Pierre & Vacances, porteur du projet, et la commission particulière du débat public s’engagent à répondre à toutes les questions portant respectivement sur le projet et sur le débat lui-même. Les questions et réponses sont publiques et ouvertes aux commentaires.
La commission veille à ce que les réponses apportées soient complètes et publiées dans les meilleurs délais.
Au sein de cet espace d'expression, le classement des questions est le suivant : apparaissent en premier les dernières questions posées ainsi que les plus récemment commentées.
Vous souhaitez poser une question sur le projet ou sur le débat ? Remplissez le formulaire de participation ou créez un compte pour suivre l’ensemble de vos contributions et vous exprimer si vous le souhaitez sous un pseudonyme.
Tous vos avis et commentaires sont soumis à une charte de modération
Dans le Protocole d'accord (Art. 9, p. 1529) il est stipulé qu'«une desserte routière compatible avec le trafic prévisible ... sera mise en oeuvre. »
Dans le Dossier du maitre d'ouvrage (DMO, p. 50), Pierre & Vacances prévoit « un cumul maximal des flux entrant et sortant de l'ordre de 700 véhicules par jour et par sens », c'est-à-dire 1400 passages-véhicules par jour. Mais ces chiffres ne concernent que « les jours d'arrivée et de départ des clients. » Quid des 63% de visiteurs qui sortent du site pour visiter la région ? Quid des employés ? Des livraisons ? Une étude de trafic indépendante s'impose car une augmentation considérable du trafic est à prévoir (voitures et poids-lourds).
Une étude de trafic est essentiel le pour deux raisons. D'abord pour évaluer les impacts négatifs du trafic sur l'environnement et sur les populations avoisinantes. (qualité de la vie, bruit, impact visuel, pollution de l'air, biodiversité...). Ensuite pour évaluer l'étendue et le coût des aménagements routiers nécessaires. En effet il ne semble pas que le million d'euros prévus dans le DMO suffira. Le Protocole en prévoyait 2.5 M€ (Art. 9). L'élargissement à 6 m. proposé dans le DMO pour une section d'environ 4 km de la D33 et le carrefour de type « tourne à gauche » ne paraissent pas suffisants. Des aménagements plus importants sur la D33 pourraient s'avérer nécessaires. Il est essentiel que la sécurité routière soit assurée.
Il est aussi à prévoir, vu le nombre élevé de visiteurs attendus, que de nombreuses familles choisiront de s'aventurer hors du parc à vélo, jusqu'au village ou à l'étang du Rousset, au hameau de St. Quentin ou à Marizy. Vu l'importance du trafic automobile attendu, des pistes cyclables devraient être prévues.
Question #ED1 : Une étude de trafic, de son impact environnemental et des besoins en aménagements nécessaires à la sécurité routière est-elle en cours de réalisation ? Quand sera-t-elle rendue publique ?
Question #ED2 : Quelles pistes cyclables sont envisagées ?
Question #ED3 : Si le parc est ouvert au public (à la journée) comme c'est le cas dans certains sites Center Parcs, que ce soit à l'inauguration du site ou trois ans plus tard, quelle augmentation du trafic est à prévoir ? Quel impact environnemental ?
Question #ED4 : Si le parc est ouvert au public, où se gareront les visiteurs ?
Question #ED5: De même, si le nombre de cottages est augmenté, possiblement jusqu'à 700 cottages comme le laisse à penser Thierry Hellin dans le PVCP Rapport annuel 20132014 (p. 19), quelle augmentation du trafic est à prévoir ? Quel impact environnemental ?
« L'accès au site par le sud ne sera utilisé que comme accès de sécurité pour les véhicules de secours et ne nécessite pas d'aménagements de voirie publique spécifiques » (DMO p. 50)
Question #ED6 : Qui aménagera l'embranchement de cette voie de sécurité à la D 303 ? Quels aménagements sont prévus (arbres abattus, remblais, éclairage) pour cette voie d'accès ? Quel revêtement sera utilisé pour cette voie d'accès ? De quelle largeur sera-t-elle ? Qui l'entretiendra ? P&V ou la SEM ? Sera-t-elle reliée à la voie interne ?
Le centre du bourg de Marizy est situé au carrefour des routes départementales D33 et D91. Ces deux routes départementales relient Marizy à Saint Bonnet de Joux, à Charolles, à Montceau les Mines, au canal du centre et à la RCEA en direction de Paray le Monial. Le trafic routier au centre du bourg de Marizy serait amplifié avec les activités d'un Center Parcs
Question #ED7 : Une étude d'impact de la circulation routière au bourg de Marizy, au carrefour des routes départementales D33 et D91 a-t-elle été réalisée ?
