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Après avoir examiné les arguments des tenants et des opposants au projet je choisis d'en soutenir la réalisation. Pourquoi ?
Dans un climat régional de crise de l'emploi la création de nombreux postes (même parfois précaires) est un argument déterminant.
L'examen des résultats des autres Center Parcs en activité montre que ces entreprises sont pérennes et donc assurent la permanence des emplois créés. Ce que l'implantation d'activités industrielles ou commerciales équivalentes, mais que nous ne savons pas trouver semble-t-il, ne saurait garantir. On peut le regretter d'autant plus que les emplois industriels apportent une qualification du personnel qui élève le niveau de compétence de la région.
On peut s'interroger sur la « qualité » des loisirs proposés mais ils correspondent à une attente du public visé comme le prouve les résultats des autres Center Parcs en activité. Notre société, gourmande de loisirs, est ainsi faite.
Les retombées fiscales sur les communes environnantes ne sont pas négligeables et peuvent aider au développement de celles-ci (ou à une réduction des impôts locaux !).
Toutes ces retombées positives supposées revitaliser notre région doivent être effectivement recherchées et verrouillées.
Nous avons le temps de nous y préparer et la création d'un « Cluster » d'entreprises locales prenant en charges des services liés au fonctionnement de Center Parc serait sans doute une bonne solution.
Nous pourrions ainsi éviter de voir débarquer des structures déjà liées à Pierre et Vacances, voire une main d’œuvre non qualifiée issue de pays étrangers, qui assurent, dans ces établissements, les tâches que nous souhaitons voir attribuées aux entreprises et à la main d’œuvre locales.
La formule « Cluster » conduirait à adapter les capacités de services de nos entreprises aux besoins du Center Parc, besoins évalués à partir des observations faites dans les établissements en fonctionnement stabilisé.
En laissant des ultra-minorités bloquer des projets d'avenir, c'est la démocratie qui n'est plus respectée.
Notre constitution a été établie afin que les citoyens soient les décideurs de la gestion, de la politique et des orientations prises, tant pour leur commune, canton, département, région, que pour notre pays.
A cette fin, chacun d'entre nous est appelé régulièrement à voter pour celui ou celle à qui il déléguera ses pouvoirs afin que les décisions soient prises suivant ses propres valeurs tant politiques que sociales et environnementales.
Nos institutions doivent donc, dans le respect des règles constitutionnelles, avoir tout pouvoir de faire appliquer les décisions prises par les élus représentants la majorité d'entre nous.
Cela paraît évident au premier abord, mais nous sommes très loin de ces considérations démocratiques sur de nombreux sujets dont l'impact économique est primordial pour nos communes, départements, régions et notre nation.
Les exemples ne manquent pas, aéroport de Nantes, barrage de Sivens et bien d'autres sujets parmi lesquels le Center Parc du Rousset.
Voilà un projet avalisé par toutes les strates structurelles de notre pays, communes, département, région, état, donc par une immense majorité de l'ensemble des citoyens concernés.
Un projet financé par des fonds privés, donc des créations d'emploi sans aucun financement public, je dirais même des créations d'emploi qui sortiront des familles entières de la difficulté et qui soulageront les fonds publics des aides justement accordées à ces mêmes familles.
On ne peut plus continuer à bafouer notre démocratie en mettant en péril des projets cruciaux d'avenir pour une poignée d'irréductibles qui sont avant tout contre tout.
S'il fallait ramener leur représentativité en pourcentage, de combien serait-elle ? 2%, 1%, peut-être moins de 0,1% ?
Comment peut-on dans la situation économique actuelle, refuser de la croissance sur des projets, qui plus est, nous engagent sur des années de travail, donc de pouvoir d'achat pour nos habitants et nos enfants demain ?
Aujourd'hui toutes les règles environnementales qui doivent nous protéger des moindres risques sont largement respectées, alors désormais, c'est la démocratie qu'il faut faire respecter.
