, les questions réponses...le problème est bien de trouver une solution pour désengorger la rocade toulousaine et non pas de sortir des villes de l'éloignement de Toulouse.Or les personnes qui vivent sur Toulouse et la banlieue proche, ce qu'elles demandent, et on le voit bien dans les avis, c'est qu'on oublie ce projet d'autoroute et qu'on dévelloppe de façon INCROYABLE les transports en commun!!!!La preuve est le nombre impensable de questions qui se rapporte aux transports en commun sur le site.
Prenez 60 voitures mettez les les unes à la suite des autres et regardez le nombre de personnes à l'intérieur (presque toujours une seule).Regardez l'empleur que prennent 60 voitures en file indienne avec une seule personne à l'intérieur, et maintenant prenez ces 60 personnes et mettez les dans UN bus....le constat est sans appel me semble-t-il.
Alors Messieurs Dames s'il vous plaît, pour une fois écoutez l'avis des gens concernés et n'essayez pas de faire passer ce que vous préférez.

Avis n°326 de : BERTONI CLAIRE - 31460 CARAGOUDES
J’ai 21 ans, je vis dans une zone du Lauragais directement exposée au projet GCAT (limite des 20km). Je ne suis pas favorable à ce projet : la construction d'une autoroute ne me parait pas nécessaire pour améliorer les transports autour de Toulouse. Voilà pourquoi :

Ce projet représente des investissements colossaux, et la solution proposée autoroute à péage est loin de ne pas soulever des contestations : nuisance sonores et destruction du paysage, pollution et santé, financement du projet, réel désengorgement du trafic ???
Pourquoi ne pas mobiliser tous ces moyens de l'Etat au réel profit des particuliers ?
Il faut à mon sens essayer d'optimiser les infrastructures existantes, d’améliorer le réseau routier déjà assez dense. Favorisons les agrandissements et les aménagements pour des déplacements propres dans une perspective de développement durable.
De plus le GCAT garde à la voiture toute sa place, alors qu’a fini il y a peu le Grenelle de l'environnement...
Si chaque particulier peut faire des efforts, il en va de même pour les industriels, dont le rôle est déterminant dans les prises de décisions politiques.
En particulier, il est stipulé dans le dossier du débat que la part du fret ferroviaire dans le trafic de marchandises en Midi Pyrénées est inférieure à la moyenne nationale, qui elle-même ne me semble pas fantastique…Le fret ferroviaire pourrait engendrer un désengorgement de la rocade : diminution du nombre de camions  fluidité.
Alors qu’a eu lieu récemment la fin du percement du tunnel transpyrénéen du Perthus pour la LGV Perpignan Bordeaux, la mise en place de la ligne TGV Toulouse Bordeaux nous promet elle aussi de belles perspectives. Continuons sur la lancée !
Il me semble par ailleurs qu’un meilleur maillage territorial des transports en commun est indispensable. Dans ce cadre, des projets de liaisons transversales auraient à mon sens beaucoup d’intérêt : 2 à 3 ceintures reliant entre elles les villes à la périphérie de la ville.

Pour réflexion :
Extrait de l’intervention de Monsieur Jean-Claude GAYSSOT, Ministre de l'Equipement, des Transports et du Logement, lors de la clôture des Etats Généraux du Fret Ferroviaire
Paris - Parc de la Villette, le 12 décembre 2000
« Depuis 25 ans, la part du fret ferroviaire n'a cessé de décroître par rapport au transport routier : Représentant en 1970, 32% des transports de marchandises effectués dans les quinze Etats membres, la part du fret ferroviaire a aujourd'hui diminué de moitié. […] l'hypertrophie du mode routier, dans un contexte de croissance des besoins de déplacement, de transport de mondialisation des échanges, est de moins en moins acceptée par les populations. Elle peut même contredire à terme les qualités de souplesse et de rapidité, notamment pour les courtes distances, qui sont celles du transport routier. La prise de conscience des dangers résultant de l’effet de serre, les crises pétrolières successives, la saturation des axes routiers, posent aujourd'hui avec force et de façon légitime la nécessité d'un rééquilibrage rail-route, ainsi qu'une prise en compte des coûts environnementaux et sociaux réels pour chaque mode de transport. »

2020, c’est demain, mais c’est suffisamment loin pour que l’on pense réellement à long terme ; alors n’attendons pas 2050 pour mettre en place les alternatives au mode routier.

Avis n°327 de : Matthewman Andrew - 31570 Aurin
L'Association de Défense de la Commune d'Aurin a été créée en 1996 à la suite de l'annonce du projet d'autoroute translauragaise. Elle se réactive à l'occasion du débat sur le grand contournement autoroutier de Toulouse.

A la lecture du dossier du maître d'ouvrage et des contributions au débat, nous tirons les conclusions suivantes :
· que cette autoroute n'aurait qu'un faible impact sur les problèmes de transport en région toulousaine,
· qu'elle représenterait un désastre environnemental, économique et social sur un périmètre très étendu,
· que, derrière l'apparente ouverture sur l'intérêt même de cette infrastructure et sur son tracé, se cache la décision déjà prise de construire l'autoroute translauragaise.

Nous notons qu'aucune réunion du CPDP n'a été organisée sur le territoire susceptible d'être traversé par l'autoroute, ce qui diminue nettement le niveau apparent d'opposition au projet.

L'A.D.C.A. s'oppose à un grand contournement de Toulouse par l'est et elle est prête à se mobiliser fortement aux côtés des autres associations et avec la population du Lauragais.

Nous réclamons de vraies solutions aux problèmes de transport dans notre région.

Motion votée en assemblée générale le 7 décembre 2007.

Avis n°328 de : Baussens Pierre - 31620 Labastide St Sernin
Pourquoi vouloir un contournement routier, mettre tout sous forme d'autoroute?
Pour réduire le réchauffement climatique, hélas présent, il vaudrait mieux favoriser les transports en commun, mettre plus de navettes pour amener les gens vers les métros ce qui diminuerait le nombre de voitures personnelles et la pollution.
Ce projet de grand contournement autoroutier de Toulouse ne doit pas être réalisé et surtout de ne jamais l'envisager, gardons la pureté de l'air.

NOUS N'EN VOULONS PAS.

Avis n°329 de : Brousse Michel
Partant du constat de la croissance des déplacements la question de la
pollution générée par la circulation automobile ne peut pas se résoudre par
l'arrêt de la construction de toute nouvelle voie. D'ailleurs plus la
circulation est fluide et moins l'automobile pollue. Et sur ce point on peut
regretter que le développement de moteurs à "énergie propre" ne soit pas
plus encouragé.
Et tant qu'à avoir des préoccupations dans le domaine de l'énergie ne
peut-on imaginer qu'enfin un équipement routier critiquable dans sa forme
habituelle puisse être aussi
un outil de production d'énergie à travers des solutions et des équipements
innovants ?

Avis n°330 de : Le Tranouez 
Comme tous les gens de bon sens je suis favorable au contournement de la ville de Toulouse par l ' EST : Grisolles – Villefranche de Lauragais.



N'ayant aucun problème particulier à défendre (apolitique) il faut noter que 4300O v/j fréquentent la partie Nord-Est-et Sud du département de la Haute-Garonne. avec une entrée de 11400 véhicules en provenance du Nord. Qu’en sera-t'il dans dix-ans. Seul le C.E.T E de bordeaux peut approximativement la prévoir.



Compte tenu des éléments actuels, et ceci malgré la hausse des carburants , la ville de Toulouse va s'agrandir et se développer et toujours vers l'extérieur .Le développement des transports urbains sera en toute hypothèse nécessaire.



Le contournement de Toulouse est indispensable, il faut se projeter en avant. L'immobilisme est dépassé. La circulation augmentera tous les ans voir la DDE pour les pourcentages. Le tranport rail-route ayant peu d'avenir.



Si rien n’est fait, (malgré le développement des transports collectifs ) TOULOUSE est une ville axphysiée et sera de plus en plus axphysiée. Les habitants des villes des département voisins ne pourront plus s'approcher.C'est déjà le cas aujourd'hui, il faut plus de temps pour traverser Toulouse que pour s'y rendre, ce qui est paradoxal.



Conclusion



Le contournement de TOULOUSE est une nécessité URGENTE ( à 25 km). Les décideurs doivent prendre la décision en tenant compte du développement économique qui se fera de façon inéluctable, si les voies d'accès le permettront. L’objectif premier est d'assurer la FLUIDITE du TRAFIC en toute SECURITE.

Avis n°331 de : Chanudet Bruno
Auzielle le 8 décembre 2007

Mesdames, Messieurs,


Tout d’abord j’aimerais souligner l’énorme responsabilité des décideurs pour leurs (mauvais) choix en matière d’aménagement dans la périphérie sud-est :
- le choix initial de ne pas conserver à cet endroit l’anneau périphérique et de privilégier les chaussées entrante et sortante de l’A61. Ceci a eu pour évidente conséquence un impact fort se concrétisant par quasiment vingt ans de problèmes à l’échangeur du Palays. (Le même choix a été fait pour l’accès à l’A62)
- une fois cette malheureuse configuration réalisée, le second mauvais choix a été de ne pas reculer le péage, ce qui aurait permis de profiter de l’A61 pour desservir les communes du sud-est.
- le troisième mauvais choix a été de « consolider » cet incroyable échangeur du Palays, en lui ajoutant des bretelles supplémentaires, dont la dernière en date constitue un troisième « étage » de chaussée.
- le quatrième mauvais choix, qui n’a pas encore vu le jour, sera d’élargir le RD916 longeant le Gaumont de Labège, toujours suite au refus de reculer le péage de l’A61. Cet axe reçoit aujourd’hui une circulation supérieure à l’A61, sur une simple chaussée double voie.

Je suis de ceux qui habitent en périphérie et travaillent en périphérie. J’habite Auzielle et je travaille avenue Eisenhower. Vous l’aurez compris, je suis logiquement amené à emprunter le périphérique sud, et donc à pratiquer l’échangeur du Palays. Mais je suis aussi concerné par l’avenue Eisenhower, et ses accès difficiles. Au sujet de l’infrastructure routière actuelle, et spécialement dans la zone sud/sud-est, j’ai donc à faire les remarques suivantes :

Le périphérique actuel conserve encore au moins une portion à une voie et de ce fait ne peut prétendre à l’appellation 2x2 voies, encore moins 2x3 voies. Il serait souhaitable de modifier cette portion.

Au sud, la traversée de la Garonne n’est possible que par le périphérique ou beaucoup plus loin au niveau de Lacroix-Falgarde et de Pinsaguel. Le désengorgement du périphérique sud passe par l’ajout d’une autre possibilité.

Il serait judicieux de tenir compte de la reconversion du site d’AZF, qui va augmenter encore la circulation dans cette zone, pour réévaluer ce qui était déjà prévu de longue date dans le SDAU, c’est à dire le prolongement de l’Arc en ciel/avenue Eisenhower jusqu’à l’A64, puis l’A61.
Cette avenue Eisenhower vient d’être refaite, et un certain nombre de ses rétrécissements (de deux voies à une voie) ont disparu, mais il en reste plusieurs. Elle semble pourtant être une bonne candidate pour devenir une solution de délestage.

Je voudrais également appuyer ce que j’ai déjà lu sur le site du débat concernant le rond point donnant accès à la ZI de Thibault, depuis la sortie St Simon de l’A64. Ce rond point est emprunté à 75% par les véhicules allant de l’A64 vers la ZI de Thibault, et à 100% (ils font tout le tour) par les véhicules allant de l’A64 vers la RN20. Il y a forcément des solutions classiques permettant de fluidifier ce trafic, bretelles d’accès direct par exemple.

Sur le périphérique proprement dit, la durée d’immobilisation d’un véhicule en panne ou accidenté devrait être mesurée et publiée, avec l’objectif évident de la réduire. En effet, il semble que l’impact d’un tel événement soit démesurément important.

Concernant la pollution induite par la circulation automobile, il me semble que jusqu’ici les choix visant à ne pas traiter le problème en espérant un découragement des automobilistes n’a pas été payant.
De plus, une voiture qui roule à 80km/h dont le moteur tourne à 2000 tr/mn, va donc mettre 7,5 mn pour faire 10km, faire 15000 tours de vilebrequin, et brûler 21000 litres de mélange de combustion s’il s’agit d’un moteur 1,4litres. Si elle roule à 10km/h que son moteur tourne à 1200 tr/mn en moyenne, elle va donc mettre 60 mn pour faire 10km, faire 72000 tours de vilebrequin, et brûler 100800 litres de mélange !…
Enfin, si les infrastructures existent et sont praticables, les transports en communs qui ne sont pas en site propre peuvent circuler. Mais emprunter un bus dans les embouteillages…

En matière de transport collectifs, il est évident qu’aujourd’hui encore, malgré les atermoiements des projets de PDU successifs, beaucoup reste à faire : correspondances SNCF vers métro facilitées, tarification incitative, fréquence de desserte, information, création de tram... Pour ma part, il me semble que la gratuité des transports en commun reste la bonne solution, avec bien entendu une augmentation de la fiscalité locale pour compenser une partie de la perte de financement.

Si je n’aborde pas le sujet principal du débat, le grand contournement, c’est parce qu’en effet je n’en retiens que quelques points positifs, abordés dans le dossier, mais je pense qu’il est nécessaire d’envisager d’abord les mesures déjà identifiées comme profitables. De plus, il semble évident que le financement d’un tel projet se ferait au détriment d’un certain nombre d’autres, moins onéreux mais potentiellement plus effcicaces.

Je suis donc opposé au projet de grand contournement quel qu’il soit.


