Voici les questions posées par le public par mail, par courrier ou lors des réunions publiques. Nous affichons les questions et les réponses.
Question n°12 de : Jacques Emile- 31400 TOULOUSE - le 05/09/2007Pourquoi il a fallu 20 ans pour que le projet sorte du carton!!! Une ville comme Toulouse qui grandit chaque année en circulation, il était prévisible d'un engorgement sur les rocades actuelles...
Réponse le 17/09/2007En réalité on ne peux parler vraiment de périphérique que depuis 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon du bouclage de la rocade. Par ailleurs l'achévement de l'autoroute A20 en 2003 a renforcé le positionnement deToulouse à la convergence d'un réseau structurant permettant la desserte d'un ensemble important de territoires. Le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décidé d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Ces dernières années ont vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Cependant nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc...), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse.
Question n°53 de : Gabaude Jean- 81210 LACROUZETTE - le 10/09/2007Les travaux commenceraient-ils dans une douzaine d'années environ?
Réponse le 17/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet est confirmée, le maître d’ouvrage sera conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020.
Question n°83 de : Maury Jean-Pierre- 31480 PELLEPORT - le 10/09/2007Pourquoi 2020? Ne pourriez-vous pas avancer l'année de mise en service avec les avancées technologiques d'aujourd'hui, cela me semble tout à fait possible?
Réponse le 17/09/2007Il faut tout d'abord rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite, l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant cette échéance.
Question n°95 de : Rodrigues André- 81570 SEMALENS - le 10/09/2007En 2020, pourquoi? Pourquoi en 2015? Pourquoi pas avant?
Réponse le 17/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient alors organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020. Ces différentes étapes rendent difficilement envisageable une mise en service avant cette échéance.
Question n°120 de : Leutard Georges- 31860 LABATHE SUR LÈZE - le 10/09/2007Pourquoi les décisions que l'on va prendre actuellement n'ont pas été prises beaucoup plus tôt sachant, par des études, que le périphérique actuel serait saturé tous les jours à certaines heures avec surconsommation et pollution?
Réponse le 17/09/2007En réalité on ne peux parler vraiment de périphérique que depuis 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon du bouclage de la rocade. Par ailleurs l'achèvement de l'autoroute A20 en 2003 a renforcé le positionnement de Toulouse à la convergence d'un réseau structurant permettant la desserte d'un ensemble important de territoires. Le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décidé d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Ces dernières années ont vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Cependant nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc.), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet aujourd'hui au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse. Aucune décision n'est cependant prise, le débat portant en premier lieu sur l'opportunité même de faire ou pas cette infrastructure.
Question n°132 de : Nepveu Françoise- 31520 RAMONVILLE - le 10/09/2007Le contournement Ouest+Sud ou Est+Sud est une absolue nécessité: Pourquoi faut-il 9 à 13 ans pour le faire alors que c'est urgent ?
Réponse le 24/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient alors organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020.
Question n°143 de : Clarens Paul- 32140 BEZUES - BAJON - le 10/09/2007Pourquoi 4 à 7 ans pour réaliser une étude préléminaire, étude d'avant projet sommaire. Enquête d'utilité publique ? Pourquoi 9 à 13 ans au total pour réaliser au maximum 100 km d'autoroute ?
Réponse le 17/09/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils peuvent paraître longs mais correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultation des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part les lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans.
Question n°179 de : Lagarde René- 31310 BAX - le 10/09/2007A quelle date est prévue la réalisation de ce projet ?
Réponse le 17/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient alors organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020.
Question n°199 de : Bajol Jean-Pierre- 81100 BURLATS - le 11/09/2007Pourquoi tant de temps? Ne peut-on pas simplifier les procédures?
Réponse le 17/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet est confirmée, le maître d’ouvrage sera conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020. L'ensemble de ces procédures est obligatoire et prend en compte, outre les études techniques, environnementales, etc..., des délais réglementaires incompressibles et le temps indispensable à la concertation.
Question n°204 de : Chapus Alain- 09000 LOUBIERES - le 11/09/2007Pourquoi avoir attendu si longtemps avant de lancer le grand Contournement de Toulouse ?
Réponse le 17/09/2007Le bouclage du périphérique n'a été achevé qu'en 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon de continuité de la rocade. Par ailleurs l'achèvement de l'autoroute A20 en 2003 a renforcé le positionnement de Toulouse à la convergence d'un réseau structurant permettant la desserte d'un ensemble important de territoires. Le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décidé d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Ces dernières années ont vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Cependant nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc...), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet maintenant au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse. Aucune décision n'est cependant prise, le débat portant en premier lieu sur l'opportunité même de faire ou pas cette infrastructure.
Question n°209 de : Laude-Warusfel Edith- 81700 LEMPAUT - le 11/09/2007Vers quelle année le contournement autoroutier de Toulouse sera-t-il mis en service?