Nous devons non seulement accueillir les investisseurs tels que Center Parc, mais nous devons leur faciliter les démarches afin que notre territoire soit reconnu par tous ceux qui voudront investir demain comme un territoire qui sait accueillir les entreprises, un territoire dynamique, dont les habitants ont largement voté pour une croissance intelligente.
Pascal GUINOT
Entrepreneur de BTP à Montchanin 71
Nous devons construire notre région pour nos enfants et non l'éteindre à petit feu pour qu'ils la quittent.
La forêt détruite.
FAUX
La forêt de Douglas où s’installera le Center Parcs est une forêt d'exploitation destinée à être coupée « à blanc ». Le Center Parcs peut la sauver puisque les arbres seront pour beaucoup conservés afin de composer l'écran de verdure où s'installeront les cottages et les chemins de déplacement doux (à vélos et à pied).
Bétonnage.
FAUX
Les cottages seront construits en bois selon des normes de développement durable par des entreprises locales.
Les hébergements existants souffriront !
FAUX
C'est exactement l'inverse qui se passe partout où des villages vacances de ce type se sont créés ! Gîtes et chambres d'hôtes ont vu leur fréquentation augmenter de façon significative.
Le lac du Rousset sera entouré de maisons.
FAUX
Ce lac se trouve en zone Natura 2000 donc protégé et personne n'a imaginé investir cet espace naturel.
Des subventions publiques.
FAUX
Il n'est pas question de subventions ! Le Conseil régional et le Conseil départemental investiront à travers une Société d'économie mixte comme il en existe des milliers de par la France. Au mieux on gagne de l'argent, au pire on n'en perd pas puisque les collectivités sont copropriétaires des installations.
Les emplois n'existent pas ou ils sont précaires!
FAUX
S'il y a une chose qui est fausse c'est cette affirmation. Certes il y aura des emplois à temps plein et d'autres à temps partiel, mais ce seront des emplois non délocalisables (par définition!) et pas plus indignes que les emplois dans l'hôtellerie, la restauration, les maisons de retraites voire les emplois dans nos communes. Ce sont des emplois de services dont nous avons extrêmement besoin dans notre territoire.
Seuls les nantis peuvent contester, avec mauvaise foi, cette affirmation.
Les emplois pendant la durée du chantier se compteront par centaines et les entreprises locales sont en attente de l'ouverture de ce chantier qui représente une aubaine pour notre région.
L'approvisionnement viendra d'ailleurs !
FAUX
il est prouvé partout où les Center Parcs sont installés que les producteurs, notamment les agriculteurs, les maraîchers, les éleveurs de viande ou de fromages, bref toute l'économie de bouche se passe en « circuit court » et est d'un grand soutien à cette économie locale.
Les touristes ne sortent pas !
FAUX
Plusieurs fois pendant les séjours les organisateurs proposent des circuits de visite et notre territoire regorge de « pépites patrimoniales et culturelles » de tout premier ordre !
La Bulle aquatique !
Il faut savoir que les piscines municipales sont chauffées toute l'année dans nos villes et personne ne trouve à y redire. Les méthodes prévues sont des méthodes durables et très respectueuses de l'environnement.
En définitive il est difficile de trouver des arguments objectifs contre le projet.
Les Amis de Scodi sont pour un Center Parc au Rousset.
Actuellement en Corse, nous sommes interpellés par certains commentaires de personnes qui n'ont d'Ecolos que le nom, et d'autres réfractaires inconscients de cette opportunité.
Qui peut refuser que plusieurs centaines de chômeurs ou inactifs retrouvent une amélioration financière et psychologique ?
Arrêtons de polémiquer sur ce projet avec un mouvement politique qui ne représente rien au niveau national.
Soyons tous unis, pour une fois, afin que Ce Center Parc se réalise au plus vite dans cette belle région où artisanat, commerce, tourisme n'attendent que ça.
