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< REVENIR AUX THÈMESLe débat public et son déroulement (29 questions)
Q18 • Etienne JAUFFRET, (ROUEN), le 04/10/2011
C'est très bien de transmettre en direct les débats par internet, pouvoir les regarder après coup serait un plus, pensez aux personnes ne pouvant se libérer à ces heures là. Merci.
La CPDP, le 10/10/2011,
Les vidéos et les supports de présentation des intervenants à la réunion publique d'ouverture ont été mis en ligne à l'adresse suivante :
http://www.debatpublic-lnpn.org/informer/archives-reunions-publiques.html
Les supports de présentation des intervenants ainsi que la synthèse et le verbatim seront mis en ligne après chacune des réunions publiques dans un délai de 4 jours.
Les réunions filmées et diffusées sur internet seront également diffusées en différé sur le site internet. Il faut compter 48 heures pour que soient effectués le séquençage et la mise en ligne des vidéos.
Q43 • Elie ANDRE, (CRESSERONS), le 05/10/2011
Remarque sur décision finale
Dans "Le compte-rendu et le bilan du débat" il est écrit : "Le maître d’ouvrage rend publique sa décision. […] RFF indique alors les suites qu’il donne à son projet: sa poursuite, sa modification ou son abandon"
=> Donc au final c’est RFF qui décide. La LNPN c'est SON projet. Est-ce à dire que les collectivités régionales, départementales et autres acteurs économiques n’ont aucun pouvoir de décision ? RFF règnerait en maître, et pas seulement d’ouvrage ! Humm !
Le Maître d'ouvrage, le 24/10/2011,
Dans la lettre de mission qu'il a adressée le 28 juillet 2009, le Secrétaire d’Etat chargé des transports, a demandé à Réseau Ferré de France, en tant que gestionnaire du réseau ferroviaire national, de « conduire les études nécessaires » à l'avancement d’un projet de ligne nouvelle entre Paris et la Normandie.
En tant que maître d’ouvrage de ce projet, RFF a saisi la Commission nationale du débat public le 2 mars 2011 et cette dernière a décidé de l’organisation d'un débat public lors de sa séance du 6 avril 2011.
Le débat sur le projet de ligne nouvelle Paris – Normandie, organisé par une Commission neutre et indépendante du maître d’ouvrage, est actuellement en cours.
Comme vous le savez, « dans un délai de deux mois à compter de la date de clôture du débat public, le président de la Commission nationale du débat public publie un compte rendu du débat et en dresse le bilan. » (article L121-11 du code de l'environnement).
Le maître d’ouvrage dispose ensuite d'un délai de trois mois après la publication de ce bilan pour se prononcer sur le principe et les conditions de la poursuite du projet (article L121-13 du code de l’environnement).
Pour l'Etablissement Public à caractère industriel et commercial (EPIC) qu’est RFF, la décision est prise par son conseil d’administration au sein duquel siègent des représentants de l'Etat.
Cette décision du conseil d'administration de RFF est préparée en concertation avec les partenaires du projet, en particulier les Conseils régionaux concernés et l’Etat, sans lesquels le financement ne saurait être réuni ni le projet réalisé.
Les autres acteurs non-cofinanceurs sont consultés par RFF ou par les co-financeurs du projet, mais, s'ils disposent d’un pouvoir d’influence qui leur permet de participer à la décision de manière indirecte, ils n'ont pas de pouvoir de décision formel.
Enfin, les modifications introduites dans le Code de l’environnement par la loi du 12 juillet 2010, dite « Grenelle 2 », indiquent que le maître d'ouvrage doit préciser dans un acte transmis à la CNDP « les principales modifications apportées au projet soumis au débat public » et doit également indiquer « les mesures qu'il juge nécessaire de mettre en place pour répondre aux enseignements qu'il tire du débat public » (article L121-13 du code de l’environnement).
Q53 • Pablo ALTES, ADHÉRENT DE VERNON TRAIN DE VIE (VERNON), le 06/10/2011
Je viens ajouter ma voix à celle qui réclame, pour les réunions publiques filmées et diffusées sur internet, la consultation en mode différé. En effet, la commission paye son prestataire technique pour la réalisation de la captation, les intervenants accordent leur autorisation pour l'utilisation de leur image, le public signe lors de l'entrée en salle un formulaire pour la même raison... Pourquoi ne pas mettre en ligne les réunions filmées une fois qu'elles ont eu lieu ? Aucune raison, ni technique, ni juridique, ni financière (il existe des plateformes, y compris françaises, de diffusion gratuit de vidéos, telle que Dailymotion, utilisée pour le film de présentation de la CPDP-LNPN) ne s'y oppose. La consultation en différé permettrait d'une part à ceux qui n'ont pu se connecter en direct de profiter quand même du débat. Elle permettrait aussi une analyse plus posée des discours des uns et des autres, et découragerait sûrement certains de céder à des arguments fallacieux, en sachant que leurs paroles seront consultables par tous après qu'elles aient été prononcées. Tout ceci, bien entendu dans un souci de démocratie et de transparence, qui sont me semble-t-il, les principes fondateurs de la CNDP. À terme, il serait souhaitable d'adopter le principe nord-américain, selon lequel tout programme audiovisuel produit pour le compte de l'Etat passe automatiquement dans le domaine public. Mais c'est un autre débat... Dans ce même souci, il serait souhaitable de publier sur le site internet les aides visuelles (diapositives Powerpoint) que les intervenant utilisent, au format PDF, pour les mêmes raisons. Merci.