Question n°226 de : Gauchy Rolande- 31170 TOURNEFEUILLE - le 11/09/2007Pourquoi avoir attendu autant de temps pour penser à ce contournement autoroutier?
Réponse le 17/09/2007En réalité on ne peut parler vraiment de périphérique que depuis 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon du bouclage de la rocade. Par ailleurs l'achévement de l'autoroute A20 en 2003 a renforcé le positionnement deToulouse à la convergence d'un réseau structurant permettant la desserte d'un ensemble important de territoires. Le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décidé d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Ces dernières années ont vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Cependant nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc...), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse.
Question n°229 de : Maury Benoît- 31380 ROQUESERIÈRE - le 11/09/2007A quand la fin des travaux? En 2012?
Question n°232 de : Dellong Jean-Michel- 31300 TOULOUSE - le 11/09/2007Quand sera terminé le projet ?
Question n°271 de : Lassus Jean-Louis- 09100 PAMIERS - le 11/09/2007A quand le premier coup de pelle pour le démarrage du chantier?
Question n°309 de : Droxier - 31120 AUTERIVE - le 11/09/2007Ne pensez-vous pas qu'entre 10 et 13 ans pour la mise en service de ce contournement nous verrons notre périphérique ainsi que nos banlieues proches complétement saturées ?
Réponse le 17/09/2007Effectivement, les différentes études et projections concordent à annoncer une poursuite de la croissance ainsi que l’aggravation des dysfonctionnements du système de déplacements actuel. Les études prospectives ont été réalisées de façon multimodale. Ainsi les grandes politiques de rééquilibrage en faveur du fer (marchandises et voyageurs) à l’échelle nationale ont été prises en compte, l’ensemble des projets ou programme en faveur des modes alternatifs à la voiture est intégré (Plan Régional des Transports, Plan de Déplacement Urbain...). Les résultats de la démarche Aire urbaine à l’horizon 2020 ont également été pris en compte, ce qui modère l’augmentation des besoins en déplacements. Même si la courbe de la croissance tend à s'infléchir, les trafics continuent d'augmenter. En effet, comme indiqué dans le dossier du maître d'ouvrage, à l’horizon 2020, plusieurs sections de périphérique devraient supporter un trafic quotidien supérieur à 150 000 véhicules par jour, et des pointes approchant 190 000 véhicules par jour concerneraient en particulier le périphérique sud certains jours. Des trafics supérieurs à 100 000 véhicules par jour devraient également être constatés sur les principales pénétrantes (A61, A62, A64) à l'approche du périphérique. Cela laisse présager qu'il faut continuer à agir sur l'ensemble des leviers d'action (meilleure maîtrise du développement urbain, développement des transports en commun...) et le Grand Contournement Autoroutier de Toulouse dans ce cadre, pourraît être un des éléments du bouquet de solutions.
Question n°330 de : Rey Jean- 31500 TOULOUSE - le 12/09/2007Existe-t-il des dispositions permettant d'accélérer la procédure ?
Réponse le 17/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient alors organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020. Il paraît difficile d'accélérer significativement ces procédures qui comportent des délais réglementaires incompressibles et indispensables à la concertation.
Question n°347 de : Molvot Michel- 31410 LAVERNOSE-LACASSE - le 12/09/2007A quelle période sera connu le trajet définitif du Contournement Autoroutier de Toulouse ?
Réponse le 17/09/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. C'est à ce stade que le tracé définitif est arrêté. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultation des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part les lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°352 de : Claustres Raymond- 31340 VILLEMUR - le 12/09/2007Un Grand Contournement est-il possible dans plusieurs années sachant que les constructeurs sont et seront de plus en plus nombreux ?
Réponse le 17/09/2007Dans l'hypothèse où l'opportunité de ce projet serait confirmée, la recherche du tracé se ferait dans un objectif de respect et de préservation des espaces naturels sensibles, du patrimoine, du paysage, mais également des zones habitées, pour limiter au maximum les nuisances qui l'accompagneraient. Quatre niveaux de sensibilité ont été identifiés lors des études d'opportunité : - très fort, correspondant à des zones à éviter, où le passage d'une infrastructure autoroutière s'avérerait extrêmement délicat et générerait des mesures d'insertion et compensatoires de grande ampleur ; - fort, correspondant à des zones d'intérêt patrimonial ou social commun marqué, où le passage d'une infrastructure autoroutière serait possible mais imposerait d'importantes mesures d'insertion et compensatoires - modéré à faible, correspondant à des zones qui nécessiteraient la mise en place de mesures environnementales courantes. Un niveau de sensibilité a été affecté à chacun des enjeux environnementaux identifiés sur l'aire d'étude. Vous en trouverez une représentation cartographique page 88 du dossier support du débat. Il ressort de cette analyse une répartition des sensibilités sur le territoire n'interdisant pas le passage d'une infrastructure autoroutière : - les zones de sensibilités très fortes concernent principalement les espaces naturels localisés le long des grandes vallées et des grands massifs forestier ainsi que les zones urbaines les plus denses ; - les zones de sensibilités fortes se concentrent quant à elles aux abords des grandes vallées et des grands massifs forestiers ; - les zones de sensibilités modérées à faible concernent principalement les espaces péri-urbanisés se trouvant sous l'influence directe de Toulouse et de Montauban. Seules les études ultérieures de tracé, si l'opportunité était confirmée, permettraient cependant de préciser ces éléments.
