La CPDP et le maître d'ouvrage du projet, Eolien Maritime France, s'étaient engagés à répondre aux questions sur le projet ou sur le débat lui-même. Toutes les questions et réponses sont rendues publiques. La CPDP a veillé à ce que les réponses soient complètes et publiées dans les meilleurs délais.
Voir également : > Les enseignements des espaces d'expression à mi-parcours
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se poursuit, durant la phase de travaux, les éventuelles interdictions des différentes pratiques de pêche seront arrêtées par le préfet maritime après discussion avec les acteurs concernés et avis de la Grande commission nautique. Elles devraient se limiter à la zone d’implantation prévue pour le projet et ne pas concerner les zones au-delà.
Durant la période d’exploitation, toujours dans l’hypothèse où projet se poursuit, les pratiques maritimes professionnelles et de loisirs susceptibles d’être autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée feront l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devraient être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime. Les pratiques finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seraient arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas encore démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante :
http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
Sur les activités de pêche
Le choix de cette zone dans l’appel d’offres lancé par l’État en 2011 résulte d’un exercice de concertation mené par façade maritime par l’État, auquel de nombreuses institutions ont été associées, parmi lesquelles les représentants de la pêche professionnelle et du nautisme.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se poursuit, les pratiques maritimes professionnelles et de loisirs susceptibles d’être autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée feront l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devront être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime. Les pratiques finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien devront être arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
Il est également important de souligner que le Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins des Pays de la Loire et le maître d’ouvrage ont signé en décembre 2011 une convention par laquelle ils indiquent « leur souhait de poursuivre leur travail en commun pour permettre le développement du parc de Saint-Nazaire dans le respect des activités de pêches, durant toute la vie du projet ».
Sur l’impact sur la ressource halieutique
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, le maître d’ouvrage réalise actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain.
Les études nécessaires pour ce dossier sont en cours de réalisation et il est trop tôt pour en connaitre les résultats. Néanmoins nous pouvons nous appuyer sur une bonne connaissance des caractéristiques du site et de son environnement. Nous bénéficions également des retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et en mer du Nord.
Ces retours d’expérience montrent que la vie marine se développe au sein des parcs éoliens marins. De nombreux parcs ont fait l’objet de suivi de colonisation des fondations par la flore et la faune marine : Nysted (Danemark) et Utgrunden (Suède) en Mer Baltique, Horns-Rev (Danemark), Blyth (Angleterre) en mer du Nord et North Hoyle(Angleterre) en mer d’Irlande. Les fondations sont colonisées par diverses espèces. Cet habitat profite au développement de petits crustacés qui alimentent à leur tour des poissons. C’est l’effet récif.
Nous pouvons ajouter que des mesures ont été prises lors de la conception de ce projet afin de préserver certaines zones de pêche. En effet, d’une part, la zone prévue pour l’implantation du projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se situe à l’écart des zones de pêche les plus fréquentées par les pêcheurs. D’autres part, la conception du parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire prévoit un espacement des éoliennes de l’ordre de d’un kilomètre, pour favoriser autant que possible les pratiques de navigation au sein de la zone du parc éolien.
Si ce parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les impacts attendus seront essentiellement liés aux émissions sonores durant la phase d’installation des fondations des éoliennes. Les bruits localisés et temporaires pourraient en effet perturber les poissons, mollusques, coquillages et crustacés.
Les retours d’expérience de parcs éoliens en mer déjà construits montrent que si la présence des espèces peut décroître temporairement durant cette phase d’installation, elles reviennent ensuite coloniser la zone du projet.
Sur la visibilité des éoliennes depuis la côte
Si le projet se réalise, les éoliennes du parc éolien de Saint-Nazaire seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages dans les salles des réunions publiques.
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Ces photomontages sont disponibles à cette adresse :
http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire
ou
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire s’inscrit dans le cadre d’un appel d’offres de l’État, lancé en juillet 2011, sur cinq zones, dont celle du Banc de Guérande.
Le choix de cette zone résulte d’un travail de concertation et de planification mené par façade maritime par les préfets de région. En effet, en mars 2009, le Gouvernement a demandé aux préfets des régions Bretagne, Pays de la Loire, Haute-Normandie, Aquitaine et Provence-Alpes Côtes d’Azur, de mettre en place, pour chaque façade maritime, une « instance de concertation et de planification », pour identifier des « zones propices au développement de l’éolien en mer ».
Les travaux de ces instances de concertation ont conduit l’État à retenir cinq zones, au regard d’enjeux techniques, réglementaires, environnementaux et socio-économiques. Une attention particulière a été portée au respect des activités liées à la pêche professionnelle et au tourisme. A la suite de ce processus, l’État a lancé en juillet 2011 un premier appel d’offres sur ces cinq zones.
Par ailleurs, ce projet avait fait, depuis 2008, l’objet de nombreuses réunions de travail avec les acteurs du territoire directement concernés pour identifier les enjeux majeurs du territoire et recueillir les premières recommandations pour la conception d’un parc éolien sur le Banc de Guérande. Les échanges avec les professionnels de la mer ont revêtu une importance particulière. Les pêcheurs ont notamment été étroitement associés au choix de la zone d’implantation du projet puis à l’emplacement des éoliennes au sein de celle-ci, afin de prendre en compte leurs pratiques de pêche.