La CPDP, le 11/10/2011,
Les vidéos et les supports de présentation des intervenants à la réunion publique d'ouverture ont été mis en ligne à l'adresse suivante :
http://www.debatpublic-lnpn.org/informer/archives-reunions-publiques.html
Les supports de présentation des intervenants ainsi que la synthèse et le verbatim seront mis en ligne après chacune des réunions publiques dans un délai de 4 jours.
Les réunions filmées et diffusées sur Internet seront également diffusées en différé sur le site internet. Il faut compter 48 heures pour que soit effectués le séquençage et la mise en ligne des vidéos.
Q65 • Patrick LELOUP, (HOUPPEVILLE), le 07/10/2011
Sera-t-il possible prochainement de pouvoir consulter en ligne les cahiers d'acteurs ainsi que les débats enregistrés, question déjà posée ?
Je vous remercie pour une réponse rapide.
Q70 • Russ HUDSON, (AMFREVILLE-SUR-ITON), le 08/10/2011
"Réponse en cours de traitement" pour toutes les questions - pourquoi faut-il plus de 48 heures pour avoir une réponse ?
La CPDP, le 10/10/2011,
Nombre des questions saisies sont des questions précises qui nécessitent, au niveau du maître d'ouvrage, Réseau ferré de France, le recours à des spécialistes. Après leur rédaction, toutes les réponses font l'objet d'une validation par la direction du projet LNPN. La commission en prend enfin connaissance et juge si elles sont suffisamment complètes avant de les mettre en ligne.
La commission souhaite que les réponses apportées soient des réponses de qualité. Cela prend un certain temps que le maître d'ouvrage et la commission essaient de limiter autant que possible. Nous comptons sur votre compréhension.
Q77 • Wenceslas DE LOBKOWICZ, Conseil Municipal de Breuilpont (BREUILPONT), le 08/10/2011
Quel est l'intérêt réel (et non pas uniquement formel) du débat public pour les communes qui sont concernées en tout état de cause, puisque l'on constate que certaines communes sont dans l'emprise de chacun des 3 scénarios A, B et C ? Le choix est déjà fait avant même l'ouverture du débat public ?
(question posée par internet au cours de la diffusion en direct de la réunion du 3 octobre)
La CPDP, le 10/10/2011,
En vertu de la loi Démocratie de proximité de 2002, le débat public doit permettre à tous de s'exprimer, avant la prise de décision quant à la réalisation ou non du projet en débat, sur l'opportunité de ce dernier (faut-il réaliser le projet ou non ?), ses objectifs et ses caractéristiques (notamment les options de passage).
Ainsi, l'objet du débat ne se limite pas à la définition du scénario (A, B ou C) à retenir. Il comporte avant tout un échange sur l'utilité du projet pour les normands et les franciliens ainsi que sur leurs attentes vis-à-vis de l'évolution du système ferroviaire entre Paris et la Normandie.
Ce n'est qu'à l'issue du débat que la décision de réaliser ou non le projet sera prise. L'expérience montre que la plupart des projets évoluent sensiblement à l'issue du débat public. Certains sont purement et simplement abandonnés.
Q88 • Alain DUMONT, (LOUVIERS), le 09/10/2011
Je ne retrouve pas ma qestion posée le 04/10 à savoir: Combien de voies sur les nouvelles lignes? A une autre question posée le même jour: passage à niveau ou pas sur cette nouvelle voie je n'ai pas de réponse et non sommes le 9 octobre, il y aurait il un problème pour me donner la réponse?
La CPDP, le 11/10/2011,
La commission souhaite que les réponses apportées soient des réponses de qualité. Cela prend un certain temps que le maître d'ouvrage et la commission essaient de limiter autant que possible. Vous recevrez bientôt la réponse à votre deuxième question. Nous comptons sur votre compréhension.
Vos deux questions (n°14 et 26) sont visibles sur la page suivante :
http://www.debatpublic-lnpn.org/participer/questions-reponses-detail.html?id=22
Q104 • Jean CHANUT, (SAINT ANDRE SUR CAILLY), le 10/10/2011
Merci de mettre en ligne le rapport des travaux de la Commission présidée par le Préfet Duport.