Question #ED8 : Y-a-t-il un projet d'amélioration de la circulation routière au carrefour de ces deux départementales ?
Réponse apportée par le Conseil départemental de Saône-et-Loire le 17 juin 2015 :
Les flux de circulations induits par l’aménagement (700 veh / J / sens) les jours d’arrivées / départs (chiffres à affiner) sont compatibles avec la typologie des voies de la RD 33 recalibrée (élargissement à 6 m de la chaussée) et les autres aménagements prévus.
Il s‘agit d’un trafic induit essentiellement de véhicules légers et l’aménagement d‘un carrefour de type tourne-à-gauche correspond à « l’état de l’art » en matière de conception et de dimensionnement pour un tel carrefour de rase campagne, compte-tenu des trafics projetés et des mouvements tournants. Un aménagement de type carrefour giratoire serait superflu ici (rapport gain fonctionnalité sur coût défavorable).
Actuellement les trafics sur la RD 33 (comptages de septembre 2014) : sont de 696 veh / J (2 sens), dont 6,2 % PL [361 veh / J sens 1 et 335 veh / J sens 2], mesures effectuées après le carrefour des brosses-Tillots (RD 33 x RD 60) en direction du Rousset.
Concernant les déplacements à vélos, les visiteurs et clients Center parcs privilégieront certainement la voie communale sur les berges de l’Etang pour la sortie du site.
Question ED 1 : Une étude de trafic de son impact environnemental et des besoins en aménagements nécessaires à la sécurité routière est-elle encours de réalisation ? Quand sera-t-elle rendue publique ?
L’état initial des trafics actuels sur la RD33, RD27 et approche RD 60 a été effectué sur la base de comptage (mis en ligne à suivre). Sur les trafics induits, des études pourraient être réalisées à l’automne 2015. L’étude sur l’impact environnemental des trafics induits à ce stade, devrait être abordé lors de l’étude d’incidence/d’impact auquel le projet d‘aménagement de la RD 33 sera soumis réglementairement.
Question ED 6 : Qui aménagera l’embranchement de cette voie de sécurité à la D 303 ? Quels aménagements sont prévus (arbres abattus, remblais, éclairage) pour cette voie d’accès ? Quel revêtement sera utilisé pour cette voie d’accès ? De quelle largeur sera-t-elle ? Qui l’entretiendra ? P&V ou la SEM ? Sera-t-elle reliée à la voie interne ?
Ces travaux ne seront pas conduits par le Département (seulement RD 33 + tourne à gauche et aménagement de la liaison RD 33 / CP). Pierre et Vacances assurera la jonction du parc à la D303, l’entretien relevant du gestionnaire (AFUL) du site. La SEM n’assurera aucune maintenance sur le site.
Question ED 7 : Une étude d’impact de la circulation routière au bourg de Marizy, au carrefour des routes départementales D33 et D91 a-t-elle été réalisée ?
Non. L’essentiel des trafics induits par l’aménagement devrait arriver par la RD 980 en provenance de Montceau-les-Mines ou de Cluny. Il n’est pas souhaitable d’inciter les clients du Center Parcs et les livraisons à emprunter des itinéraires secondaires comme la RD 91, dans tous les cas. En provenance de Montceau-les-Mines : RD 980 et RD 33, en provenance de Charolles ou Saint-Bonnet de Joux depuis la RD 983, RD 980 et RD 33.
Toutefois, l’étude d’incidence réglementaire sur la RD33 pourra être élargie à ces voies.
Question ED 8 : Y-a-t-il un projet d’amélioration de la circulation routière au carrefour de ces deux départementales ?
Le carrefour dans Marizy entre la RD 33 et la RD 91 ne présente actuellement pas de difficulté particulière :
- situé en agglomération
- visibilité dégagée.
Par conséquent, il n’est rien prévu à ce stade dans le cadre de l’aménagement de Center Parcs. Une fois l’équipement en service, des aménagements mineurs pourront intervenir en tant que de besoin.
Réponse fournie par le maître d'ouvrage le 2 juillet 2015 :
Question #ED4 : Si le parc est ouvert au public, où se gareront les visiteurs ?
Ils utiliseront les places disponibles sur les parkings de la zone d'accueil
Question #ED5 : De même, si le nombre de cottages est augmenté, possiblement jusqu'à 700 cottages comme le laisse à penser Thierry Hellin dans le PVCP Rapport annuel 20132014 (p. 19), quelle augmentation du trafic est à prévoir ? Quel impact environnemental ?