Ce travail en commun a donné lieu à la signature d’une convention en 2011 entre le maître d’ouvrage et le Comité Régional des Pêches de Pays de la Loire visant à poursuivre la concertation, du développement du projet jusqu’à la fin de l’exploitation du parc éolien.
Une zone de moindre contrainte pour la pêche a été identifiée, à l’écart des zones d’importance pour cette activité. La définition précise de son périmètre, affinée au fur et à mesure des échanges avec les représentants de la pêche professionnelle, a été retenue dans le cadre de l’appel d’offres de l’État. De plus, suivant les recommandations émises par les représentants de la pêche professionnelle, le maître d’ouvrage a choisi d’espacer les éoliennes d’un kilomètre entre elles, et d’ensouiller les câbles électriques (c’est-à-dire les enfouir dans le fond marin), lorsque cela sera possible, pour éviter qu’ils ne soient accrochés par une ancre ou un engin de pêche.
L’ensemble de ces mesures de conception ont permis d’envisager un projet dans le cadre duquel les activités de pêche peuvent s’intégrer.
Vous pouvez également consulter les archives de la réunion du débat public du mardi 11 juin 2013, qui s’est tenue à la Turballe, lors de laquelle le président du Comité régional des pêches et des élevages marins s’est exprimé sur ce projet de parc éolien en mer :
Effets sur le trait de côte
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, le maître d’ouvrage réalise actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain. Les études nécessaires pour ce dossier sont en cours de réalisation et il est trop tôt pour en connaitre les résultats.
Dans ce cadre, nous réalisons un modèle hydrodynamique et hydro-sédimentaire du projet de parc éolien, dont le périmètre comprend notamment une évaluation des effets des courants à proximité des fondations des éoliennes. Nous avons fait le choix, à ce stade d’avancement des études, d’utiliser des fondations de type monopieu, adaptées aux fonds rocheux présents sur cette zone où l’agitation des fonds marins est importante.
Nous avons également mené des études sur les effets attendus du parc éolien , s’il se réalise, sur les vagues et les courants et donc sur les mouvements des fonds et le trait de côte (ligne atteinte lors des plus hautes mers). Les premiers résultats et le retour d’expérience des parcs déjà installés en mer montrent que ces effets sont très faibles. La présence du parc éolien ne modifierait que très localement les courants, la houle et les mouvements sédimentaires, sans effet cumulatif significatif au sein du parc, du fait du grand espacement entre chaque éolienne.
Aucun impact ne devrait donc être observé sur les mouvements hydrodynamiques ou l’érosion du trait de côte du fait du projet.
Vue depuis la côte
Si le projet se réalise, les éoliennes du parc éolien de Saint-Nazaire seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Des photomontages ont été réalisés depuis une vingtaine de points de vue répartis sur la côte et en particulier depuis la côte sauvage sur les communes du Croisic (La Vigie Romaine), de Batz-sur-mer (Pointe de Casse-Cailloux, Tour Saint-Guénolé, Pointe du Diable) et du Pouliguen (Pointe de Pierre-Plate, Pointe de Penchâteau). Ces photomontages sont consultables lors des réunions publiques et visualisables sur le site internet du débat public :
http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire/
Effets sur les pratiques de pêche
Concernant la pêche, si le projet de par éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les pratiques maritimes (navigation, pêche…) qui seront autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée devront faire l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devront être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante :
http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
Effets sur la ressource halieutique
Par ailleurs, nous bénéficions de retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et en mer du Nord.
Ces retours d’expérience montrent que la vie marine se développe au sein des parcs éoliens marins. De nombreux parcs ont fait l’objet de suivi de colonisation des fondations par la flore et la faune marine : Nysted (Danemark) et Utgrunden (Suède) en Mer Baltique, Horns-Rev (Danemark), Blyth (Angleterre) en mer du Nord et North Hoyle(Angleterre) en mer d’Irlande. Les fondations sont colonisées par diverses espèces. Cet habitat profite au développement de petits crustacés qui alimentent à leur tour des poissons. C’est l’effet récif.
Pour plus de précisions sur ce sujet, nous vous renvoyons vers les propos tenus par les représentants de la préfecture maritime lors de la réunion du 19 avril qui s’est tenue au Croisic dans le cadre du débat public :
La définition de la zone d’implantation du parc correspond au choix d’une zone de moindres contraintes et il n’est pas possible de décaler cette zone à 30 kilomètres de la côte .
Ce projet de parc éolien s’inscrit dans le cadre de l’appel d’offres lancé en juillet 2011 par l’État, et il n’est pas possible pour le maître d’ouvrage de décaler le projet hors des zones définies dans le cahier des charges de l’appel d’offres .