Question n°360 de : Castel Jean-Louis- 11000 CARCASSONNE - le 12/09/2007Pourquoi ne pas y avoir penser plus tôt ?
Réponse le 17/09/2007Ce n'est que depuis 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon du bouclage de la rocade, que l'on peut parler d'un véritable périphérique à Toulouse. La dynamique de croissance de l'aire urbaine toulousaine s'est accélérée ces dernières années conduisant le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décider d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Ces dernières années ont par ailleurs vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Cependant nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc.), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet aujourd'hui au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse. Aucune décision n'est cependant prise, le débat portant en premier lieu sur l'opportunité même de faire ou pas cette infrastructure.
Question n°363 de : Heuillet Guy- 81000 ALBI - le 12/09/2007Quelle est la date appproximative de la desserte de SOuest 81580 ?
Réponse le 24/09/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°368 de : Ricoux Christian- 31400 TOULOUSE - le 12/09/2007Ne peut-on accélérer les procédures ? car dans 10 ans Toulouse sera hyper saturée
Réponse le 17/09/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils peuvent paraître longs mais correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultation des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part les lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°375 de : Nagore José- 31200 TOULOUSE - le 12/09/2007Pourquoi tant de temps pour se décider ? peut-on aller plus vite ?
Réponse le 17/09/2007En réalité on ne peux parler vraiment de périphérique que depuis 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon du bouclage de la rocade. Par ailleurs l'achèvement de l'autoroute A20 en 2003 a renforcé le positionnement de Toulouse à la convergence d'un réseau structurant permettant la desserte d'un ensemble important de territoires. Le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décidé d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Ces dernières années ont vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Cependant nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc.), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet aujourd'hui au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse. Aucune décision n'est cependant prise, le débat portant en premier lieu sur l'opportunité même de faire ou pas cette infrastructure. Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet et peuvent globalement se décomposer de la manière suivante : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part les lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°377 de : MUSSET PIERRE- 09100 PAMIERS - le 12/09/2007Quelle est le timing d'un tel projet ? autrement dit à partir de quand l'un des 3 scénarios envisagés sera-t-il opérationnel ?
Question n°381 de : Guerri Gérard- 09100 SAINT JEAN DU FALGA - le 12/09/2007Quand ce projet se réalisera ?
Question n°386 de : Gambazza Henri Roger- 31450 BAZIEGE - le 12/09/2007Ou en est la déviation de l'autoroute à Montgiscard cela fait 10 ans que le projet a été défini. Alors pour le contournement autoroutier de Toulouse sera-t-il fait quand je serais décédé ?
Réponse le 17/09/2007Réponse des Autoroutes du Sud de la France : A ce jour, les Autoroutes du Sud de la France poursuivent les études sur la création d'un nouvel échangeur, dont la mise en service est attendue à la fin de l'année 2010. Les travaux devraient démarrer courant 2009.
Question n°395 de : Pereira Charles- 11400 LA POMAREDE - le 12/09/2007Ce projet aura-t-il une suite? Qui le finance? Les dates sont-elles précises?
Réponse le 17/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet de grand contournement autoroutier de Toulouse était confirmée, le principe d'une autoroute à péage a été retenu. Ce choix répond véritablement à un souci d'équité car il pose le principe du financement de l'infrastructure par les utilisateurs directs et non par tout le monde. En effet, si le choix avait été fait d'une infrastructure non payante pour l'usager, son financement aurait été réparti entre l'Etat et le cas échéant les collectivités locales (région, départements, communes), et ce, à travers les impôts ; ce choix aurait été synonyme d'un financement par tout le monde, y compris par les personnes qui ne seraient jamais amenées à l'utiliser, pour des raisons de localisation géographique ou tout simplement parce qu'ils ne possèdent pas de voiture. Par ailleurs le recours à la concession permettrait de mobiliser plus rapidement les ressources financières nécessaires à la réalisation de l'infrastructure Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet.
Question n°424 de : Dreuilhe Jean- 82500 LARRAZET - le 12/09/2007Est-il raisonnable de penser pouvoir voir aboutir un tel projet dans un temps raisonnable (1à ans)?
