Sont repertoriés sur cette page les archives audio et/ou vidéo, les retranscriptions intégrales des réunions publiques ainsi que les supports de présentation des intervenants.
Réunion d'ouverture - Lundi 3 octobre / Rouen
La réunion en bref
400 personnes ont participé à cette première réunion et plus de 800 connexions ont été enregistrées sur Internet où la réunion était retransmise en direct. Après la présentation des modalités du débat public par le président de la CPDP et du projet par le président de RFF et les responsables de la mission LNPN, le public est entré dans le vif du sujet avec de nombreuses interventions et questions.
Les thèmes suivants ont notamment été abordés : le fret, l’emplacement de la future gare de Rouen, les problématiques d’aménagement du territoire et environnementales, le développement global de l’axe Seine, la possibilité de rejoindre la Défense et Roissy sans rupture de charge, la tarification, l’éco-mobilité ou encore la desserte des gares intermédiaires.
L’organisation du transport ferroviaire a par ailleurs été présentée par un membre du Conseil général de l’environnement et du développement durable.
Près de 300 personnes ont participé à cette première réunion locale à Caen.
Des interventions en faveur du projet : il a vocation à améliorer les transports, à rapprocher les Normandies et à favoriser le développement économique, il s’agit d’un projet structurant pour la région, permettant de relier Paris à sa façade maritime. D’autres, interrogatives, réservées ou hostiles en raison du coût du projet, de ses conséquences pour l’environnement, de la priorité accordée à la grande vitesse et aux liaisons avec la région capitale au détriment des transports locaux, et donc de son utilité sociale.
Des questions ont été posées notamment sur la sécurité, la desserte de Cherbourg, le fret, le futur matériel roulant, le financement et la tarification. La nécessité de limiter les emprises sur les terres agricoles a été affirmée.
Près de 300 personnes se sont déplacées au Havre pour donner leur avis et poser des questions.
De nombreuses interventions pour le projet, d’autres plus critiques.
Le développement du fret ferroviaire a été largement débattu, mais aussi le phasage éventuel du projet, la desserte de l’arrière-pays, la traversée de la Seine sous l’estuaire pour une liaison rapide avec Caen, et une question : une ligne nouvelle pour combien de voyageurs du Havre à Paris.
Environ 150 personnes ont participé à cette réunion locale de Mantes-la-Jolie. De nombreuses précisions ont été demandées au maître d’ouvrage sur le contournement de Mantes-la-Jolie, tracé, alternative, ouvrages nécessaires à la traversée des vallées, intérêt pour le transport de marchandises, impact sur l’agriculture et l’environnement. Des questions ont également été posées sur la desserte de Mantes-la-Jolie par les trains de la ligne nouvelle mais également par le RER E ou encore sur l’emplacement, le rôle et la desserte de la gare de Confluence. De façon plus générale, le raccordement de la ligne nouvelle au réseau grande vitesse et aux itinéraires fret a été évoqué ainsi que le délai de réalisation du projet.
Plus de 350 personnes se sont retrouvées au Cadran d’Evreux pour poser leurs questions au maître d’ouvrage et donner leur avis.
Le choix du scénario a été largement débattu et le maître d’ouvrage a annoncé réaliser des études quant à un scénario de synthèse des scénarios A et B. De nombreux participants ont fait part de la nécessité d’une liaison Evreux-Rouen performante. La question de l’emplacement de la gare nouvelle d’Evreux et de la desserte de cette dernière ainsi que de la gare actuelle ont également été au cœur du débat.
L’étude menée à la demande de la communauté d’agglomération d’Evreux intitulée « le grand X d’Evreux » a été présentée. Elle a donné lieu à un échange sur les possibilités de transport ferroviaire des céréales de la Beauce vers le port de Rouen et les contraintes et opportunités d’une ligne en partie mixte fret et voyageurs.
L’emprise foncière du projet sur les terres agricoles et les compensations auxquelles sa réalisation pourrait donner lieu ont également été évoquées.
Près de 100 personnes ont assisté à la réunion locale organisée à l’espace Jean-Patounas.