Nous pouvons préciser que les zones ont été définies par façade maritime, à la suite d’un processus de concertation et planification portant sur la période 2009-2010, comme « zones de moindre contrainte », au regard d’enjeux techniques, réglementaires, environnementaux et socio-économiques. Une attention particulière a été portée au respect des activités liées à la pêche professionnelle et au tourisme . C’est à partir des résultats de ce processus que cinq zones ont été retenues par l’État pour l’appel d’offres lancé en juillet 2011 .
La profondeur des fonds marins dans la zone retenue pour l’implantation d’un parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire est inférieure à 30 mètres. Au-delà de 20 kilomètres de la côte, elle devient trop importante et rend difficile et coûteuse l’installation d’éoliennes. Par ailleurs, au-delà de 12 milles nautiques (22 kilomètres), c'est-à-dire au-delà des eaux territoriales, la réglementation ne permet pas à l’heure actuelle l’implantation d’un parc éolien .
Complément de réponse de la CPDP, le 11/06 :
Bonjour,
Plusieurs participants ont posé des questions dans le cadre du débat sur les critères qu'a utilisés par l'Etat pour définir la zone dite propice à l'implantation d'un parc éolien ainsi que sur les possibilités de la déplacer. Nous avons relayé ces questions à l'Etat, par un courrier daté du 5 juin 2013 . Nous vous informerons des suites données .
Cordialement .
Complément de réponse de la CPDP, le 12/7/13 :
Nous avions tranmis à l'Etat une synthèse des questions posées par le public sur la définition de la zone propice et les éventuelles possibilités de la déplacer (voir le courrier du 5 juin 2013). Nous venons d'en recevoir la réponse, que nous vous invitons à consulter à l'adresse suivante : ../IMGS/SQR/COURRIER_PREFECTURE.PDF
Si le projet de par éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les pratiques maritimes (navigation, pêche…) qui seront autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée devront faire l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devront être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
Concernant la navigation à proximité des éoliennes, nous avons réalisé plusieurs études et d’autres sont actuellement toujours en cours de réalisation, relatives à la sécurité aux abords des éoliennes tenant compte de l’ensemble des enjeux. Ces études poursuivent différents objectifs :
Ces études prévoient la mise en œuvre de nouveaux moyens de surveillance (radars, caméras..), de communication (relais GSM, VHF…), de signalisation (système automatique de signalisation, marquage diurne et nocturne, cornes de brume…) ainsi que des procédures d’intervention et d’urgence spécifiques et coordonnées avec les services de l’État en charge de la sécurité maritime.
Si ce projet de parc éolien se réalise, l’exploitant disposerait ainsi de l’ensemble des moyens nécessaires à la gestion des risques liés à la navigation.
A ce stade d’avancement du projet, nous pouvons indiquer que les pratiques (navigation, pêche…) susceptibles d’être autorisées à l’intérieur du parc éolien font l’objet d’un travail entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles doivent être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Les pratiques qui seront finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seront arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique. Nous ne sommes donc pas aujourd’hui en mesure de préciser s’il sera possible pour les pêcheurs de pêcher à l’intérieur du parc éolien.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants, notamment en mer du Nord, montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent effectivement être autorisés à l’intérieur des parcs éoliens.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas encore démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante :
http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
Il est à noter qu’une éventuelle interdiction de naviguer à moins de 50 mètres autour de chaque éolienne serait prise en considération de problématiques de sécurité de la navigation. La possibilité de plonger et de pêcher à l’intérieur de ce périmètre relèverait d’autres considérations comme la sécurité et l’intégrité des infrastructures. Nous ne sommes pas en mesure d’apporter aujourd’hui des éléments sur ce point.
Nous vous invitons sur ce point à examiner les propos de la préfecture maritime, lors de la réunion publique du 19 avril au Croisic, dont la réflexion conduit à ne pas exclure la pratique de la pêche et la navigation de plaisance a priori :
"Ne pas exclure a priori les activités de pêches professionnelles des parcs éoliens, en adaptant les pratiques, c'est important (..) Interdire la navigation de transit à moins de 500 m des parcs, autoriser les petits navires, donc pour le moment on est sur 25-30 m, mais cela dépend aussi du type de navires à proximité. Autoriser la navigation de plaisance, interdire les activités à moins de 50 m des éoliennes, adapter le tirant d’air, c’est-à-dire la distance entre les pales et la mer, faire la même chose qu'au Royaume-Uni dans un souci de cohérence."
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, le maître d’ouvrage réalise actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique et humain. Celle-ci porte à la fois sur la phase de travaux et sur la phase d’exploitation.
Cette étude étant en cours de réalisation, il est trop tôt pour en connaître les résultats. Néanmoins nous pouvons nous appuyer sur une bonne connaissance des caractéristiques du site et de son environnement. Nous bénéficions également des retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et en mer du Nord.
Concernant spécifiquement la phase de travaux, si ce projet se réalise, les éventuelles interdictions des différentes pratiques de pêche devront être arrêtées par le préfet maritime après discussion avec les acteurs concernés et avis de la Grande commission nautique. Elles devraient se limiter à la zone d’implantation prévue sur le projet et ne devraient pas concerner les zones du plateau du Four et de la Banche.
