La CPDP et le maître d'ouvrage du projet, Eolien Maritime France, s'étaient engagés à répondre aux questions sur le projet ou sur le débat lui-même. Toutes les questions et réponses sont rendues publiques. La CPDP a veillé à ce que les réponses soient complètes et publiées dans les meilleurs délais.
Voir également : > Les enseignements des espaces d'expression à mi-parcours
Bonjour,
Le système de questions et de réponses mis en place sur le site internet du débat public a pour objectif de permettre aux citoyens de poser des questions au maître d'ouvrage (ici Eolien Maritime France) et à la Commission Particulière du Débat Public à propos du projet.
Or, votre question, relative à l'activité touristique, semble destinée plus particulièrement à Madame Seyse et à d'autres intervenants de la réunion publique sur le paysage et le tourisme qui s'est déroulée lemercredi 10 juillet. Par conséquent, nous l'avons envoyée à Madame Seyse qui nous a fait part de sa réponse.
Merci pour votre participation au débat public.
Cordialement.
Réponse de Mme Seyse, Vice-présidente déléguée au tourisme du Conseil Général de Loire-Atlantique:
La réponse ne peut pas se faire en établissant une liaison directe entre tourisme industriel et nuitées d'hébergement. En effet les comportements des touristes, leurs attentes ont fortement évolué depuis 2 ans : il ne s' agit plus aujourd'hui de choisir sa destination touristique pour une raison ,mais d'associer un bouquet de motivations toutes en lien avec l'évolution de la société. Cela peut comprendre les offres de nature, la découverte du patrimoine local bâti mais aussi gastronomique, oenologique, des offres de produits locaux, de saison, des contacts facilités avec la population, la qualité de l'accueil dans les lieux touristiques, la compréhension de la spécificité économique du territoire choisi comme destination, la possibilité de se déplacer autrement que dans la vie de travail, sentiers de randonnées pédestres ou itinéraires de boucles à faire à vélo, sans oublier ,de façon plus traditionnelle le climat et crise économique oblige, la question des coûts des différentes prestations. Les touristes veulent donc se changer les idées par rapport à leur quotidien, ils veulent être surpris et découvrir de l'authentique. Le tourisme industriel est, à ce titre une des composantes qui participe au choix de la destination mais ce n'est pas une composante exclusive de ce choix. Ainsi dans le cadre des actions menées en Loire- Atlantique avec le programme "visitez nos entreprises", je peux vous donner quelques chiffres pour la saison 2011- 2012:
Pour ne citer que quelques exemples... On peut rajouter :
Voilà pour une meilleure perception du tourisme industriel.
En ce qui concerne le 2ème aspect de la question sur le tourisme familial, je ne vois pas le rapport avec le tourisme industriel si ce n'est que précisément ce type de tourisme est souvent gratuit ou peu onéreux et très pédagogique pour les jeunes donc intéressant pour les familles. Certes la fiabilité des statistiques n'est pas totale pour les résidences secondaires utilisées en famille concernant le nombre de personnes dans le logement encore que nous disposions d'éléments indirects d' analyse.
Pour les résidences louées, tout est fiable par contre. De même et je l'avais indiqué à La Baule, c'est dans les Gites que nous avons les incertitudes les plus grandes car un même gîte peut être loué par 2, par 10 ou 15 personnes pour le même prix ; nous ne disposons donc que d'indication de nuitées de réservation pour les gîtes et pas d'indication du nombre de touristes.
Le choix de la zone d’implantation du par éolien en mer au large de Saint-Nazaire résulte d’un travail de concertation et de planification mené par façade maritime par le préfet de Région en 2009-2010.
En effet, en mars 2009, le Gouvernement a demandé aux préfets des régions Bretagne, Pays de la Loire, Haute-Normandie, Aquitaine et Provence-Alpes Côtes d’Azur, de mettre en place, pour chaque façade maritime (Manche /mer du Nord, Atlantique et Méditerranée), une « instance de concertation et de planification ». Les travaux de ces instances de concertation ont conduit l’État à identifier des zones propices au développement de l’éolien en mer au regard d’enjeux techniques, réglementaires, environnementaux et socio-économiques. C’est à partir des résultats de ce processus que cinq zones ont été retenues par l’État pour l’appel d’offres lancé en juillet 2011, parmi lesquelles la zone du Banc de Guérande.
Les fonds « sablo-vaseux » situés à l’ouest du Banc de Guérande n’ont pas été retenus par l’État lors de la définition de la zone de l’appel d’offres en raison notamment des activités maritimes qui y sont pratiquées, en particulier les activités de pêche.
La configuration du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire repose sur de nombreuses études du milieu physique et biologique, menées en liaison avec des organismes scientifiques, des bureaux d’études et des associations locales de protection de l’environnement. Ces études ont permis d’identifier les principaux enjeux techniques et environnementaux spécifiques à la zone d’implantation du projet, en particulier ceux liés aux fonds marins, à la qualité des eaux et à la faune dont les oiseaux et mammifères marins.
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, le maître d’ouvrage réalise actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain. Les études nécessaires pour ce dossier sont en cours de réalisation et il est trop tôt pour en connaitre les résultats.
Au regard des résultats de l’étude d’impact qui seront connus d’ici un an, des mesures seront prises pour supprimer, réduire ou compenser les impacts qui auront été identifiés.
Si le projet se réalise, il est prévu de mener des suivis environnementaux afin d’évaluer les effets du parc éolien sur les différentes espèces. Ces suivis, qui seront effectués du début de la construction du parc jusqu’à son démantèlement, permettront d’analyser les effets du projet tout au long de la durée d’exploitation et de comparer la qualité du milieu à celle préexistant à la construction du parc.
Ces suivis porteront alors sur les espèces présentant des enjeux importants, identifiés dans l’étude d’impact du projet sur l’environnement, notamment : oiseaux, chauves-souris, mammifères marins, ressources halieutiques ou espèces et habitats classés Natura 2000.
Si ce projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les premières éoliennes seront implantées à plus de 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seront alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité, qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologique.
Le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte, notamment depuis la commune de Batz-sur-Mer. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours, ainsi que via l’outil de visualisation de ces photomontages sur le site internet du débat public.
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Si le parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes les plus proches de la plage de la Bonne Source se situeront à plus de 16,9 kilomètres de celle-ci. En raison de l’éloignement du parc et des bruits déjà présents dans l’environnement (vagues, vent etc.), le bruit des éoliennes ne sera pas perceptible depuis la côte.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, un site d’assemblage à terre des composants des éoliennes (notamment des tronçons de mâts et de deux pales sur chaque nacelle), sera aménagé sur le port de Saint-Nazaire ou sur celui de Brest afin de limiter les opérations en mer.
Le choix du site dépend de nombreux critères (configuration des ports, type et nombre de navires utilisés pour la construction, évaluation de l’aléa météorologique). Des études sont actuellement en cours de réalisation pour évaluer ces différents aspects. La décision du maître d’ouvrage pourrait être prise d’ici fin 2013.
Concernant le projet d’aménagement de Méan (la vasière et l’embouchure du Brivet), il s’agit d’un projet du Grand Port qui n’a pas de lien avec le site d’assemblage mentionné, lequel se situerait dans une autre zone du port.
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, le maître d’ouvrage réalise actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain.
Ces études étant en cours de réalisation, il est trop tôt pour en connaitre les résultats. Néanmoins nous pouvons nous appuyer sur une bonne connaissance des caractéristiques du site et de son environnement. Nous bénéficions également des retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et en mer du Nord. Ces retours d’expérience montrent que la vie marine se développe au sein des parcs éoliens marins.
Les principaux enseignements sont les suivants :
Concernant les oiseaux marins, le principal effet observé dans les parcs éoliens en mer d’Europe du Nord est l’évitement des éoliennes ou du parc par les oiseaux migrateurs. Plusieurs études montrent que la majorité des oiseaux évite les parcs, minimisant ainsi les risques de collision.
Au Danemark, les effets du parc éolien de Horn Rev sur l’avifaune migratrice ont été étudiés par radar et observations visuelles. Les échos radar enregistrés en période pré- et post-nuptiales ont montré que les oiseaux approchant du parc éolien modifient clairement leur trajectoire quand ils arrivent à environ 400 mètres de celui-ci. Même si une partie des oiseaux traverse le parc en volant entre les alignements de turbines, l’essentiel des échos radars a été enregistré à l’extérieur du parc éolien. Moins de 1 % des oiseaux en cours de migration choisissent leur route à l’intérieur du parc. Le passage au-dessus des éoliennes serait encore plus rare.
Concernant le lien avec l’électricité d’origine nucléaire, ce projet résulte d’un premier appel d’offres lancé par l’Etat en 2011, portant sur 3 000 mégawatts éoliens en mer, qui s’inscrit lui-même dans la politique énergétique nationale visant à atteindre 6 000 mégawatts éoliens en mer à l’horizon 2020. Les parts respectives de l’éolien en mer et du nucléaire dans le bouquet énergétique, au-delà de cette période, ont fait l’objet d’un débat national sur la transition énergétique qui vient de s’achever et qui donnera lieu à des propositions du Gouvernement dans un projet de loi de programmation, prévu à l’automne 2013.
Le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire s’inscrit dans le cadre du premier appel d’offres éolien en mer, à l’issue duquel la société Eolien Maritime France a été désignée lauréate. Le choix de la zone d’implantation du par éolien en mer au large de Saint-Nazaire résulte d’un travail de concertation et de planification mené par le préfet de Région en 2009-2010.
