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Vent en poupe pour la baie de Somme
par Giovinetta DUPORT, MAISON NATURE ET ENVIRONNEMENT (TOULOUSE)
Concernant l'impact sur le paysage, il faut penser qu'à 14 km les éoliennes sembleront avoir la taille d'une allumette. L'organisation d'une région par l'homme, soit-elle à proximité de falaises réputées, peut être un plus, rendant visible la technicité moderne comme l'impact de nos consommations. Les tonnes de ciment qu'on a déversées pour construire les digues de Vendée actuellement défaillantes ou le pont de Tancarville sont-elles un impact négatif subi ou la valorisation d'une région ?
VOS COMMENTAIRES
Bravo
Merci M. Ramet pour cet excellent commentaire. Évidemment nous leur offrons volontiers ces 150 éoliennes, nous, on n'en veut pas. > RÉAGISSEZ Ajouté par Elisabeth GEST, le 03/06
En reponse à M DUPORT
Merci d'avoir indiqué votre localisation, car nous pouvons constater que les personnes favorables à ce projet ne connaissent ni la région (Toulouse-Le Tréport = 1000 km), pour certains d'entre vous vous n'avez jamais vu un coucher de soleil sur la mer, et les autres qui sont pour vous préférez ne pas mentionner votre ville. |
Les éoliennes ressemblent à des allumettes sur les photos (montages) du constructeur. Ne vous laissez pas abuser, 14 km en mer représente une distance très courte où l'on observe très bien les bateaux pourtant beaucoup plus petits sur l'horizon. Quant à la technicité moderne, elle ne sait toujours pas éviter la rouille en mer. Posez-vous la question, combien faudra t-il de tonnes de peintures pour entretenir 170 éoliennes en mer pendant trente ans ?
> RÉAGISSEZ Ajouté par Jean-Claude RAMET, le 01/06Pour la valorisation de la région nous avons déjà deux centrales nucléaire (8 réacteurs) et bientôt un EPR aussi. C'est avec plaisir que nous vous offrons ces 170 éoliennes qui je n'en doute pas mettrons en valeur votre maison de la nature et de l'environnement.