Monsieur,

Au stade du débat public, les 126 hectares correspondent aux emprises maximales, tous ouvrages confondus. Une fois les dispositifs d'échanges conçus, ces emprises pourront être réajustées à la géométrie réelle de l'infrastructure et ces surfaces se trouveront alors considérablement réduites. Ces emprises comprennent, par ailleurs, des parcelles qui concernent aujourd'hui des emprises d'infrastructures déjà existantes. Ces emprises déjà existantes représentent environ la moitié de cette surface et correspondent notamment aux emprises actuelles de l'échangeur du Valvert, les voiries urbaines du secteur Trois-Renards, l'échangeur de Saint-Fons, l'autoroute A7 à la Saulaie. Après travaux, une surface importante sera repaysagée (arbres, espaces verts...), ce qui devrait conduire à une emprise au sol réelle des ouvrages de l'ordre de 15 à 20 hectares.

Enfin, la question posée au débat public est celle de l'opportunité du projet. Les impacts fonciers du projet seront étudiés de manière approfondie ultérieurement lors des études d'impact du projet.