Les conséquences potentielles du projet sur la desserte de Saint-Lô (trains directs depuis Paris, à des horaires permettant d’arriver dans la capitale en début de matinée…), de sa région (nouvelles possibilités pour Granville, le Mont-Saint Michel ?) et son impact éventuel sur l’attractivité de ces territoires notamment pour les jeunes et le tourisme ainsi que sur le développement économique ont été évoquées. Le matériel roulant a également été abordé parfois avec des avis précis, notamment le recours à des trains sécables…
Les liaisons de province à province ont également fait l’objet d’échanges, entre le Nord et l’arc atlantique ou entre le Sud-ouest et la Normandie, sans passer par Paris ou via le projet à longue échéance d’interconnexion de la LNPN avec le réseau national à grande vitesse.
Les questions relatives au financement du projet ou à son impact sur le foncier agricole ont également fait l’objet d’échanges.
Près de 200 personnes ont assisté à cette réunion locale.
Le choix de l’emplacement de la future gare de Rouen a fait l’objet d’un débat nourri et les avantages de la localisation à Saint-Sever ou à Sotteville ont été confrontés. Des précisions ont été demandées sur la traversée de la Seine prévue à Rouen, l’aménagement possible d’un quartier d’affaires autour de la gare, les relations entre la possible gare de Saint-Sever et la gare actuelle ou encore, sur l’institution qui assurera l’exploitation et la maintenance du futur site.
Les enjeux patrimoniaux ont également occupé une place importante dans cette réunion avec des interrogations précises notamment sur la possible traversée du projet du Parc Régional des Boucles de la Seine et de la plus importante tourbière de France ainsi que sur le passage potentiel de la ligne à proximité de bâtiments classés.
Enfin, le traitement prioritaire du nœud rouennais, au même titre que celui du Mantois, a fait partie des demandes exprimées.
La réunion organisée à Achères a rassemblé près de 200 personnes. Deux sujets ont été principalement abordés, le projet de gare confluence et le tracé possible du projet en Ile-de-France.
L’intérêt du projet de gare confluence en matière de desserte et de services offerts et sa localisation ont fait débat. Les avantages et inconvénients des deux sites potentiels (Achères Grand Cormiers et Achères ville) ont été passés au crible en matière de possibilités d’interconnexion avec le réseau de transport régional (RER A et futur RER E, projet de tangentielle ouest), de développement urbain et de connexion du réseau au futur port d’Achères. Les possibilités d’amélioration de l’accès des trains de la LNPN à la gare TGV et à l’aéroport de Roissy par les voies actuelles sans attendre le projet de rocade nord-ouest ont été évoquées.
Le tracé de la ligne a également fait l’objet de discussions notamment au niveau du scénario à retenir et des contraintes environnementales et urbaines auxquelles il est confronté ainsi que du lieu d’émergence du tunnel. Des questions ont également porté sur la méthode de construction de ce dernier, la possibilité d’en diminuer ou augmenter la longueur…
Enfin, des interrogations ont été exprimées quant aux choix en matière d’urbanisation de l’Ile de France et à leurs conséquences sur les réseaux de transport.
Plus de 500 personnes se sont déplacées au parc des expositions de Lisieux pour y poser des questions et exprimer leur avis.
La desserte de Lisieux et des gares environnantes a été largement débattue. La préservation du patrimoine naturel et historique et notamment de la vallée de la Paquine a également pris une grande place dans les discussions. Enfin, des précisions sur le matériel roulant, l’évolution du trafic, ou encore, sur l’étude complémentaire ont été demandées.
Près de 150 personnes ont assisté à cette réunion à la salle Paul Eluard. Le public dieppois a posé de nombreuses questions sur le bénéfice du projet pour la région de Dieppe ainsi que sur le devenir de la ligne Rouen-Dieppe et la perspective d’un doublement ou d’une électrification de cette dernière. La question de l’amélioration du réseau secondaire du Nord de la Seine maritime a également fait l’objet de nombreuses questions. Le matériel roulant, la tarification et le financement ont été rapidement abordés.
