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Voici les avis exprimés par le public par mail, par courrier ou lors des réunions publiques.

Avis de : Laperrousaz Jean-François Nice 06000 - le 02/03/2006
En complément de ma précédente intervention qui consistait principalement à se poser la question de l'utilité du doublement des capacités autoroutières dans la périphérie Niçoise, je me dois de proposer à la réflexion les éléments suivants:

- Le contournement autoroutier de Nice intéressera principalement un trafic de transit, donc l'autoroute actuelle continuera à accueillir majoritairement le même trafic local.

Le problème de la saturation de l'autoroute existante étant déjà actuel, une nouvelle autoroute ne résoudra pas les problèmes de circulation et des sorties de l'autoroute aux heures de pointe. Problèmes que nous pouvons constater principalement le matin à Nice-Ouest, à Antibes vers Sophia-Antipolis, et en fin d'après midi à l'entrée de Nice-Ouest.

L'incapacité que montrent ces sorties à absorber le volume du trafic souhaitant l'utiliser font remonter sur l'autoroute des zones de ralentissement voire de bouchonnage totalement néfaste au maintien de la capacité de trafic normal de l'autoroute.

Il est donc utile et urgent d'influer sur ce constat en:

- Menant une campagne auprès des employeurs pour étaler les heures de début et de fin de période de travail.

- Stockant sur des aires de repos les poids lourds pendant les heures de pointe.

- Adaptant les capacités des installations de péage aux trafics de pointe. (Antibes-Ouest,..)

- Matérialisant sur une plus grande distance et en indiquant bien clairement le couloir de circulation menant à ces sorties et procéder à une campagne de verbalisation des conducteurs qui empruntent une file médiane pour se rabattre le plus tard possible, coupant ainsi une ligne continue après avoir occulté un couloir de circulation qui ne leur était pas destiné.

- Traitant dans toute la mesure du possible la fluidité des flux de véhicules après leur sortie de l'autoroute. Sur ce point il faut espérer que la finition de la voie rapide de Nice permettra d'absorber une partie du trafic entrant à Nice et que son débouché à l'est sera également traité pour l'écouler.

- Etudiant, en fonction des zones de chalandise, les itinéraires à prévoir ou à renforcer pour atteindre des zones comme Sophia-Antipolis.

- Améliorant toutes les formes et fréquences des transports en commun.

Il nous faut aussi prendre en considération que les dernières enquêtes réalisées sur le transport automobile font apparaître une diminution de celui-ci. Ce paramètre heureux pour la diminution de la pollution et des émissions de gaz à effet de serre, doit nous inciter à modérer la prolifération des infrastructures dégradant encore notre espace de vie et dont l'utilité à long terme ne semble pas évidente.

Avis de : Broussaud Yves Nice 06100 - le 01/03/2006
Recalibrer l'autoroute actuelle avec un fort péage pour le passage des poids lourds s'ils ne veulent pas avoir recours au ferroutage qui serait prioritaire ou obligatoire.

Gratuité du tronçon de contournement pour les V. L.

Améliorer la ligne des chemins de fer de Provence avec une desserte par Saint Laurent du Var et la Z. I. de Carros et prolongement sur Sophia Antipolis.

Augmenter la cadence des TER.

Avis de : Conepera Gilles Nice 06100 - le 01/03/2006
Cette idée de contournement pour doubler l'axe Est-Ouest existant risque d'être à nouveau en saturation d'ici 20 ou 30 ans et coûter très cher à la collectivité.

Les responsables ont délibérément et volontairement négligé le ferroutage. Je pense que pour les poids lourds, la clé est le chemin de fer.

Il faut se donner les moyens et ne pas être toujours à la traîne dans le domaine des transports, comparé à d'autres pays européens qui ont déjà adopté cette alternative.

Avis de : ACDD  Nice 06100 - le 01/03/2006
Nous sommes contre le projet de contournement routier qui ne fera qu'accentuer le trafic automobile et la pollution. Il serait préférable de faire une étude sérieuse et approfondie sur le ferroutage, de développer un transport urbain attractif et pratique.

Favoriser l'accès aux pôles d'activité par voies ferrées afin de limiter le trafic.

Avis de : Dubois Anne-Marie BENDEJUN 06390 - le 01/03/2006
Sophia-Antipolis a besoin de liaisons en transports collectifs de bonne qualité et fréquents. Notamment sur Nice, et sur l'aéroport. Toutes les technoppoles modernes sont reliées facilement avec les aéroports...
Il faudrait un TCSP depuis Nice passant par l'aéroport, de préférence direct.
Une liaison ferroviaire Antibes-Sophia devrait être reliée avec la liaison prévue Sophia-Mouans-Sartoux. La liaison devrait traverser la zone, relayant les navettes existantes.
La possibilité de report modal est démontrée par le succès du car à 1Euro30 Nice-Sophia, qui manque de places ...
Les liaisons routières ne peuvent pas rendre l'accès plus facile. En particulier le tunnel ne permet pas une liaison facile avec l'aéroport. Les visiteurs de plus, préfèrent en général, trouver un transport plus facile.

Avis de : Dautrevaux Jacques SAINT ANDRE de la ROCHE 06730 - le 27/02/2006
Contournement de Nice - raccordement à Nice-Est
Je ne vois vraiment pas comment pourra s'effectuer ce raccordement, dans une zone urbanisée à la limite de trois communes (Nice, Saint-André de la Roche, La Trinité) à moins de traverser la vallée du ¨Paillon en souterrain et de se raccorder à l'A8 en rive gauche, ce qui pose encore bien des problèmes de place. Il serait préférable de passer beaucoup plus au nord, dans les zônes moins urbanisées entre La Trinité de Drap. S'agissant d'une autoroute pour dévier le trafic de transit direct, il ne parait pas utile d'y prévoir des échangeurs, qui ne riment à rien et coûtent fort cher. Merci.

Avis de : Megale Laurence LA COLLE SUR LOUP 06480 - le 25/02/2006
A la Question de M. Jean-Pierre Pivert Villeneuve-Loubet 06270 - le 05/12/2005: Dans les options 1 ou 2, la traversée du Loup est-elle par viaduc ou en souterrain ?
vous répondez évasivement:
Réponse de la : dde 06 : "Au stade du débat public, nous ne disposons pas d’éléments précis en terme de tracé. Dans le cas où l’opportunité du projet serait confirmée, les études de détail qui seront menées en préparation de l’enquête publique préalable à la déclaration d’utilité publique de ce projet permettront de définir le calage en hauteur du projet qui dépendra des fonctionnalités finalement retenues à l’ouest du Var. La nature et les caractéristiques du franchissement de la vallée du Loup ne pourront être précisées qu’à la suite de ces études."
Pour autant tous vos projets (version courte ou version longue) laissent apparaitre dans leur évocation de tracé un viaduc de environ 1Km; alors pourquoi une telle langue de bois dans vos réponses! évoquer des tunnels rassure tout le monde! ; même si le tracé n'est pas défini à 300M prés, vous savez pertinament qu'il est prévu un viaduc pour le franchissement de la zone du Loup et pour la desserte de l'échangeur de la Vanade ou la continuité vers Antibes les Breguières.

Veuillez croire, Monsieur, à l’expression de nos salutations les plus distinguées.

