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Avis n°1

Port Seine Métropole

Ajouté par Alain FOUILLIOT (Saint-Germain-en-Laye), le
[Origine : Site internet]

Comme l'A104 ne se fera JAMAIS, les cargaisons arrivant à ce port génèreront encore et toujours plus de trafic sur la RN 184 et donc à l'entrée de ville Nord de Saint-Germain en Laye.

Commentaires

Pourquoi jamais ? Malheureusement tout peut être revu même une A104 coupant une ville en deux avec tous les effets néfastes que l'on connait sur la santé de la population.
Tout à fait d'accord avec vous, une augmentation du trafic routier est à prévoir avec ce projet sur l'ensemble du territoire et pas seulement à l'entrée Nord de St Germain mais aussi à Conflans, Achères, Andrésy, Carrières etc...

Evidemment les deux projets sont liés et on serait tenté de nous faire croire le contraire !
Une fois le port construit et actif ; il sera plus facile à nos édiles de nous faire avaler la pilule de l'A104 !

Port Seine-Métropole Ouest ne générerait pas de trafic routier supplémentaire localement mais au contraire le diminuerait, ce point concerne en particulier la RN184.

Les granulats sont issus de la plaine d’Achères et utiliseraient la voie fluviale pour leur sortie du port pour rejoindre par bateau les chantiers métropolitains du Nouveau Grand Paris par exemple. De même le retour de remblais à destination de la carrière se ferait par le même bateau.

Pendant la période d’exploitation des granulats de la plaine, le port ferait baisser le nombre de camions entre la situation avec le projet Port Seine-Métropole Ouest et la situation de référence, c’est-à-dire la situation future la plus probable, en termes de trafic routier, sans le projet.
On estime que le projet permettrait une diminution de 65 poids lourds par jour sur l’ensemble du secteur, et par rapport à la situation de référence, pour l’exploitation de la carrière ouest actuellement autorisée, et jusqu’à 450 par jour dans l'hypothèse d’ouvertures de carrières à l’est de la RN 184.

Après l’exploitation du gisement de la plaine, il est envisagé que le port maintiendrait son activité dans le secteur de la construction et des travaux publics, avec des granulats issus de la façade maritime ou du nord de la France approvisionnés par la voie d’eau ou le fer. Les trafics routiers seraient moindres que pendant l’exploitation de la plaine, puisque le besoin de remblai de la carrière serait supprimé.