La CPDP, le 07/11/2011,
Le comité de pilotage présidé par M. Duport n'a pas établi de "rapport", mais le dossier du maître d'ouvrage présenté par RFF a été établi sur la base des travaux de ce comité, il en constitue donc la conclusion.
Q118 • Gérald VAN PRAET, (ETRETAT), le 12/10/2011
Je constate que les organisateurs ont oublié d'organiser un débat public dans un endroit qui permettrait aux populations du Pays de Caux et du littoral de la côte d’Albâtre de s'informer à proximité de leur domicile. Je rappelle que notre territoire recouvre des zones rurales, touristiques (Etretat) et des agglomérations de taille certes moyennes (Yvetot, Bolbec, Lillebonne, Fécamp) mais dont les populations aimeraient pouvoir comprendre et s'exprimer sur les différents projets.
Nous souhaitons bien sûr améliorer les dessertes existantes à Bréauté-Beuzeville et à Yvetôt.
Est-il possible d'ajouter une date au calendrier ?
La CPDP, le 25/10/2011,
Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez au débat. La commission a couvert le territoire des trois régions concernées par le projet en y organisant 23 réunions, mais il n'a pas été possible, dans le temps des quatre mois de ce débat, de tenir des réunions publiques dans toutes les villes moyennes.
Moyennant il est vrai un déplacement, les habitants du pays de Caux peuvent participer aux réunions qui se tiennent au Havre, à Rouen et à Dieppe. Il pourront aussi suivre les réunions retransmises par Internet et y intervenir en direct. Ils peuvent également s'exprimer dans les espaces de discussion du site Internet. La CPDP sera attentive à rendre compte de tous les avis formulés.
Q122 • Olivier GERVAIS, ADHÉRENT À EUROPE ÉCOLOGIE — LES VERTS (EELV) BASSE NORMANDIE (FLEURY SUR ORNE), le 12/10/2011
Question concernant le déroulement des débats et réunions organisés par la CNDP et la CPDP :
la plupart des intervenant(e)s au débat du 11 octobre 2011, au centre des congrès à Caen, auquel j'ai assisté, étaient des… hommes. Ne pourriez-vous pas instaurer un principe de parité femmes/hommes lors des questions qui vous seront posées ?
La CPDP, le 25/10/2011,
La commission a réalisé une importante campagne de communication afin d'informer tous les publics, hommes, femmes, jeunes et moins jeunes. De nombreuses personnes ont déjà participé aux premières réunions. Lors de la réunion tenue à Caen la commission a tenu à ce que toute personne qui le souhaitait puisse s'exprimer, retardant la clôture des débats. Mais l'animateur, qui a donné la parole à tous, hommes et femmes, ne peut imposer la parité.
Q130 • Jean-Pierre RENARD, (CAEN), le 13/10/2011
A Caen, le 13/10/2001.
Bonsoir et merci d'avance aussi de faire paraître publiquement mes dires suivants :
le débat public doit servir notamment à l'appropriation par tout un chacun de projets publics tels que la LNPN. Or, cf. la réunion du mardi soir 11/10/2011 à Caen, les particuliers ont des difficultés à prendre la parole par rapport à la présence de beaucoup d'élus et autres institutionnels (personnellement j'ai dû lever le bras pendant 30 minutes pour avoir 3 courtes minutes de parole vers 21h45). Dans ces conditions, pourquoi ne pas prévoir de temps de parole partagé à parts égales (élus et institutionnels / particuliers) ?
Salutations distinguées.
La CPDP, le 25/10/2011,
Nous vous remercions pour l'intérêt que vous portez au débat. La commission est très sensible à votre remarque et à votre ressenti de la réunion publique de Caen. Elle partage la volonté de permettre, dans le cadre du débat, au grand public de s'informer et s'exprimer sur le projet.
Toutefois, il semble difficile dans la pratique et contestable sur le fond de distinguer les personnes ayant un mandat des personnes n'ayant pas de mandat.
En vertu du principe d'équivalence, la personne de la commission particulière du débat public qui anime la réunion distribue la parole dans le public sans savoir qui est élu, responsable institutionnel ou simple particulier. Comme vous avez pu le constater, chacun intervient dans les mêmes conditions, notamment quant à la durée des interventions.
La commission préfère garantir la possibilité donnée à tous de participer en retardant la clôture de la réunion quand cela est nécessaire.
Q138 • Damien ARTUR, (HONDOUVILLE), le 15/10/2011
Bonjour,
Pourquoi plus de 50 % des gens non pas reçu dans leur boite aux lettres le document du debat public avec les "tracés" et les dates de réunions, etc. ?
La CPDP, le 07/11/2011,
Les outils de communication mis en place par la commission pour informer le public de la tenue du débat ont été variés.
L'essentiel de la communication s'est fait via des spots radio sur France bleue, des encarts dans la presse régionale et des bannières sur certains sites Internet.