Avis de : Bernard Fabien Nice 06100 - le 28/02/2006
Il me semble que l'annonce faite la semaine passée par M. le Ministre et Président du Conseil général ne va pas dans le sens "démocratique" du débat public.

Avis de : Journeaux Jean-Louis Nice 06300 - le 28/02/2006
Très vite, très bien très beau au meilleur prix

Avis de : Calafiore Titine Nice 06000 - le 28/02/2006
Très bien pour 1°:
- moins de bruit
- moins de pollutions
- moins d'accidents
- gains de temps
- moins de carburants
- meilleure vie

Avis de : Falcomer Yves nice 06100 - le 27/02/2006
Court terme vs Long terme :
Ne peut on pas avancer par étapes pragmatiques en apportant des améliorations immédiates face au problème de la saturation actuelle de l’A8 (2020 paraît loin et trop tard)?

Pourquoi ne pas régler les problèmes immédiats :
Phénomène d’entonnoir de l’A8 a l’entrée de Nice du a une absence de raccordement direct de l’A8 avec la voie MATHIS et de Nice-Promenade (nécessitent l’enjambement de la RN 202)
Phénomène d’entonnoir de l’A8 sur la sortie nice-prefecture du a la traversée de le RN 202 (absence de tunnel traversant le RN 202 sur ce point).
Echangeurs Antibes, Biot, Mougins, Villeneuve loubet et cagnes sur mer à revoir ou a créer comme le réclame les élus locaux.

Le financement de ces projets passerait par une surtaxe des camions et véhicules venant hors département.

Pourquoi attendre 2020 pour la réalisation le tunnel du tronc commun (solution 1 & 2) ?
Ce tunnel pourrait être utiliser afin désengorger Nice en permettant aux véhicules de « s’extraire » le plus rapidement du centre (ou des collines) de Nice sans passer par le bord de mer, cela nécessite des échangeurs (ou des voies de raccordements) vers ce tronc commun a mangan et au centre de Nice (permettant d’extraire les véhicule en centre villes sans qu’ils traversent l’agglomérations afin de rejoindre Nice nord).
De plus la réalisation d’un tunnel, indépendant du tronc principal, permettant de relier magnan et Nice centre sans passer par le bord de mer permettrait de soulager le bord de mer.

Financement :
Au sujet de financement, pourquoi ne pas faire payer les utilisateurs hors département (camions et voitures venant hors du département) afin de réaliser ce projet et non l’état et le département, puisqu’ils sont la principale source de l’accroissement du trafic en 2020.
Ce financement pourrait prendre la forme d’un relèvement fort des péages a l’entrée du département, et d’une surtaxe dissuasive pour les camions, a l’image de la suisse permettant de financer les travaux locaux (point noir, et les transports en commun) et aussi de les contraindre économiquement à utiliser le ferroutage ou le mer routage (ce qui permettrait de rendre viable économiquement ces solutions alternatives au grand dam du lobby des transports routiers). Ceci en permettant aussi une baisse des péages a l’intérieur du département, car l’A8 est essentiel a la vie des habitants du département pour leurs déplacements.


TER plus efficaces et cohérent et non pas un ensemble de projets locaux :
Tous les projets de transport en communs font une part trop importante au transport a l’intérieur des agglomérations alors que les trajets actuels sont dus à des déplacements inter agglomérations. Sans une concertation globale et un schéma directeur globale et cohérent ces projets ne régleront pas le problème de la circulation dans les alpes maritimes.

Il est nécessaire de rendre efficace les TER locaux (a l’image des RER parisiens) sur la bande littorale mais il serait aussi utile d’avoir des TER reliant les principales zones d’activités (zone universitaire de sophia et technopole) avec le TER côtier : debut d’une diagonale.
Une diagonale ferroviaire serait intéressante aussi entre Grasse – Sophia – TER côtier

Il est à noter que les TER et les transports en communs, sont efficaces si les changements de mode de transports sont peu nombreux dans un même déplacement : au plus 2-3.

Avis de : Caravelli Philippe Menton 06500 - le 27/02/2006
Hôtelier à Menton depuis trente ans, je me permets de vous adresser la présente afin d’apporter ma modeste contribution dans le débat concernant le contournement routier de Nice.

Notre région, et Menton en particulier, ont toujours souffert de leur éloignement. Celui-ci n’a jamais été compensé par une prise en compte de leur mauvaise desserte tant routière que ferroviaire.

Faut-il rappeler que le dernier tronçon de l’autoroute reliant le Nord au Sud de l’Europe à être mis en service a été celui reliant La Turbie à Roquebrune-Cap-Martin, il n’y a pas si longtemps ? Et voilà que, déjà, ce réseau routier est saturé.

Dans l’exercice de ma profession, il m’est impossible dès l’heure actuelle de dire à mes clients s’ils mettront 40 minutes ou 1 heure 30 pour venir ou aller à l’aéroport de Nice !

Je souhaite vivement que pour une fois on prenne compte des réels besoins de la région et que l’on ne choisisse pas à nouveau une solution « frileuse », temporaire, ou soit disant moins coûteuse. Afin de rendre notre région agréable à vivre, tant pour ses habitants que pour les touristes qui la visitent, un enfouissement de la circulation destinée au contournement pur de Nice ainsi qu’une desserte de Sophia-Antipolis depuis les Bréguières sont à recommander en priorité.

Nous ne pouvons pas nous contenter, une fois de plus, de solutions temporaires ni de demi mesures dans ce domaine.

Avis de : Robini Marc Saint Merblain 44800 - le 27/02/2006
Depuis 30 ans, je me bats pour que le transports aérien cesse de molester l'environnement, l'intérêt général et les riverains! Rien n'autorise certains décideurs à enterrer mes idées, dès lors qu'elles visent à éradiquer les tares rédhibitoires des aéroports de Nice et de Cannes bien connues de tous.

Dans ce but, j'ai lancé l'idée du transfert sur un nouveau site, de toutes les activités aéronautiques de Nice et de Cannes: cette idée à été prise en considération en très haut lieu et figure dans le schéma de services collectifs de transport de voyageurs...depuis 5 ans, mais semble n'avoir jamais été étudiée...!

De toute évidence, le projet de LGV et celui du contournement routier de Nice permettront d'assurer rationnellement et bien plus rapidement, l'acheminement des voaygeurs aériens, entre le nouvel aéroport et le coeur des villes côtières, pour peu que le nouvel aéroport soit lui-même relié au réseau ferroviaire et routier.

Une baie des Anges et une Baie de Cannes, (débarrassées de centaines de milliers d'avions et de 10 millions de voitures (*), qui empestent et encombrent inutilement les routes du littoral et la prestigieuse Promenade des Anglais, pour se rendre aux aéroports actuels, n'est-ce-pas le plus important moyen pour favoriser et développer le tourisme, première activité de la Côte d'Azur!


(*) Un passger aérien...c'est une voiture sur le Prom'! Or, l'aéroport intra-urbain de Nice transporte 10 millions de passagers! C'est dire que le contournement routier de Nice ne changera pas grand chose s'il n'est pas accompagné par un transfert des activités aéronautiques!

Avis de : Dao Georges Carros 06513 - le 27/02/2006
C'est en ma qualité de Président que j'attire l'attention sur l'intérêt que revêt pour mon entreprise, située dans la zone industrielle de Carros, le projet de contournement de Nice.