En mars 2009, le Gouvernement a demandé aux préfets des régions Bretagne, Pays de la Loire, Haute-Normandie, Aquitaine et Provence-Alpes Côtes d’Azur, de mettre en place, pour chaque façade maritime (Manche /mer du Nord, Atlantique et Méditerranée), une « instance de concertation et de planification ». Les travaux de ces instances de concertation ont conduit l’État à identifier des zones propices au développement de l’éolien en mer au regard d’enjeux techniques, réglementaires, environnementaux et socio-économiques. C’est à partir des résultats de ce processus que cinq zones ont été retenues par l’État pour l’appel d’offres lancé en juillet 2011, parmi lesquelles la zone du Banc de Guérande.
Ces zones ont été désignées comme « les plus propices » au développement de l’éolien en mer [1], en fonction de plusieurs contraintes : pêche, paysage, navigation maritime, profondeur, etc. L’État a donc considéré cette zone comme un choix équilibré en fonction de ces différentes contraintes.
De plus, le cahier des charges de l’appel d’offres indique que la remise d’une offre vaut engagement du maître d’ouvrage. Si le maître d’ouvrage ne respectait pas ses engagements, il pourrait se voir appliquer des sanctions pécuniaires, mais aussi le retrait ou la suspension de l’autorisation d’exploiter.
Complément de réponse CPDP, le 23/7/2013:
Nous avions tranmis à l'Etat une synthèse des questions posées par le public sur la définition de la zone propice et les éventuelles possibilités de la déplacer (voir le courrier du 5 juin 2013). Nous vous invitons à consulter la réponse que vous pouvez consulter à l'adresse suivante:
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/imgs/sqr/courrier-prefecture.pd
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se poursuit, les éoliennes les plus proches seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seraient alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours, ainsi qu’à partir de l’outil de visualisation de ces photomontages sur le site internet du débat public.
Vous trouverez à cette adresse l’ensemble des photomontages qui ont été réalisés à ce jour :
http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire/carte.html
et à cette adresse, celui de la vue depuis Piriac-sur-Mer :
http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire/01.html
Complément de la CPDP, le 23/7/2013:
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien ont donc été réalisées et sont disponibles sur le site internet du débat public à l'adresse suivante: ../PROJET/L_EXPERTISE_COMPLEMENTAIRE_DE_L.HTM
Si le projet se réalise, les éoliennes du parc éolien de Saint-Nazaire seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages dans les salles des réunions publiques.
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Ces photomontages sont disponibles à cette adresse :
http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire
ou
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html.
Le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire s’inscrit dans le cadre de la politique nationale de développement des énergies renouvelables. Il est issu d’un premier appel d’offres national lancé en juillet 2011. L’État vise, par cet appel d’offres et le second actuellement en cours, à contribuer à l’objectif, que la France s’est fixé, d’atteindre 23% d’énergies renouvelables dans la consommation d’énergie finale en 2020.
Le montant de l’investissement du projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire est estimé à environ deux milliards d’euros. Ce montant comprend les coûts de développement, d’études, de construction (dont ceux des fournitures, de l’assemblage, des tests, de l’installation en mer, de la mise en service ainsi que les coûts des assurances correspondants) et ceux des opérations de démantèlement. Il inclut également l’investissement lié aux ouvrages de raccordement du parc éolien au réseau public d’électricité, réalisés par le gestionnaire du réseau public de transport d’électricité (RTE).
Ensuite, si le projet se réalise, les coûts d’exploitation et de maintenance du parc avoisineront 60 millions d’euros par an. La durée d’exploitation prévue est de 25 ans. Ces coûts correspondent en grande partie aux coûts de maintenance du parc éolien, c’est à dire l’achat de pièces de rechange et les frais logistiques d’accès au parc éolien en mer, aux dépenses d’exploitation (supervision et gestion administrative du parc), aux coûts de télécommunication et d’équipements informatiques et aux frais d’assurances.
Concernant le prix d’achat de l’électricité qui sera produite, si ce projet se poursuit, un ordre de grandeur peut être donné sur la base des informations fournies par le Rapport du Sénat du 11 juillet 2012 [1]sur le coût réel de l’électricité qui indique que le prix moyen d’un mégawattheure éolien produit par l’ensemble des quatre projets retenus à l’issue du premier appel d’offres est de 202 euros par mégawattheure aux conditions économiques de 2011.
Selon le Ministère de l’Écologie [2], la production de 6 000 mégawatts éoliens en mer, objectif de la politique énergétique nationale à l’horizon 2020, représentera 3,5% de la consommation française d’électricité à cette échéance.
[1]Ce rapport est disponible à cette adresse : http://www.senat.fr/notice-rapport/2011/r11-667-1-notice.html
Complément de la CPDP, le 23/7/2013:
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien ont donc été réalisées et sont disponibles sur le site internet du débat public à l'adresse suivante: ../PROJET/L_EXPERTISE_COMPLEMENTAIRE_DE_L.HTM
Sur les activités de pêche
Le choix de cette zone dans l’appel d’offres lancé par l’État en 2011 résulte d’un exercice de concertation mené par façade maritime par l’État, auquel de nombreuses institutions ont été associées, parmi lesquelles les représentants de la pêche professionnelle et du nautisme.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se poursuit, les pratiques maritimes professionnelles et de loisirs susceptibles d’être autorisées au sein de la zone d’implantation envisagée feront l’objet d’une discussion avec les services de l’État et les représentants des usagers de la mer. Elles devront être approuvées dans le cadre d’une Commission nautique, compétente sur les projets ayant une incidence sur la navigation maritime. Les pratiques finalement autorisées à proximité ou à l’intérieur du parc éolien devront être arrêtées par le préfet maritime de l’Atlantique.
Les retours d’expérience des parcs éoliens en mer existants montrent que certaines activités de plaisance et certains métiers de pêche peuvent y être autorisés.
Il est également important de souligner que le Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins des Pays de la Loire et le maître d’ouvrage ont signé en décembre 2011 une convention par laquelle ils indiquent « leur souhait de poursuivre leur travail en commun pour permettre le développement du parc de Saint-Nazaire dans le respect des activités de pêches, durant toute la vie du projet ».
Sur l’impact sur la ressource halieutique
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, le maître d’ouvrage réalise actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain.
Les études nécessaires pour ce dossier sont en cours de réalisation et il est trop tôt pour en connaitre les résultats. Néanmoins nous pouvons nous appuyer sur une bonne connaissance des caractéristiques du site et de son environnement. Nous bénéficions également des retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et en mer du Nord.
Ces retours d’expérience montrent que la vie marine se développe au sein des parcs éoliens marins. De nombreux parcs ont fait l’objet de suivi de colonisation des fondations par la flore et la faune marine : Nysted (Danemark) et Utgrunden (Suède) en Mer Baltique, Horns-Rev (Danemark), Blyth (Angleterre) en mer du Nord et North Hoyle(Angleterre) en mer d’Irlande. Les fondations sont colonisées par diverses espèces. Cet habitat profite au développement de petits crustacés qui alimentent à leur tour des poissons. C’est l’effet récif.
Nous pouvons ajouter que des mesures ont été prises lors de la conception de ce projet afin de préserver certaines zones de pêche. En effet, d’une part, la zone prévue pour l’implantation du projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se situe à l’écart des zones de pêche les plus fréquentées par les pêcheurs. D’autres part, la conception du parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire prévoit un espacement des éoliennes de l’ordre de d’un kilomètre, pour favoriser autant que possible les pratiques de navigation au sein de la zone du parc éolien.
Si ce parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les impacts attendus seront essentiellement liés aux émissions sonores durant la phase d’installation des fondations des éoliennes. Les bruits localisés et temporaires pourraient en effet perturber les poissons, mollusques, coquillages et crustacés.
Les retours d’expérience de parcs éoliens en mer déjà construits montrent que si la présence des espèces peut décroître temporairement durant cette phase d’installation, elles reviennent ensuite coloniser la zone du projet.
Sur la visibilité des éoliennes depuis la côte
Si le projet se réalise, les éoliennes du parc éolien de Saint-Nazaire seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages dans les salles des réunions publiques.
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Ces photomontages sont disponibles à cette adresse :
http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire
ou
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Dès l’origine de ce projet, le maître d’ouvrage a mené un travail d’intégration de ce projet dans son environnement naturel et de nombreux échanges ont été menés avec les acteurs du territoire pour concevoir un projet intégré au paysage. Il a ainsi recherché une intégration des éoliennes en cohérence avec le territoire d’implantation. Lors de la conception de son projet, le maître d’ouvrage s’est efforcé, par l’utilisation d’un nombre réduit d’éoliennes de grande puissance unitaire (6 mégawatts) et par un travail sur les alignements d’éoliennes , de limiter l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
En effet, selon le cahier des charges de l’appel d’offres gouvernemental, les projets soumis devaient être d’une puissance comprise entre 420 et 750 mégawatts au sein d’une zone de 78 km² de superficie. Le projet proposé par le maître d’ouvrage comprend 80 éoliennes Alstom Haliade de 6 mégawatts, pour une puissance totale de 480 mégawatts, inférieure de 36 % au maximum prévu par l’État : la densité des machines s’en trouve ainsi limitée, ce qui contribue au respect des usages de la mer, de la sécurité maritime, de l’environnement et du paysage.
Si ce projet se réalise, les éoliennes les plus proches de la côte seront implantées de 12 à 22 kilomètres de la côte. Les éoliennes seront alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte, notamment depuis la commune de Batz-sur-Mer. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Les photomontages ont été réalisés depuis différents points de vue : de Belle-Ile-en-Mer à Noirmoutier. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. Ils sont disponibles à chaque réunion prévue dans le cadre du débat public et sur le site internet du débat public.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours, ainsi que via l’outil de visualisation de ces photomontages sur le site internet du débat public: http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html.