Question n°461 de : Montrose Serge- 81150 FLORENTIN - le 12/09/2007Pourquoi 13 ans minimum avant la mise en service ?
Réponse le 17/09/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°470 de : Salvignol Claude- 31500 TOULOUSE - le 12/09/2007Les délais paraissent énormes 2020 ? A-t-on déjà une réflexion plus précise ?
Question n°489 de : Duplan Marie Agnés- 31270 CUGNAUX - le 12/09/2007La RN124 est totalement bouchée tous les matins quasiment depuis Léguevin, sur la route de Saint Simon on roule au pas tous les matins d'octobre à fin Juin, pourquoi attendre 12 ans pour réaliser le Contournement ?
Question n°580 de : Zaccariotto Pierre- 32600 L'ISLE JOURDAIN - le 17/09/2007A partir de quelle date peut-on voir les tracés prévisionnels Nord ou Sud et peut-on les consulter?
Réponse le 24/09/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Ce n'est qu'à l'issue de ces procédures que le projet serait arrêté.
Question n°615 de : Samiac Martine- 31240 L'UNION - le 19/09/2007Combien d'années sont nécessaires pour que ce projet voit le jour?
Question n°617 de : Dolo Gilbert- 31190 AUTERIVE - le 19/09/2007Pourquoi avoir attendu si longtemps?
Réponse le 24/09/2007En réalité on ne peut parler vraiment de périphérique que depuis 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon du bouclage de la rocade. Par ailleurs l'achèvement de l'autoroute A20 en 2003 a renforcé le positionnement de Toulouse à la convergence d'un réseau structurant permettant la desserte d'un ensemble important de territoires. Le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décidé d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Ces dernières années ont vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Cependant nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc.), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet aujourd'hui au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse. Aucune décision n'est cependant prise, le débat portant en premier lieu sur l'opportunité même de faire ou pas cette infrastructure.
Question n°670 de : Vangeneugden Pascal- 31270 VILLENEUVE-TOLOSANE - le 21/09/2007Pourquoi une prévision de la réalisation sur 13 ans? Ce délai n'est-il pas trop long? Un délai trop long peut coûter beaucoup d'argent à sa réalisation, n'est-ce pas?
Question n°682 de : Loncq Jean-Pierre- 32600 L'ISLE JOURDAIN - le 21/09/2007Quand connaîtra-t-on le ou les tracés retenus pour ce contournement?
Réponse le 24/09/2007Tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Ce n'est qu'à l'issue de ces procédures que le projet serait arrêté. Ces délais correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance, et à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet.
Question n°750 de : Bressolles Michel - le 25/09/200710 – A quelle échéance la décision définitive sera-t-elle prise ?
Réponse le 27/09/2007A la fin du débat public, la Commission Particulière du Débat Public ne se prononce pas sur le projet, et ne rend aucun avis. Elle dispose de deux mois pour rédiger le compte-rendu du débat qui synthétise, aussi clairement et précisément que possible, ce qu'elle a entendu au cours des quatre mois de débat. Le compte-rendu laissera donc apparaître toutes les opinions exprimées au cours du débat, des positions opposées et parfois non conciliables. Le Ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement Durables, maître d'ouvrage du projet, disposera ensuite de trois mois pour indiquer la suite qu'il entend donner à ce projet.
Question n°775 de : Ferand Kévin- 31100 TOULOUSE - le 25/09/2007Pourquoi faudrait-il autant de temps pour construire ce contournement autoroutier de Toulouse alors que les besoins sont déjà très important actuellement?
Réponse le 27/09/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°825 de : Chaumeton Jean-Louis- 31650 SAINT ORENS DE GAMEVILLE - le 26/09/2007Quand?
Réponse le 28/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient alors organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020.
Question n°837 de : Delmas Julien- 11310 SAISSAC - le 26/09/2007Dans combien de temps, peut-on sérieusement envisager la première utilisation du contournement?
Réponse le 27/09/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient alors organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020.
Question n°848 de : Bouin Guy- 31450 MONTGISCARD - le 26/09/2007Je souhaiterais connaître la date de réalisation du contournement.
Question n°910 de : Bro-Grimal Carine- 31290 TREBONS/GRASSE - le 02/10/2007Pour quand est prévu ce contournement de Toulouse, n'est-il pas un peu tard?