Les principaux impacts attendus pendant cette phase de construction sont liés aux bruits d’installation des fondations des éoliennes. Les bruits localisés et temporaires peuvent déranger temporairement les poissons, mollusques, coquillages et crustacés. Cependant, les retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits montrent que si la présence des espèces peut décroitre durant cette phase, elles reviennent ensuite coloniser la zone du projet.
Concernant la phase d’exploitation, les retours d’expérience de parcs éoliens en mer déjà construits montrent également que la vie marine se développe au sein des parcs éoliens marins. De nombreux parcs ont fait l’objet de suivi de colonisation des fondations par la flore et la faune marine : Nysted (Danemark) et Utgrunden (Suède) en Mer Baltique, Horns-Rev (Danemark), Blyth (Angleterre) en mer du Nord et North Hoyle (Angleterre) en mer d’Irlande. Les fondations sont colonisées par diverses espèces. Cet habitat profite au développement de petits crustacés qui alimentent à leur tour des poissons. C’est l’effet récif.
Si ce projet se poursuit, pendant la période d’exploitation, il ne devrait pas y avoir d’interdiction des pratiques de pêche dans les zones du Four et de la Banche.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se poursuit, les pratiques maritimes professionnelles et de loisirs susceptibles d’être autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée feront l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devraient être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime . Les pratiques finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seraient arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique .
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés .
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas encore démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante : http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
Concernant spécifiquement la pratique de la plongée, il serait nécessaire en premier lieu que l’approche par des navires de petite taille soit autorisée, ce qui dépend de l’avis de la Grande commission nautique et de l’arrêté du Préfet maritime qui serait pris ensuite, comme mentionné précédemment. L’autorisation éventuelle des pratiques de plongée ferait l’objet d’un travail supplémentaire lié à une réglementation différente relative à l’accès à des installations industrielles . Nous ne sommes pas en mesure de répondre aujourd’hui à cette question .
Position des pêcheurs
Le choix de cette zone dans l’appel d’offres lancé par l’État en 2011 résulte d’un exercice de concertation mené par façade maritime par l’État, auquel de nombreuses institutions ont été associées, parmi lesquelles les représentants de la pêche professionnelle et du nautisme .
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se poursuit, les pratiques maritimes professionnelles et de loisirs susceptibles d’être autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée feront l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devront être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime. Les pratiques finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien devront être arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique .
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés .
Il est également important de souligner que le Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins des Pays de la Loire et le maître d’ouvrage ont signé en décembre 2011 une convention par laquelle ils indiquent « leur souhait de poursuivre leur travail en commun pour permettre le développement du parc de Saint-Nazaire dans le respect des activités de pêches, et ce durant toute la vie du projet » .
Position de la navigation plaisancière
Si le projet de parc éolien en mer se réalise, les éoliennes les plus proches seront situées à 12 kilomètres de la côte. La perturbation pour les activités de plaisance et de pêche de loisir qui se pratiquent davantage à proximité de la côte devrait donc être limitée .
Comment compenser énergiquement l'arrêt des éoliennes (vent, maintenance, centrales de pointe) ?
La production d’électricité éolienne, comme la production d’électricité photovoltaïque, est par nature variable, car elle est dépendante des conditions météorologiques . Cette caractéristique ne conduit pas pour autant à construire de nouvelles centrales thermiques en soutien pour pallier l’absence ou le bas niveau de production .
A ce stade d’avancement du projet, il est encore trop tôt pour déterminer si ce parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire, pourrait servir de zone de réserve pour les différentes espèces halieutiques.
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, nous réalisons actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain. Cette étude intègre une évaluation des impacts sur la ressource halieutique, actuellement en cours de réalisation.
Au regard des résultats de l’étude d’impact qui seront connus d’ici un an, nous pourrons confirmer ou amender les premiers résultats des études qui ont été menées. Dès lors des mesures seront prises pour supprimer, réduire ou compenser les impacts qui auront été identifiés.
Ces mesures seront prises en concertation avec les acteurs du territoire concernés : les représentants de la pêche professionnelle et des autres usagers de la mer, les services de l’État, les associations environnementales, etc. Il n’est pas prévu, à ce stade, de mettre en place des mesures spécifiques pour aménager une réserve halieutique dans la zone d’implantation du parc éolien, si celui-ci se réalise. La présence des éoliennes peut néanmoins générer certains effets bénéfiques pour la ressource halieutique.
Un suivi sera ensuite réalisé pendant les travaux et sur l’ensemble de la durée d’exploitation du parc, pour déterminer les effets réels du projet sur son environnement. L’ensemble de la ressource halieutique est comprise dans le périmètre de ce suivi.