Complément de la CPDP, le 23/7/2013:
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien ont donc été réalisées et sont disponibles sur le site internet du débat public à l'adresse suivante: ../PROJET/L_EXPERTISE_COMPLEMENTAIRE_DE_L.HTM
Le maître d’ouvrage a cherché, dès l’origine, à élaborer un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire, notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si le projet se réalise, les éoliennes les plus proches seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seraient alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public, ainsi qu’à partir de l’outil de visualisation de ces photomontages sur le site internet du débat public : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Complément de la CPDP, le 23/7/2013:
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien ont donc été réalisées et sont disponibles sur le site internet du débat public à l'adresse suivante: ../PROJET/L_EXPERTISE_COMPLEMENTAIRE_DE_L.HTM
En introduction, nous rappelons que plusieurs photomontages ont été réalisés depuis une vingtaine de points de vue répartis sur la côte, et en particulier depuis la côte sauvage sur les communes du Croisic (La Vigie Romaine), de Batz-sur-mer (Pointe de Casse-Cailloux, Tour Saint-Guénolé, Pointe du Diable) et du Pouliguen (Pointe de Pierre-Plate, Pointe de Penchâteau). Ces photomontages sont consultables lors des réunions publiques et visualisables sur le site internet du débat public à l'adresse suivante: http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
La hauteur apparente des éoliennes sur les photomontages se détermine par une simple règle de 3. Reprenant l’exemple que vous citez, sur le photomontage n° 6 de Pointe de Pierre-Plate, entre le phare de la Banche, situé à 9,45 kilomètres de l’observateur, et l’éolienne directement à sa droite, située à 12,45 kilomètres de l’observateur, il faut appliquer un coefficient de 9,45/12,95 soit 73 % pour comparer les hauteurs. Considérant une hauteur par rapport au niveau de l’eau de 30 mètres pour le phare de la Banche (à distinguer des 22 mètres de hauteur du phare proprement dit) et de 105,5 mètres pour le moyeu du rotor de l’éolienne, les hauteurs apparentes seront dans un rapport de 2,6. Il est à noter que la méthodologie mise en œuvre par la société ayant réalisé les photomontages a fait l’objet d’une contre-expertise par un chercheur du CNRS, lequel a confirmé le respect des règles de l’art et la sincérité de leur réalisation.
Le maître d’ouvrage a cherché à élaborer un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire, notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Afin d’évaluer plus précisément les effets potentiels du projet sur le tourisme ou la fréquentation des sites, le maître d’ouvrage fait actuellement réaliser par un bureau d’études externe une étude socio-économique. Cette étude est réalisée en concertation avec les acteurs de l’économie et du tourisme : chambre de commerce et d’industrie, communes littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique).
Complément de la CPDP, le 23/07/2013 :
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien ont donc été réalisées et sont disponibles sur le site internet du débat public à l'adresse suivante: ../PROJET/L_EXPERTISE_COMPLEMENTAIRE_DE_L.HTM
Par ailleurs, nous tenons à préciser que l'expertise effectuée par le chercheur du CNRS n'a pas été commanditée par la Commission particulière. Elle a été effectuée à la demande du maître d'ouvrage.
La définition de la zone d’implantation du parc correspond au choix d’une zone de moindres contraintes et il n’est pas possible de décaler cette zone à 30 kilomètres de la côte .
Ce projet de parc éolien s’inscrit dans le cadre de l’appel d’offres lancé en juillet 2011 par l’État, et il n’est pas possible pour le maître d’ouvrage de décaler le projet hors des zones définies dans le cahier des charges de l’appel d’offres .
Nous pouvons préciser que les zones ont été définies par façade maritime, à la suite d’un processus de concertation et planification portant sur la période 2009-2010, comme « zones de moindre contrainte », au regard d’enjeux techniques, réglementaires, environnementaux et socio-économiques. Une attention particulière a été portée au respect des activités liées à la pêche professionnelle et au tourisme . C’est à partir des résultats de ce processus que cinq zones ont été retenues par l’État pour l’appel d’offres lancé en juillet 2011 .
La profondeur des fonds marins dans la zone retenue pour l’implantation d’un parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire est inférieure à 30 mètres. Au-delà de 20 kilomètres de la côte, elle devient trop importante et rend difficile et coûteuse l’installation d’éoliennes. Par ailleurs, au-delà de 12 milles nautiques (22 kilomètres), c'est-à-dire au-delà des eaux territoriales, la réglementation ne permet pas à l’heure actuelle l’implantation d’un parc éolien .
Complément de réponse de la CPDP, le 11/06 :
Bonjour,
Plusieurs participants ont posé des questions dans le cadre du débat sur les critères qu'a utilisés par l'Etat pour définir la zone dite propice à l'implantation d'un parc éolien ainsi que sur les possibilités de la déplacer. Nous avons relayé ces questions à l'Etat, par un courrier daté du 5 juin 2013 . Nous vous informerons des suites données .
Cordialement .
Complément de réponse de la CPDP, le 12/7/13 :
Nous avions tranmis à l'Etat une synthèse des questions posées par le public sur la définition de la zone propice et les éventuelles possibilités de la déplacer (voir le courrier du 5 juin 2013). Nous venons d'en recevoir la réponse, que nous vous invitons à consulter à l'adresse suivante : ../IMGS/SQR/COURRIER_PREFECTURE.PDF
Le choix de la zone du projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire résulte d’un travail de concertation et de planification mené par l’État par façade maritime.
En effet, en mars 2009, le Gouvernement a demandé aux préfets des régions Bretagne, Pays de la Loire, Haute-Normandie, Aquitaine et Provence-Alpes Côtes d’Azur, de mettre en place, pour chaque façade maritime (Manche /mer du Nord, Atlantique et Méditerranée), une « instance de concertation et de planification ». Les travaux de ces instances de concertation ont conduit l’État à identifier des zones propices au développement de l’éolien en mer au regard d’enjeux techniques, réglementaires, environnementaux et socio-économiques. C’est à partir des résultats de ce processus que cinq zones ont été retenues par l’État pour l’appel d’offres lancé en juillet 2011. Ce projet de parc éolien résulte de cet appel d’offres et il n’est pas envisageable de modifier la zone de Saint-Nazaire qui a été retenue pour le lancement de l’appel d’offres.
Dès l’origine, le maître d’ouvrage a cherché à élaborer un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire, notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si ce projet est mené à son terme, les éoliennes les plus proches seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes du parc seraient visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Afin d’évaluer plus précisément les effets potentiels du projet sur le tourisme ou la fréquentation des sites, le maître d’ouvrage fait actuellement réaliser par un bureau d’études externe une étude socio-économique. Cette étude est réalisée en concertation avec les acteurs de l’économie et du tourisme : chambre de commerce et d’industrie, communes littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique).
Par ailleurs, le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. Un expert du CNRS a audité la méthodologie de réalisation des photomontages utilisée par ce bureau d’études et a conclu à sa conformité aux règles de l’art et à sa sincérité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours ou via l’outil mis à disposition sur le site internet du débat public: http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire/
Complément de la CPDP, le 4/7/2013 :
Bonjour, Au sujet des photomontages, plusieurs participants ont demandé, dans le cadre du débat public, que des simulations de l’impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur du projet.La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien seront donc réalisées, publiées sur le site du débat et présentées à l'occasion de la réunion publique consacrée au paysage, le 10 juillet prochain à La Baule.
Concernant le déplacement du projet, des participants au débat ont posé des questions sur les critères utilisés pour la définition de la zone propice dite de « moindre contrainte » ainsi que sur la possibilité de déplacer le projet.
Nous avons relayé l’ensemble de ces questions à l'Etat dans un courrier daté du 5 juin 2013 . Nous vous informerons des suites données.
Par ailleurs, concernant les "recours" contre le projet, nous tenons à préciser les choses suivantes:
Le débat public répond à 3 objectifs en application du code de l'environnement [1]:
Deux mois après la clôture du débat, la Commission Pour le Débat Public (CPDP) publiera le compte rendu du débat et la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) rédigera un bilan.
Le maître d’ouvrage, ici Eolien Maritime France, disposera alors de trois mois pour préciser les suites qu’il entend donner à son projet suite aux enseignements du débat public (poursuivre, modifier ou abandonner le projet). S’il décide de poursuivre, il devra annoncer de quelle manière il entend assurer l’information et la participation du public tout au long du projet
Sur une centaine de débats organisés depuis 1995, date de création de la Commission Nationale du Débat Public (CNDP), l'expérience montre que certains d'entre eux ont conduit le maître d'ouvrage à retirer son projet, alors que d'autres ont vu le projet profondément remanié à leur issue.
Ainsi, sur le projet de parc éolien en mer de Saint-Nazaire, aucune décision définitive n'a été prise à ce jour. Un projet de cette nature progresse par étapes successives qui donnent lieu à autant de décisions : le débat public constitue l'une de ces étapes.
Cordialement
[1]http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220
Le maître d’ouvrage de ce projet a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. Ces photomontages sont disponibles à chaque réunion prévue dans le cadre du débat public. De plus, un outil de visualisation des photomontages est en ligne sur le site du débat public:
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Si le projet se réalise, les éoliennes ne seront pas tout le temps visibles depuis la côte, cela dépendra des conditions météorologiques et de visibilité, de la distance entre le point où on se situe et le parc, etc.
Vous trouverez ci-dessous un tableau statistique, établi sur la base des données de Météofrance, de la visibilité du parc depuis Batz-sur-mer (entre Le Croisic et Le Pouliguen), la pointe de Chemoulin (seul point visible depuis Saint Nazaire) et la pointe du Skeul à Belle-Ile.
