40 /
Chapitre 2
pourquoi le projet?
LISON
ROUEN
AMIENS
LGV
Ligne mixte 1 voie
lectrifie / non lectrifie
Contraintes trs fortes
Point de dpart dans
la conception de lÕhoraire
Contraintes secondaires
Ncessitant une vigilance dans
lÕlaboration du concept horaire
Principaux noeuds de correspondance
(*)
Aprs amnagement
Ligne mixte 2 voies
lectrifie / non lectrifie
Ligne fret 1 voie
lectrifie / non lectrifie
Ligne fret 2 voies
lectrifie / non lectrifie
Ligne non exploite
CAEN
—les points suivants sont
particulièrement problématiques :
›
En
gare Saint-Lazare,
où les trains normands
intercités croisent dans l’avant-gare les circula-
tionsdebanlieueprovenant deConfans-Sainte-
Honorine, Pontoise et Mantes-la-Jolie par la rive
droite. Les accès aux installations de garages et
d’entretien de la gare Saint-Lazare se font sur
une seule voie et se révèlent fragiles.
›
Entre
Paris et Vernouillet
, où la ligne est
à deux voies. La section la plus critique est
Poissy - Vernouillet avec une gare intermé-
diaire à Villennes-sur-Seine dont la desserte
réduit le nombre de sillons disponibles, mais
aussi ralentit les trains de grandes lignes.
›
Dans le secteur de
Mantes-la-Jolie
où
convergent de nombreux fux (avec en plus
les trains en provenance de la gare Montpar-
nasse) et qui présente de nombreux confits
de circulation avec des croisements qui
s’efectuent tous à niveau.
›
Dans les bifurcations
du
nœud ferroviaire
de Rouen
, avec de nombreuses convergences
de lignes (Darnétal, Elbeuf, Malaunay…) où les
trains se croisent à niveau.
›
Dans la
gare de Rouen Rive Droite
qui
présente des contraintes multiples. Avec la
mise en service du cadencement en décem-
bre 2008, elle est proche de la saturation en
heure de pointe côté Paris ; son plan de voie
impose aux trains terminus des croisements
coûteux en capacité.
— les autres diffcultés principales
se situent :
›
à
Vernon
, où les trains terminus doivent
stationner sur la voie parcourue par les trains
Paris – Rouen ;
›
à
Yvetot
où les installations conduisent les
trains terminus à stationner, puis manœuvrer
sur les voies utilisées par les trains Rouen –
Le Havre ;
›
entre
Malaunay et Dieppe,
les horaires de
cette ligne sont contraints par la voie unique
et rétroagissent sur ceux de la ligne principale
Rouen – Le Havre.
En Basse-Normandie, le nombre de circula-
tions est moindre et les contraintes provien-
nent avant tout des sections à voie unique : de
Lisieux à Trouville-Deauville, de Lison à Saint-Lô
et Coutances.
Par ailleurs, le nombre de circulations fer-
roviaires oblige à réaliser les opérations de
Les limites
du
système
ferroviaire
existant