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M. Chambe parle de restaurer le lien au fleuve, aux milieux naturels grâce au projet de l'anneau des sciences. Certains milieux naturels directement impactés par l'emprise des échangeurs (Alai, Beaunant, Hopital Lyon Sud) présentent une qualité paysagère indéniable et des enjeux biodiversité reconnue (ZNIEFF, ENS, corridors). Comment le Grand Lyon justifie le fait, d'une part de vouloir restaurer un lien avec le fleuve, de redonner une qualité paysagère, alors que d'autre part il présente un projet qui va déstructurer des milieux naturels encore fonctionnels et de grande qualité ? Pour quoi avant de restaurer des éléments dégradés ne pas préserver et conserver des structures écologiques fonctionnelles, reconnues ?
Associé à Impacts environnementaux; Milieux naturels
Monsieur,
La nouvelle infrastructure routière du scénario Anneau des Sciences est enterré à 80% ce qui contribue à limiter les répercussions du projet sur le milieu naturel. Des mesures d’évitement, de réduction et de compensation seront prises lors des études ultérieures pour limiter les incidences du projet et de ses émergences sur les milieux naturels et la biodiversité.
Le Grand Lyon s’est engagé lors du discours de clôture du débat public le 21 mars dernier à mettre en place un Comité Scientifique et Technique avec les associations de protection de l’environnement notamment afin de travailler sur la limitation des effets du projet sur le milieu naturel lors de la conception détaillée de l’Anneau des Sciences et définir, le cas échéant, les mesures compensatoires les plus efficientes.
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