Complément de la CPDP, le 3/7/13 :
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien seront donc réalisées, publiées sur le site du débat et présentées à l'occasion de la réunion publique consacrée au paysage, le 10 juillet prochain à La Baule.
L’État est à l’origine de l’appel d’offres éolien en mer lancé en juillet 2011, à l’issue duquel ce projet a été sélectionné. L’État vise par cet appel d’offres d’une part, à contribuer à l’objectif que la France s’est fixé en matière d’énergies renouvelables (23% de la consommation d’énergie en 2020) et, d’autre part, à constituer une filière industrielle de l’éolien en mer créatrice d’emplois. Cet objectif de 23 % porte sur la chaleur et l’électricité. L’éolien représente environ un quart de l’effort à fournir avec 25 000 mégawatts éoliens dont 6 000 en mer. Le mécanisme de l’appel d’offres permet aux lauréats de bénéficier sur une période de vingt ans, d’un tarif d’achat de l’électricité produite prédéfini et adapté aux caractéristiques du projet.
=La composition du bouquet énergétique au delà de 2020 et notamment la part respective de l’électricité d’origine renouvelable et du nucléaire font l’objet actuellement d’un débat national sur la transition énergétique dont les conclusions sont attendues dans les semaines à venir.
Si le projet se réalise, les coûts de d’exploitation et de maintenance du parc avoisineront 60 millions d’euros par an, pendant l’ensemble de la durée d’exploitation, soit de l’ordre de 25 ans. Ils seront dus pour l’essentiel à la maintenance avec l’achat de pièces de rechange des éoliennes et les frais logistiques d’accès au parc éolien en mer. S’y ajouteront les dépenses d’exploitation (supervision et gestion administrative du parc), des coûts de télécommunication et d’équipements informatiques et des frais d’assurances. Le maître d’ouvrage a prévu une durée d’exploitation du parc éolien d’environ 25 ans.
Nous n’avons pas pour le moment de visibilité sur ce que sera le contexte énergétique mondial, européen et français à l’issue de cette période, ni sur les technologies de production d’énergie qui seront disponibles et ne pouvons pas nous prononcer dès maintenant sur l’opportunité de la prolongation de la période d’exploitation de ce parc éolien.
Le montant de l’investissement du projet de parc éolien en mer de Saint-Nazaire est estimé à environ deux milliards d’euros. Il comprend les coûts de développement, d’études, de construction (dont ceux des fournitures, de l’assemblage, des tests, de l’installation en mer, de la mise en service ainsi que les coûts des assurances correspondants) jusqu'à ceux de démantèlement. Ce montant inclut également l’investissement lié aux ouvrages de raccordement du parc éolien au réseau public d’électricité, réalisés par le gestionnaire du réseau public de transport d’électricité (RTE).
Nous ne pouvons pas donner d’information relative au prix auquel sera vendue l’électricité. En effet, les dossiers de candidature soumis par les candidats à l’appel d’offres de l’État constituent des documents de nature privée et confidentielle. Cependant, pour donner un ordre de grandeur, le Rapport du Sénat du 11 juillet 2012 [1] sur le coût réel de l’électricité indique que le prix moyen d’un mégawattheure éolien produit par l’ensemble des quatre projets retenus à l’appel d’offres équivaut à 202 euros par mégawattheure aux conditions économiques de 2011.
Selon le Ministère de l’Écologie, la production d’un parc éolien en mer de 6 000 mégawatts représentera 3,5 % de la consommation française d’électricité. En 2020, le surcoût correspondant à la réalisation de ces 6 000 mégawatts est estimé à environ 25 euros par ménage et par an.
Conformément aux dispositions du code de l’environnement, le maître d’ouvrage réalise actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain. Les études nécessaires pour ce dossier sont en cours de réalisation et il est trop tôt pour en connaitre les résultats.
Néanmoins nous pouvons nous appuyer sur une bonne connaissance des caractéristiques du site et de son environnement. Nous bénéficions également des retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et en mer du Nord. Ces retours d’expérience montrent que la vie marine se développe au sein des parcs éoliens marins. Les principaux enseignements sont les suivants :
Les effets attendus d’un parc éolien en mer sont essentiellement liés aux émissions sonores durant la phase d’installation des fondations des éoliennes et sont de ce fait limités dans l’espace et dans le temps. Les impacts seront considérés très en amont et des mesures seront mises en place afin de les limiter, comme par exemple la surveillance d’un périmètre étendu autour des travaux permettra de prendre en compte l’éventuelle présence de mammifères marins. Au regard des résultats de l’étude d’impact qui seront connus d’ici un an, des mesures seront prises pour supprimer, réduire ou compenser les impacts qui auront été identifiés.
Si le projet se réalise, il est prévu de mener des suivis environnementaux afin d’évaluer les effets du parc éolien sur les différentes espèces. Ces suivis, qui seront effectués du début de la construction du parc jusqu’à son démantèlement, permettront d’analyser les effets du projet tout au long de la durée d’exploitation et de comparer la qualité du milieu à celle préexistant à la construction du parc.
Concernant l’aspect visuel du projet de parc éolien en mer de Saint-Nazaire, si celui-ci se poursuit, les éoliennes seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Des photomontages ont été réalisés depuis plusieurs points de vue, notamment depuis la côte sauvage sur les communes du Croisic (La Vigie Romaine), de Batz-sur-mer (Pointe de Casse-Cailloux, Tour Saint-Guénolé, Pointe du Diable) et du Pouliguen (Pointe de Pierre-Plate, Pointe de Penchâteau). Ces photomontages sont consultables lors des réunions publiques et visualisables sur le site internet du débat public.
[1] Ce rapport est disponible à cette adresse :http://www.senat.fr/notice-rapport/2011/r11-667-1-notice.html
Si le projet de parc éolien de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes pourront être visibles depuis la commune de Saint-Brévin, en fonction des conditions de visibilité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
En particulier, un photomontage depuis la plage du Casino de Saint-Brévin a été réalisé. Il est consultable sur le site internet du débat public, ainsi qu’en version papier lors de chaque réunion publique. :
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Complément de la CPDP, le 27/06/13 :
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien seront donc réalisées, publiées sur le site du débat et présentées à l'occasion de la réunion publique consacrée au paysage, le 10 juillet prochain à La Baule.
> Pour en savoir plus sur l'expertise complémentaire
Sur le paysage
Si ce projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Le maître d’ouvrage de ce projet a fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages dans les salles des réunions publiques et sur l’outil mis à disposition sur le site internet du débat public; http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire/
Sur la pérennité des emplois
Si ce projet se réalise, il sera créateur d’emplois dans la région et plus largement en France. Alstom prévoit la construction de deux usines à Cherbourg et deux usines à Saint-Nazaire pour fabriquer les éoliennes de trois des quatre premiers projets issus de cet appel d’offres, la fabrication des éoliennes.
Avec une capacité de production de 100 éoliennes par an, les usines de Saint-Nazaire et de Cherbourg devraient générer, de façon pérenne, environ 1 000 emplois directs et 4 000 emplois indirects. De plus, la fabrication des fondations, l’assemblage et l’installation des éoliennes en mer et la construction du parc éolien au large de Saint-Nazaire, mobiliseraient 400 emplois. Enfin, une centaine d’emplois serait nécessaire pour la réalisation des activités d’exploitation et de maintenance du parc éolien, pendant l’ensemble de la durée de vie du parc éolien, soit environ 25 ans.
Sur le coût du projet
Le montant de l’investissement du projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire, est estimé à environ deux milliards d’euros. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un appel d’offres lancé par l’État en 2011, visant d’une part à contribuer à l’atteinte de l’objectif de 23 % d’énergies renouvelables que la France s’est fixé, et d’autre part à constituer une filière industrielle créatrice d’emplois.
Le tarif d’achat de l’électricité produite par le parc, éolien a été déterminé au regard du montant de l’investissement et des charges d’exploitation sur la durée de vie totale du projet. Ce montant dépend étroitement des caractéristiques du site retenu (distance entre le parc et la côte, profondeur et nature des fonds marins), comme des choix technologiques retenus. De même, les coûts d’investissement varient sensiblement en fonction de la proximité du réseau électrique existant.
Les dossiers de candidature soumis par les candidats à l’appel d’offres de l’État constituent des documents de nature privée et confidentielle. De plus, un deuxième appel d’offres est en cours et une information sur les prix revêt de ce fait un caractère sensible sur le plan commercial. Pour ces raisons, nous ne pouvons donc pas donner d’éléments sur la rentabilité du projet.
Néanmoins, nous pouvons indiquer que la Commission de régulation de l’énergie (CRE, autorité administrative indépendante en charge de veiller au bon fonctionnement du marché du gaz et de l’électricité) a examiné le détail de notre offre et a jugé le niveau de rémunération acceptable, sur la base des plans d’affaires détaillés qui lui ont été fournis.
Pour donner un ordre de grandeur, le Rapport du Sénat du 11 juillet 2012 [1] sur le coût réel de l’électricité indique que le prix moyen d’un mégawattheure éolien produit par l’ensemble des quatre projets retenus à l’issue du premier appel d’offres équivaut à 202 euros par mégawattheure aux conditions économiques de 2011.
De plus, l’installation des premiers parcs éoliens en mer contribue à la création d’une filière industrielle éolienne française dont la consolidation est attendue au cours des prochaines années. La France peut ainsi développer, sa technologie et son savoir-faire qui lui permettront de se positionner sur un marché en plein développement, créateur d’emplois, et d’exporter vers les pays européens notamment.