Bruno Chanudet

Avis n°332 de : Segui Jean-Marc
Merci pour ce retour,

ma question était avant de savoir si il était possible de penser autre que voiture! d'après la réponse de la personne public responsable du projet
il semble que non
il semble que notre cerveau ne soit pas adapter à penser autre que voiture
je reprendrai juste la dernière phrase:
La mise en oeuvre d’un contournement ferroviaire ne permettrait cependant pas de répondre aux objectifs cités ci-dessus. En particulier, il ne permettrait pas de capter les flux de transit et d’échange (constitués en majorité de voitures particulières) qui circulent actuellement sur le périphérique toulousain

une idée: penser les circuits de métro ou de tramway en cercle et non plus en étoile diminuré fortement l'utilisation de la voiture individuel nous devons arrêté définitivement de mettre en avant la voiture individuel.
de plus le contournement de Toulouse n'est pas une solution de désagorgement des bouchons du matin et de l'après midi c'est un pur et simple mensonge par contre c'est une idée pour le développement de la région.
pour Toulouse et sa proche banlieue, le contournement de Toulouse ne réglera en rienles énomre problème de bouchon aux entrées et sorties d'AIRBUS, il ne réglera en rien les problème de bouchons pour ceux qui font Muret Toulouse.

"Le choix d’un contournement autoroutier à péage a été fait" en fait vous vous foutez de notre gueule en faisant ce débat. la loi le demande, vous le faite mais c'est déjà choisi! Pitoyable.

j'ai assisté aux débat dans les réunions...débat! chaque intervenant se regardait le nombril et retourner tout à son enventage s'en essayer d'aller vers une réflection globale et l'intérêt général!

en pour finir, vu l'age des interveants, il est clair qu'encore une fois l'avenir est décider par des dégénérés, englouti dans des visions anciennes et qui n'ont même pas conscience du mot "developpement durable" mis à part la définition décrite à la TV.

c'est avant tout aux organisation du débat que je souhaitais remercier pour le travail fait et l'essai de neutralité!

cordialement

Avis n°333 de : Guittard Marcelle - 31200 Toulouse
Le débat sur l'aménagement durable du territoire sera certainement très intéressant car il s'agit d'un projet considérable mais nécessaire.
Sera-t-il possible de le réaliser ? Chacun essaiera de faire ce qu'il faut à son niveau, etc.

Avis n°334 de : REVEL THIERRY - 81470 MAURENS SCOPONT
Un contournement à plus de 20kms ne delestera pas la rocade toulousaine : voir la delibération du conseil municipal de toulouse le 21 sept. Un contournement à moins de 35 kms ne bénéficiera pas à l'essor économique des villes moyennes, pôles d'équilibre : voir interventions des élus et CCI du Tarn et du Gers. Alors pour ménager les uns et les autres, il se profile la solution du contournement à 25-30 kms sur des territoires qui n'ont rien demandé et qui subiront en plus des nuisances propres à l'autoroute, les effets pervers d'un étalement de l'urbanisation qu'ils ne pourront maitriser et assumer. On va faire la ville à la campagne.
Pourquoi alors ne pas aller jusqu'au bout et ne pas réaliser une liaison autoroutière MONTAUBAN-ALBI-CASTRES-REVEL-CASTELNAUDARY ??
Il est à noter par ailleurs que les poids lourds reliant Castelnaudary à Montauban ont dejà trouvé un contournement naturel (voir discours de MME LAPERROUZE maire de Puylaurens) en passant par REVEL PUYLAURENS SAINT PAUL CAP DE JOUX et LAVAUR puis certainement SAINT SULPICE. Ce trajet permettrait de désenclaver REVEL(demandé par son maire réunion de SOREZES ) ainsi que CASTRES (par PUYLAURENS puisqu'il ne reste que 4 kms à équiper selon l'étude d'avant projet de la liaison Castres-Toulouse, le reste étant dejà realisé ou en cours) ainsi que LAVAUR (désir de son maire MR CARAYON voir article de la dépêche du 20-09-2007) et de relier toutes ces villes moyennes à SAINT SULPICE avec sa liaison autoroutière TOULOUSE-ALBI et sa future gare TGV. Ainsi les territoires traversés seraient les territoires desservis.

Avis n°335 de : Estève  - 31620 Labastide St Sernin
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?

Ce Contournement de Toulouse pourrait avoir plusieurs conséquences.
Une positive:
- diminution légère de l'encombrement de la rocade existante par le détournement des véhicules des véhicules de passage.

Plusieurs négatives:
- nuisances de toutes sortes apportées à des espaces pour l'instant préservés.
- encouragement à prendre son véhicule pour "des banlieusards toulousains".

Cette option de transport risque d'aggraver notre dépendance à l'égard du pétrole d'augmenter les pollutions existantes, sans régler pour autant les problèmes de circulation existant sur les rocades en semaine uniquement.

Il vaudrait beaucoup mieux privilégier l'investissement dans les transports en commun et faciliter l'accès à ces transports.

Pour toutes ces raisons, je suis défavorable au contournement autoroutier de Toulouse.

Avis n°336 de : Elasri  - 31620 Labastide St Sernin
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?

Le réchauffement climatique est là pour nous rappeler l'inconséquence de notre mode de consommation sur le fragile équilibre de notre planète.
Ce projet est dévastateur en matière d'environnement. Arrêtons de toujours vouloir favoriser le mode routier.
Ce projet de grand contournement autoroutier de Toulouse ne doit en aucun cas être réalisé au nom de lutte contre le réchauffement climatique.

A la question: "Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?"
Je réponds: OUI!

Avis n°337 de : Blasquez Jean-Michel - 31620 Labastide St Sernin
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?

Les travaux publiés par tous les scientifiques sur l'évolution du climat sont accablants; la resposabilité des gaz à effet de serre sur le réchauffement climatique est indéniable.
Il faut sans délai réorienter les politiques publiques.
La mise en chantier d'une autoroute supplémentaire serait une très forte incitation au transport routier alors même que les autres options de transport sont délaissées (fret ferroviaire, ferroutage, voies navigables, etc.).

A la question "Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse", je réponds non.

Avis n°338 de : Leveau Jacques - 31620 Labastide St Sernin
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?

- La resposabilité des gaz à effet de serre sur le réchauffement climatique est prouvé.
- La mise en chantier d'une autoroute supplémentaire serait une très forte incitation au transport routier alors même que les autres options sont délaissées (fret ferroviaire, ferroutage, voies navigables, etc.)

A la question "Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?
Je réponds: NON

Avis n°339 de : Fauveau Claude - 31620 Labastide St Sernin
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?

Le grand contournement autoroutier de Toulouse correspond à une option de transport qui aggrave notre dépendance à l'égard du pétrole alors que les ressources sont appelées à diminuer fortement dans les décennies à venir. Le coût des carburants pourrait être bientôt prohibitif pour le transport routier comme pour les particuliers. Si l'on veut protéger les ménages du choc pétrolier, il faut privilégier l'investissement dans les transports en commun et permettre des changements de mode de déplacements à la hauteur des enjeux sociaux et environnementaux.

A la question "Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?"
Je réponds Non!

Avis n°340 de : OMS Michel - 31620 Labastide St Sernin
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?

Le grand contournement autoroutier de Toulouse correspond à une option de transport qui aggrave notre dépendance à l'égard du pétrole alors que les ressources sont appelées à diminuer fortement dans les décennies à venir. Le coût des carburants pourrait être bientôt prohibitif pour le transport routier comme pour les particuliers. Si l'on veut protéger les ménages du choc pétrolier, il faut privilégier l'investissement dans les transports en commun pour les voyageurs et autoroutes ferroviaires pour les marchandises et permettre ainsi des changements de mode de déplacements à la hauteur des enjeux sociaux et environnementaux.

A la question: Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?
Je réponds NON!

Avis n°341 de : Benoit Henri - 31470 St Lys
Partisan de l'hypothèse "Ouest+Sud" à une quinzaine de km (maxi) du périphérique actuel.

Avis n°342 de : Negrier Gérard - 31340 Villemur sur Tarn
Pourquoi être contre le contournement de Toulouse?
Dans la mesure où il y a respect des populations et de l'environnement car aujourd'hui c'est une évidence , les rocades sont trop chargées.

Avis n°343 de : RETHORE JEAN-LOUIS - 31570 AURIN
NON -Le coutournement est inutile, destructurant et déjà obsolète .

Inutile :
On ne peut pas parler de "désengorgement de la rocade" en espérant dévier 14% de la circulation alors que le trafic augmentera de 50% en 2020 .
Même avec le contournement ,140000 à 160000 Vèh./j sont prévus en 2020 et des pics proches de 9000 Véh./h ( seuil de saturation) sont à craindre en heure de pointe .
Dans l'étude des trafics potentiels ( page 73) ,on a "oublié" de faire figurer la tranche 0 (la rocade) à 5 km .On aurait vu combien la part du trafic capté reste faible à 5km à peine de la rocade ( 150000 en 0 et 30000 à 5km - échelle multipliée par 5 ! ) . Pour désengorger la rocade ,il faudrait un second anneau à 2 ou 3 km ;ce qui est impossible.
Il est par contre possible d'imaginer des solutions de transports alternatifs dans une couronne distante de 4 à 8 km plutôt que de construire des infrastructures coûteuses et inopérantes à 15 ou 25 km.
Dans les réunions ,il a été admis que le contournement ne suffirait pas et qu'il sera un élément dans un bouquet de solutions .Je propose que l'on s'attaque d'abord à la grosse partie du bouquet (86% du trafic) avant d'envisager de traiter la partie minoritaire (14% du trafic).

Destructurant:
A l'est, les centres d'activités les plus importants se trouvent à 60-70 km de Toulouse .Une autoroute située à 40-50 km n'aurait que peu d'impact sur leur développement et sur le rééquilibrage de l'aire métropolitaine .
Par contre ,les voies de communications naturelles dans le Lauragais ,orientées pour la plupart Est-Ouest ,se verraient coupées par le barreau Nord-Sud ,isolant les villages les uns des autres.

Déjà obsolète:
Le baril de pétrole est actuellement rendu à 90$ - 100$ est la valeur haute prévue dans la prospective-.
La traversée centrale des Pyrénées par ferroroutage se réalisera peut-être plus vite qu'on ne le pense car elle est soutenue par une forte volonté politique par le financement de l'U.E..Ce projet est à long terme ,mais la livraison du contournement est prévue pour 2020 ; ne va-t-on pas construire une autoroute qui se retrouvera encore plus inutile en 2030 ?



Après le Grenelle de l'environnement ,ne devraient être réalisées que des autoroutes de "décongestion" ou de "structuration" .Le contournement de Toulouse n'a donc aucune raison de se faire.
Enfin ,l'exhumation d'un projet déjà jugé inutile il y a 12 ans est une insulte à la population du Lauragais Toulousain ,qui ,bien que concernée au premier chef ,n'a même pas eu droit à un débat public sur son territoire.

Avis n°344 de : Bellone Jacques - 31850 MONTRABE
Ceci est un avis.
Après le Grenelle de l'environnement, il me semble que les priorités sont:
1. Etendre le métro et les autres moyens de transports en commun vers Labège-Innopole et les installation d'AIRBUS France à St. Martin et Aeroconstellation. Cela permettrait de stopper l'augmentation du traffic sur la rocade.
2. Prévoir une traversée de Pyrénées et du midi toulousain en fer routage.
3. Si cela est moins couteux prévoir un contournement routier sur lequel les véhicules rouleraient tous à la même vitesse (90 km/h obligatoire pour tout le monde sur cette voie par exemple) avec peu de possibilité de dépassement et quelques échangeurs pour déservir les communes. Prévoir aussi de larges passages pour les animaux.
4. Sur toutes nouvelles infrastructures, rail ou route, prévoir des arbres, des panneaux solaires et des éoliennes. La revente d'électricité permettrait un retour sur investissement plus rapide et l'ensemble permettrait un impact écologique moindre.
En vous remerciant de tenir compte de cet avis.

Avis n°345 de : Cantegril Adrien - 32700 Lectoure
Pourquoi s'opposer à ce contournement ??? Ne pourrait-on pas, pour une fois, ANTICIPER la construction d'une infrastructure dont l'utilité ne fait objectivement aucun doute ?
Repousser ce projet est l'assurance de devoir, dans quelques années, le relancer en catastrophe, lorsque Toulouse, totalement paralysée, aura encore pris un peu plus de retard dans son développement d'infrastructures de transport.
Bien entendu, le développement des transports en commun doit se faire, mais ce n'est pas lui qui délestera la rocade du trafic de transit, et notamment du trafic poids-lourd !

Allons de l'avant, Toulouse ne cesse de croître et il est impératif d'adapter en conséquence ses infrastructures routières !

De plus, un contournement efficace ferait, à terme, le tour complet de l'agglomération à environ 15 km du périphérique actuel.

Dans un premier temps en tous cas, je suis pour un contournement par l'ouest et le sud, car il permettrait, outre le fait d'amorcer le désengorgement du périphérique actuel, de désenclaver enfin l'ouest Toulousain et en particulier le Gers, parent pauvre de la région Midi-Pyrénées en matière d'infrastructures et d'aménagement depuis des décennies. Cela permettrait enfin un développement socio-économique majeur dans cette zone trop peu investie.

En conclusion, lançons au plus vite ce projet, maillon indispensable dans la chaîne du développement des transports individuels et collectifs en région toulousaine.

Avis n°346 de : Albertini Hugues - 31620 Labastide St Sernin
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse?

Nous parlons bien d'un contournement pour soulager la rocade toulousaine des automobilistes venant ou allant sur les autoroutes A61, 62, 64, 68, 66 et non d'un super périphérique de l'agglomération toulousaine.
Dans les solutions proposées, Ouest, Est, il me semble que le développement est plus vers l'intérieur de l'hexagone que vers la mer.
Donc je suis pour un contournement par l'Est sous réserve qu'il soit bien au-delà de la Vallée du Girou.