Des études de suivi de la ressource halieutique ont été menées sur les parcs éoliens en mer existants exploités par Dong Energy (notamment celui de Horns Rev). Elles montrent que les parcs éoliens peuvent avoir un effet positif pour les poissons, coquillages, mollusques et crustacés. Les fondations jouent, en effet, un rôle similaire aux récifs marins, sur lesquels une partie de la faune peut développer son habitat.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les pratiques maritimes (navigation, pêche, plaisance …) qui seront autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée devront faire l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devront être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, et faire l’objet d’un arrêté du Préfet maritime de l’Atlantique.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
Si ce projet se réalise, les éoliennes du parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire fonctionneront de l’ordre de 90 % du temps et produiront en moyenne autant d’électricité que si elles fonctionnaient à pleine puissance pendant plus de 40 % du temps. La production annuelle d’électricité éolienne du parc au large de Saint-Nazaire serait de l’ordre de 1 735 gigawattheures par an, équivalente à la consommation électrique annuelle moyenne de plus de 700 000 personnes.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se poursuit, les pratiques maritimes professionnelles et de loisirs susceptibles d’être autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée feront l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devraient être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime. Les pratiques finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seraient arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas encore démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante : http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
Le cahier des charges de l’appel d’offres lancé par l’État en 2011 dans le cadre duquel s’inscrit ce projet, a défini la zone du projet avec les coordonnées géographiques suivantes (coordonnées GPS) :
A |
2°39.6' W |
47°12.59' N |
B |
2°41.5' W |
47°12.15' N |
C |
2°41.2' W |
47°11' N |
D |
2°42' W |
47°08.8' N |
E |
2°34.8' W |
47°07.5' N |
F |
2°33.9' W |
47°06.8' N |
G |
2°29.9' W |
47°08.9' N |
H |
2°31.2 W |
47°10.3' N |
I |
2°34.2' W |
47°11' N |
J |
2°34.8' W |
47°09.78' N |
K |
2°38.1' W |
47°10.7' N |
Si le projet de par éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les pratiques maritimes (navigation, pêche…) qui seront autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée devront faire l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devront être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas encore démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante : http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les travaux en mer seront menés sur une période d’environ 3 ans, entre 2017 à 2020, avec des phases d’interruption qui seront notamment fonction des conditions météorologiques et des contraintes océanographiques.
A ce stade d’avancement du projet, le maître d’ouvrage ne peut pas indiquer de façon définitive quels seraient les périmètres à proximité de la zone de travaux dans lesquels la navigation ou d’autres usages seraient autorisés, contraints ou interdits. Ces sujets doivent faire l’objet d’un travail en commun entre le maître d’ouvrage, les usagers de la mer et les services de l’État.
Durant la phase de travaux, des périmètres de restriction, voire d’interdiction, seraient vraisemblablement mis en place autour des principaux éléments du chantier. Compte tenu des éléments techniques dont nous disposons aujourd’hui, il n’apparait pas nécessaire d’étendre les restrictions d’usages au-delà d’un périmètre centré sur la zone de travaux. La zone du projet étant de 78 km², la circulation et la pratique de la pêche de loisir devraient pouvoir être maintenues sur les zones qui ne seraient pas concernées par les travaux.
Les décisions relatives à l’ensemble de ces points devront permettre de garantir à tous, usagers et opérateurs, un niveau élevé de sécurité maritime. C’est la raison pour laquelle, les services de l’État en charge de la sécurité en mer, la Préfecture Maritime de l’Atlantique, auront à se prononcer lorsque les modalités de réalisation des travaux seront connues. Ces règles seront fixées par un arrêté du préfet maritime pour chacune des phases du projet.
A ce stade d’avancement du projet, nous pouvons indiquer que les pratiques susceptibles d’être autorisées et la définition des zones d’interdiction, à l’intérieur ou à proximité du parc éolien, font l’objet d’un travail entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles doivent être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Si le projet se réalise, les pratiques autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien et la délimitation des zones dans lesquelles il sera possible de naviguer seront arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique. Nous ne sommes donc pas aujourd’hui en mesure de préciser s’il sera possible pour les pêcheurs de pêcher à l’intérieur du parc éolien.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas encore démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante : http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
Complément de réponse de la CPDP, 26/04 :
Au cours de la réunion du 19 avril consacrée aux usages de loisirs et à la sécurité en mer, il a été précisé par le Préfet Maritime les choses suivantes : « la navigation de commerce serait interdite jusqu’à un mille autour du parc. La pêche professionnelle serait maintenue, avec des adaptations imposées. La circulation des petits navires (inférieurs à 25-30 m) pourrait être autorisée, mais toute navigation serait interdite à moins de 50 m des éoliennes » (extrait des enseignements que la CPDP tire de la réunion du 19 avril)
Les éoliennes en mer doivent être équipées d’un balisage aérien ainsi que d’un balisage maritime de jour comme de nuit, répondant aux exigences de sécurité des services de la Défense et de ceux de l’Aviation civile. De nuit, un feu à éclat rouge de 2000 candelas doit être activé sur la nacelle de l’éolienne, ainsi qu’un feu fixe rouge de 32 candelas. Pour le balisage maritime, un feu jaune doit être installé au niveau du bas du mât de certaines des éoliennes.
Si le projet se réalise, certaines éoliennes délimitant le périmètre du parc seront équipées de feu d’obstacle jaune selon les principes de la recommandation AISM O-139 sur la signalisation des structures artificielles en mer :
Avec les lois Grenelle, la France s’est fixé un objectif de 23 % d’énergies renouvelables dans la consommation d’énergie en 2020. La déclinaison de ces 23¨% se traduit par un objectif d’installation de 19 000 mégawatts éoliens à terre et de 6 000 mégawatts éoliens en mer et autres énergies marines. L’ensemble de ce parc éolien devrait contribuer à hauteur de 10 % de la consommation nationale d’électricité.