La commission a également eu recours plus ponctuellement à de l'affichage et du tractage dans les gares pour sensibiliser spécifiquement les usagers des transports ainsi qu'à une distribution du journal n°1 dans les boite aux lettres des communes situées dans les options de passage.
Nous prenons bonne note de vos observations et demandons à la société chargée de la distribution de nous faire un retour quant aux conditions de réalisations de la prestation. Nous prenons également contact avec les mairies pour voir dans quelles mesures des journaux du débat pourraient être mis à disposition du public.
Q156 • Sébastien BELLET, (CAEN), le 18/10/2011
Certains syndicats et/ou élus posent des questions intéressantes mais la plupart utilisent le temps de parole comme tribune d'argumentation politique, pour se répondre les uns les autres. Peut-on faire en sorte que le débat cesse d'être une tribune politique pour laisser la place à une véritable expression citoyenne ?
La CPDP, le 25/10/2011,
Le débat public doit permettre à chacun de donner son avis sur le projet soumis au débat. La commission veille au principe d’équivalence. Qu’ils soient élus, représentants associatifs ou « simples » citoyens, les participants au débat peuvent s’exprimer dans les mêmes conditions, notamment quant à la durée de leur intervention. Si la commission peut imposer aux personnes qui détiennent un mandat électoral, associatif etc… un temps de parole identique à celui du grand public, vous comprendrez qu’elle ne peut pas leur imposer un temps de parole inférieur.
Sur le fond, si le public peut juger répétitifs les propos des institutionnels, il ne semble toutefois pas inutile que les décideurs publics présentent, dans les mêmes conditions de prise de parole que le public, leur position sur le projet, la politique qui l’accompagne ou leurs propositions à ce niveau. Cela peut constituer pour le public une contextualisation intéressante du projet.
D’expérience, les prises de paroles institutionnelles, nombreuses au lancement du débat, deviennent moins fréquentes au fil des réunions publiques.
Q158 • Arlette VIVIER-SAVARY, CREPAN (CAEN), le 18/10/2011
Pourquoi les réunions thématiques, importantes, sont-elles prévues tard (sur la période de l'enquête) ? C'est peu propice à une concentration serieuse, instructive ! Il est dommage qu'on ne puisse pas bénéficier, déjà, des apports éventuels que donneront les experts pour les integrer dans les cahiers d'acteurs !
La CPDP, le 25/10/2011,
La large participation aux premières réunions locales a permis au public de poser leurs questions sur le projet et d'obtenir des réponses. Elle a aussi permis à la commission d’identifier les questions plus générales qui devront être développées lors des réunions thématiques. Ainsi, les réunions thématiques devraient être dégagées des questions de compréhension portant sur le projet et centrées vers les questions identifiées lors des 16 réunions tenues sur l'ensemble du périmètre du projet.
Sachez par ailleurs que les réunions thématiques seront diffusées en direct sur Internet, les internautes pourront intervenir.
Nous vous rappelons enfin que des avis et des contributions peuvent être déposés jusqu’à la fin du débat. Ainsi, il sera possible d’intégrer les apports des réunions thématiques dans une argumentation portée au débat.
Q194 • Martine DUVAL, (AMFREVILLE), le 22/10/2011
Conditions du débat
De nombreux habitants avaient fait l'effort de se déplacer à Evreux qui était un débat destiné aux questions. Or, pendant une heure, des politiques, présidents de collectivités, maires,adjoints, ont monopolisé la parole. Le public a été obligé de manifester pour avoir la parole. A 10h du soir, les gens qui sont venus après leur travail n'avaient pas pu poser leur question. La crédibilité du débat public est évidemment mise en cause. On voit que l'avis des citoyens ne sera pas pris en compte ; il s'agit en fait de tirer un bénéfice politique pour les gens en place.
La CPDP, le 25/10/2011,
La commission a organisé les réunions locales notamment pour qu’une information complète soit donnée au public et que Réseau ferré de France réponde aux questions. Elle veille par ailleurs au respect du principe d’ « équivalence » en accordant un temps de parole identique à chacun.
La personne de la commission particulière du débat public qui anime la réunion distribue la parole dans le public sans savoir qui est élu, responsable associatif ou simple particulier ; elle n'accorde aucune priorité aux acteurs institutionnels, mais ne peut non plus leur refuser la parole.
La réunion d’Evreux, comme d’autres auparavant, a été prolongée pour que chacun puisse s’exprimer ; des questions écrites ont aussi été déposées auxquelles il sera répondu.
Toutefois vos observations conduisent la commission à repenser l’organisation des réunions pour qu’elle réponde mieux aux préoccupations des habitants qui, comme vous, font l’effort d'y participer.