Avis n°347 de : Francazal Laurent - 31410 Noé
Voici mes questions et remarques
1/ Quoi que vous faites ne reproduisez pas les mêmes erreurs du passé c'est-à-dire regarder bien le développement économique de la région et anticiper sur les nouveaux arrivants .Nous avons connu ces dernières années un flux exponentielle de voitures
2/Il faut absolument mettre en concordance Route + métro + tramway.
Pour les routes, il faut bien entendu faire un contournement général de Toulouse pour éviter que les voitures en transit ne viennent pas boucher le périphérique toulousain
Pour le métro, bien entendu que le métro doit sortir de Toulouse mais comme les couts sont très élevés pour la construction de métro la solution vient du tramway.
Pour le tramway je pense que c'est vraiment LA SOLUTION car rapide pour la construction cout plus faible que le métro et donc pour toutes ces raisons le tramway doit venir au plus prés de la deuxième voir troisième couronne toulousaine
Exemple Toulouse –Muret/ Toulouse -:LABEGE / ect...

Pour finir ne perdez jamais de vue que les utilisateurs regarderont deux choses principales LE COUT des transports mais surtout LE gain de temps vous pouvez proposer n'importe quel transport en commun, si les gens ne gagnent pas du tps ça ne marchera jamais !!!!!!!!!!!!!

Avis n°348 de : Cantaloube Didier - 31 Gragnague
Bonjour,

Voici mon analyse sur le débat "faire ou pas un contournement de Toulouse" :

1) La proportion des déplacements en transit sur le prériphérique aux heures de pointe est mineure (pourtant, c'est à ces heures-là que le problème d'encombrement se pose).

2) L'analyse faite dans le dossier distribué ne prend pas en compte la prise de conscience du peuple francais sur les aspets écologiques de notre pays et la nécessité de remettre en cause nos modes de déplacement dans un avenir le plus court possible. De plus, l'analyse a été faite sur de mauvaises basess (le ratio Euro/Dollar et le prix du baril de pétrole y sont sous-évalués et ne correspendent pas aux prix actuels et à eux à prévoir dans un avenir proche). Si tous ces facteurs avait été pris en compte à leurs justes valeurs, je pense que les résultats de l'enquête auraient été différents.

3) En conclusion au débat sur la construction ou pas d'un 2ème aéroport dans la région, la mise en place d'une liaison par TGV entre Paris et Toulouse a été préférée afin de favoriser en priorité un mode de déplacement respectueux de l'environnement en terme de production de CO2.

De la même façon, nous devons suivre le même raisonnement dans notre affaire et favoriser en premier lieu un mode de déplacement en agglomération respectueux de l'environnement en terme de production de CO2 mais aussi en terme de quantité d'énergie dépensée. En l'occurrence :

*favoriser un maillage plus dense en terme de lignes et de fréquence des navettes du raiseau de transport intra-urbain (bus au diester ou au gaz, tramway, …),

*Pour toutes les lignes SNCF aboutissant à Toulouse, faire des liaisons ferrées à 2 x 1 voie afin de favoriser la fluidité des trains et améliorer la performance en terme d'horaire (par exemple : entre Toulouse et Saint-Sulpice, il n'y a qu'une voie pour les 2 sens de circulation et les trains sont obligés de s'arrêter pour laisser passer celui qui vient en face, d'où perte de temps et risque d'erreur humaine ; cette ligne est une des plus fréquentées d'Europe).

*sur le périphérique, comme cela se fait ailleurs, faire une voie réservée aux bus, au covoiturage et aux voitures électriques.

4) Si on faisait un contournement autoroutier, son financement anhilierait le financement pour l'amélioration décrite ci-dessus des transports collectifs de l'agglomération toulousaine.

5) Qui dit contournement autoroutier, dit bouleversement d'un environnement agricole et d'un paysage industriel sans pour autant solutionner la raison principale qui est l'engorgement du périphérique aux heures de pointe.

6) Qui dit contournement autoroutier, dit déplacement/installation de certaines sites industriels près de ce contournement d'où une modification de la carte géographique du tissu industriel de l'agglomération toulousaine et de son habitat. Ceci entrainerait une augmentation de la longueur des déplacement. Il serait préférable de densifier l'agglomération toulousaine pour réduire les longueurs déplacement et rendre un maillage des transports collectifs plus efficace.

7) Afin d'absorber le trafic de transit entre A62 et A61, d'après l'étude, il ne serait pas trop difficile de passer en 2 x 4 voies sur le prériphérique EST de Toulouse. Ce serait préférable à créer un contournement controversé pour absorber ce transit.

8) On verra plus tard pour faire un contournement de Toulouse. A mon avis, ce sera plus une question sur l'utilité d'une 2ème ceinture qu'un simple contournement.



POUR TOUTES CES RAISONS, JE SUIS CONTRE UN CONTOURNEMENT AUTOROUTIER DE TOULOUSE QUI NE RÉPOND PAS AU PROBLEME POSÉ.



Didier CANTALOUBE à GRAGNAGUE (31)

Avis n°349 de : Garcia Ph
Merci mesdames et messieurs de votre réponse circonstanciée;
je demeure cependant sur mon idée de départ : j'entends bien que le
développement des espaces économiques et sociaux engendre par le fait,
une urbanisation très étalée, dûe en partie aux coûts élevés du foncier
(à ce propos, le renchérissement des énergies, risque à terme de poser
des problèmes graves de budget transport aux familles les moins
favorisées) alors que les activités économiques se concentrent elles de
plus en plus
Je pense vraiment que développer la route ne résout pas les problèmes
mais ne fait que les aggraver et témoigne d'un manque d'ambition
politique en ce qui concerne le développement de nos espaces de vie
J'ai le sentiment par ailleurs que tout est déjà décidé à l'avance et
que cette concertation ne doit aboutir qu'à un choix entre différents
tracés.
Je soutiens complètement la position des Verts Midi-Pyrénées
Vous remerciant de votre réponse
Ph. GARCIA

Avis n°350 de : Le Quentrec Marcel
Bonjour,



Losque le cancéropole sera fonctionnel nous aurons sur le périphérique sud 2000 véhicules potentiels supplémentaires

Ce n'est pas le grand contournement qui permettra d'absorber ce trafic supplémentaire

Par contre lorsque on observe les zones d'emploi on s'appercoit que une ligne de métro ou de tram (qui pourrait emprunter une partie de la rocade arc en ciel ) desservant: l'aéroport ,Airbus ,Thales ,la météo, le cancéropole et pourqoi pas le pôle universitaire de rangueil avec les correspondances appropriées aux lignes A et B résoudrait le probléme des emcombrements du périphérique sud lequel avec ce delestement pourrait absorber le trafic de transit

De plus ce projet serait bénéfique en terme écologique



Marcel Le Quentrec Conseiller municipal de Pibrac

Délégué régional MIPY de l'association EGEE





Avis n°351 de : SALACE Jean-Dominique - 81470 CAMBON LES LAVAUR
Avis environnement
Ingénieur principal EDF et chef de projet international à la retraite, j’habite depuis avril 2002 avec mon épouse en pleine campagne, en face du village de Cambon les Lavaur. Le projet de 2x2 voies risque de détruire complètement le cadre de vie que nous avons choisi et la vie sauvage que nous y avons trouvée et voulons protéger (voir annexe).
C’est pourquoi nous sommes OPPOSES à la réalisation de cette 2 x 2 voies.

La justification « a posteriori » de la nécessité d’une liaison autoroutière pour desservir des centres industriels implantés de façon volontaire en dehors des dessertes existantes nous semble sujette à caution au moment où les problèmes environnementaux liés aux transports autoroutiers et la fin programmée de production du pétrole surgissent enfin au grand jour.

L’amélioration et le développement des liaisons ferroviaires et collectives « propres » doivent être mis en œuvre en tout premier lieu, comme décidé dans le cadre du « Grenelle de l’Environnement » et à plus large échelle, proposé dans le document de synthèse du GIEC en cours de discussion à BALI.

Le développement touristique de zones bien spécifiques est envisagé AU DETRIMENT de l’environnement au sens large (espaces naturels, vie sauvage, cadre et qualité de vie paisible des habitants cadre de vie des habitants) du LAURAGAIS et c’est bien triste : les conclusions du Grenelle de l’ Environnement n’ont visiblement pas atteint les acteurs politiques et économiques régionaux qui font le forcing pour avoir LEUR AUTOROUTE. Et que dire du document de synthèse du GIEC ?


Avis projet autoroute
A t-il été demandé (autrement que par réunion publique !) les souhaits des habitants des zones concernées par les corridors (autoroute privée ou 2x2 voies publique sans péage) ? La notion d’ouvrage public a toujours été bénéficiaire aux habitants proches des infrastructures concernées, et accepté plus facilement par le public tout en minimisant interventions politiciennes et industrielles.

Par ailleurs, toute l’articulation du document est basée sur les ACTIFS, et ne considère absolument pas les INACTIFS présents dans la zone, qui comme chacun sait, contribuent aussi à la vie et aux activités économiques de la campagne, et ceci de façon généralement croissante . Cela nous semble une omission sérieuse.



Avis sur les projets de corridors

Le document de présentation en lui-même est clair et très bien présenté. Toutefois, il me semble que dans les tableaux « enjeux-contraintes » récapitulant les impacts sur l’existant, il conviendrait de mentionner, dans la ligne « technique », l’impact des travaux de construction eux-mêmes sur la vie des riverains pendant le déroulement du chantier.
Ce faisant, le tableau de la page 107 relative aux corridors C1, C et C3 (chapitre 4.4) doit être alors complété comme suit :
1. Corridor C1 : impact fort sur la circulation de la RN126 et sur la vallée du Girou (DEFAVORABLE),
2. Corridor C2 : impact moyen sur le FAGET (PEU FAVORABLE),
3. Corridor C3 : impact faible sur l’ensemble du tracé (ASSEZ FAVORABLE).

Le tableau précité montre que le tracé C3 est LE SEUL des 3 tracés étudiés a ne pas avoir d’impact DEFAVORABLE sur l’ environnement humain, le patrimoine culturel et le paysage ni sur l’environnement naturel et physique.
Les aspects techniques dont il est fait mention sont quant à eux facilement maîtrisables, pour peu que la volonté politique existe: en cette période du « Grenelle de l’Environnement », il nous semblerait aberrant de ne pas adopter le SEUL corridor SANS IMPACT DEFAVORABLE SUR L’ENVIRONNEMENT, le corridor C3, si toutefois bien sûr cette autoroute se trouvait confirmée par les plus hautes autorités de l’Etat.









Avis environnement
Ingénieur principal EDF et chef de projet international à la retraite, j’habite depuis avril 2002 avec mon épouse en pleine campagne, en face du village de Cambon les Lavaur. Le projet de 2x2 voies risque de détruire complètement le cadre de vie que nous avons choisi et la vie sauvage que nous y avons trouvée et voulons protéger (voir annexe).
C’est pourquoi nous sommes OPPOSES à la réalisation de cette 2 x 2 voies.

La justification « a posteriori » de la nécessité d’une liaison autoroutière pour desservir des centres industriels implantés de façon volontaire en dehors des dessertes existantes nous semble sujette à caution au moment où les problèmes environnementaux liés aux transports autoroutiers et la fin programmée de production du pétrole surgissent enfin au grand jour.

L’amélioration et le développement des liaisons ferroviaires et collectives « propres » doivent être mis en œuvre en tout premier lieu, comme décidé dans le cadre du « Grenelle de l’Environnement » et à plus large échelle, proposé dans le document de synthèse du GIEC en cours de discussion à BALI.

Le développement touristique de zones bien spécifiques est envisagé AU DETRIMENT de l’environnement au sens large (espaces naturels, vie sauvage, cadre et qualité de vie paisible des habitants cadre de vie des habitants) du LAURAGAIS et c’est bien triste : les conclusions du Grenelle de l’ Environnement n’ont visiblement pas atteint les acteurs politiques et économiques régionaux qui font le forcing pour avoir LEUR AUTOROUTE. Et que dire du document de synthèse du GIEC ?


Avis projet autoroute
A t-il été demandé (autrement que par réunion publique !) les souhaits des habitants des zones concernées par les corridors (autoroute privée ou 2x2 voies publique sans péage) ? La notion d’ouvrage public a toujours été bénéficiaire aux habitants proches des infrastructures concernées, et accepté plus facilement par le public tout en minimisant interventions politiciennes et industrielles.

Par ailleurs, toute l’articulation du document est basée sur les ACTIFS, et ne considère absolument pas les INACTIFS présents dans la zone, qui comme chacun sait, contribuent aussi à la vie et aux activités économiques de la campagne, et ceci de façon généralement croissante . Cela nous semble une omission sérieuse.



Avis sur les projets de corridors

Le document de présentation en lui-même est clair et très bien présenté. Toutefois, il me semble que dans les tableaux « enjeux-contraintes » récapitulant les impacts sur l’existant, il conviendrait de mentionner, dans la ligne « technique », l’impact des travaux de construction eux-mêmes sur la vie des riverains pendant le déroulement du chantier.
Ce faisant, le tableau de la page 107 relative aux corridors C1, C et C3 (chapitre 4.4) doit être alors complété comme suit :
1. Corridor C1 : impact fort sur la circulation de la RN126 et sur la vallée du Girou (DEFAVORABLE),
2. Corridor C2 : impact moyen sur le FAGET (PEU FAVORABLE),
3. Corridor C3 : impact faible sur l’ensemble du tracé (ASSEZ FAVORABLE).