Cette augmentation n'est plus d'actualité.
Les eaux usées du Center Parc seront traitées par une nouvelle station d'épuration dont la maitrise d'ouvrage sera assurée par la commune de MARIZY.
On constate que les charges polluantes seraient de 300 Equivalents Habitants pour MARIZY et 3000 Equivalents Habitants pour CENTER PARCS.
Le budget d'un service assainissement collectif devant être équilibré en dépenses et en recettes, le coût des investissements et fonctionnement sera supporté par les usagers (redevance assainissement).
Considérant que la commune de MARIZY n'a pas l'utilité d'une telle station qui serait réalisée pour les besoins d’une entreprise privée, nous demandons qu'une étude soit réalisée d'une part sur l'amélioration du système d'assainissement de la commune de MARIZY, et d'autre part pour la réalisation par Center Parc d'équipements d'assainissement propres à son site, tant pour le recueil et le traitement des eaux usées et des eaux de vidange des équipements aqualudiques, que pour la collecte et le rejet des eaux pluviales (en réseau séparé).
Réponse apportée par le Conseil départemental de Saône-et-Loire le 1er seprembre 2015 :
Il appartient à la commune de Marizy, maître d’ouvrage, de décider de prendre en charge ou non les effluents de Center parcs sur son réseau et sa station d’épuration. Ce n’est pas une obligation. Le diagnostic réalisé sur le système d’assainissement de Marizy a permis à la commune d’évaluer le coût d’un aménagement de son système d’assainissement sans les effluents de Center parcs et avec ces effluents (ce document est disponible en téléchargement sur le site, rubrique Le projet en débat/autres documents et études).
Il s’avère que l’impact sur la facture d’assainissement des usagers actuels de Marizy serait nettement plus élevé dans l’hypothèse d’un traitement réaménagé uniquement pour les habitants de la commune, compte-tenu de la faible assiette de la redevance (consommation d’eau).
A l’inverse, la pris en compte des effluents de Center parcs engage la commune dans un projet plus coûteux mais la redevance est alors lissée sur un volume rejeté bien plus conséquent dont la majeure partie concerne Center parcs. Cela permet d’envisager un prix au mètre cube inchangé pour les usagers actuels, tout en les faisant bénéficier d’équipements modernisés.
Les eaux pluviales et les eaux de vidange des bassins ne rejoindront pas le réseau d’assainissement (voir DMO).
Eau potable : la solution retenue concerne l'alimentation à partir des ressources du SAE Charollais dont le SIE de l'Arconce est membre.
Le SIE de l'Arconce réalisera les aménagements propres à la desserte du site, et le SAE du Charollais aura à sa charge le renouvellement des conduites identifiées comme sensibles.
Au vu de la fiche de synthèse Eau Potable on constate que la défense incendie ne sera pas prise en compte du fait de l'insuffisance de pression (3 bars au lieu de 6), résultat de l'inadaptation du réseau existant.
De ce fait la défense incendie du site sera réalisée par des équipements spécifiques dédiés, notamment par une station de surpression interne au Center Parc.
Question : qui financera l'investissement et l'entretien de cet équipement ?
Réponse apportée par le Conseil départemental de Saône-et-Loire le 30 juin 2015 :
La défense incendie sera organisée par Pierre-et-Vacances à l'intérieur du site. La pression disponible n'est pas en cause puisque le fonctionnement des poteaux incendie requiert une pression minimale de 1 bars. Un surdimensionnement du réseau aurait été nécessaire pour assurer le débit incendie et cette compétence ne relève pas du syndicat des eaux. Pierre-et-Vacances prendra à sa charge les équipements nécessaires pour cette défense incendie à partir des caractéristiques (débit, pression) du raccordement d'eau potable que le SIE de l'Arconce est en mesure de lui apporter.
Le coût de fonctionnement des équipements de défense incendie sera supporté par Center parcs.
Le dossier d'étude d'impact sera-t-il communiqué aux associations ? Et quand ? peut-on l'avoir ?
Bonjour,
Ce dossier est effectivement disponible sur le site internet du débat public.