Q203 • Martine DUVAL, (AMFREVILLE), le 26/10/2011
Conditions du débat
La CPDP a répondu le 25/10/2011 : "La personne de la commission particulière du débat public qui anime la réunion distribue la parole dans le public sans savoir qui est élu, responsable associatif ou simple particulier ; elle n'accorde aucune priorité aux acteurs institutionnels, mais ne peut non plus leur refuser la parole." Vous ne semblez pas être informé que chaque participant déclare, avant de poser une question orale, son identité et sa fonction. Ensuite cette même personne écrit son identité sur une feuille détenue par la personne qui passe le micro. A Evreux, cela s'est passé comme cela et tout le monde peut en témoigner.
La CPDP, le 07/11/2011,
La commission précisait qu'elle ne connait ni l'identité de l'intervenant ni ses éventuels mandats avant de lui donner la parole. Vous comprendrez qu'il n'est pas possible de reprendre le micro à une personne qui vient de se présenter au prétexte qu'elle aurait une responsabilité institutionnelle.
Cependant, suite notamment à vos observations, la commission a décidé de réorganiser le déroulement des réunions afin de mieux répondre aux demandes du public: dans un premier temps du débat celui-ci est invité à poser des questions, en un temps très court. Les interventions, plus argumentées, et plus longues, dans la limite de trois minutes, sont prises ensuite.
Q205 • Martine DUVAL, (AMFREVILLE), le 26/10/2011
Dans la vallée de L'Iton, plusieurs personnes n'ont pas reçu la petite brochure d'info sur les dates de débat. Or, la LGV doit traverser (et non pas longer) la Vallée de l'Iton, entre Evreux et Amfreville sur Iton. Les couloirs de passage indiqués sur les schémas s'étendent jusqu'à Louviers en passant par Acquigny. Les villages de la Vallée de l'Iton sont bien concernés.
La CPDP, le 07/11/2011,
Nous prenons bonne note de vos observations et demandons à la société chargée de la distribution de nous faire un retour quant aux conditions de réalisations de la prestation. Nous prenons également contact avec les mairies pour voir dans quelles mesures des journaux du débat pourraient être mis à disposition du public.
D'une façon générale, il semble utile de préciser que l'essentiel de la communication s'est fait via des spots radio sur France bleue, des encarts dans la presse régionale et des bannières sur certains sites Internet.
Q253 • Hervé HERRY, (PÉRIERS SUR LE DAN), le 07/11/2011
Plusieurs remarques :
1) les documents de synthèse que l'on peut récupérer sur le net sont écrits avec des polices beaucoup trop petites pour mes vieux yeux ;
2) j'ai demandé les documents de synthèse et de détail par la poste et je n'ai toujours rien au bout de 10 jours ;
3) sur ce que j'ai pu déchiffrer sur les documents de synthèse sur le net, seul des éventuels tracés de la région parisienne apparaissent alors que j'avais compris que le débat public portait sur les lignes en Normandie !
4) la région normandie n'existe pas, il faudrait commencer par réunir toutes les instances politiques et administratives avant de continuer d'avancer car sinon le projet va traîner en longueur et amener des coûts, surcoûts et délais énormes pour que nos chers politiques et adminisstratifs ne perdent pas la face.
Cordialement
Le Maître d'ouvrage, le 04/01/2012,
Concernant votre première remarque, les documents consultables sur le site internet du débat étant enregistrés au format PDF, il est possible de zoomer pour grossir le texte. Il y a plusieurs manières de procéder pour zoomer, la plus simple étant de maintenir la touche Ctrl enfoncée et d'appuyer sur + autant de fois que nécessaire.
En ce qui concerne les options de tracés du projet, vous trouverez une description détaillée des différents scénarios en Normandie aux pages 86 à 91 du dossier du maitre d’ouvrage qui vous a été envoyé par courrier.
Enfin, concernant votre dernière remarque, nous vous suggérons de la publier au sein de l’espace de discussion suivant : http://www.debatpublic-lnpn.org/espace-discussion/besoins-economie-amenagement/avis.html
Q270 • Ali BENSAADOUNE, (ROUEN), le 10/11/2011
Quelles seront les articulations entre la démarche du débat public et la mission de M. Rufenach, commissaire au plan sur le projet axe Seine du Grand Paris ?
La CPDP, le 15/11/2011,
Le débat public est organisé selon une procédure fixée par le code de l'environnement, il est autonome et indépendant des structures mises en place par ailleurs.
Cependant l'aménagement du territoire, comme le développement économique, pour lesquels le commissaire général pour le développement de la vallée de la Seine a reçu une mission spécifique, constituent des questions importantes qui seront discutées au cours du débat public.
Le commissaire général sera donc invité par la commission à intervenir lors de la réunion thématique consacrée au développement économique pour présenter ses premières conclusions sur le sujet.
Q287 • Jean-Philippe BOUQUENNE, (CHAMBOURCY), le 10/11/2011
Quel scénario privilégient les normands au vu des premières réunions ? A, B ou C ?
Merci
La CPDP, le 29/11/2011,
Les avis des personnes qui se sont exprimées peuvent être consultés sur les forums de discussion du site Internet, ainsi que dans les verbatim des réunions publiques également diffusés sur le site.