Réponse le 03/10/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Des concertations locales seraient alors organisées lors de la mise au point du fuseau à l’intérieur duquel s’inscrirait le tracé définitif. Ensuite, une nouvelle phase d’information et de concertation aurait lieu lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Ce n’est qu’à l’issue de ces procédures, dont la durée peut être estimée entre 4 et 7 ans, que le projet serait arrêté. Une phase plus opérationnelle viendrait ensuite avec la désignation du concessionnaire, les études détaillées et les différentes procédures avant la réalisation des travaux pour une mise en service qui dans cette éventualité pourrait intervenir à l’horizon 2020. Ces délais peuvent paraître longs mais correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. L'Etat et les collectivités ont cependant engagé un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun au cours des dernières années (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Mais nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc...), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse, comme un des éléments du bouquet de solutions à mettre en oeuvre, le cas échéant, à l'horizon 2020.
Question n°957 de : Prieur Jean-Pierre- 82600 AUCAMVILLE - le 03/10/2007Vous parlez que les travaux serait en service dans 20 ans parce que moi, je ne le crois pas. Pourriez-vous me dire si légalement les travaux commenceront avant 10 ou 15 ans?
Réponse le 09/10/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°983 de : Rayssac Maguy- 31450 DEYME - le 03/10/2007Dans les hypothèses les plus optimistes, le contournement autoroutier de Toulouse pourrait (CONDITIONNEL!) voir le jour dans une vingtaine d'années... ? Peut-on savoir combien d'heures les usagers des rocades passeront dans les embouteillages en 2010-2020? Le métro est arrivé à Toulouse avec 40 ans de retard, le record sera-t-il battu grâce au contournement?
Réponse le 09/10/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultation des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part les lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020. Ces délais peuvent paraître longs mais correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Pour ce qui concerne les embouteillages, nous ne disposons pas de données quantifiées sur les heures perdues par les usagers en 2010/ 2020. Nous pouvons cependant constater l'évolution actuelle dans le temps, en comparant l'année en cours avec les années passées, et la situation ne va pas en s'améliorant ; additionnés ces événements occasionnent annuellement sur le réseau des voies rapides urbaines de Toulouse 17 000 heures x kilomètre de perturbation en moyenne annuelle sur la période 2002-2004, et de l'ordre de 27 000 heures x kilomètre en 2006.
Question n°990 de : Foucher Bertrand- 31450 BELBERAUD - le 03/10/2007Pourquoi ce débat n'a pas eu lieu plus tôt? Le péiphérique est déjà saturé.
Réponse le 09/10/2007En réalité on ne peut parler vraiment de périphérique que depuis 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon du bouclage de la rocade. Dans les années 90, l'Etat a conduit ce que l'on appelait une démarche de voirie d'agglomération qui envisageait un certain nombre de projets d'infrastructures nouvelles tant à l'Est, à l'Ouest, qu'au Sud. Les difficultés rencontrées lors de la concertation sur ce Dossier de voirie d'agglomération, n'ont pas permis d'aboutir (ce type de procédure n'existe d'ailleurs plus). Certains des projets envisagés ont cependant été repris dans le Schéma Directeur de l'agglomération toulousaine alors en cours d'élaboration (cf pages 50 et 51 du dossier support du débat). Ces dernières années ont cependant vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Mais nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc.), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. Face à l'accroissement des difficultés, le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décidé d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Par ailleurs l'achèvement de l'autoroute A20 en 2003 a renforcé le positionnement de Toulouse à la convergence d'un réseau structurant permettant la desserte d'un ensemble important de territoires. C'est pourquoi l'Etat soumet aujourd'hui au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse. Aucune décision n'est cependant prise, le débat portant en premier lieu sur l'opportunité même de faire ou pas cette infrastructure.
Question n°1069 de : Lerbey Francis- 31450 BELBERAUD - le 17/10/2007Pourquoi ne pas chercher à accélérer la procédure (15 ans) puisqu'on sait tous ce qu'il faut faire?
Réponse le 25/10/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°1212 de : Faure Jean- 31320 Vigoulet - le 15/11/2007Ne pourrait-on faire 3 tranches: Est/Sud/Ouest afin de commencer avant 2020 la mise en service?
Réponse le 16/11/2007L'un des trois objectifs du grand contournement autoroutier de Toulouse est de dissocier les trafics de transit et d'échange du trafic local. Les différentes hypothèses soumises au débat ont donc été imaginées pour répondre à cet objectif et capter le flux de transit principal entre le Nord et l'Atlantique d'une part, et la Méditerranée d'autre part. La réalisation d'un contournement (par l'Est ou par l'Ouest) permettrait ainsi d'assurer la continuité du réseau routier national sans passer par le périphérique. Par ailleurs, la rentabilité du projet est une condition nécessaire à sa réalisation. Le principe d'un péage servant à financer l'infrastructure a été retenu (qui répond au principe du financement par les utilisateurs directs plutôt que par tout le monde à travers les impôts). Un contournement complet s'avèrerait difficilement réalisable : en effet, le projet trouve sa rentabilité en captant les flux de transit et d'échange : le trafic supplémentaire capté par la boucle complète, et donc les ressources associées en matière de péage ne seraient pas proportionnelles au complément d'investissement à réaliser. Cela ne signifie pas qu'il n'existerait pas d'enjeu de desserte du territoire du côté opposé à un éventuel contournement susceptible d'être assurée par d'autres moyens. Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou pas le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Il faut savoir que les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils peuvent paraître longs mais correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition foncière. L'ensemble de ces délais peut être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020 et réaliser le projet en tranches successives ne permettrait pas de réduire sensiblement ces délais.