En effet, chaque jour, les 700 collaborateurs qui travaillent pour le compte de la Société doivent emprunter les axes routiers de plus en plus encombrés. Ils subissent quotidiennement les désagréments dus aux paralysies du trafic, aux heures de pointe ou dès que survient le moindre incident.

Alors que notre entreprise est, en raison de son expansion, en recherche permanente de nouveaux collaborateurs, nous constatons que cette situation constitue un frein indéniable à l'embauche.

De plus, les difficultés de logement conduisent beaucoup de nos salariés à se loger en périphérie des villes, le plus souvent en secteur collinaire. L'impact du développement des transports collectifs, plutôt orienté vers les centres-villes, restera donc limité à leur égard. Et la voiture est appelée à rester leur mode de transport prédominant.

C'est pourquoi il reste impératif, en parallèle au développement des transports collectifs, pour une société comme la notre, de disposer d'une desserte routière EST/OUEST performante, capable de drainer efficacement les flux provenant des collines et du Moyen Pays.

Faute de disposer d'une telle desserte, et au vu de l'augmentation permanente des durées de trajet constatée par nos salariés, il est à craindre une quasi-paralysie de l'A8 à un horizon proche. Une telle situation constituerait à n'en pas douter un frein considérable au dynamisme de la zone industrielle de Carros et aux autres bassins d'emploi potentiels de la Plaine du Var. Alors que ce secteur est reconnu comme stratégique dans la politique de développement du département.

Ce secteur de la plaine du Var n'ayant pas par ailleurs vocation à voir son habitat fortement densifié, la gestion des déplacements quotidiens pour y accéder devient un enjeu majeur si on souhaite assurer la pérennité des activités qui s'y installent.

Quel que soit le développement des transports en commun, il n'est pas envisageable de faire l'économie d'une amélioration notable de la circulation routière selon l'axe EST/OUEST indispensable au développement du département et des emplois associés.

C'est pourquoi nous attendons avec impatience la mise en place du contournement de Nice.

Et à ce titre, la solution dite longue semble être la seule qui permette de répondre durablement à la problématique posée, dans la mesure où elle constitue une solution globale aux déplacements en provenance non seulement du tissu urbain niçois mais aussi de Sophia Antipolis et du bassin grassois, en forte expansion. C'est cette solution que nous souhaitons fotement voir mise en place, d'autant qu'elle offre à nos yeux les meilleures possibilités d'insertion professionnelle.

Je vous remercie par avance, au nom de tous mes collaborateurs concernés, de la considération que vous accorderz à ce courrier.

Avis de : Dalmasso Denis - le 27/02/2006
Oui oui et encore oui au contournement de Nice.

Ras le bol de mettre entre 50 mn et 1H15 parfois pour parcourir 22 km afin d'aller bosser. Je ne veux plus passer autant de temps à respirer toute la pollution qui m'est imposée chaque matin. Marre de payer si cher pour des conditions de circulation déplorables.

La solution longue paraît la meilleure même si elle ne peut remédier à l'engorgement actuel de l'A8 et qu'il nous faut envisager de continuer à vivre cela encore plusieurs années.

Si on doit recueillir des voix, alors voici la mienne pour un oui au projet de contournement.

Avis de :  Monsieur Etchegoin  Nice 06000 - le 24/02/2006
En tant que président du club de NICE COTE D'AZUR des Commerciaux de France, je vous adresse ce courrier pour faire part de notre avis sur les différentes propositions de contournement routier de Nice.

Notre club, fort de 45 membres tous chefs d'entreprise, tient à attirer votre attention sur les difficultés quotidiennes que rencontrent nos clients et nos salariés (environ 500) lors de leurs déplacements.

Les actions engagées par les collectivités locales et l'Etat en faveur des transports en commun étant loin d'offrir un choix dans les modes de transport, les déplacements routiers resteront prépondérants pendant encore plusieurs années.

Des trois solutions proposées dans le cadre du débat public, c'est bien évidemment la solution longue entre Nice Est et les Bréguières à Mougins qui retient notre faveur. C'est la seule qui pourra garantir une meilleure fluidité dans les déplacements, supprimer les inévitables bouchons quotidiens au pont du Var et assurer la sécurité de nos clients et salariés.

Avis de : Canéla Emmanuel La Colle sur Loup - le 21/02/2006
C’est avec grand intérêt que j’ai assisté aux deux derniers débats publics concernant le projet de contournement routier de Nice et après réflexion je souhaitais en tant que citoyen participer en donnant mon avis mais aussi en posant quelques questions.

Une réflexion s’articule sur les résultats de l’expertise proposée par le bureau ISIS :
Etant malgré moi un utilisateur quotidien d’une voiture pour me rendre de La Colle sur Loup à l’Hôpital d’Antibes, j’ai pu constater que :

- Les problèmes de saturation autoroutière ne concernent que les sorties, les zones d’étranglement (comme à Nice au niveau de la sortie pour la Promenade des Anglais) et non le flux global. Ceci va dans le sens d’un ASP.

- Certaines sorties manquent comme notamment celle tant attendue de Biot qui désengorgerait la sortie Antibes en permettant une entrée dans Antibes et Sophia par le Sud. Il ne faut pas envisager à ce niveau un échangeur car cela revient à créer à ce niveau une zone d’étranglement avec un ralentissement certain du flux amenant des PL détournés de Nice à se jeter dans un flux de VL. Ceci va dans le sens d’un ASP.

- Certains échangeurs semblent aberrants comme celui pressenti à la Vanade au niveau de Villeneuve Loubet qui se trouve beaucoup trop près de Villeneuve pour prétendre à desservir Sophia ou permettre d’offrir un accès autoroutier intéressant vers Nice aux Roquefortois. En effet, toute personne désirant se rendre de cet échangeur à Sophia devra compter 20 à 25 minutes de plus depuis la sortie d’autoroute. Parallèlement les personnes descendront de Roquefort jusqu’à Villeneuve pour prendre l’autoroute en direction de Nice ou Antibes. En fait lorsque l’on est utilisateur de ces trajets l’on sait que les Roquefortois ne descendent pas chercher l’autoroute pour Antibes au niveau de Villeneuve Loubet sur la RN7 mais passent par Valbonne ou Sophia et donc aurait certainement plus besoin d’un échangeur au niveau de La Roque. Ceci va dans le sens d’un trajet long.

- L’augmentation d’activité dans une zone elliptique allant de Carros à Sophia montre l’intérêt d’une desserte directe de la zone de Sophia au niveau des Bréguières à Mougins. Ceci va dans le sens d’un trajet long.

Une autre réflexion de l’observation de certains résultats des statistiques proposées par la société SETRA :

- La différence de temps moyen mis par un automobiliste entre Mandelieu et Menton serait de 4 minutes supplémentaires en cas d’ASP par rapport au trajet court ou long pour une différence de 2 milliards d’euros sans compter les préjudices aux riverains de ces projets de contournement et aux touristes à qui l’on offrirait des édifices bétonnés supplémentaires avec de superbes viaducs polluant enjambant les rares sites préservés tels que les Gorges du Loup. Ceci va dans le sens d’un ASP.