Le projet de parc éolien en débat public s’inscrit dans le cadre d’un premier appel d’offres lancé par l’État en juillet 2011. Il vise d’une part, la réalisation de 3 000 mégawatts éoliens au large des côtes de la Manche et de l’Atlantique, et d’autre part, la constitution d’une filière industrielle capable de se positionner sur un marché européen en plein essor avec des objectifs annoncés à l’horizon 2030 très élevés.
Concernant l’impact du projet sur la pêche, nous pouvons indiquer que les pratiques (navigation, pêche…) susceptibles d’être autorisées à l’intérieur du parc éolien font l’objet d’un travail entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles doivent être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Les pratiques qui seront finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien, s’il se réalise, seront arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique. Nous ne sommes donc pas aujourd’hui en mesure de préciser s’il sera possible pour les pêcheurs de pêcher à l’intérieur du parc éolien.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas encore démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante : http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
Si le projet de par éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les pratiques maritimes (navigation, pêche…) qui seront autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée devront faire l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devront être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
En France, la Grande Commission nautique, réunie en juin 2007 pour un projet éolien en mer au large de Veulettes-sur-Mer (projet qui a obtenu toutes les autorisations administratives mais dont la construction n’a pas encore démarré), a émis un avis favorable à la navigation de tous les navires de taille inférieure à 30 mètres à l’intérieur du parc. Le procès verbal est disponible à l’adresse suivante : http://www.shom.fr/fileadmin/data-www/NAU/Commissions_nautiques/eoliennes.pdf
A l’étranger, on peut relever différents cas de figures :
A ce stade d’avancement du projet, les pratiques (navigation, pêche…) à l’intérieur du parc éolien font l’objet d’un travail entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devraient être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Les pratiques susceptibles d’être finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seraient ensuite arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique. Nous ne sommes donc pas aujourd’hui en mesure de préciser s’il serait possible pour les pêcheurs de pêcher à l’intérieur du parc éolien.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants, notamment en mer du Nord, montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent effectivement être autorisés à l’intérieur des parcs éoliens.
La création d’une réserve pour protéger les poissons et les crustacés nécessiterait d’établir une zone au sein de laquelle les activités de pêche seraient totalement ou partiellement interdites, de façon permanente ou saisonnière, pour tout ou partie des engins et navires. Nous n’envisageons pas ce type de mesure pour le moment.
Les pratiques (navigation, pêche…) susceptibles d’être autorisées à l’intérieur du parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire, si celui-ci se réalise, font l’objet d’un travail entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Ces pratiques devront être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Les pratiques finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien auront à être arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique. Nous ne sommes donc pas aujourd’hui en mesure de préciser s’il sera possible pour les pêcheurs de pêcher à l’intérieur du parc éolien.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants, notamment en mer du Nord, montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent être autorisés à l’intérieur ou à proximité des parcs éoliens.
L'éolien, un des éléments de fourniture d'électricité (voir énergie de la houle).
Avec les lois Grenelle, la France s’est fixé un objectif de 23 % d’énergies renouvelables dans la consommation d’énergie en 2020. Ceci se traduit, pour l’électricité, dans la Programmation pluriannuelle des investissements (PPI), par l’objectif d’installation de 19 000 mégawatts éoliens à terre et de 6 000 mégawatts éoliens en mer et autres énergies marines. L’ensemble de ce parc éolien français devrait contribuer à hauteur de 10 % de notre consommation d’électricité.
Comment vieillit le matériel et son coût d'installation élevé ?
L’éolienne d’Alstom a été conçue suivant les normes de la Commission Électrotechnique Internationale, notamment la CEI 61400-3. Cette norme prévoit que ces équipements peuvent fonctionner pendant au moins 20 ans. Une maintenance régulière et adaptée tout au long de la durée de fonctionnement du parc éolien permet d’envisager une durée d’exploitation de l’ordre de 25 ans.
Le montant total de l’investissement est estimé pour l’ensemble du projet à 2 milliards d’euros. Ce montant prend en compte le coût des études et de l’ingénierie, de la fourniture des différents composants du parc et de leur installation en mer.
L'éolien, sa sécurité pour la circulation en mer et l'ensemble du réseau.
La mer étant un espace ouvert à de nombreux usages et activités économiques, la question de la sécurité maritime a été intégrée dès l’origine du projet. Celle-ci prend en compte l’ensemble des activités existantes et notamment la navigation commerciale et les activités de pêche, directement concernées par le projet. Les activités de plaisance ont également été prises en compte même si celles-ci se pratiquent généralement plus près de la bande côtière.