Question n°1282 de : Favaretto Nello- 31330 Ondes - le 21/11/2007Pourquoi faut-il attendre 13 ans pour réaliser ce demi contournement alors qu'il faut réaliser le contournement total de Toulouse?
Réponse le 21/11/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils peuvent paraître longs mais correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultation des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part les lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020. Par ailleurs, rappelons que l'un des trois objectifs du grand contournement autoroutier de Toulouse est de dissocier les trafics de transit et d'échange du trafic local. Les différentes hypothèses soumises au débat ont donc été imaginées pour répondre à cet objectif et capter le flux de transit principal entre le Nord et l'Atlantique d'une part, et la Méditerranée d'autre part. La réalisation d'un contournement (par l'Est ou par l'Ouest) permettrait ainsi d'assurer la continuité du réseau routier national sans passer par le périphérique. Par ailleurs, la rentabilité du projet est une condition nécessaire à sa réalisation. Le principe d'un péage servant à financer l'infrastructure a été retenu (qui répond au principe du financement par les utilisateurs directs plutôt que par tout le monde à travers les impôts). Un contournement complet s'avèrerait difficilement réalisable : en effet, le projet trouve sa rentabilité en captant les flux de transit et d'échange : le trafic supplémentaire capté par la boucle complète, et donc les ressources associées en matière de péage ne seraient pas proportionnelles au complément d'investissement à réaliser. Cela ne signifie pas qu'il n'existerait pas d'enjeu de desserte du territoire du côté opposé à un éventuel contournement susceptible d'être assurée par d'autres moyens.
Question n°1323 de : Ducousso Robert- 31450 Montgiscaud - le 22/11/2007Pourquoi avoir attendu 30 ans pour contourner Toulouse? Vous avez beaucoup d'argent car il faudra exproprier de nombreuses habitations construites dans la périphérie toulousaine à moins que ce contournement se fasse à une trentaine de kilomètres. Bon courage!
Réponse le 23/11/2007Ce n'est que depuis 1995, date du doublement du tronçon Langlade-Empalot qui représentait en fait le dernier maillon du bouclage de la rocade, que l'on peut parler d'un véritable périphérique à Toulouse. La dynamique de croissance de l'aire urbaine toulousaine s'est accélérée ces dernières années conduisant le CIADT (Comité Interministériel d'Aménagement et de Développement du Territoire) du 13 décembre 2002 a décider d'engager une réflexion sur le contournement de l'agglomération toulousaine. Cette décision a été confirmée par le CIADT du 18 décembre 2003. Ces dernières années ont par ailleurs vu l'Etat et les collectivités conduire un grand nombre de projets routiers ou de transports en commun (mise à 2 x 3 voies du périphérique, Palays, rocade Arc-en-Ciel, métro, développement des TER...). Cependant nos études montrent que malgré les projets nouveaux de transports prévus (ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, tramway, volet ferroviaire du contrat de projet Etat-Région, Plan rail de la Région, etc.), la situation à l'horizon 2020 laisse présager un accroissement des difficultés. C'est pourquoi l'Etat soumet aujourd'hui au débat public le projet de Grand Contournement Autoroutier de Toulouse. Aucune décision n'est cependant prise, le débat portant en premier lieu sur l'opportunité même de faire ou pas cette infrastructure. Par ailleurs, il faut savoir que le secteur d’étude se situe dans un territoire compris entre une dizaine de kilomètres et 35 km du périphérique actuel. Il n'est effectivement pas envisageable de construire une telle infrastructure éloignée seulement de quelques kilomètres du périphérique, pour les raisons suivantes : tout d'abord, elle introduirait une coupure dans un tissus urbain déjà très dense, où une infrastructure autoroutière n'a pas sa place ; de plus la satisfaction des besoins de déplacements locaux en cohérence avec les orientations du Plan de déplacements urbains relève davantage des "transports en commun" ou de "boulevards urbains" multimodaux. Par ailleurs, en raison de la densité de l'agglomération elle impacterait un nombre très élevé d'habitations, soit parce qu'elles seraient situées directement sur l'emprise (donc devraient être démolies), soit parce qu'elles seraient riveraines immédiates de l'infrastructure (donc gênées par le bruit et la pollution). Les seules solutions techniques acceptables par la population (tunnels, tranchées couvertes) généreraient des coûts prohibitifs et remettraient en cause la rentabilité du projet. Concernant le coût du projet, les familles « Ouest + Sud » sont estimées entre 750 et 1 350 millions d'euros, les familles « Est seul » entre 600 et 950 millions d'euros, et les familles « Est + Sud » entre 850 et 1 400 millions d'euros, selon l’éloignement. Les options proches sont paradoxalement les moins coûteuses, le coût des acquisitions foncières n’étant pas prépondérant dans le coût total, ce qui n’est pas le cas de la longueur de l’infrastructure, qui peut aller du simple au double entre un passage à 15 km et un passage à 35 km.
