Avis n°44
Renouvelable : revoir les règles de l'éolien et développer la petite hydro
le ,Pour une meilleure acceptation de l'éolien, il faudrait en revoir les règles et les simplifier. Elles datent de plus de 10 ans et ne sont plus adaptées aux nouvelles machines. Par exemple, en France la distance mini est de 500m alors que les machines sont bien plus grandes. Il serait plus adapté de nous caler sur la réglementation allemande (pourquoi pas des règles européennes ?) ou limiter les implantations à X fois la hauteur (exemple 8 fois). Il reste un gros potentiel de petit hydraulique non développé. Un exemple, la production potentielle d'une rivière comme l'Yonne vers Sens est de 2 MW par barrage. Il y a environ 1 barrage tous les 4 Km. Cela donne l'équivalent de milliers d'éoliennes avec une production prévisible et maîtrisable. C'est de la vraie énergie verte, qui ne nécessite même pas de gros travaux (les barrages existent déjà et son gérés par VNF), qui serait facilement acceptée par les habitants proches.
Commentaires
Non lapico électricité ne dégrade pas les cours d'eau
Il est de bon ton en France aussitôt qu'on parle d'hydroélectricité sur nos cours d'eau On sorte la dégradation des cours d'eau. C'est un débat Franco français .proprietaire d'un moulin au fil de l'eau dont la première trace date de 1112 j'invite tous les détracteurs de cette énergie renouvelable à venir sur place voir ,étudier et Apres commenter . Il ne faut pa écouter les sirènes écologique qui affirment sur dès rapports tronqués , dépassés, etccc .Tout ce qui sort aujourd'hui Comme etudes dans le monde prouve qu'un moulin en activité bien géré est un atout pour nos rivières . Un peu de bons sens dans un débat démocratique est un plus .
De la microhydraulique à la nation
L’intervention d'Alain petit soulève la question de la microhydraulique (unités d’environ 1 à 2 MW dont il doit en exister environ 2000 en France) et dont on peut contester l’utilité dans la mesure où elles dégradent la qualité de petits cours d’eau. Au début des années 2000, Yves Cochet des Verts en avait fait la promotion, il en voulait 500 de plus. Lors du colloque tenu à l'occasion du dixième anniversaire de l’ADEME en janvier 2002 je l’avais entendu dire que les citoyens doivent pouvoir dire c’est notre éolienne, notre microcentrale, dans des milliers d’endroits, que les réacteurs nucléaires avaient été décidés d’en haut alors que les milliers de petites installations seront décidées démocratiquement favorisées par les notions de pays ou d’agglomération. Cochet décrivait ainsi sa vision de la société française.
Une façon de voir la vie en société, rabougrie autour de son clocher, que je ne partage pas. Je pense qu’il n’est pas inutile de soulever, dans le débat actuel, cet aspect qui touche au fondamental de la notion de nation.