Concernant la navigation commerciale , celle-ci est presque entièrement liée au port de Nantes-Saint-Nazaire, premier complexe portuaire de la façade Atlantique. Ainsi, la très grande majorité du trafic maritime commercial emprunte le Chenal du Sud, dans la Grande Rade de la Loire. Le Chenal du Nord, qui sépare le continent des hauts fonds des plateaux de La Lambarde et de La Banche, est quasi exclusivement utilisé par les navires sabliers qui font route entre la Loire et les ports de Lorient et Brest. La zone d’implantation proposée ne devrait concerner que de manière très modérée le trafic commercial de marchandises ou de passagers desservant les ports. Ainsi l’impact devrait être quasi nul sur le trafic du port de Nantes-Saint-Nazaire.
Concernant les pratiques (navigation, pêche…) qui pourraient être autorisées au sein de la zone envisagée pour le projet, elles doivent faire l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles auront à être approuvées dans le cadre d’une grande Commission nautique et feront l’objet d’un arrêté du Préfet Maritime. Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
Régulation des differentes sources ?
La régulation du marché de l’électricité, comme d’ailleurs celui du gaz, est le domaine de la Commission de régulation de l’énergie ou CRE, autorité administrative indépendante, créée à l’occasion de l’ouverture à la concurrence des marchés de l’énergie. Ses missions se décomposent en deux parties principales : la régulation des réseaux d’électricité (et de gaz) et la régulation des marchés de l’électricité (et du gaz).
Cette dernière partie comprend la surveillance des transactions effectuées sur les marchés de l’électricité, du gaz et du carbone, la veille sur le bon fonctionnement des marchés de détail et le concours à la mise en œuvre des dispositifs de soutien à la production d’électricité et à la fourniture d’électricité et de gaz. Plus précisément, relativement aux procédures d’appels d’offres, dont celui de l’éolien en mer qui a conduit à retenir le projet présenté au débat public, la CRE assure la rédaction du cahier des charges, le dépouillement des offres et émet un avis sur les candidats, parmi lesquels le ministre désigne le ou les candidats retenus. (Article L 311-10 du code de l’énergie et décret n°2002-1434 du 4 décembre 2002).
La durée de transit d’un remorqueur de haute mer type Abeille Bourbon entre la pointe du Finistère et une zone au large de l’estuaire de la Loire dans l’axe des vents dominants est de l’ordre de 7 à 8 heures.
Les études de sécurité maritime permettront d’évaluer le risque d’accident maritime et de proposer des moyens de réduction de ce risque. Par exemple, la mise en place d’un radar de surveillance maritime couplé au système « Spationav » de la Marine Nationale serait de nature à améliorer la surveillance vers le large. Un radar déporté pourrait sensiblement améliorer les capacités de détection et permettrait donc de mieux anticiper les actions de secours ou d’intervention vers un navire en situation de dérive non maîtrisée.
Le risque de collision existe dès lors qu’un navire circule dans une zone où sont présents des obstacles ; hauts fonds, phare, bouées de signalisation, côte, autres navires… Dans ce contexte, il est nécessaire de mettre en œuvre l’ensemble des moyens pour maîtriser ce risque.
Nous avons mené et menons différentes études relatives à la sécurité aux abords des éoliennes tenant compte de l’ensemble des enjeux. Ces études poursuivent différents objectifs :
Ces études prévoient la mise en œuvre de nouveaux moyens de surveillance (radars, caméras..), de communication (relais GSM, VHF…), de signalisation (système automatique de signalisation, marquage diurne et nocturne, cornes de brume…) ainsi que des procédures d’intervention et d’urgence spécifiques et coordonnées avec les services de l’État en charge de la sécurité maritime.
Si ce projet de parc éolien se réalise, l’exploitant disposerait ainsi de l’ensemble des moyens nécessaires à la gestion des risques liés à la navigation. Les pratiques (navigation, pêche…) qui pourraient y être autorisées feront l’objet de discussions avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants, notamment en mer du Nord, montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche pourraient y être autorisés. L’ensemble des moyens mis en place et le respect des prescriptions qui auront été définies par arrêté du Préfet maritime permettront de réduire les risques de collision des navires avec les éoliennes.
Depuis l’origine de ce projet, le maître d’ouvrage étudie tous les moyens techniques, de procédures et de gestion pour assurer, à terme, un haut niveau de sécurité maritime.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île en mer. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages dans les salles des réunions publiques et sur le site du débat.
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, nous réalisons actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain.
Ces études sont en cours de réalisation et il est trop tôt pour connaitre les résultats. Néanmoins nous pouvons nous appuyer sur une bonne connaissance des caractéristiques du site et de son environnement. Nous bénéficions également des retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et en mer du Nord.
Les impacts attendus sont essentiellement liés à la phase d’installation des fondations des éoliennes et sont relatifs aux bruits. Les bruits localisés et temporaires peuvent affecter les poissons, mollusques, coquillages et crustacés. Les retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits montrent que si la présence des espèces peut décroître temporairement durant cette phase d’installation, elles reviennent ensuite coloniser la zone du projet. Ces impacts sont considérés très en amont et des mesures seront mises en place afin de les limiter. Ils seront limités dans le temps à la période d’installation de chaque fondation.