Le tableau précité montre que le tracé C3 est LE SEUL des 3 tracés étudiés a ne pas avoir d’impact DEFAVORABLE sur l’ environnement humain, le patrimoine culturel et le paysage ni sur l’environnement naturel et physique.
Les aspects techniques dont il est fait mention sont quant à eux facilement maîtrisables, pour peu que la volonté politique existe: en cette période du « Grenelle de l’Environnement », il nous semblerait aberrant de ne pas adopter le SEUL corridor SANS IMPACT DEFAVORABLE SUR L’ENVIRONNEMENT, le corridor C3, si toutefois bien sûr cette autoroute se trouvait confirmée par les plus hautes autorités de l’Etat.









Avis n°352 de : Guillot René - 31130 Quint-Fonsegrives
Tous les lundis la rocade est encombrée de camions qui ont stoppé leur trajet et qui ont stationné sur les aires de repos de l'autoroute,( n'étant pas autorisés à rouler le weekend). Le moindre incident, même le plus mineur provoque une ruptute dans la filuidité , il en résulte des bouchons de plusieurs kilométres.
Que va t'on faire dans quelques années étant donné que rien ne va changer bien au contraire les habitants du Lauragais et de l'Est Toulousain vont de plus en plus travailler au centre et à à l'ouest de Toulouse?
Il faut éloigner le flux de transit de la rocade qui sera réservé aux échanges de travail dans l'agglomération. Le transport en commun qui ne représente que 8% du trafic , n'est pas prêt à prendre la relève, il ne faut pas réver !

Avis n°353 de : Romagon François - 31620 Labastide St Sernin
J'ai pris connaissance du dossier concernant le contournement autoroutier de Toulouse.
Je suis très surpris d'apprendre qu'il est envisagé de construire une autoroute alors que l'on met l'accent sur le Grenelle de l'environnement.
Quel est l'intérêt de ce contournement alors que 90% du trafic sur la rocade est lié aux déplacements des usagers sur Toulouse?
Ne devrait-on pas mettre en place des transports en commun beaucoup plus performants?
A la question "Etes-vous favorable à la construction du contournement autoroutier de Toulouse?"
Ma répones est non.

Le 16.12.2007

Avis n°354 de : Senand Huguette - 31460 Caragoudes
Plutôt que de se lancer dans un projet de GCAT (que ce soit à l'Est+Sud ou à l'Ouest), il me parait plus opportun, important et intéressant:
- de réfléchir aux moyens
- d'améliorer la circulation dans la métropole toulousaine
- de renforcer une politique des alternatives à la route (transports en commun-ferroutage)
- de repenser un système économique privilégierait les échanges locaux et réduirait les besoins de transport.
Je dis non au GCAT.
Il faut laisser l'automobile s'asphyxier. Il ne faut pas lui faire" le bouche à bouche" (F. Matricon)

Avis n°356 de : Roy Pauline
Je suis opposée à ce projet qui repose sur une justification fallacieuse
et sape l'avenir.

1. _Une justification fallacieuse_**

Dans le dossier du débat public, la DRE laisse entendre que les efforts
prévus en terme de développement des transports « doux » ne sont pas de
nature à répondre à la situation qui se dessine pour 2020. Cette
argument est doublement fallacieux :

* En premier lieu, les solutions envisagées pour le développement des
transports « doux » est-elle suffisante ?

On peut lire, à la page 33, que la moitié des déplacements locaux
empruntent le périphérique sur des distances inférieures à 5 km et par
ailleurs et que l'anneau toulousain « est la seule infrastructure qui
permet des trajets de périphérie à périphérie, voire dans certains cas,
de quartier à quartier ». Cet état de fait témoigne d'un cruel manque en
transports en commun, et l'on ne s'étonnera pas que la Cour des Comptes
Régionale ait récemment épinglée l'agglomération toulousaine comme étant
celle parmi les grandes agglomérations de France ayant le moins
d'équipement de transports en commun par habitant.
Comment résorber ce manque ?
Le document du débat public (p. 59) indique la création de deux lignes
de tramway. Ce programme est bien peu ambitieux au regard de la
proposition du collectif PDU, à savoir la constitution d'un réseau de
sept lignes de tramway couvrant la banlieue.
Toujours à la même page, on peut lire qu'il est envisagé la création
d'une ligne de transports collectifs circulaire « en site propre sur la
rocade avec ou sans réduction du nombre de voies ». Le document précise
que dans le cas où une voie serait réservée aux bus urbains au détriment
des autres véhicules, le trafic baisserait de 27 %, ce qui n'est pas
négligeable ! Mais cette solution n'a pas la faveur de la DRE car elle
ferait chuter les vitesses de circulation et « paraît donc difficilement
acceptable pour la population ».
1^ère remarque : Et si on combine cette solution à celle d'un réseau de
7 lignes de tramway couvrant la banlieue, quelle est la diminution du
trafic ?
2^ème remarque : Il faudra bien admettre que la réduction de la part de
la voiture dans les déplacements exige non seulement de développer
l'offre de transports en commun et de faciliter les déplacements à vélo
et à pied, mais également de rendre plus contraignants les déplacements
automobiles.

* En deuxième lieu, les hypothèses relatif à la situation en 2020 repose
sur un double postulat.doublement erroné :

Le premier postulat est que l'hypermobilité actuelle (aussi bien les
trajets effectués par les particuliers que les transports marchands) est
amenée à augmenter. Il ne tient pas compte de l'augmentation
structurelle (due à leur raréfaction) du prix de l'énergie et des
matières premières en général (outre le prix du carburant, on ne pourra
pas continuer longtemps à user, donc à fabriquer, des véhicules à un tel
rythme).
Le deuxième postulat est que l'agglomération toulousaine va continuer de
croître. On oublie qu'une grande partie des emplois de l'agglomération
sont liés (directement ou indirectement) à Airbus, et que le nombre de
ces emplois est amené à diminuer considérablement à moyen et à long
terme (en raison des logiques économiques et de l'effondrement prochaine
de l'aviation civile).

2. _Un projet qui sape l'avenir_

Force est de constater que malgré les difficultés actuelles de
circulation sur la rocade aux heures de pointe, des gens travaillant à
Toulouse font le choix d'aller habiter qui à Briatexte, qui à
Monclar-de-Quercy, etc. En faisant construire leur pavillon dans ces
zones rurales, en même temps qu'ils détruisent ce qu'ils viennent
chercher à la campagne, ils accroissent à la ville ce qu'ils fuient
peut-être : la circulation routière et son cortège de nuisances.
Ne favorisons pas cette « rurbanisation » avec une infrastructure
routière supplémentaire !

La DRE se veut rassurante : le document indique qu'il faudra maîtriser
l'étalement urbain, notamment en « faisant le choix d'un nombre très
limité de points d'accès et d'échanges et en inscrivant les dispositifs
d'échanges dans une logique de voirie ou d'urbanisation existante. »
1^ère remarque : la création de nouvelles zones d'activités est
inévitable, au mieux l'étalement urbain sera « maîtrisé ».
2^ème remarque : cette infrastructure, financée par des entreprises,
comporterait un péage : comment imaginer qu'on ne cherche pas à la
rentabiliser, donc à en favoriser l'accès ?
3^ème remarque : Tout en prétendant être raisonnable, limiter les
dégâts, on continue à artificialiser les terres. Quand va-t-on s'arrêter
? Cette artificialisation, quasi-irréversible, ne nous inquiète guère
dans la mesure où nous avons l'impression de ne pas manquer d'espace.
Comment ferons-nous dans un avenir plus ou moins proche (15, 20, 30 ans
?) lorsqu'il faudra de nouveau produire localement, à proximité des
villes et de façon plus extensive ?

En conclusion, ce projet repose sur un faux réalisme, une mauvaise
anticipation du futur, et créera bien plus de problèmes qu'il n'en résoudra.

Avis n°357 de : Foglia Jacqueline - 81500 Veilhes
Le bénéfice de ce contournement?
Au détriment de la pollution et l'environnement et la pollution?
Quel progrès!

Avis n°358 de : Berthelot 
ce projet n'est pas sans rappeler celui relatif au nouvel aéroport toulousain"indispensable"au vu des études publiées initialement,et dont il a été démontré l'incohérence et l'inutilité .

je crois que le président de la république a été très clair lors du grenelle de l'environnement du 25:10:07et que maintenant,il faudrait que le bon sens ,le réalisme et le soucis de l'avenir imprègne nos décideurs tant politique,qu'économique et sociaux.

pour trouver des solutions à ces problèmes,très réels,il faudrait regarder les acteurs/facteurs polluants,et dans l'ordre de la dangerosité rechercher les solutions adaptées et non amplifier les problèmes.

-en tenant compte de:

1:facteurs d'émission de CO2 sur un trajet Toulouse/paris:

-TGV:4,2kg de CO2 pour 100 voyageurs par 1 km

-AVION(A320-200)17,2 kg

-automobile:14,1kg

2:consommation énergie sur ce même trajet

-TGV:30kwh pour 1 passager

-AVION:244 kwh

-voiture:105 kwh

comment défendre encore la cause des transports aériens ou par la route sur ce type de trajet?

si l'on doit alors prendre en compte les problèmes liés à l'usage des poids-lourds le problème ne fait que aggraver.

devra-t-on attendre que la nature reprenne elle même sa place,car dans ce domaine,nous n'aurons pas le dernier mot.les tempêtes,raz de marée,cyclone....seront toujours hors de notre "illusoire"contrôle.

il est tout de même incroyable que l'homme,l'élément lu plus"abouti"de cette création,doté d'un mental et d'un intellect,soit le seul à être capable de s'auto-détruire.

alors:NON à ce projet,car son but final qui peut paraître louable,va à l'encontre du bon sens et de la survie de notre planète



Avis n°359 de : ROCHELEUX Christian - 31500 TOULOUSE
Mesdames et Messieurs,
Il s'agit d'un simple avis personnel. Habitant près du périphérique, le contournement est devenu indispensable pour diverses raisons, entre autres le risque sanitaire réel clairement démontré par un intervenant sur le site.
La solution Est est la plus souhaitable : la plus justifiée par la circulation principale, totalement respectueuse du val de Garonne (pas de nouveaux ponts à construire), suffisamment éloignée de l'agglomération et probabement la moins coûteuse.
Proposition: les autoroutes existantes et la topographie commandent !
Embranchement à l'Ouest sur A 62 à hauteur St Jory et à l'Est au carrefour A 61(Carcassonne) et A 66 (Pamiers). Entre les deux : itinéraire par vallée du Girou et à travers les collines du Lauragais. Sur l'itinéraire, au maximum un échangeur (vrai) avec autoroute Albi et un autre (ou carrefour) avec route de Revel pour limiter au mieux l'inévitable mitage rural.
Restera le problème pendant de la circulation des camions vers le Sud ( couloirs réservés ?).
Ce contournement ne peut être une fin mais un élément de progrès au bénéfice de l'agglomération toulousaine et au sein du réseau plus vaste
à moderniser de la Région Midi-Pyrénées.
Avec mes remerciements pour votre attention. CR

Avis n°360 de : GROSJEAN Olivier - 31200 TOULOUSE
Hypothèses trés contestables!
La justification du projet d'autoroute repose sur des projections de croissance de trafic tout à fait contestables!
Il faut dénoncer cette erreur de raisonnement consistant à projeter dans l'avenir ce qui s'est déroulé dans le passé!
Il existe des ruptures prévisibles.
La croissance du trafic automobile des dernières années ne peut pas se maintenir pour les prochaines décennies.
Il y aura une rupture désirée et inscrite dans l'engagement européen à réduire les émissions de CO2.
Il y aura une rupture nécessaire du fait de la raréfaction / du renchérissement du pétrole.
S'il vous plait prenez en compte ces faits et corrigez l'argumentaire du projet.
Mais abordons des faits déjà palpables:
Aujourd’hui avec l'ouverture du METRO, l'augmentation d'utilisation des transports en commun TISSEO est de 25% (d'après ldp).
Cela traduit bien une attente des Toulousains, et personne ne peut le nier.
En conséquence, l'afflux de passagers supplémentaires causé par la seconde ligne permet de réfuter tout de suite les hypothèses de croissance du trafic automobile sur lesquelles le projet est justifié.
S'il vous plait Monsieur le Président, Monsieur Bernet traduisez dans vos conclusions la contestation souvent exposée des hypothèses tendant à justifier ce projet.
PS de Noël: il y a 25 ans les projections de consommation de truffes nous permettaient d'envisager un réveillon 2007 avec un foie gras agrémenté d'un véritable morceau de truffes.
Que nenni! Du fait du réchauffement climatique et des sécheresses la production a été divisée par 20. Et je ne pense pas ni vous ni moi ne mangiez de véritables truffes cette année

Avis n°361 de : BERTHOUMIEUX Michel - 31 077 TOULOUSE
Monsieur le président, je vous prie de bien vouloir trouver ci jointe, la déclaration formalisée que j'ai été amenée à exprimer, au nom du président du CESR de Midi Pyrénées, lors de la réunion finale de la CPDP


Votre pré- conclusion du débat public mentionne un avis « oui, si … » du Conseil Economique et Social Régional de Midi Pyrénées et une remarque a été faite dans la salle sur cette mention. Au nom du président J.L. CHAUZY qui n’a pu se libérer ce soir, je crois indispensable d’apporter les précisions suivantes à votre commission particulière du débat public:

Le 9 juillet 2007, le bureau du CESR de Midi Pyrénées a considéré que le débat sur le grand contournement autoroutier dans l’aire urbaine de Toulouse était d’intérêt régional. Il a chargé la commission aménagement du territoire et environnement de préparer une contribution.