Les amis de Scodi
- Après avoir pris connaissance de l'intérêt que Pierre et Vacances portait sur la forêt du Rousset et pour implanter un Center Parcs.
- Après avoir mesuré et évalué les avantages et inconvénients de ce projet, j'ai fait le bilan et j'ai vite compris que c'était une opportunité et une chance pour ce territoire et sa population.
- Intérêt sur le plan social, économique et touristique.
Je rappelle que celui-ci a été validé à l'unanimité par les 57 conseillers généraux de Saône et Loire, par la majorité des conseillers régionaux de Bourgogne ainsi que par les élus locaux.
De plus, les 3 chambres consulaires - agriculture, commerce-industrie et métiers-artisanat - ont bien compris l'importance de ce projet et se mobilisent largement en sa faveur.
Malgré cette forte mobilisation des élus, comme d'habitude sur ce type de projet, et c'est bien légitime, les opposants se sont manifestés.
Pour cela et par souci de transparence, le conseil général et Pierre et Vacances ont souhaité saisir la Commission Nationale de Débat Public (CNDP).
Ayant participé à plusieurs réunions de ce débat, j'ai pu constaté une opposition systématique et radicale de la part des gens hostiles à Center Parcs (plutôt détruire que construire), des personnes plutôt éloignées de ce territoire, allant jusqu'à quitter la salle lors des interventions de personnes favorables au projet.
Le rassemblement du 30 août au Rousset (400 personnes) a montré toute la détermination de la population locale et des élus du territoire, à porter et à défendre ce projet.
Suite à cela, je ne doute pas que les services de l'Etat et des collectivités territoriales concernés mettront tout en œuvre pour la réussite de ce Center Parcs.
En tout cas, ce projet a fait naître beaucoup d'espoir parmi la grande majorité de la population (les sondages en témoigne), et particulièrement chez les jeunes.
Je vous laisse imaginer leur immense déception, leur amertume et leur colère si celui-ci échouait.
VIVE LE CENTER PARCS
Malgré les moyens abondants dont disposaient les organisateurs de la "grande réunion de soutien du Center Parcs" de ce dimanche au Rousset, le petit nombre de présents laisse clairement apparaître le doute qui s'est installé dans l'ensemble du département pendant les cinq mois de débat public.
Pas plus d'une centaine de personnes, une trentaine d'élus, alors que les espérances des invitants étaient trois à cinq fois plus élevées. Ni la présence des député, sénateur, président de conseil général ancien et nouveau, ni la dégustation n'ont fait bouger en grand nombre les élus locaux pourtant très largement invités. Même les présidents des com-com signataires de l'appel ne figurent pas tous sur la photo présentant les élus avec leur écharpe.
Rien d'étonnant à cela car le débat a montré le bien fondé et la solidité des raisons de s'opposer à la construction d'un énième Center Parcs en France.
Il faut relire les contributions et cahiers d'acteurs qui disent que ce projet est un mauvais choix pour le département, d'un point de vue économique comme sur le plan social et au regard des mesures à prendre pour cesser de dégrader le climat et la planète.
En face de cela les arguments des promoteurs du projet sont de l'ordre de la croyance et reposent sur des promesses présentées par Pierre & Vacances et les leaders politiques du département.
Promesses de développement local qui font l'impasse sur le coût énorme des maigres retombées qui peuvent être espérées.
Beaucoup de monde a compris que cet investissement épuisera les finances publiques et qu'ainsi les collectivités locales et les associations de service public auront bientôt droit à un discours encore plus déprimant chaque fois qu'elles auront besoin de concours publics.