[1] Ce rapport est disponible à cette adresse : http://www.senat.fr/notice-rapport/2011/r11-667-1-notice.html
Si ce projet se réalise, l’électricité produite par ce parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire d’une puissance installée de 480 mégawatts sera achetée par EDF, dans le cadre de ses missions de service public. La réglementation prévoit, en effet, que les fournisseurs historiques d’électricité, principalement EDF, ont l’obligation d’acheter l’électricité bénéficiant de tarifs d’achat. L’obligation d’achat vise à encourager le développement d’installations de production d’électricité répondant aux objectifs de la politique énergétique. C’est notamment le cas pour l’électricité renouvelable produite par l’éolien en mer.
Selon le Ministère de l’Écologie [1], la production de 6 000 mégawatts éoliens en mer représentera environ 3,5% de la consommation française d’électricité. Le surcoût de l’électricité produite par l’ensemble des 6 000 mégawatts éoliens en mer, compensé par la CSPE, conduira à relever celle-ci d’un montant équivalent à 4% de la facture des ménages en 2020, soit environ 25 euros par ménage et par an [2].
Concernant la vue depuis la Baule, le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages et en particulier celui depuis la Baule, réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours ou via l’outil mis à disposition sur le site internet du débat public: http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire/
Complément de la CPDP, le 27/06/13 :
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien seront donc réalisées, publiées sur le site du débat et présentées à l'occasion de la réunion publique consacrée au paysage, le 10 juillet prochain à La Baule.
> Pour en savoir plus sur l'expertise complémentaire
[1] http://www.cre.fr/documents/appels-d-offres/appel-d-offres-portant-sur-des-installations-eoliennes-de-production-d-electricite-en-mer-en-france-metropolitaine
Ne doit-on pas craindre de bruit pendant l'implantation des éoliennes ?
La zone prévue pour la réalisation du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire étant située à plus de 12 kilomètres de la côte, si le projet se poursuit, les perturbations occasionnées par les travaux ne devraient pas être perceptibles sur la plage ou en zone littorale.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se poursuit, il est prévu de mener des études pour évaluer le niveau d’émergence sonore lié aux travaux par rapport à l’environnement sonore, aussi bien sous-marin qu’aérien, existant du site.
Selon les résultats de ces études, différentes techniques d’atténuation du bruit sous-marin pendant la phase de travaux d’installation des fondations seraient examinées. La principale source de bruit est l’opération de battage des fondations monopieux, option privilégiée si elle est techniquement possible. Dans l’attente des résultats de cette étude, nous pouvons mentionner que les opérations d’installation de monopieux par battage pour différents parcs éoliens en mer construits par Dong Energy au Danemark et au Royaume-Uni n'ont pas fait l'objet de demande de réduction de bruit ni d'interdiction de travailler pendant la nuit. Les parcs les plus près des côtes au Royaume-Uni, Burbo et Gunfleet Sand, sont situés à 7 kilomètres de la côte.
Est-on vraiment sûr que les éoliennes ne seront pas vues de St Brévin ?
Si le projet de parc éolien de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes pourront être visibles depuis la commune de Saint-Brévin, en fonction des conditions de visibilité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
En particulier, un photomontage depuis la plage du Casino de Saint-Brévin a été réalisé. Il est consultable sur le site internet du débat public : http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire/ ainsi qu’en version papier lors de chaque réunion publique.
Complément de la CPDP, le 27/06/13 :
Dans le cadre du débat public, des participants ont demandé que des simulations de l'impact visuel des éoliennes soient réalisées par un organisme indépendant du porteur de projet. La Commission nationale du débat public a décidé de faire procéder à ces frais à de telles simulations dans le cadre d'une expertise complémentaire (art. 121-9 du code de l'environnement). Des simulations visuelles du projet de parc éolien seront donc réalisées, publiées sur le site du débat et présentées à l'occasion de la réunion publique consacrée au paysage, le 10 juillet prochain à La Baule.
> Pour en savoir plus sur l'expertise complémentaire
Bonjour,
Le maître d'ouvrage a effectivement réalisé des photomontages du projet de parc éolien. La CPDP a souhaité que l'ensemble des documents réalisés par Eolien Maritime France soient regroupés dans une seule et même rubrique intitulée « Les documents du maître d'ouvrage », disponible à l'onglet "le projet": http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html.
Il ne nous semble pas opportun de différencier les photomontages du reste des documents, en les mettant davantage en avant sur la page d'accueil du site. Suite à votre message, nous avons néanmoins réorganisé la page dédiée aux documents du maître d’ouvrage afin de la rendre plus lisible.
Cordialement.
Dès l’origine de ce projet, le maître d’ouvrage a mené un travail d’intégration de ce projet dans son environnement naturel et de nombreux échanges ont été menés avec les acteurs du territoire pour concevoir un projet intégré au paysage. Il a ainsi recherché une intégration des éoliennes en cohérence avec le territoire d’implantation.
Si ce projet se réalise, les premières éoliennes seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seront alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, avec différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours, ainsi que via l’outil de visualisation de ces photomontages sur le site internet du débat public à l'adresse suivante: http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Complément de la Commission particulière du débat public :
Donnant une suite favorable à une demande de participants au débat, la CNDP a décidé de faire réaliser des simulations de l'impact visuel du parc éolien.
Jusqu'au 15 juin 18h, vous pouvez donner votre avis sur les conditions de réalisation de cette expertise. La CPDP retiendra à l'issue de cette consultation les six emplacements qui feront l'objet de simulations visuelles. Elles seront confiées à la société italienne Eca Sindel, prestataire de l'Ecole Navale.
Projet qui ne respecte pas les zones sensibles proches : Houat, Hoëdic, Belle-Isle, le Four. Richesses naturelles ? Attrait touristique avec des éoliennes de 175 m de haut ? Quel gâchis, sans parler des dégâts sous la mer...
Le maître d’ouvrage a cherché à élaborer, dès son origine, un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si ce projet est mené jusqu’à son terme, les premières éoliennes seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seront alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Afin d’évaluer plus précisément les effets potentiels du projet sur le tourisme ou la fréquentation des sites, le maître d’ouvrage fait actuellement réaliser, par un bureau d’études externe, une étude socio-économique. Cette étude est réalisée en concertation avec les acteurs de l’économie et du tourisme : chambre de commerce et d’industrie, communes littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique).
Par ailleurs, le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours ainsi que via l’outil de visualisation des éoliennes mis à disposition sur le site internet du débat public : http://geophom.fr/photomontages-parceolienenmerdestnazaire/
Vous évoquez l’impact qu’aurait ce parc éolien, s’il se réalisait. Conformément aux dispositions du code de l’environnement, le maître d’ouvrage du projet réalise actuellement une étude d’impact du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, sur son environnement physique, biologique et humain.
Les études nécessaires sont en cours de réalisation et il est trop tôt pour en connaitre les résultats. Néanmoins nous pouvons nous appuyer sur une bonne connaissance des caractéristiques du site et de son environnement. Nous bénéficions également des retours d’expérience de parcs éoliens déjà construits et en exploitation depuis plusieurs années, principalement au Royaume-Uni et en mer du Nord. Ces retours d’expérience montrent que la vie marine se développe au sein des parcs éoliens marins. Les principaux enseignements sont les suivants :
Performance affichée très optimiste, surtout l'hiver où les éoliennes tournent peu. Rentabilité réelle ? A-t-on les moyens aujourd'hui de dépenser 2 milliards d'euros ?
La puissance électrique délivrée par une éolienne est fonction de ses caractéristiques et de la vitesse du vent. Les éoliennes en mer bénéficient de vents plus réguliers et plus forts que les éoliennes terrestres. Si ce projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes fonctionneront de l’ordre de 90% du temps et produiront en moyenne autant d’électricité que si elles fonctionnaient à pleine puissance pendant plus de 40 % du temps. Ces éléments s’appuient sur des mesures de vent réalisées par un système de télédétection par radar (ou LIDAR) installé sur l’ile du Pilier.
De façon générale, en raison des caractéristiques des régimes des vents en France, la production éolienne est en moyenne plus importante en hiver qu’en été, en phase avec la hausse de la demande saisonnière. Ceci reste vrai durant les périodes de grand froid qui nécessitent une plus grande mobilisation des moyens de production.
Rentabilité réelle ? A-t-on les moyens aujourd'hui de dépenser 2 milliards d'euros ?
Concernant le coût de ce projet et sa légitimité, on peut indiquer qu’il s’inscrit dans le cadre de la politique nationale de développement des énergies renouvelables. En effet, la France s’est fixé un objectif de 23% d’énergies renouvelables dans la consommation à l’horizon 2020 qui se décline au niveau de l’énergie éolienne par un objectif de 25 000 mégawatts dont 6 000 en mer. Dans cette optique, l’État a lancé deux appels d’offres à vocation industrielle. Le projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire s’inscrit dans le cadre du premier de ces appels d’offres.
L’investissement de ce projet, de deux milliards d’euros sera réalisé par le maître d’ouvrage. Les informations sur le niveau de rentabilité de ce projet de parc éolien sont de nature confidentielle. Néanmoins, nous pouvons vous indiquer que la Commission de régulation de l’énergie (CRE, autorité administrative indépendante en charge de veiller au bon fonctionnement du marché du gaz et de l’électricité) a examiné l’offre que nous avons présentée à l’appel d’offres avant que l’État ne prenne sa décision. Elle a examiné en particulier le plan d’affaires détaillé du projet et le niveau de rentabilité associé, qui a été jugé acceptable.
Si le parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, l’éolienne la plus proche de la Baule sera située à 16 km au niveau de l’avenue du général de Gaulle et à 16,6 km au niveau de l’avenue Louis Lajarrigue.