Après plusieurs auditions, cette commission a élaboré un projet de contribution. Son contenu formule des réserves sur le projet de contournement autoroutier tel que soumis au débat public. Il esquisse quelques propositions, mais conclu par une opposition au projet de l’Etat.

Ce projet de contribution a été soumis à l’assemblée plénière du 17 octobre 2007. La formulation de l’avis et sa conclusion n’ayant pas paru satisfaisante, après vote, une majorité de conseiller a demandé le retrait du projet de contribution. Cette majorité a souhaité que ce travail soit repris, en priorité, après le renouvellement et l’installation du CESR programmée pour le 19 novembre 2007.

Suite au renouvellement de plus de 40 % de l’assemblée, la nouvelle commission aménagement du territoire a retravaillé sur un projet de contribution. Malgré des reformulations et quelques amendements, le contenu et les conclusions du projet de contribution sont restés très proche de ceux préparés sous la précédente mandature du C.E.S.R.

Ce projet de contribution a fait l’objet d’un large débat lors de la séance plénière du CESR du lundi 17décembre 2007. Il a été rejeté par 54 voix contre 37 et 12 abstentions

En conséquence, même si le CESR de Midi Pyrénées n’apporte pas une contribution formalisée au débat public, ses echanges internes et les conséquences du vote permettent d’affirmer, sans rentrer dans tous les détails, qu’il est, dans sa majorité, favorable au principe d’un grand contournement autoroutier dans l’aire urbaine toulousaine, et qu’il souhaite que tout soit mis en œuvre pour en atténuer les divers impacts négatifs.

Michel BERTHOUMIEUX

Président de la commission aménagement du territoire et environnement du C.E.S.R de Midi Pyrénées

Avis n°362 de : RIVIERE Alain - 31750 ESCALQUENS
Voici un avis non exprimé hier au dernier débat, ayant du partir avant la fin :
1,4G€, c'est cher pour gagner quelques mn dans 15 ans sur le périphérique toulousain, cela représente 26 fois le budget principal du SICOVAL, 200 fois celui de la commune d'Escalquens. Cela représente 70km de tramways qui eux pourraient régler durablement ces encombrements.
En réalisant ce projet, on plombe l'avenir deux fois :
- en mobilisant des moyens financiers importants qui seraient plus utiles ailleurs,
- en contributant à alourdir le coût des mesures d'atténuation et d'adaptation au changement climatique qu'il faudra bien prendre, de gré ou de force.

Les décideurs qui soutiennent encore ce projet seraient mieux avisés de préparer les transferts d'emplois des secteurs aéronautiques et automobiles vers les secteurs du bâtiment et des transports collectifs induits par le changement climatique que de brosser les automobolistes dans le sens du poil par un projet démagogique, ruineux et inefficace.

Je termine par une suggestion pour amener les administrations à basculer vers des projets durables : conditionner la rémunération des hauts fonctionnaires concernés aux km autoroutiers évités, à la biodiversité sauvée, aux énergies fossiles économisées, ...

Merci à la CPDP pour l'ogansisation des ces débats.

Alain RIVIERE, conseiller municipal à Escalquens (31750), conseiller délégué au SICOVAL, vice-président du SMEPE31 (rattaché au Conseil Général), secrétaire de l'association Escalagir en Lauragais.

Avis n°363 de : Lafabrie Jean-Louis - 31100 Toulouse
Appel aux pouvoirs publics !!
Le dossier du débat public sur le grand contournement est à mon avis à la fois pertinent et de qualité.
Il démontre clairement le caractère inéluctable de l'évolution de l'agglomération toulousaine avec une caractéristique particulière de faible densité (qui ne va pas s'infléchir de façon significative !) ce qui implique un étalement important et donc une complexité particulière pour tous les déplacements.
La projection de cette évolution en terme d'activité, de population entraîne une évolution incontournable du nombre d'automobiles, et ce malgré l'évolution prévisible du prix des carburants et même de sa future raréfaction (des solutions alternatives sont en route et prendrons le relais en temps utile)
La situation actuelle au quotidien est à la limite du supportable quelle que soit la direction prise vers les villages devenus villes sur toute la couronne toulousaine, et ce avec une fréquence et une amplitude de plus en plus grandes.
Il est évident que le développement des transports en commun (métro, bus, tramway..) tel que prévu par exemple dans le livre blanc de Tisséo peut contribuer à améliorer de façon sensible les conditions de circulation dans de nombreuses zones. De même, les solutions intelligentes du style : covoiturage, transport d'entreprise, utilisation de la bicyclette .....sont à encourager et développer.
Autant je suis persuadé de la nécessité de réaliser ce grand contournement (sans péage) sud+est à la distance la plus faible possible : 10 à 15 Kms maxi, car il va forcément contribuer à délester la rocade existante et constituer une voie de secours, autant je suis convaincu qu'il est encore plus nécessaire et urgent de réaliser les travaux de voierie envisagés dans le schéma directeur de l'agglomération daté de 1998 et quasiment au point mort.
La situation est déjà catastrophique pour tous les critères permettant d'objectiver la question : pollution, gaspillage de temps, d'énergie, blocage total au moindre incident, gâchis économique au quotidien .........la collectivité au sens large s'auto-pénalise en étant incapable de s'organiser et de réagir face à ces problèmes de transport des personnes et des marchandises.
J'ai bien saisi que le débat concerne exclusivement (hélas !!) le grand contournement de Toulouse, néanmoins, je suis persuadé qu'ayant pris conscience de la situation (y compris politique !), M. Bernet ainsi que tous les membres de la commission sont à même d'expliciter au plus haut niveau la réalité de la situation et son évolution sur l'ensemble de l'agglomération et du fait que le seul contournement ne peut régler valablement le problème.
Ma démarche vise donc, à travers vous, à interpeller les pouvoirs publics pour structurer cette nécessaire réflexion globale au delà des clivages politiques et des intérêts particuliers.
Seul l'état peut coordonner, piloter une démarche intelligente et innovante, permettant de faire travailler dans l'intérêt de la région la diversité des maîtres d'ouvrage concernés.
Le préfet de région, les préfets des départements concernés, s'ils sont mandatés par les ministères compétents peuvent faire bouger la situation.
M. Bernet, vous avez pu constater la nécessité et l'urgence de décisions, je souhaite que ma requête figure d'une façon ou d'une autre dans votre compte-rendu et je sollicite le serviteur de l'état que vous êtes pour que vous interveniez dans ce sens auprès du ministre concerné.
Avec mes respectueuses salutations.

Avis n°364 de : Rousset Thierry - 31320 Péchabou
Bonjour,
je serai le premier à me passer de ma voiture pour aller travailler, l'essence et les conditions de circulation déplorables sur Toulouse y poussent.
Dommage d'avoir fait de Toulouse une ville où circuler est devenu impossible alors que des axes transversaux pouvaient être créés bien avant l'urbanisation actuelle.
La faute à nos dirigeants locaux incapables de se mettre d'accord pour privilégier l'intérêt général face à leurs idéologies politiques opposées !
Des Km de garonne infranchissables entre Lacroix-Falgarde et Empalot alors que se construit le Cancéropole, il y a la place de faire un pont maintenant qu'il y a réorganisation du site. Cela éviterait à ceux qui travaillent à Thibaut ou Portet de faire un détour d'où des économies de carburant substantielles et par la même moins de pollution (et oui une voiture au ralenti ca pollue encore plus qu'une qui roule à 50 Km/H mais ça nos élus n'appréhendent pas les aspects techniques).
Enfin pour teminer prendre le métro c'est bien, mais quant on voit qu'aucune ZI ou Airbus par exemple ne sont desservis il y a de quoi se demander si nos élus ont conscience des problèmes de la vraie vie ou bien s'ils se fichent du peuple pour dire au gens "prenez les transports en commun pour aller travailler". Certains devraient aller sur le terrain pour voir comment ça se passe dans la vraie vie celle de tous les jours et non pas celle de château !
Quand au grand contournement celui-ci est indispensable et il faut arrêter de dénigrer l'automobile, certains polluent plus par leurs idées que toutes les voitures toulousaines réunies. Le bon compromis c'est quand chacun vit en harmonie et en bonne intelligence. Le dénigrement et la stigmatisation n'ont jamais rien fait avancer alors stop à la fanatisation de la part de certains !

Avis n°365 de : GROSJEAN Olivier - 31200 TOULOUSE
L’information donnée au public doit comporter les tarifs de péage.
Lorsque l’on consulte le public sur l’utilité d’un tel projet autoroutier à péage, les tarifs prévisionnels des péages devraient figurer dans le dossier d’information.
En effet, l’utilité d’une autoroute pour un futur utilisateur dépend grandement de son coût d’utilisation. Quelle serait l’utilité d’une autoroute, dont le droit de péage dissuaderait de son utilisation ?
Je souligne donc une lacune importante dans le déroulement du débat, car à ma connaissance ce point n’a jamais été précisé.
D’après mes analyses très schématiques, j’évalue le montant minimum du droit de péage nécessaire à la viabilité économique du projet à 5 Euros, et conjointement un relèvement des droits de péage à Sesquières et à Labège pour accéder à la rocade Est de 0.6 Euros à 1.8 Euros.
Malgré ces montants, il est probable que des fonds publics soient également exigés annuellement par le concessionnaire pour assurer la rentabilité du projet : cela existe et s’appelle la « subvention d’équilibre ».
Je pense que si tout ceci était porté à la connaissance du public, nombre d’automobilistes favorables au projet seraient désenchantés et apprécieraient différemment le projet.
On peut alors prévoir une contestation des péages comme cela a déjà été vécu avec Portet et comme c’est toujours d’actualité avec les demandes répétées de recul des péages ; demande à laquelle je ne m’associe nullement.
Dans les conclusions du rapport de la commission, je pense qu’une place plus importante doit être accordée à ces problèmes de péage : son montant, le problème de son acceptation par le public, la rentabilité économique du projet. Je fais cette remarque par rapport à la présentation préliminaire faite par le Président lors de la réunion finale du 20 décembre à TOULOUSE.

Avis n°366 de : Matthewman Andrew - 31570 Aurin
L'attractivité de la région toulousaine se base à la fois sur les possibilités d'emplois qualifiés, la taille encore restreinte de l'aire métropolitaine (par rapport à d'autres grandes villes) et le patrimoine naturel et bâti de la région qui l'entoure.
Un grand contournement autoroutier de Toulouse viendrait détruire la politique d'aménagement du territoire qui vise à préserver ce patrimoine. Il renfermerait l'agglomération toulousaine dans son mode de croissance actuelle, où elle s'étale de manière non concertée en étouffant de plus en plus chaque année les terres environnantes. Plutôt que de soulager la durée et la pénibilité des déplacements quotidiens de la population, un GCAT nous enfoncerait encore plus dans la voie sans issue de l'urbanisation telle que nous l'avons connue jusqu'à présent.
Si elle devait traduire son ambition de "grande ville européenne" uniquement en termes de quantité au détriment de la qualité de la vie pour laquelle elle est connue et reconnue, l'agglomération toulousaine tuerait la poule aux oeufs d'or en devenant un "mégapole comme les autres". Elle perdrait sa spécificité pour les emplois industriels et tertiaires en même temps que son attractivité touristique.
Contrairement aux affirmations de certains qui voient dans le GCAT le vecteur d'un développement économique soutenu à moyen et long terme, il risque plutôt d'y nuire quand les travailleurs et les entreprises auront compris que la région toulousaine n'est plus un endroit où l'on a du plaisir à vivre.

Avis n°367 de : Roy Pauline - 31100 Toulouse
Bonjour,

Nous sommes encore dans une phase où les transports s’accroissent et il est évident que la tendance va s’inverser, mais on ne sait pas encore dans combien de temps précisément. Toutefois, si ce projet est réalisé, on peut supposer qu’il remplira sa fonction pour 10 à 15 ans au maximum ; ce qui est par ailleurs suffisant pour générer un étalement urbain, sachant que les zones d’activités et d’habitat devraient se rapprocher de la future infrastructure avant sa mise en service. Cette durée est dérisoire au regard du coût financier d’une telle infrastructure mais surtout au regard de l’altération IRREVERSIBLE des espaces naturels et agricoles situés à proximité de Toulouse et dont l’utilité s’inscrit dans une durée INDEFINIE et sera même accrue avec la fin de l’énergie bon marché.

La civilisation des véhicules motorisés sera un phénomène éphémère à l’échelle de l’Histoire de l’Homme, pensons-y.

Avis n°368 de : Faure Sabine - 31140 Montberon
Ce projet de contournement est censé participer à la résolution du problème de trafic dans Toulouse. Je pense que ce projet ne résoudra absolument pas dans le long terme ce problème.

Voici quelques réflexions ci dessous:

1/ Dans ce projet de contournement, l'étalement urbain lié à l'addition d'échangeurs n'a pas été simulé/inclus dans les hypothèses.

Or dans la réalité, tous les contournements qui on été créés autour des grandes villes (Paris, Los Angeles, San Francisco) ont certes dans les premières années ammené quelques améliorations du trafic, mais dans le long terme, ces contournements ont favorisé l'étalement urbain de ces grandes métropoles devant un étalement incontrôlé... et le trafic encore plus perturbé.

Exemple, Paris Croix de Berny en 1988 on attendait 20 min. Aujourd'hui facilement 1h aux heures de pointe. Los Angeles : malgrès les 5 voies le trafic peut etre bloqué même en pleine nuit.

Je n'ai pas en tête un seul exemple ou un coutournement dans une grande métropole dans le long terme a permis de résoudre le problème de trafic journalier.

2/ Dans notre cas, il faut améliorer la circulation à Toulouse et donc favoriser les transports en commun domicile-travail. Aujourd'hui beaucoup de personnes vivent en périphérie et travaillent dans les 2 grands pôles Labège/ Rangueil et Blagnac/Colomiers.