Enfin je terminerai sur quelques réflexions interrogatives :

- Ne serait-il pas judicieux d’essayer les méthodes d’ASP à moindre coût pour un pays déjà fortement endetté et une région financièrement éprouvée par le retard qu’elle tente de rattraper en matières de transports en commun ?

- Ne doit on pas s’interroger sur l’amménagement de pistes cyclables en quantité permettant de diminuer voire de supprimer l’utilisation de véhicules motoriés donc polluant en intra-urbain voire en inter-urbain pour les villes voisines ? En effet d’autres régions comme l’Alsace, bien plus en avance que notre région pour les transports en commun, sont également forte d’un réseau de « vraies » pistes cyclables. Et pourtant il fait plus froid et beaucoup plus humide dans ces régions où, chaque fois qu’une route est réalisée ou réparée, une nouvelle piste cyclable nait.

- Ne serait-il pas plus judicieux à l’échelle nationale de privilégier un aménagement de LGV permettant de rapprocher Nice et sa technopole de Sophia aux autres grandes villes déjà desservie par le TGV ?

Avis de : Henrion Gérard - le 20/02/2006
Une autre approche au doublement de l’A8

1-Le débat est faussé par la position de la DDE, l’autoroute est saturée :doublons la !!!
Or le vrai débat est : l’automobile assure 91% des trafics, que faire pour réduire ce chiffre à 70% en 2020 : plus on crée de routes plus on crée du trafic !!! et comme on a créé plus de trafic il faut créer de nouvelles routes !!! c’est sans fin.
Il ne faut pas créer de nouvelles routes, il faut investir à 90% sur les transports collectifs. Et pour les 3 milliards d’euros que coûterait le doublement de l’autoroute, on peut mettre en site propre 1000km de voies routières + construire 200km de tramways + aménager et doubler 75 km de voie ferrée. Et si l’autoroute sature, les gens se tourneront vers les transports collectifs, s’ils existent.

2- Il y a d’autre part des mesures immédiates pour remédier à la congestion sur l’A8:
a) Interdire aux heures de pointe les camions >12T
b) Favoriser les transports collectifs : La voie de gauche réservée aux véhicules transportant au moins 3 personnes
c) Péage triplé pour les voitures avec une seule personne à bord
d) Péage triplé pour les camions >12T pour favoriser le Merroutage.
e) Péage doublé aux heures de pointe : il faut que le péage d’une voiture particulière soit au moins de 3 fois le prix du train.
Tout ceci peut être contrôlé par caméras enregistrant No de plaque, photographiant les personnes à bord, ajustant le montant du péage et enregistrant les contrevenants pour les mettre à l’amende.

3- Ensuite réaménager les routes actuelles gratuites
a) A Escota, dont les profits sont énormes (suite à la forte progression du trafic) de financer la résorption des remontées de queux en améliorant accès et sorties (10 sorties concernées)
b) Mettre la N7 à 2 fois 2 voies de Nice. A Antibes(il est aberrant de réduire la N98 à Cagnes de 3 à 2 voies par sens, sans simultanément mettre la N7 à 2 fois 2 voies, alors que les emprises existent avec très peu d’expropriations ;et Cagnes a dépensé à pure perte ce qu'ils ont appelé la requalification de la N7 alors que pour un modique supplément les 2 fois 2 voies pouvaient être réalisées.
c) Construire de Nice à Antibes une N7 bis à l’exemple de la N7 bis dans Antibes. Cagnes sur Mer et Saint Laurent du Var n’ont jamais prévu celà, car ils sont opposés à toute expropriation. Celà de fait nécessiterait seulement 3km de tunnels et 2 km de ponts pour 250 millions € soit 8 fois moins que le projet le plus coûteux de la DDE.
d) Entre Nice et Vintimille mettre à 3 voies (2 montantes 1 descendante) la grande Corniche et la réserver aux véhicules particuliers
e) Electrifier et transformer en tramway les Chemins de fer de Provence de Nice à Carros
f) Electrifier la voie ferrée Nice Breuil
g) Créer des parkings de dissuasion près des gares, gratuits pour les abonnés SNCF et passagers SNCF des trains.

Avis de : Artus Patrick - le 20/02/2006
Le dossier de la DDE prévoit une augmentation linéaire du trafic entre 2 à 3% par an sur l’A8.
C’est une hypothèse simpliste et fausse. En effet, l’incidence du prix du baril de pétrole, aujourd’hui autour de 60$, n’est pas prise en compte. Or dès 2015 ce prix sera autour de 243$ et à plus de 300$ en 2020 ; Ce qui ferait baisser le trafic des voitures particuliers de l’ordre de 20% ente 2010 et 2020. Et démontre l’inutilité du doublement de l’A8.

Ci-dessous prévision du prix du pétrole:
Si la demande mondiale de pétrole continue, de ce fait, d'augmenter de 2,25 % par an, compte tenu de la faible élasticité des prix à court terme de la demande de pétrole (- 0,05 %) et de la nécessité de réduire de 0,75 % chaque année la demande de pétrole mondiale, ceci conduirait à une hausse de 15 % par an du prix du pétrole à partir de 2005, soit un prix en 2015 de 243 dollars par baril, le prix de 300 dollars étant dépassé en 2017.

Au total, si on applique l'approche normative (théorie du prix des ressources épuisables), on voit que le pétrole devrait valoir de 200 à 300 dollars par baril en 2025 ; si on applique la technique de reéquilibrage de l'offre et de la demande mondiale, qui n'est pas valable sur un horizon aussi long, on voit que le pétrole devrait atteindre 300 dollars le baril avant 2020.



Avis de : Berte Jean Saint-Laurent du Var 06700 - le 16/02/2006
Association de défense des propriétaires des Iscles

L'association, constituée en septembre 2004, a pour objet de rassembler tous les propriétaires fonciers du quartier des Iscles à Saint Laurent du Var. Elle représente la quasi totalité de ceux-ci, soit cent dix propriétaires.

Pour avoir participé à deux réunions sur le débat public organisé sur les différentes propositions d'un éventuel contournement de Nice, nous n'avons pas la prétention de constituer un cahier d'acteur, mais seulement de nous manifester en soutenant les argumentations exprimées par Monsieur Henri Revel, Maire de notre commune, suite à la délibération du Conseil Municipal du 26 janvier 2006.

Cet axe routier tracé depuis Biot jusqu'à Saint-Isidore en collinaire et en souterrain, serait catastrophique pour la Commune, déjà "transpercée" par tous les réseaux routiers et ferroviaires.

Les problèmes concernant notamment le développement durable, semblent avoir été négligés. De nombreux secteurs sont urbanisés, ou urbanisables.

Il faudra également retenir les aspects géologique et hydro-géologique des bassins versants aux résurgences importantes.

Nous souhaitons dans l'immédiat, nous inscrire dans le débat public, en précisant que l'ensemble de nos réflexions nous rapproche des propositions suggérées par Monsieur Henri Revel, notre maire et Monsieur Jean Icart, dans son cahier d'acteur N°5.