La commission particulière quant à elle établira le compte-rendu du débat dans les deux mois suivant sa clôture. Les différentes positions exprimées au cours de ce débat seront présentées. La commission ne peut pas répondre à votre question pendant son déroulement.
Q295 • Pablo ALTES, VERNON TRAIN DE VIE (VERNON), le 12/11/2011
Bonjour,
j'ai lu avec intérêt le cahier des charges pour l'étude complémentaire demandée par la CNDP et concernant une alternative au projet dépouillée de ses attributs pharaoniques et se recentrant sur l'essentiel, à savoir le confort et l'efficacité de la desserte. En tant qu'usager quasi-quotidien de la ligne actuelle entre Vernon et Paris, je ne vous cache pas que cette solution me semblerait plus adaptée et plus réaliste, voire plus réalisable. Dans cette demande, décidée le 5 octobre suite aux demandes des groupes EELV et des conseils régionaux concernés, il est précisé que les réponses (à l'appel d'offre, bien entendu et non à la question posée, qui nécessite un "certain" temps pour être traitée) doivent être soumises avant le 27 octobre 2011. Pourriez-vous, s'il vous plaît, indiquer la suite donnée à cette demande ? Un cabinet a-t-il été mandaté ? Si oui, quand prévoit-t-il d'apporter les éléments d'expertise ?
Merci
La CPDP, le 29/11/2011,
Le cabinet BG a été sélectionné pour réaliser cette expertise. Une réunion publique supplémentaire se tiendra le 23 janvier 2012, réunion au cours de laquelle les conclusions de l'étude seront présentées. Dans sa lettre électronique, la CPDP communiquera dès la semaine prochaine sur cette nouvelle date.
Q302 • François GODMET, OFFICE DE TOURISME (ASNELLES), le 14/11/2011
Pourquoi n'y a-t-il pas de réunion à Bayeux?
La CPDP, le 29/11/2011,
La commission qui, dans les quatre mois du débat, organise plusieurs réunions par semaine n'a pas pu se rendre dans toutes les villes concernées par le débat. Les personnes qui n'ont pu se déplacer à une réunion peuvent s'exprimer sur les forums de discussion du site Internet et y poser leurs questions. Par ailleurs, comme la réunion d'ouverture, les réunions thématiques seront diffusées en direct sur le site du débat. Les internautes pourront y intervenir.
Q331 • Francis SAINT-ELLIER, (ROTS), le 17/11/2011
Est-ce que les réunions thématiques se dérouleront suivant les mêmes modalités que les réunions locales ? Si non, pouvez-vous nous indiquer les modalités ?
La CPDP, le 19/12/2011,
La commission a demandé à différents experts d'intervenir lors des réunions thématiques. Depuis la tribune, ils feront chacun une présentation en relation avec le thème que la commission leur a demandé d'éclairer.
Les prises de parole du public devraient être régies de la même façon que lors des réunions locales : questions d'abord (temps de parole de 1 minute maximum); interventions ensuite (temps de parole de 3 minutes maximum).
Q528 • Jean-Pierre RENARD, (CAEN), le 12/01/2012
Bonjour,
merci beaucoup pour la réunion d'hier soir, de nouveau pilotée par des intervenants experts, invités au Débat Public LNPN, de grande qualité et de grande courtoisie d'écoute mais personnellement avec un profond espoir, eu égard à la participation d'hier soir du public en particulier quant à son nombre (franchement peu d'enthousiasme des normands, élus presque y compris, vis-à-vis d'un tel projet qui, pourtant, devrait les mobiliser tous azimuts), à savoir que la décision finale concernant la LNPN, bien nécessaire évidemment, ne soit pas liée à la faible (pour ne pas dire très faible) présence du public à l'Atelier caennais d'hier soir et là je voudrais faire la suggestion suivante pour y pallier éventuellement :
les NTIC (la Fibre Optique, le Numérique -> le monde est un village) permettent réellement un rapprochement et une participation de tout un chacun dans notre monde du III ème Millénaire et dans ces conditions, au-delà de la nécessaire localisation de la réunion physique et de sa retransmission sur internet en direct, cela devrait permettre aisément aux personnes éloignées (par les simples Webcam très démocratiques quant à leur coût / visioconférence) de participer en direct, de par leur intervention éventuelle, sur écran dans l'enceinte de la réunion physique !
Bien cordialement,
Le Maître d'ouvrage, le 02/02/2012,
Cette technique pourrait en effet améliorer notre dispositif de participation à distance, qui permet déjà aux internautes non seulement de suivre la réunion en direct sur internet, mais aussi de poser une question ou de faire part d’un avis au cours de la réunion. Il convient avant tout d’apprécier le coût d’une telle installation par rapport au gain escompté en termes de confort des internautes et d’incitation à la participation. Nous transmettons donc vos suggestions à la CNDP afin qu'elle évalue la faisabilité et l’opportunité du dispositif avant d’envisager sa possible mise en pratique dans le cadre de futurs débats publics.