Vous pouvez aussi le télécharger via ce lien : https://drive.google.com/file/d/0Bw9MLFbW4d05NXhfWC1FOTdOTGc/view
Lors du débat d'ouverture à Marizy, j'ai voulu alerter les élus sur la mauvaise santé financière de Pierre & Vacances et les risques que prennent les collectivités à se mettre en ses mains par un contrat de location de long terme. En effet les 3 derniers exercices fiscaux publiés (2011-12 ; 2012-13 ; 2013-14) sont tous déficitaires pour une perte cumulée de 100 millions d'euros environ.
La réponse immédiate de P&V a été tout à fait rassurante et les élus présents ne se sont pas emparés du sujet. M. Klotz a indiqué que la situation était rétablie après une mauvaise passe : " La société a traversé deux années difficiles, on peut dire aujourd'hui que la situation est bien meilleure, que le rétablissement des comptes sur le résultat opérationnel est positif. Il a été positif l’année dernière, il va l'être cette année ".
Or la presse économique de ses derniers jours titre sur "Pierre et Vacances réduit ses pertes au 1er semestre [de l'exercice 2014-15]. " Le groupe a fait état d'une perte nette courante de 84,2 millions, en baisse par rapport aux 99,2 millions d'euros de l'an passé à pareille époque" (Option Finances).
Réduire ses pertes c'est certes positif, mais le trou vient quand même de se creuser de 84 millions !
La réponse orale et publique du Directeur du Développement de P&V était donc trompeuse (à défaut d'être complètement fausse puisqu'il parlait du résultat opérationnel, RO qui ne figure pas dans les communiqués actuellement publiés).
Question 1 : (celle d'origine) Quelle légitimité les collectivités publiques (Département principalement) ont-elles à s'endetter pour soutenir le projet d'une entreprise qui perd de l'argent depuis plusieurs années et qui est connue pour faire supporter son développement par l'argent public ?
Question 2 : A propos de l'animation du débat, quels moyens la CPDP peut-elle mettre en oeuvre pour rectifier le discours de P&V (et dans certains cas des élus qui soutiennent le projet) quand les réponses fournies sont manifestement trompeuses ou manipulatrices comme cela a été le cas à propos des résultats financiers de P&V.
Réponse fournie par le Conseil départemental de Saône-et-Loire le 7 juillet 2015 :
Les collectivités territoriales ont jugé que la nature et l’ambition du projet proposé correspondent aux enjeux de développements touristiques que sont la confortation de la destination Saône-et-Loire, la recherche de la cible de clientèle famille-nature, l’atténuation de l’effet de saisonnalité du tourisme classique et de retombées économiques et financières.
Le porteur du projet, Pierre et Vacances, est l’un, sinon le leader européen du tourisme et son concept Center parcs répond à ces attentes.
La situation financière et les exigences d’accompagnement de Pierre et Vacances ont été analysées et les propositions négociées par les collectivités, sont beaucoup plus favorables à celles-ci que sur les sites déjà réalisés.
Au stade actuel, le protocole intervenu fixe les bases des engagements réciproques, pour permettre d’étudier plus avant ce projet. L’engagement irréversible interviendra à la conclusion de l’acte de vente en l’état futur d’achèvement (VEFA) et à la signature du bail locatif correspondant.
D’ici là, soit dans un an au minimum, la mise en place de la SEM dédiée, nécessitera de nombreuses expertises financières indépendantes, et l’entrée de co-investisseurs privés qui disposeront eux-mêmes de leurs propres expertises (CDC, banques) garantissant un examen rigoureux de la situation et des perspectives du groupe Pierre et Vacances, en préalable d’engagements financiers définitifs.
En cas d'incendies ou d'événements météorologiques majeurs, le chemin communal qui permet l'accès sud au site est-il assez large pour que deux véhicules de secours puissent se croiser ?
Bonjour,
Le chemin respectera bien évidemment les caractéristiques que demanderont les services des pompiers qui feront l'objet de contacts pendant la préparation des dossiers d'autorisations administratives. Ces exigences seront incluses au dossier de demande de permis de construire.
Quels sont les documents, études, devis qui ont permit d'estimer avec autant de précision un coût de 1.005.000 € pour les aménagements routiers prévus dans le DMO ?
Réponse fournie par le Conseil départemental de Saône-et-Loire le 1er septembre 2015 :
Une étude de faisabilité avec un avant-métré a été réalisée en interne au sein de la Direction des Routes et Infrastructures du Département. En outre, le coût exact au sortir de cet avant-métré est de 1 050 000 € et non 1 005 000 €.
Les devis sont produits par les entreprises qui remettent une offre suite à un appel d’offres. A ce stade il ne peut s’agir que d’estimations.