Avis de : Dideron Fernand - le 14/02/2006
Mon vécu de l'évolution de la Côte d'Azur durant les dernières décennies est peut être caduc, on dit que l'expérience est un feu rouge que l'on porte au dos mais que personne parmi les suivants ne voit, je fais cependant les remarques suivantes :

-il serait plus logique de débattre du contournement de la conurbation Côte d'Azur, de Mandelieu à Eze, pour éviter le transit international .
Je ne vois pas pourquoi la zone de Cannes est exclue, on subit bien la saturation à partir de Mandelieu comme lorsqu'on arrive près des agglomérations de Lyon, ou Bordeaux, ou Gênes .

-ceux qui s'imaginent que le développement des transports en commun va tout règler se font des illusions : on parviendra seulement dans" un certain temps" à limiter la croissance de l'automobile et à réduire par le ferroutage le transit de poids lourds .
Que les promoteurs des transports en commun donnent eux-même l'exemple et n'arrivent plus aux réunions solennelles ou conviviales en voiture avec chauffeur.

-l'idée d'un Schéma Départemental des Déplacement est intéressante.
L'Agence de Déplacements et d'Aménagement des Alpes Maritimes a bien été créee à cet effet .

Utilisons cet outil qui nous dira comment mettre en cohérence, pour le futur, les divers moyens de déplacements et les perspectives de développement , les idées de mise en souterrain du TGV, de la nouvelle autoroute, de la voie ferrée actuelle,vaste programme !

Ce débat est passionnant et je vous souhaite bon courage pour"faire la part des choses" parmi ces idées foisonnantes et des considèrations très générales et sans doute hors du réel .

Avis de : Gavache Arlette Saint-André-de-la-Roche 06730 - le 09/02/2006
Plutôt que créer une nouvelle autoroute, il serait préférable d'améliorer les réseaux routiers existants et surtout de développer les transports en commun de façon à créer un véritable maillage.
Le flux automobile pourrait aussi bien diminuer et on pourrait alors véritablement parler de "maîtrise de la pollution".

Avis de : Le Maignan de Kerangat gael La colle sur loup - le 07/02/2006
Il y a un aspect très etonnant du débat , on entend beaucoup parler de trafic en transit, si vous prenez l'autoroute entre Cagnes /mer et Mandelieu comme je viens de le faire aujourd'hui à 11H et 15h30 l'autoroute est quasiment déserte ou et ce soit disant trafic ?
Les véhicules en transit feraient exprès de passer au heures de pointe juste dans la zone la plus saturée? ca ne semble pas très serieux ni très scientifique!

Par contre aux environ de villeneuve loubet a 15H30 il y a un important ralentissement sur la nationale 7 (quasi chronique dans le sens est ouest) les vehicules n'arrivent pas a entrer sur l'autoroute déserte. (il manque une voie de 300 m de long dans le sens est ouest) et le rond poind de sortie villeneuve loubet de l'autoroute est une catastrophe aux heures de pointes.

Le systemes de ronds points a la sortie d'antibes (sens est ouest) est aussi un catastrophe et cré des embouteillages sur l'autoroute le matin aux heures de pointe l'option courte apporte une réponse nulle à ce problème et va probablement l'aggraver.

comme ces exemples le montre bien le problème est en réalité exclusivement du au trafic local et le projet ne resoud rien des problèmes réels.

Le seul interet de l'autoroute souterraine a l'ouest de nice serait d'evacuer du trafic sophia saint isidore ce que ne fera pas l'option courte mais pourrait faire un peu l'option longue.

Comment cette option courte qui va encore amener du trafic sur antibes peut elle etre encore envisagée?

Avis de : Ardissson Gilbert Nice 06000 - le 06/02/2006
Je m'oppose au projet qui prévoit un 3e pont au viaduc de Magnan, pour les raisons suivantes :
Ma propriété familiale, au pied du viaduc, a déjà été amputée par les 2 premiers ponts et elle subit de nombreuses nuisances :
- pas de soleil pendant 2 mois
- pollution par les échappements
- chute de déchets (bouteilles, mégots,...)
- et même chute de cadavres humains
- bruit causé par vibration des grillages de protection

Pour ces rtaisons je refuse toute emprise au sol sur ma propriété.
Je suis cependant d'accord pour un nouveau contournement autoroutier de Nice, mais en dehors de l'existant.

Avis de : Bétrancourt Georges Valbonne 06560 - le 06/02/2006
Ce débat public est frustrant et pernicieux. La question qui aurait mérité d'être débattue est la suivante : à partir du principe que les infrastructurtes routières et autoroutières sont asssez nombreuses mais pourraient être aménagées à la marge (par ex. quelques échangeurs ou quelques PETITS tronçons manquants), quels sont les investissements à réaliser EXCLUSIVEMENT SUR LES MODES COLLECTIFS pour que l'accroissement des déplacements puisse être absorbé.

Comparer le coût de ces scénarios aurait dû être le thème du débat et non pas comparer les CONSEQUENCES d'un CHOIX ARBITRAIRE qui nous a échappé.

Il est pernicieux de faire croire que la population s'exprime pour seulement "arbitrer" (et encore) entre 3 tracés !!!

Avis de : Torre Georges Cagnes-sur-Mer 06800 - le 06/02/2006
Objet : saturation aux sorties de l'autoroute A8 au niveau des agglomérations

Projet : Pourquoi ne pas envisager une liaison maritime régulière desservant les centres d'activité. Cela suppose bien sûr la création de parkings aux points d'embarquement et une tarification unique englobant stationnement et trajet (marché).

Avantages : pas de débours par l'Etat
Forte diminuition des effets de serre.

Avis de : Haas Eric Nice 06100 - le 06/02/2006
L'A8 doit devenir un périphérique gratuit, pour cela il faut faire un péage à Nice-Est pour aller à la Turbie de telle sorte que de Nice-Est au Cadam ce tronçon soit gratuit.

Le contournement doit se faire de Cannes à la Turbie afin qu'il soit le plus éloigné du littoral.

Avis de : Malausséna  Nice 06200 - le 06/02/2006
La Région en six ans a multiplié par 10 les crédits au ferroviaire. Ainsi les passagers bénéficient de grands progrès.
Par contre pourquoi l'Etat n'envisage-t-il pas de financer le ferroutage qui permettrait :
1 : de prendre en charge les miliers de camions
2 : d'utiliser l'augmentation du nombre de voies ferroviaires pour ce dit ferroutage
3 : de faire payer l'Etat et pas toujours les collectivités

Avis de : Boeuf-Etesse Karine Nice 06000 - le 06/02/2006
Projet nécessaire qui contribue à augmenter l'attractivité et la compétitivité de notre département.

Toutefois, au vu de l'éloignement de plus en plus important du logement des actifs de leur lieu de travail, il est IMPORTANT voire indispensable de prévoir des tarifs attractifs (ou même la gratuité) pour ces actifs qui contribuent à l'attractivité et la compétitivité de notre département.

La JCE soutient la proposition longue.

Avis de : Salducci Jean-Philippe Nice 06300 - le 06/02/2006
Après l'étouffement du port de Nice, je ne souhaite pas voir un enlisement du trafic routier.

Ne pas moderniser les outils qui sont le terreau de l'économie a pour conséquence de tuer celle-ci. Nos enfants n'auront pas d'autre choix que de s'expatrier pour travailler.

Alors SVP accélérer, allez de l'avant et allez-y vite au risque de tuer l'économie et l'emploi.