Quelque 200 personnes se sont retrouvées à l’ESSEC de Cergy-Pontoise pour poser leurs questions ou donner leur avis.
La gare Confluence, les possibles interconnexions du projet LNPN avec les tangentielles ouest et nord ou encore l’impact potentiel du projet sur les RER E et A ont fait l’objet de nombreuses questions.
Cette réunion locale a été l’occasion pour l’EPAMSA de présenter le territoire de projet « Confluence Seine Oise ».
Les archives audio
Le mot d'accueil d'Olivier Guérin n'a pas été enregistré, veuillez nous en excuser.
150 personnes se sont retrouvées à la salle Pierre Montécot pour poser leurs questions et donner leur avis.
Les intervenants, souvent critiques sur la situation actuelle, ont insisté sur le désenclavement de Cherbourg, la nécessité de maintenir la desserte des ville de Valognes, Carentan et Lison. Il y a eu des interrogations sur le financement comme sur les délais de réalisation.
Des professionnels issus de différents secteurs d’activité ont soutenu le projet de ligne nouvelle, faisant valoir notamment le gain de temps. Ils ont demandé que des trains arrivent tôt le matin à Paris comme à Cherbourg. Des liaisons rapides entre les pôles universitaires de Normandie ont aussi été demandées.
Environ 150 personnes ont assisté à la réunion locale de la Défense.
De nombreuses questions ont été posées quant à l’emplacement de la gare de Nanterre/La Défense, à proximité des gares du RER E et et du réseau du Grand Paris. Les effets induits du choix du tracé « en fourche » ou « en ligne » sur la desserte de la Défense et de Paris ont été présentés par RFF. Les travaux nécessaires en gare de Paris-Saint-Lazare, la longueur et la fréquence des trains qui la desserviraient ont donné aussi lieu à discussion. Enfin, certains ont souhaité que le projet prévoie la possibilité d’acheminer les marchandises vers le secteur de Nanterre la Défense par voie ferroviaire.
Autour de 350 personnes se sont retrouvées à l’espace Philippe Auguste.
Il a été beaucoup question de la desserte de la ville de Vernon à l’horizon du projet LNPN. Combien de trains ? Quel matériel roulant ? Quelle durée du trajet vers Paris et combien d’arrêts intermédiaires ? La liaison Vernon-Rouen a aussi été évoquée. La prise en compte des milieux naturels et notamment des massifs forestiers a fait l’objet de plusieurs interventions.
80 personnes ont assisté à cette quinzième réunion publique au cours de laquelle a également été présenté le projet de Tangentielle nord, desservant Sartrouville. De nombreuses interventions ont porté sur la desserte de la boucle de Montesson. Avec la mise en service du RER E cette desserte depuis Paris devrait diminuer ; l'ouverture de la LNPN permettrait à nouveau des arrêts sur la ligne. Des questions ont aussi porté sur la gare Confluence, la circulation du fret ainsi que sur les aménagements de la gare Saint-Lazare et les délais de réalisation.
Plus de 200 personnes se sont rassemblées à Bernay pour cette réunion locale qui était l’occasion pour le maître d’ouvrage de présenter pour la première fois un nouveau scénario, AB qui desservirait une gare nouvelle à Evreux tout en permettant de relier Caen à Rouen rapidement. La desserte de Bernay ainsi que la fréquence qui pourrait y être associée a fait l’objet de nombreuses questions. Le public s’est interrogé sur le positionnement des gares nouvelles d’Evreux et Louviers – Val-de-Reuil et sur les aménagements dont pourrait bénéficier le réseau existant en alternative au projet de ligne nouvelle.
Enfin, des craintes quant aux nuisances sonores et visuelles ou encore, concernant l’emprise foncière du projet sur les terres agricoles ont été émises.
Près de 200 personnes ont assisté à la dernière réunion locale organisée à Val de Reuil.
L'emplacement des gares nouvelles ainsi que leur accessibilité a fait l'objet de nombreuses questions. La prise en compte de l'environnement dans la définition des options de passage du projet et notamment concernant la traversée de la vallée de l'Iton a été évoquée tout comme les nuisances sonores potentielles. Les liaisons avec Roissy et avec les TGV intersecteurs vers les capitales européennes ont été abordées. Enfin, des questions sur le report modal à l'horizon du projet et ses délais de réalisation ont été soulevées.