Le bruit des opérations d’installation des fondations peut également déranger les mammifères présents à proximité de la zone de travaux. Toutefois, il a été observé lors de l’installation de parcs éoliens en mer en Europe du Nord, que si les mammifères fuient la zone d’installation au moment des travaux, ils reviennent rapidement après leur achèvement. La surveillance d’un périmètre étendu autour des travaux permettra de prendre en compte l’éventuelle présence de mammifères marins. Ces effets sont limités dans l’espace et dans le temps.
Concernant la pêche, à ce stade d’avancement du projet, nous pouvons indiquer que les pratiques (navigation, pêche…) susceptibles d’être autorisées à l’intérieur du parc éolien font l’objet d’un travail entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles doivent être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Les pratiques qui seront finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seront arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique. Nous ne sommes donc pas aujourd’hui en mesure de préciser s’il sera possible pour les pêcheurs de pêcher à l’intérieur du parc éolien.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants, notamment en mer du Nord, montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent effectivement être autorisés à l’intérieur des parcs éoliens.
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, nous réalisons actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, naturel et humain. Dans le périmètre de cette étude d’impact figure l’étude de la ressource halieutique et des effets du parc éolien sur cette ressource, que vous évoquez.
Ces études étant en cours de réalisation, il est trop tôt pour en connaître les résultats définitifs. Néanmoins nous pouvons nous appuyer sur une bonne connaissance des caractéristiques du site et de son environnement. En particulier, nous avons réalisé une évaluation des espèces halieutiques présentes sur le site d’implantation en associant l’expertise scientifique aux connaissances des professionnels de la pêche. Nous bénéficions également des retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et au large des côtes danoises.
Les impacts attendus du parc éolien sur les poissons sont principalement liés aux émissions sonores durant la phase d’installation des fondations des éoliennes. Les bruits localisés et temporaires peuvent affecter les poissons, mollusques, coquillages et crustacés. Les retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits montrent que, si la présence des espèces peut décroitre durant cette phase, elles reviennent ensuite coloniser la zone du projet.
Au regard des résultats de l’étude d’impact qui seront connus d’ici un an, des mesures seront prises pour supprimer, réduire ou compenser les impacts qui auront été identifiés.
En complément, afin d’évaluer avec précision les effets des éoliennes sur le milieu biologique, le maître d’ouvrage s’engage à mener un programme de suivi de la qualité de l’eau et de l’état écologique des espèces vivant au fond de la mer.
Les résultats des études sont également consultables à cette adresse :
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Les pratiques (navigation, pêche…) qui seront autorisées à l’intérieur du parc éolien - si le projet se réalise-, font l’objet d’un travail préalable entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles doivent être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Les pratiques qui seront autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seront arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique. Nous ne sommes donc pas aujourd’hui en mesure de préciser s’il sera possible de pécher à l’intérieur du parc éolien.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants, notamment en mer du Nord, montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent être autorisés à l’intérieur des parcs éoliens.
Le choix de la zone du projet éolien en mer prend en compte l’ensemble des activités existantes, et notamment la navigation commerciale.
Les pratiques (navigation, pêche…) qui seront autorisées à l’intérieur du parc éolien - si le projet se réalise-, font l’objet d’un travail préalable entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles doivent être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Les pratiques qui seront finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seront arrêtées par le Préfet maritime de l’Atlantique, qui fixera également la distance minimum d’approche du site et les éventuels droits de pêche et de navigation au sein du parc éolien. Les bateaux qui navigueront à proximité du parc éolien devront donc adapter leur trajectoire pour prendre en compte cette réglementation.
Le choix de la zone du projet de parc éolien prend en compte l’ensemble des activités existantes, et notamment la navigation commerciale.
En mars 2009, le Gouvernement a demandé aux préfets des régions Bretagne, Pays de la Loire, Haute-Normandie, Aquitaine et Provence-Alpes-Côte d’Azur, de mettre en place, pour chaque façade maritime (Manche/mer du Nord, Atlantique et Méditerranée), une « instance de concertation et de planification », chargée de définir des zones propices au développement de l’éolien en mer. Cette instance, pilotée pour la façade Atlantique par le Préfet de la région des Pays de la Loire, rassemblait la plupart des parties prenantes et en particulier les représentants du port autonome.
Le site se trouve à l’écart du chenal d’accès au port de Nantes Saint-Nazaire comme l’indique la carte « Cartographie des enjeux identifiés pour la zone d’étude », page 33 du Dossier du maître d’ouvrage.
A ce stade d’avancement du projet, nous pouvons indiquer que les pratiques (navigation, pêche…) susceptibles d’être autorisées à l’intérieur du parc éolien - si le projet se réalise - font l’objet d’un travail entre le maître d’ouvrage du projet, les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles doivent être proposées à la grande Commission nautique, qui se prononce sur l’ensemble des dispositions relatives à la navigation maritime. Si le projet se réalise, les pratiques qui seront finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien seront arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique. Nous ne sommes donc pas aujourd’hui en mesure de préciser s’il sera possible pour les pêcheurs de pêcher à l’intérieur du parc éolien.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants, notamment en mer du Nord, montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent effectivement être autorisés à l’intérieur des parcs éoliens.
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