Avis de : Chomel Gilles Cannes 06400 - le 05/02/2006
Ceci n'est pas une question mais une contribution écrite au débat (si tant est qu'il n'est pas clôs).

« Pour une contribution pécuniaire volontariste redistribuée en faveur du co-voiturage

« Il y a unanimité dans l'opinion publique et chez les pouvoirs publics pour considérer que le covoiturage, si il était pratiqué en masse, permettrait d'améliorer le trafic routier, la sécurité, de réduire la pollution et la congestion et d'améliorer la convivialité et le nombre de places de stationnement. Le problème c'est que le covoiturage reste une idée très marginale à cause de la difficulté pratique de la mettre en oeuvre car c'est très contraignant pour le chauffeur et que le moindre grain de sable annule l'avantage de ce mode de déplacement.

Aussi, je propose qu'on encourage la pratique du covoiturage par une récompense financière aux chauffeurs vertueux qui pratiquent le covoiturage et une pénalité exercée sur ceux d'entre eux qui conduisent en solitaire.

La prime ainsi générée serait proportionnelle au kilométrage cumulé des sièges passagers vides. Aussi, je préconise l'installation, sur chaque nouveau modèle de voiture, d'un capteur de présence de passager couplé à un compteur kilométrique permettant de mesurer le kilométrage cumulé des sièges passagers vides servant d'assiette au calcul de la "Contribution Pécuniaire Volontariste Redistribuée en faveur du Covoiturage".

Il découlerait de cette incitation volontariste un avantage financier pour le chauffeur qui compenserait les obstacles d'ordre mineur à ce genre de déplacement organisé (la "friction" du système, les forces de frottement qui s'opposent à la pratique du covoiturage). En effet, il peut être contraignant pour un chauffeur de faire un détour pour aller chercher un collègue, le détour pouvant aller jusqu'à annuler l'avantage du covoiturage pour la collectivité.

En outre, le cash-flow de cette nouvelle imposition automatique permettrait de financer la structure d'organisation des déplacements (personnels et logiciels) assistée par GPS. Il serait intéressant de faire le calcul à l'échelle d'une ville moyenne de ce qu'une telle mesure permettrait d'économiser en dépenses multiples (économie d'énergie, de pollution, de congestion de stress et d'entretien des chaussés et gains en temps des trajet et en fluidité des transports en commun, etc...) si une incitation financière volontariste au covoiturage était mise en pratique. Les économies générées seraient phénoménales.

Je propose qu'une part de cette somme économisée (gains en carburant, en pollution et en espace épargnés) soit redistribuée aux chauffeurs vertueux qui pratiquent le covoiturage. La contrainte financière pèserait sur les chauffeurs solitaires et gratifierait les chauffeurs vertueux.

Le système ne serait pas forcément obligatoire; il pourrait donc s'agir, non pas d'une taxe, mais plutôt d'une adhésion contractuelle: une clause à cocher sur le contrat d'assurance: "en cochant cette case vous acceptez d'être pénalisé pour un excès de conduite en solitaire et récompensé pour vos trajets partagés". Le fait de refuser de cocher la case du contrat d'assurances éviterait, certes, à son signataire les pénalités pour déplacement à vide, mais le système serait calculé de sorte qu'il soit globalement favorable aux volontaires par la redistribution des gains à la collectivité et qu'un pourcentage de l'ordre de 30% des déplacements en mode collectif suffirait à rendre la contrainte rentable pour le contractant.

Cocher la case covoiturage rendrait obligatoire la pose de capteur de présence humaine sur les places passager et d'un compteur qui incrémenterait les kilomètres cumulés des sièges passagers vides. Une pondération de la taxe pourrait être introduite en tenant compte de la densité d'habitaions du lieu de résidence du chauffeur ou de la zone parcourue déterminée par GPS.»

PS - Les Alpes-Maritmes étant un département particulièrement éprouvé par l'envahissement automobile, il serait le lieu idéal pour expérimenter une telle mesure incitative allant dans le sens du développement durable. Il permettrait d'éviter les fausses bonnes solutions techniques que constituent, à mes yeux, les rocades, les pénétrantes, les voies rapides et les autoroutes

Gilles Chomel (Les Voies vertes du 06-Ouest, Rose-St-Jean et CEBAC)
http://gilles.chomel.free.fr/lavissan.htm

Destinataires de cet article:

- Débat Public sur le Contournement de Nice
- Association Rose-Saint Jean
- CEBAC
- Les Verts Cannois
- Travisa

Avis de : Zappa Janine Le Cannet-Rocheville 06110 - le 02/02/2006
Je suis contre l'A8 bis et pour les transports publics.

Avis de : merle robert contes 06390 - le 31/01/2006
il est intolerable que notre département et notre ville soit pris en otages de la sorte.Il manque deux axes autoroutiers.Un pour doubler l'a8et un direction de Grenoble et Turiin.

Avis de : Thiry André - le 30/01/2006
Les besoins de circulation ont été réalisé alors que l'alimentation en énergie ne posait aucun problème.

Le renchérissement et la rareté de l'énergie laissent à supposer que les possibilités d'accès à l'énergie soient très différends et très inférieurs à aujourd'hui.

Dans ce cas, il ne serait plus nécessaire de doubler l'autoroute.



Les problèmes liés à l'environnement risquent de contraindre les états à limiter les déplacements des véhicules utilisant des énergies polluantes.

Cette contrainte pourrait limiter considérablement le flux routier.

Dans ce cas, il ne serait plus nécessaire de doubler l'autoroute !

Si on considère le plus gros investissement avec ses dépassements inévitable de budget soit 2.5 Milliard d'€uro, et que l'on imagine pour chaque département un même niveau d'investissement. On obtient le chiffre faramineux de 250 Milliard d'€uro !

Avec 250 Milliard d'€uro, on peut développer un extraordinaire réseau de ferroutage qui économisera l'énergie (et la balance des paiements de la France) et qui évitera une pollution nuisible à la santé des citoyens ( et donc son coût) et à la destruction des paysages.

Avis de : Richard Lamy La Colle-sur-Loup 06480 - le 28/11/2005
En tant qu'ancien président de l'association des 7 communes contre le projet d'autoroute A8 bis, vous comprendrez mon étonnement à voir s'ouvrir un débat public concernant le projet de contournement routier de Nice.Nous avons déjà longuement débattu sur ce projet et fait des propositions qui ont été retenues dans la DTA. Les choses nous semblaient particulièrement claires pour n'avoir pas, sept ou huit ans après, à y revenir.Il est évident que depuis la publication de la DTA, des associations comme la nôtre se sont démotivées voire démantelées. Et c'est ainsi que nous voyons arriver ce nouveau débat public qui nous semble inutile et dangereux.Inutile car tout ce qu'il y a à dire sur ce' projet de contournement de Nice, 1re phase de l'A8 bis, a déjà été dit.Dangereux, car la soudaineté de son apparition ne permet pas aux associations concernées d'informer et de remotiver ceux de nos adhérents qui pensaient avoir achevé leur mission.La parole est donnée à tout un chacun n'ayant qu'un point de vue personnel, donc forcément égoïste.Que de temps et d'argent perdus !Tout cela pour engager un chantier dont la réalisation n'interviendra pas avant 15 ans ou plus (si l'on considère la lenteur d'exécution du doublement de la 202 !) à une période où, nous l'espérons, la définition de la circulation aura été très largement bridée pour des raisons environnementales, de pollution ou de coût du carburant.