Le choix de la zone d’implantation du projet éolien en mer résulte d’un travail de concertation et de planification mené par façade maritime par les préfets de région. En mars 2009, le Gouvernement a demandé aux préfets des régions Bretagne, Pays de la Loire, Haute-Normandie, Aquitaine et Provence-Alpes Côtes d’Azur, de mettre en place, pour chaque façade maritime (Manche /mer du Nord, Atlantique et Méditerranée), une « instance de concertation et de planification ». Ces instances rassemblaient, pour chaque façade, les services de l’État, les collectivités territoriales, les représentants des porteurs de projets éoliens, des représentants des usagers de la mer, des associations de protection de l’environnement, les ports autonomes, le Conservatoire du littoral, l’IFREMER (Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer), l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), le SHOM (Service hydrographique et océanographique de la marine) et le gestionnaire du Réseau public de transport d’électricité (RTE).
Les travaux de ces instances de concertation ont conduit l’État à identifier des zones propices au développement de l’éolien en mer au regard d’enjeux techniques, réglementaires, environnementaux et socio-économiques. Une attention particulière a été portée au respect des activités liées à la pêche professionnelle et au tourisme. C’est à partir des résultats de ce processus que cinq zones ont été retenues par l’État pour l’appel d’offres lancé en juillet 2011.
Par ailleurs, dès l’origine du projet, le maître d’ouvrage a mené un travail d’intégration de ce projet dans son environnement naturel humain. De nombreux échanges ont été menés avec les acteurs du territoire pour concevoir un projet intégré au paysage. Le maître d’ouvrage s’est efforcé, par l’utilisation d’un nombre réduit d’éoliennes de grande puissance unitaire (6 mégawatts), de limiter l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Afin d’évaluer plus précisément les effets potentiels du projet sur le tourisme ou la fréquentation des lieux, le maître d’ouvrage fait actuellement réaliser, par un bureau d’études externe, une étude socio-économique. Cette étude est réalisée en concertation avec les acteurs concernés. Dans l’attente des résultats de cette étude, il a rencontré différents acteurs de l’économie du tourisme : chambre de commerce et d’industrie, communes littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique).
Par ailleurs, le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie définie, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés, dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours ou via l’outil de visualisation mis en ligne sur le site internet du débat public à l'adresse suivante : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Complément de la CPDP, 09/06 :
Le maître d'ouvrage du projet a apporté une réponse à votre question.
Vous évoquez par ailleurs dans votre message la position du maire de la Baule. Il n'est pas tenu de répondre aux questions du public au sein de cet espace en ligne, consacré prioritairement aux questions du public sur le projet ou sur le débat, auxquelles répondent respectivement le maître d'ouvrage et la CPDP. Nous lui transmettons cependant une copie de votre question et de cette réponse, afin qu'il nous fasse part, le cas échéant, de sa réaction.
Cordialement,
Pour donner un ordre de grandeur, à hauteur de la pointe de Penchâteau, vous pouvez voir la zone d’attente pour l’accès au chenal du Grand port maritime de Nantes Saint-Nazaire, qui se trouve à 13 kilomètres environ. La taille des navires en attente sur cette zone peut atteindre 350 mètres de long. La distance est donc bien du même ordre que celle qui séparera les éoliennes du littoral, si ce projet se poursuit, mais il est difficile de comparer l’effet visuel d’un navire de plus de 300 000 tonnes « allongé » sur l’horizon avec une éolienne d’environ 175 mètres de haut.
Il n’existe pas aujourd’hui de parc éolien en mer ou à terre équipé d’éoliennes de dimensions comparables à celle que nous envisageons d’installer pour ce projet. Toutefois, une éolienne Haliade d’Alstom est implantée à terre sur le site du Carnet, en Loire Atlantique, non loin de Saint-Nazaire. Il s’agit de la tête de série qui a été installée sur ce site afin d’y réaliser une série de tests.
Pour répondre à la problématique de l’insertion des éoliennes dans le paysage, nous avons réalisé plusieurs photomontages représentant, de la façon la plus réaliste possible, l’insertion des éoliennes dans le paysage depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Sur les documents produits, il est possible de visualiser, selon les points de vue, simultanément des navires en attente, des navires de passage et des amers en mer tels que le phare de la Banche. Nous vous invitons à consulter ces photomontages, soit à l’occasion des réunions publiques soit via un outil de visualisation installé sur le site internet du débat public à l'adresse suivante :http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Le maître d’ouvrage de ce projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire envisage la possibilité d’organiser des visites du parc éolien, dans un but pédagogique. Le maître d’ouvrage a, en effet, rencontré différents acteurs régionaux de l’économie du tourisme afin d’imaginer des produits touristiques nouveaux liés à ce parc éolien en mer, une fois que celui-ci sera construit, si ce projet se poursuit. Si la navigation en mer à proximité des éoliennes est autorisée, il sera possible d’organiser des visites guidées tout au long de l’année pour que le public puisse connaitre le fonctionnement du parc éolien et même de s’arrêter auprès d’une éolienne.
L’opportunité de la mise en place de ces visites sera étudiée dans le cadre d’une étude socio-économique, actuellement en cours de réalisation, qui comporte notamment un volet touristique et dont les résultats devraient être connus avant la fin de cette année.
Effectivement, la dernière version à jour du Guide méthodologique de l’étude d’impactpour les parcs éoliens [1] date de 2010. La note méthodologique relative à la réalisation des photomontages, disponible sur le site du débat public, fait quant à elle référence au Guide de l’étude d’impact des installations photovoltaïques au sol [2].
Ce document est disponible en téléchargement à cette adresse :
Les recommandations méthodologiques relatives à la réalisation de photomontages figurent à la page 79 et suivantes.
[1] Version actualisée par le Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer.
[2] Guide de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement.
Le maître d’ouvrage s’est engagé à faire réaliser cette année une étude socio-économique, portant sur les effets potentiels du projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, en concertation avec les acteurs concernés. Cette étude incluera notamment un volet sur l’économie touristique.
Dans l’attente des résultats de cette étude et afin de favoriser l’insertion du projet dans le territoire, le maître d’ouvrage a rencontré différents acteurs de l’économie du tourisme : Chambre du commerce et de l’industrie, commune littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique). Compte-tenu de son caractère novateur et de sa contribution au développement durable, le parc éolien en mer, s’il se réalisait, pourrait avoir un effet d’entrainement sur le développement touristique du territoire.
Il est possible que le projet suscite la curiosité du public local et de nouveaux produits touristiques pourraient alors être développés. Il pourrait être envisagé de diffuser des supports d’information et d’organiser des animations et visites guidées tout au long de l’année, à des fins pédagogiques, auprès des différents publics. Plus ponctuellement, l’organisation d’événements pourrait être envisagée autour du parc éolien, en lien avec d’autres événements comme la Semaine du développement durable ou la Journée annuelle de l’éolien.
L’opportunité de mettre en place ces différentes activités ainsi que leurs effets, doivent être analysés de façon détaillée, notamment dans le cadre de l’étude socio-économique en cours de réalisation.
Pour apprécier l’insertion du projet dans son environnement et sa visibilité depuis la côte, nous n’avons pas fait réaliser de maquette du projet mais des photomontages.
En effet, pour répondre à cette problématique, nous avons réalisé plusieurs photomontages représentant, de la façon la plus réaliste possible, l’insertion des éoliennes dans le paysage depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer.
Les photomontages ont été réalisés depuis différents points de vue : de Belle-Ile-en-Mer à Noirmoutier. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. Ils sont disponibles à chaque réunion prévue dans le cadre du débat public et sur le site internet du débat public à l'adresse suivante : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Les parcs éoliens de Saint-Nazaire, Saint-Brieuc, Courcelles, Fécamp, Le Tréport, Noirmoutier... (cf. carte de France des éoliennes en mer en 2030) ne sont-ils pas une entreprise de destruction massive du littoral ?
Les débats publics qui se déroulent actuellement concernent quatre projets de parcs éoliens en mer qui sont tous issus de l’appel d’offres lancé par l’État en 2011 et dont les résultats ont été annoncés en avril 2012. Les zones de ces projets avaient été sélectionnées au préalable à l’issue d’un processus de concertation et de planification mené par les préfets de région pour chaque façade maritime (Manche/mer du Nord, Atlantique et Méditerranée) entre 2009 et 2010.
Parmi les principes qui ont guidé le déroulement de cette phase de concertation et planification, les préfets devaient rechercher des zones de « moindre contrainte » pour les usagers de la mer, anticiper les objectifs d’installations éoliennes en mer en 2020, tout en limitant l’emprise sur l’ensemble du domaine maritime.
De plus, le cahier des charges exigeait des candidats qu’ils prévoient « des dispositions pour minimiser le nombre d’équipements implantés sur le domaine public maritime et d’optimiser leur emprise. ». En ce sens, l’usage d’éoliennes de puissance unitaire la plus élevée possible devait être recherchée.
La réalisation de ces projets doit se faire dans le sens du respect de l’environnement naturel, biologique et humain, en s’intégrant aux paysages et en tenant compte des différents usages de la mer.
Quid du démantèlement ?
Le maître d’ouvrage est tenu de remettre le site en l’état à la fin de la période d’exploitation du parc. Il doit pour cela établir un plan de démantèlement et informer le préfet de sa décision de mettre fin à l’exploitation du parc au moins cinq ans à l’avance. Au plus tard deux ans avant la fin de l’exploitation, le maître d’ouvrage doit réaliser une étude portant sur l’optimisation des conditions du démantèlement et de la remise en état du site, en tenant compte des enjeux liés à l’environnement, aux usages de la mer et à la sécurité maritime.
Les opérations de démantèlement d’un parc éolien consistent à réaliser dans l’ordre inverse l’ensemble des opérations nécessaires à sa construction.