Les visiteurs du Center parcs ne manqueront pas de s'aventurer, à pied ou à vélo, à l'extérieur du parc, certainement jusqu'à l'étang du Rousset et au bourg. Pour assurer leur sécurité, des accotements pour piétons et des pistes cyclables seront nécessaires. Quels sont les aménagements prévus à cet effet ?
Réponse apportée par le Conseil départmental de Saône-et-Loire le 3 septembre 2015 :
S’il est souhaitable que les clients de sortent de l’emprise de Center parcs proprement dit, l’étude fine du projet permettra de déterminer des destinations souhaitables par des modes de déplacement doux.
Des aménagements, en ce sens, sont à envisager sur la voierie communale longeant l’étang, dans le cadre d’un projet intercommunal de valorisation de l’étang.
La liaison vers Le Rousset, à partir du carrefour dit du « monument aux morts » nécessite une réflexion spécifique, sur la portion de fonction (RD 27), par des aménagements d’accotements protégés, en lien avec la commune.
Concernant le réseau routier (DMO p. 50), vous indiquez un cumul maximum de 700 véhicules par jour et par sens (2 jours par semaine) et 200 véhicules par jour et par sens pour les autres jours de la semaine. Comment obtenez vous le chiffre de 700 arrivées et 700 départs par jour alors qu'il n'y a que 400 cottages ? Comment obtenez vous le chiffre de 200 véhicules par jour et par sens alors que 200 à 300 employés utiliseront leurs voitures pour venir travailler sur le site chaque jour ? Quantifiez précisément par flux et par catégories.
Bonjour,
Le cumul de 700 véhicules par jour et par sens est celui des deux jours de change, lundi et vendredi (en période d’exploitation).
Toujours en période d’exploitation, les autres jours de la semaine, le même cumul s’établi à 200 véhicules par jour et par sens.
Il est à noter que chaque employé n’utilise pas sa voiture personnelle pour venir travailler au Center Parcs : certains font du co-voiturage, Center Parcs organise des navettes de ramassage, et tous les employés ne sont pas présents tous ensemble dans le Parc tous les jours (du fait des vacances des salariés, de l’ouverture du Parc sur 7 jours, etc…).
ESTIMATION TRAFIC LORS DES JOURS DE CHANGE : lundi et vendredi
Dans chaque sens :
1) Arrivée / Départ clients |
| |
400 cottages | x 90% (taux occupation) = x 0,85(du fait qu’il y a 30% de séjour 1 semaine – autant du lundi au lundi que du vendredi au vendredi Donc 30% : 2 = 15% arrivée en moins sur lundi et idem vendredi) x 1,7 (voiture/cottage) | 520 |
2) Clients sortant pendant leur séjour |
| |
Ne concerne que les clients restant 1 semaine car les autres ne vont pas « sortir » le jour d’arrivée ou départ | ||
400 cottages | x 90% (taux occupation) x 30% (séjours 1 semaine) x 63% (pourcentage clients qui sortent) : 6 (car ils ont le choix sur 6 jours pour sortir) x 1,7 (voiture/cottage) = | 20 |
3) Voiture personnel |
| |
| 35% de 300 employés | 105 |
4) Véhicule ramassage personnel ATN | 5 | |
5) Livraisons | 10 | |
TOTAL |
| 660 |
Arrondi à 700 compte tenu des visiteurs à la journée. | ||
Si 100% occupation : 719 |
ESTIMATION TRAFIC HORS JOURS DE CHANGE : mardi, mercredi, jeudi,samedi et dimanche
1) Clients sortant pendant leur séjour : 1.a Clients restant 1 semaine |
| |
400 cottages | x 90% (taux occupation) x 30% (séjours 1 semaine) x 63% (pourcentage clients qui sortent) : 6 (car ils ont le choix sur 6 jours pour sortir) x 1,7 (voiture/cottage) = | 20 |
1.b Clients restant week-end ou midweek |
| |
Ne concerne que les clients restant 1 semaine car les autres ne vont pas « sortir » le jour d’arrivée ou départ | ||
400 cottages | x 90% (taux occupation) x 70% (séjours 1 semaine) x 63% (pourcentage clients qui sortent) : 3 (car ils ont le choix sur 3 jours pour sortir) x 1,7 (voiture/cottage) = | 90 |
2) Voiture personnel |
| |
| 35% de 200 employés | 70 |
4) Véhicule ramassage personnel ATN | 2 | |
5) Livraisons | 10 | |
TOTAL |
| 192 |
Arrondi à 200 | ||
Si 100% occupation : 204 |