L’objet de ce chapitre est d’évaluer les impacts du projet de métro automatique sur les émissions de polluants (oxyde d’azote (NOx), dioxyde de carbone (CO2) et particules fines (PM)) et la consommation d’énergie. L’effet majeur pressenti est l’impact induit sur la circulation automobile. Cet impact induit a été estimé à l’aide du modèle de transport décrit dans le chapitre mobilité (III.1). Il ne s’agit pas d’un recensement exhaustif des émissions de type bilan mais bien d’une évaluation des émissions des tronçons routiers les plus fréquentés (le modèle ne prend pas en compte les voiries locales). Ces émissions sont calculées et cartographiées pour l’horizon 2035 avec et sans projet. Le parc, les profils d’émission, les réseaux routiers et TC (autre que le métro automatique) sont constants pour les deux scénarios (voir le chapitre III.1 « Mobilité » pour une description détaillée). D’autre part, les émissions et consommations directes du métro automatique font l’objet d’une évaluation qualitative.