Question n°1336 de : Lespinasse Gérard- 31860 Pins Justaret - le 27/11/2007Ce projet pourrait être réalisé entre 9 et 13 ans! Pourquoi en France quand c'est urgent (comme le TGV Toulouse-Paris) on n'arrive pas à faire les choses rapidement?
Réponse le 30/11/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils peuvent paraître longs mais correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultation des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part les lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°1345 de : Rivière Jean-Claude- 31500 Toulouse - le 27/11/2007Quel horizon envisagez-vous pour la mise en service de ce projet absolument nécessaire?
Réponse le 30/11/2007Tout d’abord, rappelons qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou non le projet. Les délais de mise service d’un tel projet, dans l’hypothèse où son opportunité serait confirmée, correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils répondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ils peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peut être estimé à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°1368 de : Assemat Pierre- 31100 Toulouse - le 05/12/2007Si les travaux du grand contournement se terminent au mieux en 2020, que fait-on pendant ce temps?
Réponse le 06/12/2007L’acuité des difficultés de circulation et les enjeux en matière de déplacements ont conduit les différents acteurs du domaine des déplacements à s’associer pour conduire un certain nombre de démarches partenariales et initier de nouvelles approches qui sont définies dans les pages 54 et 55 du dossier du maître d'ouvrage. D'une part l'Etat, la Région, le Conseil Général de la Haute-Garonne, le Grand Toulouse, le SICOVAL, la Ville de Toulouse, Tisséo-SMTC, RFF, la SNCF et l’AUAT se sont regroupés au sein du Système de Gestion Globale des Déplacements (SGGD) pour améliorer la gestion et l’exploitation des déplacements sur l’agglomération toulousaine et pour développer des outils d’observation et de prospective. Ce partenariat a d’ores et déjà débouché sur un certain nombre de concrétisations (regroupement des exploitants sur un même site Campus Trafic, coordination, plan de gestion de trafic, travail sur l'information multimodale...). D'autre part, l’Etat, le Conseil Général et ASF se sont regroupés au sein d’une structure coopérative (ERATO) pour assurer une gestion coordonnée du réseau de voirie urbaine de l’agglomération toulousaine et en particulier du périphérique. Cela se traduit par exemple par une coordination en temps réel de la gestion du trafic et la mise en place coordonnée d’actions d’amélioration de l’exploitation comme la mise en place de panneaux à message variable, etc. Ce partenariat permet d’améliorer la sécurité des usagers, leur information et la fluidité du trafic. Par exemple l'information sur les temps de parcours sur les panneaux à message variable déjà réalisée à l'Est sera bientôt étendue à l'ensemble du périphérique. La limitation de la vitesse à 90 km/ h permet également une conduite plus apaisée favorable à une meilleure régulation du trafic. L'information multimodale devrait également être développée dans les années à venir. Pour faire face à la croissance des trafics, les 340 communes de l’aire urbaine toulousaine ont entrepris une démarche d’organisation du territoire plus économe en espace et en déplacements, grâce en particulier à une meilleure polarisation du développement périurbain sur les petites villes autour de Toulouse et à un renforcement des villes moyennes. Les infrastructures de transport existantes font l'objet de lourds programmes d'investissement pour les années à venir. L'amélioration des infrastructures ferroviaires, portée par la Région et l'Etat, est prévue dans le cadre du volet ferroviaire du Contrat de Projet Etat-Région 2007-2013, dans le Plan Rail, dans le Plan Régional des Transports. A cela s'ajoute la construction d'une infrastructure nouvelle, la Ligne à Grande Vitesse Bordeaux-Toulouse, qui permettra d'aller de Toulouse à Paris en 3h. En ce qui concerne l'amélioration des réseaux de voiries, l'Etat et les collectivités compétentes (Région, Département, Grand Toulouse) portent un certain nombre de projets inscrits au Schéma Directeur de l’Agglomération Toulousaine (SDAT), concernent à la fois le réseau primaire, le réseau des voies rapides et le réseau secondaire et en particulier les boulevards urbains de maillage comme la liaison multimodale Sud-Est, etc. A cela s’ajoute le développement des transports en commun urbains, avec par exemple le prolongement de la ligne B vers Labège Innopôle, ou le doublement des rames de la ligne A du métro. Vous trouverez une synthèse de l’ensemble de ces projets dans le chapitre 3, pages 39 à 55 du dossier du débat public. Par ailleurs, une étude permettant de définir un schéma multimodal de l'ensemble du secteur Sud-Ouest de l'agglomération (et en particulier du cancéropôle) est actuellement en cours, associant l'ensemble des partenaires (Etat, Conseil Régional, Conseil Général, Grand Toulouse, Ville de Toulouse, Tisséo-Smtc...). Ces réflexions permettront de planifier les transports et la voirie à moyen et long terme et de dégager des actions concrètes à court terme. Dans le secteur Nord-Ouest de l’agglomération (usines Airbus, zones d’activités de l’aéroport et ZAC en cours de réalisation), une réflexion associant l'ensemble des partenaires Etat et collectivités locales est également en cours pour élaborer un schéma multimodal de déplacements visant à définir une solution globale aux problèmes de ce secteur, en permettant d'améliorer l'accessibilité à la fois par la route et par les transports en commun. Enfin, le SICOVAL (communauté d’agglomérations du Sud-Est toulousain) a engagé une réflexion globale sur l’organisation des déplacements sur son territoire, et notamment sur le pôle d’activité de Labège Innopôle et les zones d’activités associées.
