Eviter 8 milliards par an de dépenses vaines

Je suppose que la consommation d'électricité augmente de 0,5% par an pendant 20 ans. Il pourrait s'agir d’une nouvelle consommation effaçable en cas d’arrêt imprévu de plusieurs réacteurs nucléaires : des véhicules et du chauffage hybrides consommant de l’électricité ou, en cas de besoin seulement, du fioul, du gaz ou du carburant. Alors, sans arrêter aucun réacteur nucléaire en état de marche et sans ajouter d’éolienne ni de photovoltaïque à ce qui existe aujourd’hui, les dépenses seront inférieures de 8 milliards d’euros par an à celles d’un scénario où le nucléaire est limité à 50 % de la consommation d’électricité. L’outil simplifié de simulation utilisé ici (présenté dans le point de vue N°9 et publié sur Internet) permet à chacun de vérifier ce résultat.