Avis de : Hvidsten Axel Nice 06100 - le 09/01/2006
Depuis 20 ans que des enquêtes publiques ont lieu sur le thème, et à chaque fois, on constate que ESCOTA se contrefiche de ce qui se passe hors de l'autoroute. Alors que les projets routiers doivent intégrer ce qui se passe sur l'autoroute, mais aussi en dehors.

Avis de : Fernandes Gilbert Sophia-Antipolis 06560 - le 09/01/2006
Je ne comprends pas quel est le problème solutionné par l'A8bis car le gros du trafic routier est un trafic de transit urbain comme vos chiffres le montrent, que ce trafic sature les échangeurs de sortie car il y a des bouchons en ville et qu'ainsi les bouchons remontent sur l'autoroute.

Le seul trafic dévié par l'A8bis ne pourra être que le transit international qui va être très faible d'après vos chiffres. Donc nous aurons une A8bis fluide et une A8 saturée comme elle l'est actuellement.

Regardez la circulation le matin et le soir, ce sont les échangeurs qui saturent (Promenade, Saint-Laurent, Cagnes, Sophia).

Avis de : Leon Florence Sophia-Antipolis 06560 - le 09/01/2006
Une énorme lacune existe sur la Côte d'Azur : LES TRANSPORTS EN COMMUN !

Au reagrd de l'activité importante sur Sophia, ils sont totalement insuffisants. Résultat des prix exorbitants (en particulier Nice/Sophia), peu d'utilisation et donc un accroissement de déplacements automobiles.

Il en est de même pour la zone de Carros ! Vivement qu'une aussi belle région se voit préservée des multiplications d'ouvrages routiers, reculant le problème sans les résoudre, dépensant des sommes considérables alors qu'il existe un tel besoin pour les transports en commun.

Avis de : COZZARI PIERRE CAGNES SUR MER - le 30/01/2006
Je suis totalement favorable au projet de contournement
pour moi c est vital car je reside sur CAGNES et je travaille à NICE NORD et l A8 ESTCOMPLETEMENT SATUREE A CERTAINESHEURES ET J OSE PAS IMAGINER S IL Y A UN ACCIDENT GRAVE

Avis de : Raynaud Danièle Vence 06140 - le 27/01/2006
Quand l'Etat sera-t-il plus visionnaire dans ses grands projets ? Pourquoi manque-t-il de courage ? Car vous raisonnez toujours sur des bases dépassées : le tout routier, le pétrole, la pollution,...
Alors que les réserves de pétrole s'épuisent et on va dans le mur pour l'environnement !
L'avenir et l'impératif c'est le ferroutage (et l'arrêt des flux tendus) et en priorité dans notre département les transports collectifs, inexistants par rapport au reste de la France (Nice est la 5e agglomération de France)

Avis de : Yves Falcomer Nice 06100 - le 07/11/2005
Afin de limiter l'accroissement du trafic entre l'axe Antibes/Sophia -> Nice un renforcement des TER et un nouvel axe Sophia/Biot/Villeneuve-Loubet ferroviaire serait fort utile.

Avis de : Yves Falcomer Nice 06100 - le 07/11/2005
Afin d'éviter l'engorgement actuel des sorties Nice-Promenade Nice-St Augustin une amélioration et un renforcement des échangeurs de l'A8 est nécessaire et plus qu'urgent.

Avis de : Romildo Tollardo Antibes 06600 - le 24/11/2005
La thématique du jour à elle seule résume la complexité des décisions importantes à prendre sur des sujets aussi importants, car il y a bien des interconnexions sur les 3 projets qui se chevauchent économiquement et socialement, 3e voie ferroutage, LGV et déviation Nice A8. Il y a plus rationnel à faire que 3 chantiers différents et qui feront double ou triple emploi, pensez plus simple, donc plus utile pour tous.

Avis de : René Labric Grasse 06130 - le 29/11/2005
Dossier de synthèse du débat public - 5 projets pour l'avenir des Alpes-Maritimes. Le projet de la LGV Nice-Côte d'Azur n'est pas notifié dans la doc. Dans le cas où les deux projets seraient retenus, 2 infrastructures vont être construites, ayant chacune un impact fort sur l'environnement. Ne serait-il pas plus rationnel de réunir ces deux infrastructures dans un seul budget sur la partie jumelée, qui limiterait les dommages incontournables créés à l'environnement ?

Avis de : Nicolas Ganneau Antibes 06160 - le 07/11/2005
A l'heure actuelle, on observe un réel engorgement de la zone universitaire niçoise dû à l'absence de logements et moyens de transports. En ce sens, les étudiants soutiennent totalement le projet de contournement routier de Nice, car ce projet profiterait à l'ensemble des étudiants du département qui se voient contraints d'étudier dans les villes.

Avis de : Monique Roux La Trinité-sur-Mer 06340 - le 07/11/2005
Il semble indispensable de connaître les projets annexes de développement du département avant de parler du contournement routier de Nice. car ce n'est pas seulement Nice qui est concernée en termes de circulation routière.

Avis de : Jean-Pierre Avesque Antibes 06600 - le 24/11/2005
Nous sortons du débat sur la LGV. Il est nécessaire d'améliorer l'A8. Dans l'option tunnel avez-vous pensé à coordonner ces deux nécessités et pourquoi pas y inclure les voies ferrées du bord de mer. Ce qui ne pourrait qu'améliorer cette dernière route et créer de nombreux espaces d'activités ou de verdure.

Avis de : Jean-Paul Ménard Cagnes-sur-Mer 06800 - le 24/11/2005
Le trafic des poids lourds atteint un seuil critique et pose de graves problèmes environnementaux. Il est donc urgent de réduire de manière drastique le nombre des poids lourds. La question est donc d'entreprendre une profonde réforme du transport routier des marchandises.

Avis de : Jean-Michel Clausse Villeneuve-Loubet 06270 - le 29/11/2005
Est-il bien raisonnable de continuer à investir dans les déplacements individuels motorisés alors que : - une crise énergétique sans précédent s'annonce avec la déplétion pétrolière et l'absence d'une énergie de substitution. - aucun investissement routier dans le monde n'a jamais diminué les encombrements, car le flux supplémentaire généré est supérieur à la capacité de l'équipement : voir les bouchons aux USA pourtant suréquipés.

Avis de : Ivan Sarfati Saint-Paul-de-Vence 06570 - le 29/11/2005
Le dossier du débat public repose sur un usage erroné de l'enquête ménage de 1998.