Question n°1407 de : Bardou Mathieu- 31500 Toulouse - le 05/12/2007Si passage à l'Est avec contournement sud adopté, quelle serait la durée approximative des travaux (en années)?
Réponse le 06/12/2007Il faut rappeler qu'aucune décision n'est prise à ce jour. Le principe même du débat public est que toutes les opinions s'expriment afin d'apprécier ensuite l'opportunité de faire ou non le projet. Si l’opportunité du projet était confirmée, le maître d’ouvrage serait conduit à lancer les études et les concertations nécessaires à la recherche des différents tracés. Dans ce cas, l’échéance de mise en service de l’infrastructure devrait être la même quelle que soit l’hypothèse de contournement retenue. Les délais pourraient globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis la consultation des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition foncière. L'ensemble de ces délais peut être estimés à 5 à 6 ans. Ainsi, la mise en service pourrait intervenir à l'horizon 2020.
Question n°1414 de : Torres Francisco- 31140 St Alban - le 05/12/2007Je suis retraité d'un certain âge. Pourquoi le grand contournement de Toulouse attendra en 2020? Merci pour le journal du débat.
Réponse le 06/12/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils peuvent paraître longs mais correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultation des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part les lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peuvent être estimés à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.
Question n°1418 de : Boyer Anne- 31700 Blagnac - le 05/12/2007Le grand contournement permettrait d'améliorer la desserte de villes régionales comme Albi Castres ou Auch sans transiter via Toulouse. A quelle date la décision doit être prise? Merci.
Réponse le 06/12/2007A la suite du débat public, la Commission Particulière du Débat Public ne se prononce pas sur le projet, et ne rend aucun avis. Elle dispose de deux mois à compter de la fin du débat (soit le 22 décembre 2007), pour rédiger le compte-rendu du débat qui synthétise, aussi clairement et précisément que possible, ce qu'elle a entendu au cours des quatre mois de débat. Le Ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement Durables, maître d'ouvrage du projet, disposera ensuite de trois mois pour indiquer la suite qu'il entend donner à ce projet.
Question n°1422 de : Molénat Michel- 31520 Ramonville St Agne - le 05/12/2007Quels sont les délais de mise en oeuvre?
Réponse le 06/12/2007Les délais annoncés correspondent aux délais généralement observés sur différents projets de cette importance. Ils correspondent à la nécessité de conduire à la fois les études, les procédures administratives et une concertation approfondie aux différentes étapes du projet. Ainsi, tout en rappelant qu'aucune décision de faire ou pas le projet n'est prise à ce jour, les délais, si l'opportunité du projet était confirmée peuvent globalement se décomposer ainsi : - Etudes préliminaires avec la recherche des différents tracés, de l'ordre d'un an, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Etudes d'avant projet sommaire avec le choix du tracé, de l'ordre de deux ans à deux ans et demi, - Concertation puis décision ministérielle, de l'ordre de six mois à un an, - Enquête publique et déclaration d'utilité publique, de l'ordre de d'un an à un an et demi. Après la déclaration d'utilité publique, vient ensuite la désignation du concessionnaire, le lancement des études détaillées, puis les consultations des entreprises et les travaux. En même temps sont menés d'une part les procédures concernant la loi sur l'eau, et d'autre part le lancement des procédures d'acquisition. L'ensemble de ces délais peut être estimé à 5 à 6 ans. Compte tenu de toutes ces étapes successives, il paraît difficile d'envisager une mise en service avant l'horizon 2020.