Q545 • Marc JANIN, (MONTAURE), le 16/01/2012
Bonjour,
Je viens ce week-end end seulement de prendre connaissance du tracé potentiel. Je réalise par la même que le "débat public" a commencé en octobre et m'étonne de ne jamais en avoir été informé. Quels moyens de communication étaient prévus pour un citoyen lambda qui ne lis pas Paris Normandie, ne regarde pas le 13h de Jean-Pierre Pernaut, et ne s'arrête jamais devant l'affichage municipal ? Bien conscient que plus les expropriés seront informés tard, moins ils seront gênants, je suis surpris néanmoins que les citoyens impactés par ce projet n'aient pas été prévenus des réunions locales !
Le Maître d'ouvrage, le 17/02/2012,
Une importante campagne de communication destinée au grand public a eu lieu dans l’ensemble de la Normandie et dans l’ouest de l’Île-de-France au lancement du débat. Elle s’est faite via des spots radio sur France bleu, des encarts dans la presse régionale et des bannières sur certains sites Internet de la presse régionale et de la SNCF notamment. Fin septembre 2011, le journal du débat n°1, qui présentait le débat et le projet, a par ailleurs été distribué dans l’ensemble des boites aux lettres des communes concernées par les options de passage du projet et les Maires de ces communes et les Présidents d’intercommunalités ont reçu une information détaillée. La campagne de communication initiale a été complétée, avant chacune des réunions locales, par des opérations de tractage et d’affichage dans les gares des villes concernées ainsi que par des encarts dans la presse régionale.
Avant la fin du mois de juin, le maître d’ouvrage, RFF, décidera s’il poursuit ou non son projet. Dans le premier cas il donnera des indications quant au scénario privilégié et la concertation avec le public se poursuivra.
Q607 • Jean-Pierre RENARD, (CAEN ), le 26/01/2012
Bonsoir,
Simultanément ce soir sur France 3 Normandie Caen (JT de 19 heures), on apprend que, finalement, au-delà des scénarios 4 scénarios proposés pour la LNPN, sachant que le scénario C paraissait objectivement le plus drainant, le plus irriguant pour la Normandie avec en particulier une très grande amélioration ferroviaire Caen<-> Le Havre -très grand noeud d'avenir tous azimuts-, on y annonce un scénario alternatif qui "aurait" reçu l'approbation des "exécutifs" (?) hors le groupe politique des "Verts" qui présenterait ce soir, par ailleurs, son propre scénario.
Merci d'avance de nous exposer ce qu'il en est exactement ? Et, précisément, est-ce que ce nouveau "scénario alternatif" (qui est annoncé comme déjà consensuel) est l'équivalent du scénario idéal C (alors que par ailleurs je n'ai aucunement entendu le présentateur, en direct sur internet, parler du Havre <-> Caen) ?
Salutations.
(question posée en direct sur internet à l'occasion de la réunion publique du 23 janvier)
Le Maître d'ouvrage, le 17/02/2012,
Suite aux observations du public lors des premières réunions locales, Réseau ferré de France a présenté le 6 décembre un quatrième scénario, le scénario AB. Vous trouverez toutes les indications sur ce scénarios, notamment les temps de parcours entre le Havre et Caen, à la page suivante (lien vers la fiche scénario AB).
Par ailleurs, la Commission nationale du débat public a décidé, à la demande du groupe Europe écologie les Verts, une expertise complémentaire . Celle-ci portait sur la faisabilité et le coût d’une rénovation du réseau normand. Les résultats ont été mis en ligne le 20 janvier (lien vers les résultats de l’expertise complémentaire).
Le scénario AB et les résultats de l’expertise complémentaire ont été discutés dans le cadre du débat public; des élus ont pris position au cours du débat et dans la presse.
Cependant aucune décision n'a encore été prise. Avant la fin du mois de juin, le maître d’ouvrage, RFF, décidera s’il poursuit ou non son projet. Dans le premier cas il donnera des indications quant au scénario privilégié et la concertation avec le public se poursuivra.
Q631 • Laurence DUVAL, MAIRE DE CANAPPEVILLE (668 HABITANTS) (CANAPPEVILLE), le 01/02/2012
Comment je peux me positionner, donner mon avis sur un projet de tracé qui passerait sûrement au travers ma commune, sans avoir été directement informée en qualité d'élue ? Pas non plus d'informations transmises à notre Communauté de Commune qui gère notre SCOT, et pas de demande d'accord ou désaccord faite auprès de notre conseil municipal ? Nos habitants viennent m'interpeller, inquiets, en attente de précisions que je ne peux leur donner ! Ayant assisté à la réunion de "clôture" lundi 30 janvier à Caen, où j'ai constaté le peu de personnes présentes au vu de l'importance du projet, cela reflète bien le manque de transparence, de communication, et la volonté de faire "passer" un projet en force, à la "va vite"... Le dernier projet le plus favorable n'a été présenté qu'il y a un peu moins de 2 mois : ne faut-il pas qu'il soit plus attentivement analysé pour que l'on puisse en toute connaissance s'exprimer ? Comme beaucoup de communes rurales, nous sommes attentifs à la préservation de notre environnement, à l'économie de surface, il est évident que nous sommes vigilants à ce qui va se dessiner sur nos terres ou territoires.