Il faudrait créer un " périphérique ferroviaire " à environ 10 kms de Toulouse, (soit un total d'environ 60 km), avec une gare tous les 5kms.
Chaque gare aurait un parking assez grand pour permettre aux personnes de laisser leur voiture.
Les gares situées à Labège, Rangueil, ou Blagnac/Colomiers auraient un réseau de bus/minibus permettant de véhiculer les personnes vers leur lieu de travail, sur un rayon de 3 ou 4 km.

3/ Une autouroute avec ses échangeurs favorise l'étalement urbain. Si une autoroute devait être considérée, ne faudrait-il prévoir une autoroute ou simplement une double voie sur Montauban/Albi/Castres/Béziers? Ceci permettrait de redynamiser certaines zones de notre territoire.

4/ Quel est le plan d'aménagement du territoire sur la France / Europe.
Va-t-on vers un développement de grandes mégapoles ou bien d'autres développements favorisant l'aboutissement de ville moyenne de 200/300 000 habitants sont-ils envisagés?

En effet, aujourd'hui beaucoup de personnes apprécient d'être proches d'une ville (activités économiques, activités culturelles, etc.). Une ville doit donc être assez grande pour offrir une grande diversité, mais rester de taille raisonnable pour éviter les problèmes de trafic, zones de non-droit, etc.

D'avance merci pour vos commentaires

Sabine Fauré

Avis n°369 de : simonne martine - 31770 colomiers
Ce n'est pas une question mais plutôt un avis : je pense que les millions dépensés pour un grand contournement pourraient mieux être utilisés en agrandissant les moyens routiers existants et en développant intelligemment les transports en commun ; en effet si dans Toulouse intra-muros la circulation via le métro est facilitée, il n'en est pas de même en banlieue où il faut 1h40 de transport en commun contre 40 minutes en voiture! D'autre part, la majorité des déplacements ne sont pas extérieurs à l'agglomération, ce sont pour la plupart, comme vous le faisait remarquer un des participants au forum (à qui vous n'avez même pas pris la peine de répondre) les déplacements des personnes qui vivent à l'est et vont travailler à l'Ouest et vice-versa ; et ce qui empêche la fluidité du trafic ce sont tous les goulots d'étranglement quand la rocade passe de 3 à 2 voies ou carrément au niveau des échangeurs à 1 voie!!; sans recourir à une rocade à 4 voies, un peu de bon sens permettrait, en élargissant ces goulots, de rétablir la fluidité du trafic; d'autre part habitant à l'ouest et ayant l'occasion de me rendre souvent dans le Gers, je pense que là aussi si on veut désenclaver ce département (mais je pense que pour le Tarn ou l'Aveyron il en est de même), il suffirait d'élargir à 4 voies les routes existantes comme les nationales Toulouse-Auch ou Toulouse-Castres. Au niveau de Toulouse, on peut noter quelques initiatives intéressantes comme passer à 4 voies le boulevard Eisenhower, mais pourquoi ne pas avoir été jusqu'au bout et prolonger la rocade arc-en-ciel pour la relier à l'autoroute A64 allant vers Tarbes, ce qui desservirait toutes les zones commericales de Portet et Roques ? Enfin un nouveau contournement serait une fois de plus générateur de nouvelles nuisances et d'extensions immobilières vers la campagne, alors que le Grenelle de l'environnement a émis comme consigne de stopper les nouveaux projets autoroutiers au profit des transports en commun. Il pourrait être judicieux de regarder ce qui se passe dans d'autres pays d'europe où ceux-ci sont tellement bien développés que la voiture reste le plus souvent au garage.
Je vous remercie de prendre en compte ma modeste contribution au débat ;
Cordialement
M Simonne

Avis n°370 de : Alagille Laurence - 31400 Toulouse
Bonjour,

Tout d'abord, je voudrais vous féliciter pour l'organisation du débat public : pluralité des moyens d'information et d'expression, mise à disposition de l'intégralité des documents et contributions, c'est parfait.

Concernant le projet de contournement routier de Toulouse, je n'aurai pas le même enthousiasme :

- L'étude part avec des présupposés (un contournement, une autoroute) et des données statistiques incomplètes (étude des trajets sur la rocade actuelle par exemple) et des prospectives hasardeuses (prix du baril de pétrole maxi à 100 euros par exemple) et des contradictions concernant le SDAT : tout ça n'est pas raisonnable. De plus, je comprends
bien qu'on veuille profiter d'un projet d'Etat, mais n'oublions pas que l'Etat vit au-dessus de ses moyens depuis des années, il n'est pas forcément de bon conseil et a d'ailleurs sans doute participé à l'engorgement de Toulouse en reportant bon nombre de projets situés sur la région.

- On est dans une période où il faut être économe en énergie dépensée et on veut faire faire des kms supplémentaires à tous ceux qui passent par Toulouse. Il me semble que la liaison Nord-Méditerranée est bien positionnée avec la rocade est. D'autant plus que l'emprise RFF autorise un doublement ferroviaire. UN NOUVEAU CONTOURNEMENT PAR L'EST SE JUSTIFIERA UNIQUEMENT LE JOUR où LE FRANCHISSEMENT CENTRAL DES PYRENEES SERA avéré. Il n'est cependant pas idiot de réserver des emprises entre villes moyennes au cas où.

- IL MANQUE en revanche UN LIEN ENTRE LES AUTOROUTES A61 et A64 AU SUD pour la liaison Atlantique-Méditerranée. L'idéal serait qu'il soit utilisable (rapidement, cf cancéropôle va augmenter le trafic en 2008) par les conducteurs venant de ces autoroutes autant que par ceux allant de Saint-Orens à Portet et sans péage. Cet idéal semblant compromis par les contraintes de terrain (bord de garonne et captages et dénivelé et urbanisation de Ramonville et Castanet) et le désengagement choisi en matière d'investissement public, alors relions le nord de Muret (pour utiliser la plate-forme fret de Portet) à Baziège ou Villefranche-de-Lauragais par autoroute, et règlons le trajet Portet Saint-Orens Balma par les transports en commun.

- Je me demande bien pourquoi le SDAT considère le contournement sud 'non prioritaire' (p49). Dans l'ensemble, ce plan paraît bien léger au regard de la surface de l'agglomération. Au vu de l'encadré p51 et de quelques contributions au débat, je soupçonne des dissentions entre communes. Alors, à quoi servent la Communauté d'Agglomération, les SCOTs, le Département, la Région... si ce n'est à fédérer les communes pour le bien de tous.

- La rocade Arc-en-ciel constitue déjà une ébauche de second contournement routier à l'ouest. L'état de son prolongement n'est pas clair : contradiction entre p49 et p51.

- Je ne suis franchement pas persuadée qu'un contournement autoroutier soit indispensable mais si jamais il est décidé, alors surtout, il faut TROUVER UN MEDIATEUR SUPER-EFFICACE pour coordonner les actions des élus locaux en matière d'aménagement. Et trouver un NEGOCIATEUR attaché à la PRESERVATION DES FONDS PUBLICS. Il n'y a pas "transfert... des risques au concessionnaire" comme indiqué p102 si il y a subvention d'équilibre ou d'investissement en pourcentage! Parce que 2020, ce n'est pas très loin de l'épuisement des
ressources annoncé. Et quitte à utiliser les impôts, autant le faire au départ et assurer la gratuité de circulation.

Remarques annexes :

- Concernant les Transports en Commun sur Toulouse et sa banlieue, il faudrait vraiment pouvoir transporter son vélo dans TOUS les TC, car bien souvent, on en a besoin AVANT DE PRENDRE UN TC ET EN SORTANT DU TC.

- Par ailleurs, on peut développer le covoiturage pragmatique et local ; pour transformer les besoins de transports - et quand c'est possible -, on peut décaler les horaires de travail (et pour faire d'une pierre deux coups, adapter les horaires de travail à la chronobiologie des individus), favoriser le télétravail au moins à temps partiel, et les visio-conférences.

Merci de votre attention.

Avis n°371 de : Sarrau Marie - 31400 TOULOUSE
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ?

Mon avis :
Ce projet serait très lourd en impacts environnementaux (impeméabilisation des sols, disparition et fragmentation d'espaces naturels, effets de coupure dans les territoires traversés, disparition de surfaces d'utilité agricole, facteur d'étalement urbain, nuisances sonores, etc.).
Ce projet est conçu dans un shcéma de pensée obsolète, qui ne prend pas en compte de manière réaliste les questions de dérèglement climatique et n'est pas en phase avec la nécessaire politique de rupture sur laquelle s'accordent aujourd'hui la plupart des gouvernements du monde entier.

A la question "faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ?", je réponds : NON !

Avis n°372 de : SARRAU Françoise - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ?

Mon avis :
Ce projet est dévastateur en matière d'environnement, il serait une incitation à toujours favoriser le mode routier ; il va à l'encontre de la nécessaire réduction des gaz à effet de serre ; nous devons engager avec vigueur la lutte contre le réchauffement climatique.
Ce projet de Grand contournement autoroutier de Toulouse relève d'un autre âge, à l'heure où les gouvernements du monde entier s'accordent sur l'urgente nécessité de repenser nos modes de vie, et notamment de déplacement en faveur de pratiques raisonnées aussi bien économiquement qu'écologiquement.

A la question "Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ?", je réponds : NON !

Avis n°373 de : LELONG Odile - 31000 TOULOUSE
Vu mon âge et le montant de ma retraite, vu le peu de rentabilité attendu du grand contournement, vu les frais que la mairie nous impose pour des façades même pas sales ! Je n'ai pas envie de m'endetter.

Avis n°374 de : THURIOT Eric - 31280 Drémil-Lafage
Habitant de Drémil Lafage et très intéressé par les domaines des transports, de l’environnement et du développement de la région toulousaine, je souhaite en premier lieu souligner tout l’intérêt que j’ai eu à suivre le débat public (dossier, idées et informations échangées sur le site internet, participation à 2 réunions) et j’en remercie la commission.

Au terme de ce débat, je suis, pour ma part, opposé au projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse proposé (GCAT) et j’en donne ci-dessous les raisons. Ingénieur à Astrium et participant à la commission Transport du CE Astrium , je fournis quelques éléments issus du Plan de Déplacement d’Entreprise (PDE) réalisé cette année puis je donne quelques propositions alternatives à la non réalisation du GCAT.

Mon avis est structuré selon les paragraphes suivants:
1) Contraintes et engagements amont du projet
2) Rappel des enjeux
3) Les manques du dossier
4) Pourquoi le projet ne répond pas, à mon sens, au besoin
5) Quelques éléments du PDE Astrium
6) Quelques solutions (non exhaustives) alternatives au projet

1) Contraintes et engagements
Le réchauffement climatique amorcé et ses conséquences constituent un des enjeux actuels majeurs répercutant des contraintes fortes sur ce type de projet.
Suite aux conclusions issues du Grenelle Environnement et des engagements de la France dans les accords mondiaux et européens, il est important de rappeler que la France s’est engagée à réduire en 2020 de 20% ses émissions globales de CO² par rapport à celles de 1990 et à les diviser par 4 en 2050 par rapport à 1990.
Pour le transport routier représentant en France 24% des émissions CO² (1er émetteur ; les poids lourds représentant 6,7% parmi ces 24% ; source CITEPA année 2005). L’engagement est de revenir en 2020 aux émissions de 1990 (compte tenu de l’augmentation actuelle de 22% par rapport à 1990, cela représente donc une baisse de 22% par rapport à aujourd’hui).
2) Rappel des enjeux
Les enjeux du CGAT comme indiqué en page 65 du dossier sont de :
- Contribuer à décongestionner le périphérique toulousain
- Participer à l’aménagement du territoire de l’aire métropolitaine sans contribuer à l’étalement urbain.
3) Les manques du dossier
3 points me semblent manquer ou sont trop imprécis pour quantifier l’apport potentiel du CGAT :
- le relevé du trafic aux heures de pointe du périphérique notamment du transit que le CGAT est censé capter, est essentiel (le trafic moyen journalier indiqué est insuffisant de ce point de vue). Cette question a été posée à la réunion à Diagora du 28 novembre et sur le site du débat public mais avec des réponses imprécises. Il est évident que la proportion du transit baisse aux heures de pointe du fait que le trafic local et d’échange augmente considérablement à cette période. Que deviennent les 14% du transit indiqué pour la moyenne journalière ? Le conseil général (opposé au projet) a, me semble-t-il, évoqué 5% ce qui réduit d’autant l’intérêt du captage.
- un profil sur la journée de l’évolution du trafic sur le périphérique me paraît de même très important. Le graphique Page 60 du dossier sur les périodes de pointe (source citée CETE Sud Ouest) est très approximatif. Par exemple à 7 heures du matin et après 9 heures du matin, le trafic bien qu’élevé actuellement ne provoque pas de forte congestion sauf cas exceptionnel. En 2020, il est indiqué que les périodes de pointe pourraient démarrer avant 6 heures du matin donc être pires qu’en région parisienne actuellement. Cela me paraît étonnant. Quelles sont les hypothèses de calcul?
- l’impact relatif des différents projets à venir sur le trafic du périphérique n’est pas explicité. Il est notamment juste indiqué que tous les autres projets prévus ont été pris en compte et que la congestion continuera d’augmenter. Cette méthode de globalisation me gêne beaucoup. Il est à noter que la ligne B du métro a été mise en service en juin 2007 donc, j’en conviens, après la réalisation des études du dossier mais la fourniture (par exemple en novembre) d’une étude réduite complémentaire sur l’impact de cette ouverture sur le trafic aurait été particulièrement intéressante (cette ligne B capte 140000 trajets de voyageurs par jour, source Tisséo à la réunion Diagora du 28 novembre).
A contrario, il est indiqué Pages 70 et 71 du dossier, des temps de parcours extrêmement précis en 2020 (source CETE) ce qui me choque beaucoup à un tel horizon. Là encore quelles sont les hypothèses et les méthodes de calcul?
4) Pourquoi le projet ne répond pas, à mon sens, au besoin
Je ne suis donc pas favorable au GCAT tel que proposé dans les divers scénarios car :