La nouvelle majorité à peine arrivée à déjà annoncé qu'elle serrerait les cordons de la bourse dès 2016 pour ne pas mettre le département dans le rouge ; mais elle s'apprête à s'endetter de 30 à 40 millions d'euros pour devenir propriétaire de la "bulle tropicale" que Pierre & Vacances se garde bien de financer pour son propre compte. Sans compter les 10 millions d'euros supplémentaires en travaux de réseau et voirie que le département, les com-com, communes et syndicats intercommunaux vont devoir mettre sur la table pour permettre le fonctionnement du parc touristique.
Face à cette dure réalité et à l'annonce de son durcissement prochain, les arguments avancés hier encore expriment une foi basée sur la croyance dans un grand coup gagnant qui changerait la donne pour un territoire. Ils veulent croire et faire croire que ce qui ne fonctionne pas depuis des décennies, fonctionnera cette fois-là : un grand projet couteux que personne ne demandait - à l'exception des bétonneurs professionnels - transformerait la vie dans le charolais, le bassin minier et pourquoi pas le clunisois et mâconnais.
Aveuglés par leurs quelques jours passés en Moselle, invités en tant que VIP par P&V, des élus proclament à tout va que là-bas, l'impact du centre de vacances est formidable... alors que toutes les statistiques de l'INSEE le démentent. Heureusement, ils ne sont suivis que par un faible nombre de leurs collègues.
Au lendemain de ce qui se voulait un grand raout et qui n'a été qu'un aimable apéritif militant, il faut se réjouir que les yeux se décillent, tout particulièrement chez ceux qui constatent que pendant que quelques-uns attendent le miracle Center Parcs, eux ont à faire à un quotidien souvent difficile devant lequel ils se sentent bien seuls.
Le geai du Rousset cajole
Non, ce n’est pas un mauvais jeu de mot, ou un propos irrespectueux, le geai cajole, comme la poule caquète, la colombe roucoule, le dindon glousse et l’âne braie…
Petit retour en arrière, le collectif du geai du Rousset est né en juin 2014 « avec la volonté d’informer en toute clarté et indépendance tous les citoyens sur le projet de Center Park. » Le nom du geai a été choisi, car ce noble habitant de nos régions aurait la faculté particulière de cajoler, comprenez pousser son cri particulier, quand il sent venir une menace, et ainsi prévenir toutes les espèces vivantes dans cette forêt.
Bon, tout cela part d’une noble ambition, c’est le fondement de la démocratie de voir se développer un débat contradictoire objectif et constructif. Mais, force est de constater que ce n’est pas le cas et que ce débat a pris un tour déplaisant, avec des propos partisans, pour ne pas dire l’énoncé de contre-vérités manifestes.
Illustration de mon propos sur quelques exemples :
Gaspillage démesuré d’une eau rare et précieuse.
Plusieurs contributions font état d’un gaspillage éhonté d’une eau précieuse, ce qui est totalement faux. L’eau gérée et distribuée par le SIVOM est prélevée dans 11 puits sur le bassin de la Loire. La part de cette eau, livrée au parc, est consommée par les clients, l’équivalent de 2500 personnes en moyenne, qui ,entre parenthèses ne consomment pas cette eau à leur domicile pendant leur séjour au parc. Les effluents seront collectés et retraités dans une station à construire à Marizy. L’eau retraitée sera ensuite intégralement restituée au bassin de la Loire via l’Arconce.
Saccage d’une belle forêt en zone humide NATURA 2000.
Le périmètre prévu pour l’implantation du parc est totalement situé au milieu d’une forêt artificielle de pins douglas, et pas en zone humide. Si le projet est abandonné, cette ressource sera récoltée d’ici une à 2 décennies .Pour être plus clair, elle sera coupée à blanc c’est-à-dire rasée. Autre paradoxe sur ce sujet : à une cinquantaine de kilomètres d’ici, des soi-disant « forestiers écologistes » ont saccagé 5 hectares de jeunes pins douglas au prétexte du non-respect d’une nécessaire biodiversité !
Le gaspillage financier de fonds publics.
