LES ARCHIVES DU DÉBAT MOBILE

En bref

La première séance du débat mobile était organisée le samedi 11 janvier sur le marché de Ris-Orangis. Outre des échanges informels avec les nombreux passants, cette séance a permis de recueillir 26 questions ou avis écrits et 9 avis oraux.

Bénéfice pour l’image et l’attractivité de la ville, création d’emplois et développement économique ont notamment été évoqués par les participants soutenant le projet. Les questions liées aux transports et aux impacts sur la fiscalité locale ont fait débat, les passants exprimant à ce sujet qui des attentes, qui des réserves et parfois des oppositions au projet.

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Située à proximité du site prévu pour le Grand Stade, la gare RER d’Orangis-Bois de l’Epine accueillait le 14 janvier la deuxième séance du débat mobile. Deux représentants de la maîtrise d’ouvrage étaient présents et ont pu répondre aux questions du public. 11 avis ou questions ont été recueillis par écrit et 5 à l’oral.

L’implantation d’un équipement sportif sur un terrain inutilisé semble être une bonne chose pour plusieurs participants (dont des amateurs de rugby), qui en attendent des retombées bénéfiques dans divers domaines. Un participant estime cependant que ce projet ne représente pas une priorité au regard des besoins en logement et en sport de proximité.

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La CPDP a demandé à 5 étudiants du master 2 « ingénierie et management des organisations sportives » de l’IAE Toulouse, d’organiser une réunion d’échanges, afin de sensibiliser, de mobiliser et d’inviter un public jeune et sportif à s’exprimer sur le projet de Grand Stade de Rugby. Réunissant 80 personnes le 22 janvier, les échanges riches et fructueux ont duré 2h, au cours desquels la CPDP et la maîtrise d’ouvrage ont répondu aux questions des étudiants présents dans la salle. Deux intervenants invités, Nathalie Durand, directrice de l’observatoire Sport et Développement Durable, ainsi que Vincent Charlot, sociologue du sport, ont apporté des éclairages particuliers quant au projet. Ont notamment été évoqués les coûts et le financement du stade, les innovations proposées par le projet et l’attractivité du site.

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Le débat public s’est rendu à la rencontre des supporters de rugby le 20 janvier, à l’occasion du match Stade-Français – Castres Olympique. Une séance du débat mobile s’est tenue sur le parvis du stade Jean Bouin (Paris) dans les deux heures précédant le coup d’envoi. Elle a permis de recueillir 16 avis et questions. Des représentants de la Fédération française de rugby étaient présents pour répondre aux questions du public.

Les impacts du projet sur le rugby français ont été commentés. Si la plupart des personnes rencontrées approuvent la construction d’un grand stade (même si quelques oppositions ont été exprimées, notamment pour des raisons financières), elles ont souvent exprimé des réserves sur sa localisation, jugée trop éloignée de Paris.

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Le débat mobile a fait étape le samedi 1^er février dans l’après-midi au centre commercial d’Evry 2 : une date et un lieu choisis pour la forte affluence, permettant de rencontrer des habitants du territoire concerné par le projet.

La CPDP a pu dialoguer avec des personnes déjà informées du projet de grand stade, et d’autres qui l’ont découvert à cette occasion. Les répercussions sur les impôts, les transports et les emplois comptent parmi les thèmes soulevés dans les 19 avis recueillis, qui expriment des opinions diverses sur l’opportunité du projet. A noter que plusieurs participants se sont saisis de cette rencontre pour évoquer un projet professionnel ou associatif qu’ils souhaiteraient développer en lien avec le grand stade.

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Conçu pour recueillir la parole de publics participant peu aux réunions, le débat mobile se rendait ce 4 février au lycée professionnel Pierre Mendès-France de Ris-Orangis, situé à proximité du lieu où serait implanté le stade.

2 avis ont été recueillis à l’écrit et 2 à l’oral. Plusieurs élèves attendent du projet qu’il améliore l’image de la ville (aujourd’hui très peu connue) en France, voire dans le monde et qu’il permette de créer des emplois. D’autres s’interrogent sur les aménagements prévus autour du stade (terrains sportifs, commerces).

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L’avant-dernière séance du débat mobile s’est tenue le 6 février à l’université d’Evry, en présence de représentants de la Fédération française de rugby. Elle a permis de dialoguer avec des étudiants de profils divers, certains originaires des alentours et ayant déjà entendu parler du projet, d’autres venant de départements plus éloignés et le découvrant à cette occasion.

8 avis ont été recueillis. Un certain nombre de participants, amateurs de rugby, approuvent l’idée d’un équipement distinct du stade de France. D’autres évoquent son opportunité pour l’image du territoire et pour le développement du sport pour tous, tandis que certains s’interrogent sur la facilité d’accès d’un tel équipement.

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