1- il favorise les transports routiers et va donc créer inévitablement (en plus du captage du flux existant) un flux supplémentaire routier provoquant des émissions supplémentaires de CO² menant au non respect des engagements de réduction (ceux-ci nécessitent selon le Grenelle Environnement une rupture par rapport aux modes actuels),
2- il ne capte qu’un pourcentage réduit (10 à 15% dans ses meilleurs scénarii) du trafic du périphérique. Ce trafic continuera d’augmenter nettement avec les hypothèses du dossier (Cf page 75),
3- ce projet est monolithique avec une réalisation à échéance lointaine (2020). Il est donc incapable de s’adapter à une évolution du contexte géopolitique. Par exemple des tensions sur l’approvisionnement du pétrole conduisant à une augmentation brutale du coût. Ce coût va, selon les experts, de toute façon augmenter du fait de la raréfaction de la ressource favorisant inéluctablement d’autres modes de déplacement que le transport routier,
4- d’une emprise importante sur les territoires traversés, il altérera l’environnement local malgré les efforts paysagers annoncés et apportera de fortes nuisances (coupure de territoire pour les hommes et la faune, nuisance sonore, diminution de l’espace rural). L’emprise probable d’un tel projet est en effet d’au minimum 30 mètres de largeur sur une longueur de 40 à 60 kilomètres,
5- d’un coût très élevé (de l’ordre du milliard d’€), il contribuera sans doute au développement des villes moyennes bénéficiant d’échangeurs mais avec un retour sur investissement, me semble-t-il, relativement faible et bien sûr ne profitera aucunement aux villes et régions non desservies.
5) Quelques éléments du PDE Astrium
Le Plan de Déplacement d’Entreprise d’Astrium a été réalisé au 1er trimestre 2007 par une entreprise externe spécialisée. Cette enquête est donc antérieure à l’ouverture à la ligne B du métro. Elle a donnée des résultats particulièrement intéressants.
Voici quelques éléments succincts mais significatifs de ce plan.
Pour information, Astrium est une entreprise du secteur spatial située à Montaudran Toulouse d’environ 2000 employés.
Taux de réponse à l’enquête qualifié d’exceptionnel : environ 2/3
Moyens de transport actuels :
- 71% voiture
- 17% voiture accompagnée/ covoiturage
- 5% 2 roues motorisés
- 3% transport collectif
- 5% modes doux
86% des salariés sont à moins de 10km de l’entreprise
300 salariés à moins de 800m d’une station de métro
35% se disent prêts à venir en vélo au moins 2 fois par semaine si le réseau cyclable aux abords de l’entreprise est mieux sécurisé (il y a des discontinuités du réseau de pistes cyclables).
Suite au PDE, il est à noter que la direction apporte son soutien à l’évolution de ces modes de transport (mise en place de casiers fermant à clé pour les cyclistes dans les vestiaires, demande d’amélioration du réseau cyclable faite aux collectivités locales).
En conclusion de l’enquête, une évolution vers l’utilisation des Transports en Commun (TC) et du vélo est prévisible si elle est précédée des mesures d’amélioration adéquates (fréquence TC entre station de Ramonville et entreprise, réseau cyclable).
6) Quelques solutions (non exhaustives) alternatives au projet
Ces solutions sont proposées pour leur impact direct sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre par rapport au GCAT et aussi pour leur possibilité de mise en œuvre modulaire et progressive. Certaines solutions pourront sembler éloignées de la problématique du GCAT mais il est bon de rappeler que la majorité du trafic du périphérique est constitué de trafic local et d’échange.
Ces solutions sont loin d’être exhaustives. Pour certaines d’entre elles, elles concernent plus particulièrement le Sud-Est toulousain correspondant à mon secteur d’habitation et de travail.

1- Amélioration du réseau cyclable de l’agglomération toulousaine
Une grande majorité des trajets locaux sont très courts (la majorité des trajets sur la rocade sont inférieurs à 3 échangeurs indique le dossier, cf les résultats du PDE), le vélo peut capter une bonne part de ce trafic si le réseau cyclable s’améliore.

Il est à noter que le réseau cyclable a déjà notablement progressé ces dernières années et que ces travaux se poursuivent mais que ceci pourrait encore être accéléré. Le nombre de cyclistes a déjà fortement augmenté et cette tendance ne peut que s’accélérer. L’investissement est de surcroît très limité par rapport à des projets routiers. Enfin, le vélo est très économe en espace pour le déplacement et le stationnement (entre 5 et 10 fois moins que celui d’une voiture).

- suppression des discontinuités (très nombreuses dans Toulouse, pour exemple le terminus Métro de Ramonville n’est pas relié à la piste du canal du Midi)
- création de nouvelles pistes y compris sur les communes autour de Toulouse. Cela peut être en radial (vallées de la Saune, de la Seillonne ce qui permettrait de relier Pin-Balma,, Flourens, Mons, Drémil au terminus Métro de Gramont, de la Marcaissone),
- contournement cyclable de Toulouse de part et d’autre du périphérique et pourquoi pas une piste de contournement un peu plus loin de Toulouse,
- développement des parkings à vélos (parking vélos Terminus métro Ramonville et Gramont très réduits et non couverts, parkings sécurisés la nuit dans ces lieux pour, par exemple, pour qu’un salarié fasse le trajet terminus métro-entreprise à la suite du trajet en métro).

2- Développement des TC
Accélération de la réalisation de la prolongation de la ligne de métro B jusqu’à Labège.
Mise en place de TC en circulaire autour de Toulouse (ligne de TC sur le périphérique en relation avec la proposition 4).

3- Equilibrer les transports alternatifs (TC, vélos) dans les futurs projets de transport
Il est primordial que tout nouveau projet routier ne crée pas de déséquilibre avec les transports alternatifs à la voiture. L’exposé de Mr Gabriel Jourdan lors de la réunion à Diagora le 28 novembre a montré le rôle de la congestion pour équilibrer les moyens de déplacement. A titre d’exemple, le choix pour la LMSE (Liaison Multimodale Sud Est) de réaliser une voie routière continue en plus des voies TC et vélos va inévitablement favoriser la voiture au détriment des autres modes et aggraver la congestion routière à Montaudran et sur le secteur de l’UPS ainsi qu’augmenter le besoin de stationnement sur le terminus du métro de Ramonville. Par ricochet, ce choix risque de contribuer à la congestion du périphérique. Il est à noter que le PDU ne prévoyait pas de voie routière sur ce projet et que cette évolution favorise à nouveau la voiture. Par contre, l’exclusion de la voie routière au dessus du périphérique et au niveau du CNES, tout en permettant aux voitures d’accéder au terminus du métro par les bretelles de Labège-Montaudran permettrait d’équilibrer les différents modes.

4- Concept « autoroute apaisée » sur le périphérique
Ce concept (limitation à 70 km/h permettant de fluidifier le trafic et de réduire la largeur des voies en ayant pour conséquence la possibilité de créer une voie pour TC et covoiturage en cas de congestion) présenté par Mr Gabriel Jourdan lors de la réunion à Diagora le 28 novembre paraît particulièrement intéressant.


5- Covoiturage
La mise en place de mesures favorisant le covoiturage peut de toute évidence accélérer son utilisation (voies réservées, partager l’utilisation de certains tronçons de TC en site propre) et donc réduire d’autant le trafic. Une voiture avec 3 personnes à bord apporte une réduction de trafic d’environ 2,5 compte tenu du fait que l’occupation moyenne actuelle n’est que de 1,1 personne par véhicule et de l’éventuel détour nécessaire au covoiturage.

6- Transport A la Demande
Ce type de transport par véhicule de type par exemple « Renault Trafic » mis en place dans l’est toulousain par Tisséo avec un très grand succès pourrait être étendu sur toute l’agglomération pour des déplacements sur un quartier. En effet, le principe d’un véhicule pouvant accueillir jusqu’à 8 passagers sur demande téléphonique - personnes collectées sur des points d’arrêt rapprochés (de l’ordre de 300m), pour aller vers un point nodal de TC est particulièrement efficace. Cela diminue fortement le trafic global et offre un service, en terme de vitesse, de qualité quasi comparable à la voiture individuelle (le temps d’attente est partiellement économisé par le temps nécessaire à garer la voiture individuelle).

7- Partage de voiture
La notion d’auto-partage et aussi l’adaptation du concept mis en place par Vél’O’Toulouse à de petits véhicules (éventuellement électriques) pourrait être mis en place. La conséquence probable est la réduction du parc automobile ce qui revient à optimiser l’utilisation des voitures par rapport à un parc individuel et du coup optimiser les coûts ainsi que l’espace de stationnement.

8- LGV
La réalisation des lignes Bordeaux-Toulouse mais aussi Toulouse-Narbonne permettrait de réduire notablement le trafic voiture mais aussi avion.

9- Fret ferroviaire
Le développement du fret ferroviaire formulé dans le Grenelle Environnement est une mesure nécessaire pour satisfaire à la fois le besoin de transport des marchandises et les contraintes environnementales.


En conclusion, je reste persuadé que Toulouse et son agglomération, métropole symbole de l’innovation, mérite mieux que le GCAT. Le GCAT ne se justifie que par le maintien d’une stratégie favorable au transport routier inadaptée aux contraintes du 21éme siècle. La mise en œuvre d’une politique de transport moderne, modulaire et alternative servirait mieux, à mon sens, le développement économique et social de la région ainsi que le développement durable de la France.

Eric Thuriot
Ingénieur Astrium
Habitant de Drémil-Lafage

Avis n°375 de : AUDOUIN Jérôme
Avis défavorable à un hypothétique contournement routier de Toulouse


Mesdames, Messieurs,

Il est bien évidemment inconcevable à notre époque, d'imaginer des infrastructures autoroutières comme un Grand Contournement Autoroutier Toulouse (GCAT) sous prétexte de permettre de la mobilité, d'aménager le territoire, favoriser l'économie ou encore réduire la pollution. Toutes ces raisons, qui sont les seules abordées par les partisans du CGAT, ne trouvent pas, ou plus, d'éléments de réponses avec ce type d'infrastructure.

Concernant la mobilité, toute infrastructure routière accroît le trafic et ne permet aucunement de résorber les problèmes d'embouteillages mais les développe.

Concernant l'aménagement du territoire, on s'aperçoit aujourd'hui des erreurs du passé et que si la route est nécessaire dans nombre de cas, elle ne répond pas à la nécessité de desserte des axes devant absorber un fort trafic, les transports en commun (TC) ou fret ferroviaire ou fluvial doivent répondre majoritairement à la demande. Le choix de la route manque de réflexion ou tout simplement d'observation.

Concernant l'économie, le mode de transport par la route est de loin le plus cher et pénalise l'économie tant par la part importante de ce poste dans le budget des ménages que par le phénomène de sédentarité dû à la voiture qui favorise nombre de pathologies (obésité, cardio-vasculaire... cf. OMS), les embouteillages qui paralysent les villes, ou encore les coûts induits par les excès de pollutions dont les désordres sanitaires deviennent insupportables tant économiquement que socialement. La route, part ses coûts, est un frein à l'essor économique. A 100 dollars le baril de brut, l'énergie est encore loin de la valeur de ce qu'elle nous apporte et ne prend pas en compte les coûts que les énergies fossiles engendrent. Par ailleurs, nos sociétés dont le développement est basé sur les énergies fossiles et donc finies, ne peuvent de façons utopistes poursuivre leur développement sur la base d'une ressource qu'elles n'auront plus demain.

Concernant la pollution, un CGAT ne procèderait au mieux qu'à un déplacement de la pollution. Mais comme il augmentera le nombre de déplacements et de kilomètres, le bilan pollution sera largement négatif. Par ailleurs, la pollution ne disparaît pas parce qu'elle est déplacée. La pollution, qu'elle soit générée sur la Rocade ou sur un GCAT, se diffuse et "profite" rapidement à tout le monde.

Seuls les opposants au GCAT ont émis une réflexion collective, publique et globale conciliant Economie, Social et Environnement (les 3 piliers du développement durable). Il est admis que favoriser l'un aux dépens des autres, n'est pas viable et en plus nuit aussi à terme à celui que l'on pensait favoriser à court terme. L'ensemble des alternatives à des déplacements qui refuserait une politique du "tout voiture" est repris dans leurs contributions. Aucun de ces opposants ne défend des intérêts personnels qu'ils soient électoral ou autres. Cela devrait de fait exclure la participation des partisans qui n'apportent aucune contribution même si cela est mentionné sous ce terme.

Le CGAT est bien une réponse "cul-de-sac" et il me semble inconscient de la part de ses partisans de défendre un ouvrage irréversible et allant à l'encontre des intérêts collectifs (ceux de la région Midi Pyrénées mais aussi Mondiaux). Les connaissances que nous avons depuis plus de 30 ans mais qui sont aujourd'hui admises et connues du grand public, permettront sans doute dans un futur proche, de faire l'objet de recours judicaires pour intention de nuire, à leur encontre. La jeunesse actuelle et les générations futures ne sauront sans doute pas nous pardonner d'avoir pillé et vandalisé la Planète Bleue.

Bien cordialement.