Avis de : Guy Cattiaux Cagnes-sur-Mer 06800 - le 17/11/2005
Habitant Cagnes-sur-Mer, nous souhaitons l'élimination des engorgements routiers que nous subissons par le fait que toutes les voies de circulation se trouvent en bord de mer, qui plus est, en pleine ville : RN98, RN7, autoroute A8, et même les voies de chemin de fer. Il a été réalisé une belle voie rapide de Cagnes à Vence qui augmente le problème (D36). Ceci a pour effet de canaliser la circulation Nord-Sud depuis Gattières, Saint-Jeannet, Tourrettes-sur-Loup, Vence, Saint-Paul et aussi La Gaude, La Colle-sur-Loup et même Villeneuve-Loubet vers Cagnes-sur-Mer pour prendre le train, l'autoroute ou les routes principales vers l'est ou l'ouest du fleuve Var à destination des Alpes-Maritimes, du reste de la France ou de l'Italie. Il en est de même pour aller sur la grande zone commerciale de Lingostière. Une liaison autoroutière entre l'échangeur de Saint-Isidore et l'échangeur des Adrets améliorerait la situation en permettant à ceux qui n'ont rien à faire sur le bord de mer, d'aller ou de venir directement vers l'Italie ou le centre de la France. La traversée du fleuve Var devra assurer le passage de l'autoroute et d'une route pour éviter aux véhicules venant de l'arrière-pays de choisir entre le bord de mer et le pont de la Manda, distants de 11 km, pour se rendre sur la rive gauche du Var et les destinations désirées, sans être obligés de passer obligatoirement par Cagnes-sur-Mer. Nous avons conscience que cela demande des investissements énormes, mais cette solution apporterait aussi des avantages en prévision des augmentations à venir entre l'Italie et l'Espagne via la France.

Avis de : Gilles Chomel Inconnue Inconnu - le 16/11/2005
Le titre 'contournement de Nice' est trompeur: il faudrait mieux parler d''A8-bis souterraine'. Ma position, en résumé, serait de dire: Le projet de ligne TGV est, à mes yeux, prioritaire. Donc construisons en priorité la LGV, pour la bagnole, on verra après. L'idée d''A8-bis souterraine' serait intéressante si elle aboutissait à la requalification effective de l'A8 actuelle en boulevard urbain: imaginez l'autoroute à Cagnes-sur-mer en boulevard avec des trottoirs, des passages cloutés, des arbres, des vélo, des carrefours à feux tricolores, des ronds-points, etc. A cette condition, le projet me parait plus attractif. En effet, je trouve réjouissante l'idée d'enfouir les bagnoles. Mais ce projet semble tout de même 'faramineux' ou pharaonique. Avec le problème de transformer la carrière de la Roque au Nord de Biot en échangeur routier alors que c'est un site extraordinaire par son caractère sauvage et préservé que je vous conseille de visiter par le 9e itinéraire piétonnier 'Sophia-Tourette' de mon site (http://gilles.chomel.free.fr/lavissan.htm)- en effet, c'est un des rares endroits de la côte auquel on ne peut accéder qu'à pied ! Ensuite, cet immense tunnel ne résoudra rien à lui seul si on ne conçoit pas sa liaison avec l'actuelle A8-bis dans une zone sensible (les Bréguières ou Mandelieu?).

Avis de : Francis Dominique Nice 06000 - le 24/11/2005
Pourquoi ne pas envisager un dédoublement de l'A8 dans une partie, solution I et II, et ne pas rendre la partie de l'A8 entre Biot ou Bréguières en 'voie rapide' propre au développement des TC et TCSP. L'abandon d'une solution Grasse-Antibes-Nice en voie rapide utilisant partiellement l'existant ou l'aménagement avec un raccordement à créer entre les deux parties DTA et ce qui précède, solution qui permettrait ainsi la création d'une liaison parallèle à l'A8. Ce qui rendrait à l'A8 son rôle principal de transit et au futur TC-TCSP et au public de circuler sur une voie qui leur serait réservée. Cette solution devrait ou pourrait être étudiée.

Avis de : Francis Dominique Nice 06000 - le 07/11/2005
Ceux qui n'ont rien à faire à Nice devraient avoir un trajet particulier et payant.Ceux qui viennent à Nice devraient utiliser le réseau existant mais gratuitement.

Avis de : Fernand Dideron Nice 06200 - le 15/11/2005
A propos des tunnels, sait-on jusqu'à quel point les usagers apprécient et apprécieront les ouvrages de grande longueur après les graves incendies récents et malgré les nouvelles précautions prises par les concepteurs et les gestionnaires ? Nos décideurs peuvent-ils envisager de truffer la Côte d'Azur de tunnels pour développer l'autoroute et réaliser la LGV ? Nous ne sommes pas dans le même contexte que Paris pour le métro ou la Suisse pour traverser le massif alpin ? Nos descendants visiteront-ils la Côte d'Azur, ses sites, son soleil, ses palmiers en souterrain à 130 ou 350 à l'heure ?

Avis de : Fernand Dideron Nice 06200 - le 15/11/2005
Il me semble que ce débat public devrait concerner plutôt : - le contournement de la conurbation Côte d'Azur - ou la traversée des Alpes-Maritimes par le trafic international. Des phénomènes comme le stockage obligé de centaines de poids lourds internationaux sur l'A8 direction l'Italie, à la mi-septembre 2005, ont impressionné beaucoup de monde. En 2020, les transports internationaux le long de l'Arc méditerranéen auront encore augmenté, même si un système de ferroutage a pu être mis en place et les travaux prévus risquent de se révéler insuffisants, surtout à l'ouest de Nice : il faudra alors lancer un nouveau débat et concevoir tant bien que mal un nouveau projet tenant compte des contraintes imposées par ce qui aura été réalisé de la ligne LGV et d'une des versions actuellement envisagées. Peut-être serait-il plus logique, dans l'esprit du développement durable, de concevoir un projet plus global, incluant toute la Côte d'Azur, en harmonie avec le projet LGV, permettant une réalisation par tranches et autorisant une bonne flexibilité dans le temps.

Avis de : Charlotte Boscher Drap 06340 - le 07/11/2005
Au vu de l'importance des budgets envisagés, pourquoi ne pas prendre en compte :- la solution n°3 pour la partie Est + la solution n°1 courte à l'Ouest du Var J'interviens en tant qu'utilisateur journalier de la portion Est.

Avis de : Brigitte Gourmanel Cagnes-sur-Mer 06800 - le 07/11/2005
Sur toute la bande d'enquête, le projet soumis au débat est autoroutier, avec départ et arrivée sur l'A8.Son objectif est bien d'améliorer la capacité de l'A8, car il continue de cumuler les trafics de transit et les déplacements locaux, contrairement à un véritable 'contournement routier' urbain.Donc, assumez le caractère autoroutier du projet, et reconnaissez qu'il s'agit tout bonnement du doublement de l'A8, au mieux d'une requalification de l'A8.

Avis de :  Gimenez Antibes 06600 - le 24/11/2005
Le libellé du projet fausse le débat par la dénomination du projet 'contournement routier de Nice' 1) Il n'est pas routier 2) Il ne se limite pas à Nice

Avis de :  Gimenez Antibes 06600 - le 24/11/2005
[suite de la question 74] 3) La transversale de la DTA est une opportunité à saisir pour être [ILLISIBLE] d'un traitement d'ensemble de Nice à Grasse. 4) Rendre l'A8 au trafic local en le transférant sur la nouvelle...

Avis de :  Gimenez Antibes 06600 - le 24/11/2005
1) On peut regretter que le nom du débat public 'contournement routier de Nice' soit ambigu par sa lisibilité pour le public à l'Ouest de Nice. 2) On peut aussi regretter que la problématique des déplacements ne s'intéresse pas au trafic local de Grasse à Nice en passant par toutes les villes littorales. [suite question 75]