Alors là , c’est du grand n’importe quoi avec un mélange de chiffres fantaisistes entrainant la confusion entre la dotation en capital de la SEM ( et pas une subvention à fonds perdus) du Département et de la Région à hauteur de 15M€ et l’estimation du montant total de l’investissement de l’ordre de 66M€ pour les équipements techniques collectifs , les cottages étant financés par ailleurs. La SEM paiera en retour des redevances et loyers annuels à ses actionnaires…donc au Département et à la Région qui « récupèreront « leur mise.
Il faut compléter en rappelant que la réalisation de Center Park génèrera environ 1.3 M€ de taxes d’urbanisme à la construction et plus d’ 1 M€ de taxes diverses annuelles
Ces chiffres sont parfaitement cohérents et comparables à ceux annoncés par le département de la Moselle et les collectivités locales dans la région d’Hattigny.
Dans une récente enquête sur ce Center Park ouvert en 2010 , le Républicain Lorrain titrait un de ses articles : Center Park : Le jackpot pour les collectivités ! La seule communauté de commune des 2 Sarres confirme percevoir annuellement 700K€ de taxe de séjour, chiffre à relativiser pour Le Rousset , le parc Mosellan comptant plus de 900 cottages.
Les emplois précaires
Contrairement aux chiffres fantaisistes qui sont véhiculés ici, le bilan confirmé en Moselle est de 750 contrats de travail sur le site dont 450 CDI temps plein, auxquels il faut rajouter 300 emplois indirects , induits…..dans le contexte d’un parc 2 fois plus grand.
La tortue cistude.
On pourra dire que cette noble et rare tortue a pris tout son temps pour arriver dans le débat…de l’ordre de 9 à 10 mois après la création du geai! Je ne vois que 2 hypothèses :
- Nos amis écolos locaux ignoraient sa présence en ces lieux. C’est vexant pour eux.
- Cette affaire est sortie du chapeau, dans la dernière ligne droite du débat comme ultime argument de séance.
De toute façon, cet argument reste sans valeur. L’activité du parc est prévue à plus d’un kilomètre des rives de l’étang du Rousset, en pleine forêt de pin douglas, ou cette noble tortue n’ira jamais s’aventurer !
On en est arrivé à un stade où les mêmes arguties se répètent à quelques variantes minimes près, on tourne en boucle et quelquefois avec des répétitions pures et simples, déposées plusieurs fois par un petit nombre d’opposants particulièrement actifs !
Personnellement, j’avais déjà mis un court avis sur le forum de discussion ( N° 127 )pour porter témoignage du succès de l’implantation à Hattigny , mais devant tant de propos déplacés , nous nous permettons cette mise au point.
Bon courage aux membres de la commission du débat public pour faire un tri objectif de cet écheveau, et un grand merci par avance à leur objectivité.
Jeanne et Pierre Simonnot
La Guiche
Je suis très favorable à ce projet de Center Park. Sous un angle économique, c'est une véritable respiration pour une région attractive, aux charmes multiples et qui mérite un développement touristique. Outre les emplois directs, ce projet remettra du souffle dans de nombreux domaines d'activité. Les questions environnementales semblent maîtrisées, les questions financières aussi. Enfin, le choix de ce mode de vacances correspond à une tendance très marquée d'un public croissant, en particulier étranger, et qui permettra certainement à d'autres offres touristiques de retenir l'intérêt de ceux qui découvrent la région.
Pour que ma belle région, dont je suis native, soit connue et reconnue !!
Pour le développement économique de notre région et pour que nos petites communes continuent d'être attractives !
Pour que nous et nos futurs enfants puissent trouver du travail sur place !
Située à 1h30 en train de Paris, et 1h30 en voiture de Lyon, Le Rousset sera une localisation idéale pour des vavances en toute tranquilité, à la découverte de notre terroir !
Pour toute ces bonnes raisons, je suis TRES FAVORABLE A LA CONSTRUCTION DU CENTER-PARC AU ROUSSET !