Merci de votre attention
Le Maître d'ouvrage, le 17/02/2012,
Madame la Maire
La commission particulière du débat public a souhaité que le public, comme les élus, soit informé du débat sur ce projet de ligne ferroviaire.
Une importante campagne de communication destinée au grand public a eu lieu dans l’ensemble de la Normandie et dans l’ouest de l’Île-de-France au lancement du débat. Elle s’est faite via des spots radio sur France bleu, des encarts dans la presse régionale et des bannières sur certains sites Internet de la presse régionale et de la SNCF notamment.
Comme tous les maires des communes concernées par les options de passage du projet de LNPN vous avez été destinataire d'un courrier, du 12 septembre 2011, donnant des informations sur le débat et le projet ( journal du débat n°1, documents établis par RFF, maître d'ouvrage). Le 5 décembre 2011 un second courrier, comportant le journal du débat n° 2 et la fiche de présentation d'un nouveau scénario AB, vous a été adressé .
Le débat public est maintenant terminé. Avant la fin du mois de mars seront publiés le compte-rendu et le bilan du débat. Le maître d'ouvrage, Réseau ferré de France, prendra une décision sur la suite donnée à ce projet au plus tard fin juin. Il a annoncé que s'il était décidé de poursuivre le projet, la concertation continuerait avec les élus.
Q645 • Valérie LELIMOUZIN, (SURVILLE), le 03/02/2012
Est-il normal qu'étant directement sur le tracé du scénario AB, nous n'ayons été informé du débat public que seulement 1 semaine avant la clôture de celui-ci ? N'est-ce pas une attitude volontaire pour éviter les détracteurs ? Nous venons pourtant d'acheter notre maison et le certificat d'urbanisme ne mentionnait rien ! Bizarre, non ? Tout cela laisse songeur sur le vrai poids du public dans le débat ?
Le Maître d'ouvrage, le 17/02/2012,
Une importante campagne de communication destinée au grand public a eu lieu dans l’ensemble de la Normandie et dans l’ouest de l’Île-de-France au lancement du débat. Elle s’est faite via des spots radio sur France bleu, des encarts dans la presse régionale et des bannières sur certains sites Internet de la presse régionale et de la SNCF notamment. Fin septembre 2011, le journal du débat n°1, qui présentait le débat et le projet, a par ailleurs été distribué dans l’ensemble des boites aux lettres des communes concernées par les options de passage du projet et les Maires de ces communes et les Présidents d’intercommunalités ont reçu une information détaillée. La campagne de communication initiale a été complétée, avant chacune des réunions locales, par des opérations de tractage et d’affichage dans les gares des villes concernées ainsi que par des encarts dans la presse régionale.
Avant la fin du mois de juin, le maître d’ouvrage, RFF, décidera s’il poursuit ou non son projet. Dans le premier cas il donnera des indications quant au scénario privilégié et la concertation avec le public se poursuivra.
Q653 • Samuel BOIDIN, (SURVILLE ), le 06/02/2012
Comment peut-on se féliciter d'avoir eu une participation d'environ 6000 personnes alors que cela ne représente même pas le nombre d'habitants du canton sud de Louviers (environ 7500), habitants qui n'ont pas été informés du fameux projet "AB" ?
(question posée sur internet au cours de la réunion de clôture)
La CPDP, le 05/03/2012,
Une importante campagne de communication destinée au grand public a eu lieu dans l’ensemble de la Normandie et dans l’ouest de l’Île-de-France au lancement du débat. Elle s’est faite via des spots radio sur France bleu, des encarts dans la presse régionale et des bannières sur certains sites Internet de la presse régionale et de la SNCF notamment. Fin septembre 2011, le journal du débat n°1, qui présentait le débat et le projet, a par ailleurs été distribué dans l’ensemble des boites aux lettres des communes concernées par les options de passage du projet et les Maires de ces communes et les Présidents d’intercommunalités ont reçu une information détaillée. La campagne de communication initiale a été complétée, avant chacune des réunions locales, par des opérations de tractage et d’affichage dans les gares des villes concernées ainsi que par des encarts dans la presse régionale.
Au regard des débats publics sur d'autres projets de ligne ferroviaire portant eux-aussi sur des territoires très vastes, le débat public sur la LNPN a engendré une mobilisation importante sans être pour autant exceptionnelle.
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