Mardi 13 décembre / Caen : Aménagement du territoire
La réunion en bref
Plus de 200 personnes et près de 400 internautes ont assisté à la première réunion thématique. M. Mignerey (DATAR) a d’abord présenté les enseignements que la Délégation à l’aménagement du territoire et à l’action régionale (Datar) tire de l’impact des TGV sur l’aménagement du territoire. Il a notamment évoqué les effets sur l’attractivité et l’image des villes desservies, sur le foncier et l’urbanisme ou encore sur la création d’entreprises. M. Troin, représentant la fédération nationale des associations d’usagers de transports, a, quant à lui, estimé que les TGV ayant pour but de diminuer les temps de trajet entre les principales métropoles françaises, les lignes à grande vitesse ont souvent conduit à la diminution de la fréquence des trains dans les villes intermédiaires. Le maître d’ouvrage, RFF, a expliqué les différences entre les TGV en service actuellement sur le territoire français et le projet de LNPN, notamment dans la capacité de ce dernier à desservir finement le territoire grâce à des arrêts dans l’ensemble des villes déjà desservies actuellement.
Lors de la seconde table ronde, le débat s’est poursuivi sur les possibilités qu’offrirait le projet de LNPN au niveau de l’aménagement du territoire. Mme Dutarte (Datar) a insisté sur la complémentarité entre Paris et la Normandie et les avantages qu’une meilleure liaison offrirait à l’ensemble en terme de compétitivité à l’échelle européenne et mondiale. M. Duny, représentant de six agences d’urbanisme de Normandie et d’Ile-de-France, a dit l’intérêt qu’il voit pour les collectivités normandes à développer un projet rendant les villes normandes attractives (équipements culturels et de loisirs, offres d’enseignement..).
Jeudi 15 décembre / Rouen : Développement économique
La réunion en bref
Près de 200 personnes et plus de 600 internautes ont assisté à cette seconde réunion thématique consacrée au développement économique. Antoine Rufenacht, Commissaire général au développement de la Vallée de la Seine, a d’abord replacé le projet de LNPN dans le cadre du projet de développement de l’axe Seine. Gérard Lissot, président de l’association pour la promotion de la LNPN, a ensuite insisté sur la nécessité d’améliorer l’attractivité de la Normandie pour attirer les cadres travaillant dans le secteur de l’industrie. Marie Delaplace, Professeur à l’Université Paris Est, a quant à elle présenté les résultats d’études portant sur les effets des lignes TGV sur le développement économique. Elle a notamment indiqué que l’arrivée d’une desserte TGV n’est pas en soit suffisante pour attirer des entreprises de l’extérieur.
Lors de la seconde table ronde, Josette Travert, Présidente de l’Université de Caen, a expliqué l’importance que pourrait avoir le projet de LNPN pour rapprocher les villes concernées par le Plan de Recherche et d’Enseignement Supérieur (PRES) « Normandie Université » qui regroupe plus de 60 000 étudiants. Jean-Louis Laville, directeur du Comité régional de tourisme de Normandie, a insisté sur la nécessité de limiter les ruptures de charge pour favoriser le tourisme. Enfin, Walter Schoch, président de Logistique Seine Normandie, a évoqué les attentes des professionnels désireux d’avoir des trains ponctuels, fiables, confortables et dans lesquels ils pourraient travailler et se connecter à internet.
70 personnes et 300 internautes ont suivi cette réunion thématique placée sous les thèmes du trafic et de la desserte.
Réseau Ferré de France a présenté le niveau de desserte potentiel que pourrait offrir à terme le projet de LNPN et les estimations d’évolution du trafic d’ici à sa mise en service éventuelle et au-delà. La question du matériel roulant a également été abordée avec un éclairage apporté par le Directeur général d’Alstom Transport France. Enfin, Réseau Ferré de France a dressé un état des lieux des travaux prévus sur le réseau actuel d’ici à 2014.
