La « vision » B1 suppose la réussite d’une politique « facteur 4 » à l’horizon 2050, grâce à un double mécanisme :
- un usage très développé des vecteurs énergétiques non carbonés (électricité, hydrogène) par les consommateurs ;
- la capacité des grandes entreprises et des producteurs indépendants à produire et distribuer ces vecteurs énergétiques non carbonés, tout en minimisant les émissions de CO2 du secteur énergétique