Jérôme AUDOUIN
Master 2 en Ingénierie du Développement Durable à l'université de Versailles
et père d'une petite fille

Avis n°376 de : SARRAU Clément - 31400 TOULOUSE
« Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? »

Le projet de grand contournement autoroutier de Toulouse participe d’une consécration de l’automobile qui relève d’un autre âge.
Nombre de gouvernements du monde entier s’accordent sur l’urgente nécessité de repenser nos modes de vie et notamment de déplacements, en faveur des pratiques raisonnées aussi bien économiquement qu’écologiquement.
La construction d’une nouvelle autoroute ne pourrait que détériorer profondément la situation environnementale de notre région, par une aggravation des pollutions et du bilan carbone, la stérilisation d’espaces semi-ruraux, et la destruction des corridors écologiques.

A la question : « Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? », je réponds : « NON »

Clément SARRAU

Avis n°377 de : GIBERT Jean - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
« Faut-il envisager un contournement Autoroutier ? »
Non, bien sûr.

Nous avons eu un Grenelle de l’Environnement pour quoi faire !!!! Toutes les grosses voitures ont été taxées et vous vous construisez une autoroute en plus. Vous marchez sur la tête.
Protégeons la planète terre, pour les prochaines générations.
Utiliser les métros, pourquoi pas jusqu’à Labastide St Sernin, le co-voiturage et le vélo, soyons citoyens de la terre.

Je dis NON à ce contournement.

Jean GIBERT

Avis n°378 de : DEUMIER André - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
Le réchauffement climatique est là pour nous rappeler l’inconséquence de notre mode de consommation sur le fragile équilibre de notre planète.

Le projet de contournement autoroutier de Toulouse est une incitation à favoriser le mode routier : il va à l’encontre de la nécessaire réduction des gaz à effets de serre.

A la question : « faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? »
Nous répondons : NON !

Mr et Mme DEUMIER

Avis n°379 de : GIBERT Anne-Marel - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
Non il ne faut pas envisager un contournement autoroutier de Toulouse.

Ce projet polluerait notre vallée du Girou et nous serions envahis par le bruit, ce serait une catastrophe écologique.

NON, il faut éviter le contournement et favoriser le métro et le bus, pour protéger l’environnement.

Anne-Marel GIBERT

Avis n°380 de : SARRAU Bertrand - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
« Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? »

Ce projet serait très lourd en impacts environnementaux ; il est conçu dans un schéma de pensée obsolète, il ne prend pas en compte de manière réaliste les questions de dérèglement climatique et n’est pas en phase avec la nécessaire politique de rupture qu’impose le réchauffement de la planète.

A la question posée : « Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? »
Ma réponse est : « NON ! »

Bertrand SARRAU

Avis n°381 de : SERRI Luca - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
Pourquoi faire un contournement AUTOROUTIER ?

C’est impensable pour la tranquilité de nos communes sur la vallée du Girou, le bruit et tous les dégâts que cela comporte.
C’est la fin de nos campagnes. Le peu d’agriculture qui reste va disparaître.

Je dis NON à ce contournement.
J’irai manifester très durement s’il le faut.

Luca SERRI

Avis n°382 de : GIBERT Yvette - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
Pourquoi envisager un détournement autoroutier ?

Notre ministre Jean-Louis BORLOO nous demande de faire des économies d’énergie, de rouler propre, préconise le développement durable.
Le retour aux sources s’il vous plaît, notre agriculture, notre vin de Fronton seront de plus en plus pollués par toutes ces voitures pour rien, pour satisfaire la Mairie de Toulouse et désengorger la ville.
Il y a d’autres solutions : les bus, les vélos et le métro. Si tout le monde s’y met, nous y arriverons et nous pourrons nous passer d’un VERROU dans notre vallée du Girou ou ailleurs.

Alarme : la banquise fond !
Je suis contre ce contournement et farouchement contre.

Yvette GIBERT

Avis n°383 de : FONT Monique - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
« Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? »

Comme tout projet autoroutier celui-ci est dévastateur en matière d’environnement, et favorise, comme toujours, le mode de transport routier individuel. Il va à l’encontre de la nécessaire réduction de gaz à effet de serre qui permettrait de lutter efficacement contre le réchauffement climatique.
Ce projet de Contournement Autoroutier de Toulouse va à contresens de toutes les mesures prises en faveur de l’environnement.

A la question : « Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? » la réponse est NON.

Monique FONT

Avis n°384 de : SPADOTTO Yves - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
« Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? »

Les travaux publiés par tous les scientifiques sur l’évolution du climat sont accablants ; la responsabilité des gaz à effet de serre sur le réchauffement climatique est indéniable.
Il faut sans délai réorienter les politiques publiques.
La mise en chantier d’une autoroute supplémentaire serait une très forte incitation au transport routier alors même que les autres options de transport sont délaissées (fret ferroviaire, ferroutage, voies navigables…)

A LA QUESTION : « FAUT-IL ENVISAGER UN CONTOURNEMENT AUTOROUTIER DE TOULOUSE ? »
Je réponds : NON.

Yves SPADOTTO

Avis n°385 de : AUDOUY Claude - 31620 LABASTIDE SAINT SERNIN
« Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? »

Sur la rocade toulousaine, les vrais problèmes de transports ont pour origine les transports à l’intérieur de l’aire urbaine voire même lourdement à l’intérieur de l’agglomération.
Ainsi, le « Grand Contournement Autoroutier de Toulouse » n’apporte pas de réponse adéquate. Tout en représentant une (mauvaise) incitation à utiliser le mode routier ; il va à l’encontre des dispositions pour le Développement Durable et l’Environnement.
Enfin, le volet « Aménagement du Territoire » est peu argumenté et sa prise en compte ou sa relation avec les orientations choisies par les Schémas de Cohérence Territoriale (SCOT) de l’Aire Urbaine de Toulouse n’est pas démontrée.

Donc, à la question : « Faut-il envisager un contournement autoroutier de Toulouse ? », Je réponds : NON !

Claude AUDOUY

Avis n°386 de : Rascagnères Jacques - 31460 Caragoudes
Le grand contournement autoroutier de Toulouse (GCAT) par l'Ouest ou par l'Est+Sud) génèrerait plus d'inconvénients que d'avantages:
- il ne réduirait pas le trafic au contraire
- il augmenterait diverses pollutions (air-bruit)
- il détruirait une partie de nos paysages et cadre de vie (Lauragais) et apporterait un préjudice à notre patrimoine bâti
- il n'apporterait aucun bénéfice aux habitants de la zone traversée (autoroute sans accès)
- il ne serait pas directement bénéfique aux villes de moyenne et petite importance (Revel-Castres-Mazamet)
- il coûterait cher aux contribuables (autoroute à péage)

Il me parait souhaitable que d'autres alternatives plus appropriées puissent être étudiées et développées (2x4 voies-développement du covoiturage, des transports en commun en site propre-ferroutage) et qu'une véritable réflexion sur l'aménagement du territoire soit menée.

Avis n°387 de : DROUIN Jean-Yves
J'ai bien suivi les débats et il est clair que ce grand contournement reçoit l'approbation de ceux qui le feront (DRE,CCI...)et de ceux qui y voient un atout pour leur propre développement (Ariegeois,Gersois...)...à condition quand même qu'il passe prés de chez eux.Mais il ne résoudra en rien le problème de l'engorgement et de la pollution de Toulouse,c'est pourquoi j'y suis totalement opposé.

Jeans-Yves Drouin

Avis n°388 de : PANEGOS Patricia - 31570 LANTA
En conclusion du débat public sur le GCAT, pour lequel on peut apprécier la volonté d'excercice de démocratie participative, quelques réflexions et questions suivantes :

-il a été très regrettable, pour nous habitants du Lauragais qu'un débat ne soit pas organisé au sein de notre petite région, déjà sollicitée il y a 12 ans par un projet de contournement Est de Toulouse, appelé Translauragaise. En effet, deux réunions organisées à Lanta et Auriac-sur-Vendinelle ces dernières semaines par Lauragais Nature et d'autres associations environnementales du Lauragais, avec des participations de 100 à 150 personnes, ont montré l'intérêt de ses habitants pour ce débat. Si les préoccupations d'il y a 12 ans face à un projet autoroutier étaient marquées par une vision "locale " du problème(pollution atmosphérique, nuisances sonores, partages de propriétés agricoles, disparition de l'identité du Lauragais...), elle se complètent aujourd'hui de questions environnementales plus larges, futures et planétaires (préservation des espaces naturels et agricoles pour les générations futures, réchauffement climatique, repenser le travail et favoriser une économie locale pour limiter les transports,"arrêter d'aller droit au mur"...). Que cette voix du Lauragais soit entendue!

-après ce constat, vient celui de la pondération des opinions exprimées (en fonction du nombre d'avis?du type d'acteurs?). Si on peut remercier la Commission Particulière de Débat Public de son engagement à une retranscription du débat et une synthèse la plus scrupuleuse et objective possible, qu'en sera t'il de la décision finale? Jusqu'où va s'exprimer la démocratie?

-Enfin peut-on compter sur les espoirs générés par le Grenelle de l'Environnement? Le processus de décision finale pourrait-il impliquer les associations environnementales aux cotés des représentants de l'Etat, des collectivités locales, du patronat et des syndicats, comme lors des concertations du Grenelle et comme en a émis le souhait Nicolas Sarkozy lui-même pour les choix concernant les grands équipement d'infrastructure? Ceci constituerait le dernier maillon manquant de cet exercice de démocratie qui vient de nous être proposé ces derniers mois.

Merci de publier cette contribution sur le site du débat.

Patricia Panegos
Secrétaire de Lauragais Nature

Avis n°389 de : ROY Pauline
Pour mieux synthétiser mon précédent avis :

Nous sommes encore dans une phase où les transports s'accroissent et il
est évident que la tendance va s'inverser, mais on ne sait pas encore
dans combien de temps précisément. Toutefois, si ce projet est réalisé,
on peut supposer qu'il remplira sa fonction pour 10 à 15 ans au maximum
; ce qui est par ailleurs suffisant pour générer un étalement urbain,
sachant que les zones d'activités et d'habitat devraient se rapprocher
de la future infrastructure avant sa mise en service. Cette durée est
dérisoire au regard du coût financier d'une telle infrastructure mais
surtout au regard de l'altération IRREVERSIBLE des espaces naturels et
agricoles situés à proximité de Toulouse et dont l'utilité s'inscrit
dans une durée INDEFINIE et sera même accrue avec la fin de l'énergie
bon marché.

La civilisation des véhicules motorisés sera un phénomène éphémère à
l'échelle de l'Histoire de l'Homme, pensons-y.

Avis n°390 de : LAFABRIE Jean-Louis - 31100 TOULOUSE
Le dossier du débat public sur le grand contournement est à mon avis à la fois pertinent et de qualité.

Il démontre clairement le caractère inéluctable de l'évolution de l'agglomération toulousaine avec une caractéristique particulière de faible densité (qui ne va pas s'infléchir de façon significative !) ce qui implique un étalement important et donc une complexité particulière pour tous les déplacements.

La projection de cette évolution en terme d'activité, de population entraîne une évolution incontournable du nombre d'automobiles, et ce malgré l'évolution prévisible du prix des carburants et même de sa future raréfaction (des solutions alternatives sont en route et prendrons le relais en temps utile)

La situation actuelle au quotidien est à la limite du supportable quelle que soit la direction prise vers les villages devenus villes sur toute la couronne toulousaine, et ce avec une fréquence et une amplitude de plus en plus grandes.

Il est évident que le développement des transports en commun (métro, bus, tramway..) tel que prévu par exemple dans le livre blanc de Tisséo peut contribuer à améliorer de façon sensible les conditions de circulation dans de nombreuses zones. De même, les solutions intelligentes du style : covoiturage, transport d'entreprise, utilisation de la bicyclette .....sont à encourager et développer.

Autant je suis persuadé de la nécessité de réaliser ce grand contournement (sans péage) sud+est à la distance la plus faible possible : 10 à 15 Kms maxi, car il va forcément contribuer à délester la rocade existante et constituer une voie de secours, autant je suis convaincu qu'il est encore plus nécessaire et urgent de réaliser les travaux de voierie envisagés dans le schéma directeur de l'agglomération daté de 1998 et quasiment au point mort.

La situation est déjà catastrophique pour tous les critères permettant d'objectiver la question : pollution, gaspillage de temps, d'énergie, blocage total au moindre incident, gâchis économique au quotidien .........la collectivité au sens large s'auto-pénalise en étant incapable de s'organiser et de réagir face à ces problèmes de transport des personnes et des marchandises.

J'ai bien saisi que le débat concerne exclusivement (hélas !!) le grand contournement de Toulouse, néanmoins, je suis persuadé qu'ayant pris conscience de la situation (y compris politique !), M. Bernet ainsi que tous les membres de la commission sont à même d'expliciter au plus haut niveau la réalité de la situation et son évolution sur l'ensemble de l'agglomération et du fait que le seul contournement ne peut régler valablement le problème.

Ma démarche vise donc, à travers vous, à interpeller les pouvoirs publics pour structurer cette nécessaire réflexion globale au delà des clivages politiques et des intérêts particuliers.

Seul l'état peut coordonner, piloter une démarche intelligente et innovante, permettant de faire travailler dans l'intérêt de la région la diversité des maîtres d'ouvrage concernés.

Le préfet de région, les préfets des départements concernés, s'ils sont mandatés par les ministères compétents peuvent faire bouger la situation.

M. Bernet, vous avez pu constater la nécessité et l'urgence de décisions, je souhaite que ma requête figure d'une façon ou d'une autre dans votre compte-rendu et je sollicite le serviteur de l'état que vous êtes pour que vous interveniez dans ce sens auprès du ministre concerné.

Avec mes respectueuses salutations.

Jean-Louis Lafabrie
3, rue Jean Cheverry
31100 Toulouse
jll31@free.fr