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, tous les composants du parc éolien seront démontés et rapportés à terre en vue d’en réutiliser, recycler ou éliminer les différents éléments. La nature et les techniques des opérations de démantèlement seraient choisies de façon à minimiser les perturbations pour le milieu biologique et les activités maritimes. Des garanties financières devraient être constituées initialement avant la mise en service de chacune des tranches du parc éolien pour couvrir le montant nécessaire à la réalisation de ces opérations.
Une étude réalisée par un bureau d’études danois (Elsam Engineering A/S, Life Cycle Assessment of offshore and onshore sited wind farms, 2004) fait apparaitre que 98% du poids des éléments constituant l’éolienne et les fondations sont recyclables. L’acier des fondations monopieux serait refondu et réutilisé pour un autre usage.
La fibre de verre des pales et de la nacelle, qui représente moins de 2% du poids de l'éolienne, ne peut actuellement pas être recyclée. Si des filières de recyclage de ce matériau n’étaient mises en place d’ici le démantèlement du parc, elle subirait un processus d'incinération avec récupération de chaleur. Les résidus seraient ensuite classés dans la catégorie des déchets industriels non dangereux et déchets ménagers et déposés dans un centre d’enfouissement technique.
Le parc éolien de Saint-Nazaire étant parallèle à la côte sauvage du Pouliguen au Croisic, celle-ci pourra-t-elle porter dignement son nom de côte sauvage ?
Dès l’origine, le maître d’ouvrage a cherché à élaborer un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire, notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si ce projet est mené à son terme, les éoliennes les plus proches seront implantées à plus de 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes du parc seraient visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Afin d’évaluer plus précisément les effets potentiels du projet sur le tourisme ou la fréquentation des sites, le maître d’ouvrage fait actuellement réaliser par un bureau d’études externe une étude socio-économique. Cette étude est réalisée en concertation avec les acteurs de l’économie et du tourisme : chambre de commerce et d’industrie, communes littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique).
Par ailleurs, le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours ou via l’outil mis à disposition sur le site internet du débat public à l'adresse suivante : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île. Ces photomontages tiennent compte des caractéristiques des éoliennes et en particulier de leurs dimensions. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages dans les salles des réunions publiques, ainsi que via l’outil de visualisation de ces photomontages sur le site internet du débat public à l’adresse suivante : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages qui sont présentés dans les salles des réunions publiques, ainsi que sur le site internet du débat public à l'adresse suivante :http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Le phare de la Banche figure donc bien dans le champ visuel des photomontages, à l’exception de ceux correspondant aux prises de vue de la Pointe de Castelli, du port de Comberge, de la Pointe de Skeul et du chemin côtier près du port. Sur le cahier des photomontages mis à disposition aux réunions publiques, le phare de la Banche est repéré sur le filaire situé au dessus du photomontage proprement dit. Sa plus ou moins grande visibilité dépend des conditions météorologiques lors des prises de vue.
Dès l’origine de ce projet, le maître d’ouvrage a mené un travail d’intégration de ce projet dans son environnement naturel et de nombreux échanges ont été menés avec les acteurs du territoire pour concevoir un projet intégré au paysage. Il a ainsi recherché une intégration des éoliennes en cohérence avec le territoire d’implantation. Lors de la conception de son projet, le maître d’ouvrage s’est efforcé, par l’utilisation d’un nombre réduit d’éoliennes de grande puissance unitaire (6 mégawatts), de limiter l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si ce projet se réalise, les premières éoliennes seront implantées à plus de 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seront alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte, notamment depuis la commune de Batz-sur-Mer. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours, ainsi que via l’outil de visualisation de ces photomontages sur le site internet du débat public à la page Projet>Les documents du maître d’ouvrage
Le maître d’ouvrage de ce projet a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. 21 photomontages ont été réalisés de Piriac-sur-mer à Préfailles, dont notamment un depuis la Plage du Casino à Saint-Brévin-l’Océan. Ils sont disponibles à chaque réunion prévue dans le cadre du débat public. De plus, un outil de visualisation des photomontages est en ligne sur le site du débat public à l'adresse suivante :http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Concernant les retombées économiques de ce projet, le plan industriel d’Alstom, avec lequel le maître d’ouvrage a un partenariat exclusif pour la fourniture des éoliennes, repose sur la création de quatre usines à Saint-Nazaire et Cherbourg pour fabriquer les composants-clés de l’éolienne Haliade, ainsi que d’un centre d’ingénierie et de recherche et développement dans la région des Pays de la Loire, en partenariat avec l’Institut de recherche technologique Jules Verne. Au total, ces établissements génèreront 1 000 emplois directs et 4000 emplois indirects.
Parallèlement, si le projet est mené jusqu’à son terme, nous prévoyons la mobilisation de 400 emplois au total pendant la durée du chantier, dont 200 pour la fabrication des fondations et 200 pour l’assemblage des éoliennes et leur installation en mer.
Les activités de maintenance et d’exploitation nécessiteraient la création d’une centaine d’emplois pendant l’ensemble de la durée de vie du parc éolien, soit environ 25 ans.
Sur le plan économique, il convient de mentionner également que la réglementation fiscale prévoit que les éoliennes en mer sont soumises à une taxe spéciale, dont les dispositions figurent dans le code général des impôts. Son montant était en 2012 de 14 113 euros par mégawatt installé et par an. Ce montant évolue chaque année au rythme de l’indice de valeur du produit intérieur brut. Cette taxe est due l’année suivant la mise en service du parc. Pour le parc éolien au large de Saint-Nazaire, s’il se réalise, le produit de la taxe spéciale est estimé par le maître d’ouvrage à 6,7 millions d’euros par an. La moitié du produit de la taxe est attribuée aux communes littorales desquelles au moins une éolienne est visible. Le montant qui revient à chaque commune est ensuite fonction de sa population et de sa distance à l’éolienne la plus proche.
Selon l’estimation mentionnée ci-dessus, le montant total de la taxe revenant aux communes littorales serait donc de 3,4 millions d’euros environ par an. Le montant exact versé à chaque commune serait établi par les services fiscaux au moment de la mise en service de chacune des tranches du parc éolien.
Vous trouverez par ailleurs toutes les informations concernant ce projet ainsi que les dates des réunions publiques sur le site internet de la Commission Particulière du Débat Public : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/reunions-publiques/calendrier-informations-pratiques.html
1. Pourquoi ne nous parle-t-on pas du financement ? Ici qui paie ?
Si le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, il sera financé par la société Parc du Banc de Guérande, maître d’ouvrage du projet. Cette société est filiale à 100% d’Eolien Maritime France, avec pour actionnaires EDF EN France et DONG Energy.
Le plan de financement reposera sur une combinaison d’apports en fonds propres des actionnaires du maître d’ouvrage et d’emprunts bancaires. La répartition entre ces deux sources de financement sera déterminée selon les conditions du marché bancaire au moment de la décision d’investissement. Il ne fera pas intervenir de fonds publics. On peut observer aujourd’hui que des projets de parc éolien en mer de nature similaire sont financés à hauteur de 30 à 40% en fonds propres et respectivement à hauteur de 60 à 70 % par emprunts.
Le montant de l’investissement du projet est estimé à environ deux milliards d’euros. Il comprend les coûts de développement, d’études, de construction (dont ceux des fournitures, de l’assemblage, des tests, d’installation en mer, de la mise en service et les coûts des assurances correspondants), jusqu’à ceux du démantèlement. Il comprend également les opérations de raccordement au réseau public d’électricité, réalisées par RTE, gestionnaire du réseau public de transport d’électricité.
2. Peut-on avoir un visuel précis du projet à terme ? Avoir une perspective à un lieu donné et connu.
Nous avons réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer.
Des photomontages ont été réalisés de Belle-Ile-en-Mer à Noirmoutier. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Ils sont disponibles à chaque réunion prévue dans le cadre du débat public. De plus, un outil de visualisation des photomontages est en ligne sur le site du débat public à l'adresse suivante :http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Le maître d’ouvrage a cherché, dès l’origine, à élaborer un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire, notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si le projet se réalise, les éoliennes les plus proches seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seraient alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés, dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours, ainsi que sur le site internet du débat public : Le public>Les documents du maître d'ouvrage.
Dès l’origine, le maître d’ouvrage a cherché à élaborer un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire, notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si ce projet est mené à son terme, les éoliennes les plus proches seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes du parc seraient visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Afin d’évaluer plus précisément les effets potentiels du projet sur le tourisme ou la fréquentation des sites, le maître d’ouvrage fait actuellement réaliser par un bureau d’études externe une étude socio-économique. Cette étude est réalisée en concertation avec les acteurs de l’économie et du tourisme : chambre de commerce et d’industrie, communes littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique).
Par ailleurs, le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours ou via l’outil mis à disposition sur le site internet du débat public : Le projet >Les documents du maître d'ouvrage.
Le maître d’ouvrage a cherché, dès l’origine, à élaborer un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire, notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si le projet se réalise, les éoliennes les plus proches seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seraient alors visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours, ainsi qu’à partir de l’outil de visualisation de ces photomontages sur le site internet du débat public : Projet>Les documents du maître d'ouvrage.
Si ce projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes seront visibles depuis certains points de la côte en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Dans des conditions favorables de visibilité, des éoliennes en mer pourraient être vues « à l’œil nu » des communes suivantes :
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages dans les salles des réunions publiques, ainsi que sur le site internet du débat public : Projet>Les documents du maître d'ouvrage.
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Le maître d’ouvrage s’est engagé à faire réaliser cette année une étude socio-économique portant sur les effets potentiels du projet de parc éolien de Saint-Nazaire, en concertation avec les acteurs concernés. Cette étude inclura notamment un volet sur l’économie touristique.
Dans l’attente des résultats de cette étude et afin de favoriser l’insertion du projet dans le territoire, le maître d’ouvrage a rencontré différents acteurs de l’économie du tourisme : Chambre du commerce et de l’industrie, communes littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique).