Mardi 10 janvier / Le Havre : Transport de marchandises
La réunion en bref
Près de 800 personnes ont assisté à la réunion thématique consacrée au transport de marchandises et plus de 600 internautes l'ont suivi depuis leur ordinateur. Les avantages et inconvénients des différents modes de transport (routier, fluvial, ferroviaire...) ont été présentés. Les Ports de Rouen et du Havre ainsi que les Ports normands associés (Caen-Ouistreham et Cherbourg) et le représentant de l'opérateur ferrovaire Europorte ont fait part de leurs difficultés actuelles et de leurs besoins. RFF a présenté les implications des projets "Serqueux Gisors" et LNPN pour le transport de marchandises entre la Normandie et Paris. La représentante de Haute Normandie Nature Environnement a développé une autre vision de la problématique.
Jeudi 12 janvier / Evreux : Impacts sur l'agriculture et l'environnement
La réunion en bref
Près de 600 personnes ont assisté à la réunion thématique consacrée aux impacts du projet de LNPN sur l'agriculture et l'environnement et plus de 700 personnes l'ont suivie sur Internet.
Réseau Ferré de France a d'abord présenté la méthode employée pour définir les options de passage de son projet puis les pratiques en vigueur en termes d'acquisition de terres agricoles, d'indemnisation et d'aménagement foncier. Des experts de la Safer et du Conseil général de l'Eure ont complété ce propos avec la présentation de la démarche ayant entouré la construction de l'autoroute A28. Les Présidents des chambres d'agriculture de Normandie et d'Ile de France ont exposé leur point de vue sur le projet au regard de ses impacts sur l'agriculture.
La seconde partie de la réunion a été consacrée à la prise en compte de la biodiversité ainsi qu'aux mesures envisagées pour limiter les nuisances sonores. Après des présentations de RFF, les représentants d'Ile-de-France Environnement et du Groupe mammalogique normand ont exposé leur point de vue. Enfin, RFF a fait part de ses propositions en matière de poursuite de la concertation, si la décision de poursuivre le projet était prise à l'issue du débat public.
Mardi 17 janvier / Paris : Financement et rentabilité du projet
La réunion en bref
150 personnes et 300 internautes ont suivi la réunion consacrée au financement et à la rentabilité du projet LNPN.
Réseau Ferré de France a présenté le bilan socio-économique du projet, bilan commenté par M. Ivaldi, Directeur d'Etudes à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, au regard des conclusions des assises du ferroviaire qui se sont tenues récemment. La SNCF a présenté son point de vue.
Cette réunion a également été l'occasion pour la mission financement nommée par la Gouvernement de s'exprimer. RFF a présenté les modalités potentielles de financement, notamment les partenariats public privé, dont M. Bonnafous, Professeur à l'Université de Lyon, a précisé les conditions de pertinence.
Lundi 23 janvier / Rouen : Atelier expertise complémentaire
La réunion en bref
Plus de 200 personnes et près de 350 internautes ont assisté à la présentation de l’expertise complémentaire réalisée par le cabinet BG. L’étude portait sur la faisabilité d'une modernisation de la ligne Mantes-la-Jolie - Le Havre, Mantes-la Jolie - Caen. Le maître d’ouvrage, RFF, et le demandeur de l’étude, le groupe EELV, ont fait part de leurs réactions vis-à-vis de cette dernière. De nombreuses questions ont porté sur la nature et le coût des travaux nécessaires dans l’hypothèse d’une modernisation en comparaison à ceux envisagés dans le cadre du projet de LNPN. La réunion a donné lieu à de nombreuses prises de position en faveur ou en défaveur de cette alternative.
Plus de 300 personnes ont assisté à la réunion de clôture du débat public qui s’est tenue au centre des congrès de Caen.
La commission a présenté les premiers enseignements qu’elle tire du débat public. Le Maître d’ouvrage, Réseau ferré de France, a présenté son analyse.
Le public, élus, responsables d’associations et du monde économique, ont enfin fait part de leur position à l’issue du débat, notamment quant au scénario AB et aux résultats de l’expertise complémentaire.