Compte-tenu de son caractère novateur et de sa contribution au développement durable, le parc éolien en mer, s’il se réalisait, pourrait avoir un effet d’entrainement sur le développement touristique du territoire. De nouveaux produits touristiques en lien avec le parc éolien pourraient être développés. Il pourrait être envisagé de diffuser des supports d’information et d’organiser des animations et visites guidées tout au long de l’année, à des fins pédagogiques, auprès des différents publics. Plus ponctuellement, l’organisation d’événements pourrait être envisagée autour du parc éolien, en lien avec d’autres événements comme la Semaine du développement durable ou la Journée annuelle de l’éolien.
L’opportunité de mettre en place ces différentes activités ainsi que leurs effets, doivent être analysés de façon détaillée, notamment dans le cadre de l’étude socio-économique en cours de réalisation.
Si le projet de parc éolien de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes seront visibles depuis certains points de la côte sauvage, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Des photomontages ont été réalisés depuis plusieurs points de vue de la côte sauvage sur les communes du Croisic (La Vigie Romaine), de Batz-sur-mer (Pointe de Casse-Cailloux, Tour Saint-Guénolé, Pointe du Diable) et du Pouliguen (Pointe de Pierre-Plate, Pointe de Penchâteau). Ces photomontages sont consultables lors des réunions publiques et visualisables sur le site internet du débat public à la page : Le projet > Les documents du maître d'ouvrage
Un photomontage depuis la Pointe de Pierre-Plate sur la commune du Pouliguen est présenté sur le site du débat public. Sur ce photomontage, on aperçoit des navires d’environ 30 mètres de haut en attente dans la zone de mouillage, à comparer aux 60 mètres du paquebot Oasis qui sera construit à Saint-Nazaire.
Les voies de navigation empruntées par ce type de navires se situent à une distance d’éloignement de la côte plus importante que le parc éolien envisagé, ainsi il ne serait pas possible de comparer ces différents éléments sur un même photomontage.
21 photomontages ont réalisés depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Ile. Ces photomontages sont consultables lors des réunions publiques et sur le site internet du débat public : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Dès l’origine, le maître d’ouvrage a cherché à élaborer un projet intégré dans son environnement naturel et humain. De nombreux échanges ont été organisés avec les acteurs du territoire notamment sur les aspects relatifs à l’intégration paysagère. Le parti pris de conception a été de réduire le nombre d’éoliennes en choisissant une éolienne de grande puissance unitaire (6 mégawatts), limitant l’emprise visuelle du parc sur la ligne d’horizon.
Si ce projet est mené jusqu’à son terme, les premières éoliennes seront implantées à 12 kilomètres de la côte. Les éoliennes seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de la distance d’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Afin d’évaluer plus précisément les effets potentiels du projet sur le tourisme ou la fréquentation des sites, le maître d’ouvrage fait actuellement réaliser, par un bureau d’études externe, une étude socio-économique. Cette étude est réalisée en concertation avec les acteurs de l’économie et du tourisme : chambre de commerce et d’industrie, communes littorales, communautés de communes (la CARENE, Cap Atlantique).
Par ailleurs, le maître d’ouvrage a réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Vous pouvez consulter l’ensemble des photomontages réalisés dans le cadre des réunions du débat public actuellement en cours ainsi que via l’outil de visualisation des éoliennes mis à disposition sur le site internet du débat public.
Si ce projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes Alstom Haliade seront installées en mer à plus de 12 kilomètres de la côte. Il n’existe pas aujourd’hui de parc éolien en mer ou à terre équipé d’éoliennes de dimension comparable. Toutefois, une éolienne Haliade d’Alstom est implantée à terre sur le site du Carnet, en Loire Atlantique, non loin de Saint-Nazaire. Il s’agit de la tête de série qui a été installée sur ce site afin d’y réaliser une série de tests. Elle comporte une sous-structure de 24 mètres, installée sur des piliers, et un mât de 73 mètres de hauteur. La nacelle culmine à 100 mètres du sol.
Pour répondre à la problématique d’insertion des éoliennes dans le paysage, nous avons réalisé plusieurs photomontages représentant, de la façon la plus réaliste possible, l’insertion des éoliennes dans le paysage depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer.
Les photomontages ont été réalisés depuis différents points de vue : de Belle-Ile-en-Mer à Noirmoutier. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. Ils sont disponibles à chaque réunion prévue dans le cadre du débat public et sur le site internet du débat public.
Si le parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire se réalise, la base de maintenance sera installée sur le port de La Turballe. Ce choix a été fait en raison des facilités d’accès maritime (proximité du parc, hauteur d’eau qui permet un accès à toute heure avec les navires de maintenance envisagés, caractéristiques des quais), ainsi que des espaces disponibles pour son implantation.
Cette base de maintenance occuperait une surface d’environ 1 000 m², sur laquelle devraient être aménagés des ateliers pour les activités électromécaniques et électroniques et une zone pour entreposer des stocks de petites pièces de rechange. La zone de quai à proximité, qui devrait être utilisée pour le transfert de techniciens et du matériel, comporterait une aire réservée aux opérations de chargement et déchargement de matériel. Elle serait équipée de moyens de levage, de manutention et de places permanentes et périodiques pour les navettes de transport. L’ensemble de ces éléments sont de taille relativement modeste. Les pièces les plus lourdes des éoliennes qui nécessiteraient des opérations de maintenance seraient acheminées vers les usines par la mer Le nombre de navires ne devrait pas excéder 2 ou 3 ; ce seraient des navires de petite taille.
L’aire d’étude dans laquelle débutent les études détaillées pour le cheminement du raccordement électrique comporte une zone d’atterrage sur la plage de Saint-Nazaire ville et la zone jouxtant du port. Elle se développe ensuite entre les espaces sensibles du parc naturel régional de la Brière et les zones protégées de l’estuaire de la Loire (en évitant ces secteurs). Elle n’inclut à ce stade aucune partie de la commune de Pornichet.
Nous avons réalisé une étude paysagère pour ce projet de parc éolien au large de Saint-Nazaire, et dans ce cadre, réalisé plusieurs photomontages, permettant d’intégrer les éoliennes dans des photographies prises depuis plusieurs points de la côte. La co-visibilité depuis la commune de Piriac a bien été prise en compte dans cette étude. Une simulation visuelle depuis la pointe du Castelli a été effectuée et est présentée au public dans le cadre du débat public.
Nous vous invitons à consulter les photomontages qui sont présentés lors des réunions publiques et sont également disponibles sur le site du débat public. Le photomontage correspondant à la pointe de Castelli est le numéro 1.
Bonjour,
La Commission Particulière du Débat Public sur le projet de parc éolien en mer de Saint-Nazaire a vocation à animer le débat. Neutre, elle n'a pas d'avis à donner sur le projet. Ses membres n'interviennent pas en qualité d'experts mais sont chargés de faire respecter les principes du débat : transparence, équivalence, argumentation.
En ce qui concerne l'impact visuel du projet, le maître d'ouvrage, Eolien Maritime France, a fait réaliser des photomontages qui sont accessibles sur le site du débat, à l'adresse suivante : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Cordialement
Si le projet se réalise, les éoliennes du parc éolien de Saint-Nazaire seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et les conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Île. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages dans les salles des réunions publiques, et sur le site du débat public à l'adresse suivante : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Il n’est pas prévu de mettre en place des dispositifs en mer afin de montrer l’impact des futures éoliennes sur la zone d’implantation du projet.
Par contre, nous avons réalisé plusieurs photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis plusieurs points de la côte. Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie rigoureuse, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens, à terre comme en mer. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité. Des photomontages ont été réalisés De Belle-Ile-en-Mer à Noirmoutier. Ils sont disponibles à chaque réunion prévue dans le cadre du débat public. De plus, un outil de visualisation des photomontages a été mis en ligne sur le site du débat public. Il est accessible à l'adresse suivante : http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Des photomontages sont présentés à chaque réunion publique.
De plus, un outil de visualisation de ces photomontages a été mis en ligne sur le site du débat public à l'adresse suivante :
http://www.debatpublic-eolienmer-saint-nazaire.org/projet/dossier-mo.html
Si le projet de parc éolien de Saint-Nazaire se réalise, les éoliennes seront visibles depuis certains points de la côte, en fonction de l’éloignement du parc et des conditions de luminosité (qui varient selon le moment de la journée et des conditions météorologiques).
Nous avons fait réaliser 21 photomontages pour rendre compte, de la façon la plus réaliste possible, de l’insertion des éoliennes dans le paysage, depuis Préfailles jusqu’à Piriac-sur-Mer, en passant par Noirmoutier et Belle-Ile. Nous vous invitons à consulter l’ensemble des photomontages qui seront présentées dans les salles des réunions publiques.
Ces photomontages ont été réalisés selon une méthodologie précise, par le bureau d’études Geophom, qui bénéficie de plus de 10 ans d’expérience de réalisation de simulations de parcs éoliens. Pour s’assurer que les documents produits seront les plus réalistes possibles, les prises de vues ont été faites à différents moments de la journée, dans différentes conditions de luminosité et de visibilité.
Complément de réponse de la Commission particulière du débat public (CPDP) :
Les photomontages sont disponibles sur la page du site Internet du débat Le projet>Les documents du maître d’ouvrage
Les photomontages seront présentés à chaque réunion publique. De plus, un outil de visualisation des photomontages sera prochainement mis en ligne sur le site du débat public.
Complément de la Commission particulière du débat public (CPDP) :
Vous pouvez retrouver les photomontages sur la page du site Internet du débat Le projet>Les documents du maître d’ouvrage
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